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Purgatoire, tome 3

Un dernier tome décevant avec une fin relativement classique et trop gentille pour moi.
Même si la dernière case me questionne.
Ça se lit toujours aussi rapidement. Par contre c'est bien moins glauque que le premier tome.
Dommage justement que l'histoire ne soit pas restée sur le même ton.
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Le sais-tu, maman ?

Préparez vos mouchoirs car ce livre attendrira les petits comme les grands.

Voici une histoire raconté par un enfant. Celui ci nous parle de sa maman, de tout l’amour qu’il ressent pour elle. Il l’a remercie pour tout ce qu’elle fait au quotidien pour lui, pour tout l’amour qu’elle lui donne, pour la personne qu’il devient grâce à elle.

Une magnifique déclaration d’amour d’un enfant à sa mère, tout en douceur et en poésie. Une histoire à lire aux petits mais aussi aux mamans.

Cet album est initialement pour les enfants, mais je pense qu’il ferait également un magnifique cadeau aux mamans, car il est remplit de paroles qui font du bien, qui apaisent.

Vous l’aurez compris, ce livre a touché dans le mille mon petit cœur de maman et ses illustrations complètent l’amour que j’ai ressenti tout en le lisant à mes enfants.
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Hunger Games : La Ballade du serpent et de ..

J'avais lu ce livre à sa sortie, j'ai vu le film à sa sortie, et je relis aujourd'hui le livre : sensiblement différent dans son rythme et sa construction de la trilogie originelle, ce préquel va, à mon sens, plus loin que les ouvrages d'origine : moins d'action, mais une reflexion plus poussée, exacerbant l'absurdité et l'horreur de cette dystopie.

Sa fin, relativement hâtive, offre un twist inattendu qui permet de raccrocher le jeune Snow au Président de Panem de la trilogie, et de lui apporter plus de profondeur. Les différents personnages ne laissent pas de marbre, même si leur sort peut parfois laisser le lecteur sur sa faim.

À noter que le film tiré du livre est une adaptation de bonne facture : si certains points diffèrent, cela est majoritairement dû au fait que la transposition à l'écran aurait été soit brouillonne, soit ennuyeuse (la partie 2 notamment). Du coup, le livre était chouette à lire, et le film, chouette à regarder!
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Les chats retombent toujours sur leurs pattes

On m’a offert ce livre en pensant que ce serait une petite comédie romantique sympa. Qu’elle ne fut ma surprise en découvrant un livre plein de clichés, raciste, homophobe, misogyne et j’en passe. Je ne le recommanderais pas et il ne figurera pas dans ma bibliothèque.
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Humanité déchue

Une jolie découverte !

Dans Humanité Déchue, on découvre un ensemble de nouvelles reliées les unes aux autres : si l’on peut certes lire chacune d’entre elles indépendamment, on y gagnera néanmoins à voir les références de l’une à l’autre pour accéder à une vue d’ensemble de l’univers créé.

Loin de s’arrêter à un genre fantastique et horreur (au demeurant très bien mené), l’auteur se plaît à nous dépeindre la société actuelle et ses déviances. Ne soyez pas surpris si certains protagonistes révèlent des traits de comportement similaires aux vôtres (et pas les plus flatteurs), cette œuvre nous invite, de manière subtile, à prendre du recul sur notre être et nos agissements.

Côté fantastique, l’ambiance est bien mise en place : les descriptions sont précises , elles mettent nos sens en éveil pour une bonne représentation des scènes, et donc une meilleure immersion dans l’univers fictif.
D’ailleurs, ce monde ne paraît pas si fictif que cela : en dehors des Créatures, le monde dépeint dans les différentes nouvelles ressemble étrangement au nôtre. La limite entre réalité et fantastique est très floue, parfois à peine perceptible : cela ne fait que renforcer l’aspect malaisant du contexte.

Passionnée de métamorphoses, j’aime particulièrement les passages qui abordent les transformations des personnages, qu’elles soient psychiques, ou autres...
Je suis aussi friande des traits d’humour disséminés dans le livre.
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Sur la route

Je ne me souviens plus vraiment comment "Sur la route" m'est arrivé entre les mains. Quelles successions de suggestions ont fait qu'un jour, guilleret, mes pas m'ont mené dans une librairie lorientaise, dans le seul et unique but d'acquérir ce bouquin.
Etait-ce le fait de Thierry, le barbu rouquin ça comme à la culture immense, prodigieuse, et partageuse ?
De Bertrand, dit "Bébert", dit "Mad" (surnom dû à son passé tumultueux et sombre où stupéfiants rimaient agréablement avec maintenant), et qui fut mon singe durant trente années, belles, envahissantes, magnifiques et moribonde à la fois ?
Ou peut-être était-ce la radio qui parle, que j'écoutais les oreilles tendues, en érection, toujours prêtes,moi le béotien, l'ouvert à tout et à rien, le gamin inculte de l'époque ?
Sans doute un peu des trois.
Ou un peu de l'un et beaucoup des deux autres.
Ou un peu des deux... Bref, vous aurez pigé, ça vient de là. Aucun doute, maintenant, en y réfléchissant.
Toujours est-il que cela a eu lieu en l'an 96 du siècle dernier.
D'un point de vue littéraire, j'étais une bille. Aucune culture, tout juste avais-je lu, durant mon adolescence, "Dune" de Franck Herbert et quelques bouquins de Stephen King.
Mais entre 17 et 24 ans, que dalle, nada, rien.
La musique, les potes, l'instant présent, je vivais ça à donf, sans aucune limite, et sans aucun regret. C'était ma vie, c'était "la vie".
Et puis une nuit, tout ça s'est effondrée.
D'un coup d'Opinel, un connard puissance 1000,une putain d'ordure, a tout foutu en l'air. Ma vie, mes choix, mes certitudes de gamin qui se croyait grand, tout ce en quoi je croyais à l'époque.
J'ai sombré.
Durement.
Mais pas longtemps, trois-quatre mois.
Un amour, pas loin, m'a re-aimé.
Elle m'a fait du bien, mais j'étais loin. Blessures ouvertes. Trop loin.
Et là je me suis à nouveau retrouvé solo ante la vida.
Solution ? T'es jeune toi, t'es pas mort, enfin il paraît, so what ?
La musique ? Hors de question. J'entendais la gratte de Manu partout.
Les potes ? Ben non, c'était plus possible. Se revoir nous rappelait trop l'absent. Celui qui aurait dû être là et qui n'était plus.
On s'est revus deux-trois fois, les membres du groupe, les purs et durs. Les vrais. Les proches de. Les à la vie à la mort.
Mais non, c'était plus possible.
Je les aime encore et toujours, ils sont beaux, ils sont ma mémoire d'un autre temps, d'une autre vie. Une preuve de nous. Mais.
Et là, j'ai repensé à ce titre "Sur la route". À ce que l'on m'avait raconté à propos de ce livre.
Je l'ai acheté.
Je l'ai lu. Et relu .
Et j'adore ce livre.
À ce moment de ma vie, de par ses mots et sa narration, Kerouac m'a redonné goût à l'altérité, au vivre ensemble, à l'avenir commun.
De sa prose est née en moi quelque chose proche de l'espérance, de la joie de l'autre, du possible .
Tous les jours, ou presque, je pense à "Sur la route".
Alors, lisez ce roman modeste et génial, mais surtout, vivez-le !
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Nous irons mieux demain

J'ai adoré ce livre.
Au début, je me suis dit qu'à la page 150, s'il n'y avait pas d'actions, j'arrêterais là, la lecture de ce livre épuis, j'ai été hape. Je voulais en découvrir plus. J'ai reconnu le parallèle entre la vie de Zola et la vie du père de Candice. Bref, plein de jolis clins d'oeil de la part de la brillante auteure.
Le personnage de Dominique est magnifique.
Ce livre est magnifique. Candice va mieux...
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Le Syndrome du spaghetti

Je viens de refermer ce livre seulement quelques heures après l’avoir ouvert. Impossible de le lâcher tant l’histoire m’a prise aux tripes. C’était fort, c’était fou, c’était vrai. Beau aussi. J’ai versé plusieurs larmes. L’écriture de Marie Vareille m’a une fois de plus prise au dépourvu, avec ce sujet si bien traité (le deuil, le déni, l’abandon des rêves).

Bientôt trois ans qu’il traînait dans ma bibliothèque, et comme je regrette de ne pas l’avoir lu plus tôt.
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The night and its moon, tome 1

Bon, d'accord, je l'avoue... Je ne pouvais pas passer à côté d'un roman de fantasy avec des lesbiennes pour protagonistes (un peu de représentation, ça fait du bien)! Et comment dire? Je suis mitigée.
Si comme moi, vous vous apprêtez à craquer en raison de cette belle romance, lisez d'abord mon commentaire.

On nous présente les deux orphelines comme étant de sublimes jeunes femmes vouées à un amour passionné. J'ai bien conscience que c'est tout le but de ce premier tome mais: ELLES PASSENT PLUS DE 3/4 DU LIVRE SANS AVOIR LA MOINDRE INTERACTION. Allez, passons ce détail car, après tout, pour avoir des retrouvailles émouvantes, il faut bien que nos héroïnes soient d'abord séparées.
Seulement, ce n'est pas le seul petit point négatif de ce livre. Outre les coquilles (oubli de mots, fautes, paragraphes peu aérés, descriptions répétitives) qui prouvent que le roman aurait mérité une relecture, je trouve que l'intrigue est beaucoup trop centrée sur Amaris et que Nox passe à la trappe. Oui, Amaris est bien plus intéressante que Nox au niveau du caractère et de sa vie de bretteuse, mais Nox aurait tout de même mérité plus d'attention. C'est comme si elle était cantonnée au rôle d'amoureuse, bloquée dans le passé, dévouée à son amie, prête à tout pour un amour qu'elle ne sait même pas être réciproque.

Si certains passages trainent en longueur, l'histoire n'en est pas moins captivante (et je ne dis pas ça pour me justifier d'avoir déjà acheté le deuxième tome!).
Mais bon, encore une fois, de là à parler de romance lesbienne... (Oui, je rabâche, je sais!) Ah, ne jamais se fier aux réseaux sociaux!
Et puis, un beau fae ténébreux qui débarque, une relation un peu chien et chat entre Gadriel et Amaris... J'ai du mal à garder espoir pour notre duo Nox-Amaris, d'autant plus que les scènes plus osées sont majoritairement hétéro pour ce premier volume...

Pour résumer, c'est un livre de fantasy assez léger (pour les novices en fantasy comme moi), plutôt adapté à un public adulte et averti, avec son lot de mystères et de personnages attachants (coucou Malik, Odrin, Gadriel, Amaris). Il faut seulement persévérer quand on nous répète pour la trente-six millième fois à quel point l'une est blanche et ô combien l'autre a la peau brune, et ne pas attendre de véritable romance de la part de ce premier tome. Il y a du potentiel, en espérant que "The Sun and Its shade" ne me déçoive pas.
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Nos âmes tourmentées

Livre plutôt facile à lire simple et distrayant. Pour autant. Je reste un peu déçu par l’intrigue.
Les sujets abordés sont durs émouvants, éprouvant aller même jusqu’à violent mais j’avoue avoir été déçu par certains sujets qui n’ont pas été traités en profondeur par rapport à l’histoire.
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Les conditions idéales

Qu'il est bon de redécouvrir la vie à hauteur d'yeux d'enfant, même si ce sont ceux d'un petit gamin algérien né en France, de père inconnu et abandonné très tôt par sa mère aux doux services de l'ASE.

Skander, c’est lui le gamin, le narrateur donc.

Collégien, il nous fait partager son quotidien singulier avec son langage, ses mots à lui, précieux parfois, populaire toujours.
Son vécu nous est donné à vivre, avec ses certitudes naïves de bambin crédule et ses candides découvertes agrémentées de commentaires spontanés.

Un certaine virginité.

Une espèce de Petit Nicolas, en moins bien gâté par la vie quand même, dont les amis s’appellent Ramos ou Mohammed plutôt que Clotaire ou Eudes, un petit Skander donc, qui devra comprendre rapidement qu'une famille d’accueil se disloque quand la mère de substitution meurt précipitamment.

La vie n’est pas un long fleuve tranquille.

Avec un humour subtil qui se veut symptomatique de âge et de son inexpérience il nous raconte ses premières fois :
-          Sa première rencontre avec celle qui veillera sur lui désormais
-          Sa découverte du Maroc lors de son premier voyage initiatique en terre étrangère
-          Son premier coup de cœur vite douché finalement.
-          Ses premiers accès de violence dans la colo d’une station de ski en Suisse
-          Sa première implication collective en tant que délégué de sa classe de lycée
-          Sa première approche de la religion musulmane
-          Sa première prise de conscience de la déshérence psychologique et physique dans laquelle se perd sa mère biologique
-          Sa première baston funeste
-          Sa première garde à vue aussi...

Des premières fois restituées sous la forme de pastilles successives écrites dans un style à part, mélangeant le langage naïf de l’enfance et le verbiage populo du peut-être caïd en devenir.

Au fil des pages, nous glissons progressivement du doux récit du gentil gamin naïf découvrant la vie à celui, plus acide, de la petite teigne en construction que le droit chemin n’intéresse plus que de très loin.

Reconnaissons cependant que certaines tournures de phrases plus alambiquées ou certains vocabulaires plus léchés s’avèrent trop précieux ou trop riches pour intégrer parfaitement le style adopté par le récit. Sûrement un clin d’œil entendu de l'auteur pour établir une complicité avec son lectorat qui n'est pas dupe, nous lisons là le roman fraîchement écrit par un homme et non pas le journal intime d’un gamin démarré il y a longtemps.

Le gamin est sensé, conscient des difficultés qui seront les siennes s'il veut finalement sortir des ornières que sa condition initiale a déjà tracées devant lui, d’autant qu’il veut devenir avocat.
Il est intelligent et son potentiel est reconnu sauf par un encadrement scolaire prompt à casser tout trublion susceptible de faire école autour de lui.
Lui est devenu trafiquant de drogue !

Un parcours individuel en guise d'état des lieux sur une difficile jeunesse de banlieue à qui rien n’est promis si ce n’est une délinquance systémique installée de longue date par un destin mangé par la poisse et l’absence de perspective. La faute à pas de chance surtout pas celle d’être né du bon côté de la Seine, celui qui offre un autre avenir que de systématiquement finir en prison.

Une tranche de vie qui va de la cour d’école au banc du bac dans un quartier où s'en sortir c’est faire preuve d’une force de caractère hors du commun.

Une bonne lecture malgré quelques passages en demi-teinte et un parti pris stylistique un peu redondant.

Les confessions d'un enfant du siècle !
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Quand les arbres s'emmêlent…

Très beau livre de cette jeune autrice qui s’interroge sur les liens intergénérationnels. Un roman où se mêlent les vies de 3 femmes, 3 portraits finement construits, un roman plein d’émotions. On découvre la reconstruction d’une famille, la puissance des secrets et l’impact des événements difficiles sur chaque génération.
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Kafka sur le rivage

Le mythe d'Oedipe mis en bento !
Enfin, à la sauce japonaise.
Belle ecriture, agreable, engageante.

"... Et c'est pas tout, et c'est pas tout... "

"Le corps et l'esprit peuvent vivre séparément
" Personne n'a le don d'ubiquité, a dit Oshima.
"Pourtant, dans certains cas, cela" se produit. De son vivant, un être humain peut devenir un fantôme.
"L'autre fait important, est que je suis attiré par ce "fantôme."

Vont ainsi apparaitre successivement : Johnny Walken '(pourquoi pas Walker?... mystère) le colonel Sanders :"je suis un concept"...
Des références sont faites a des contes européens : le petit poucet, Hans et Grethel...
Des événements bibliques surviennent, comme les pluies de poissons et sangsues, provoqués par le 2eme heros du roman : un vieillard un peu benêt, mais déterminé, qui communique avec les chats, plus facilement qu'avec les humains.
Il va devoir tuer pour les protéger_ les chats _ Mais tuer qui exactement ?
Des pensées philosophiques de Hegel sont énoncées , la bouche pleine, par une étudiante prostituée, "pour payer ses études littéraires ".
Quelques passages érotiques, bien appuyés jalonnent le récit.

Le jeune héros : Kafka, Oedipe des temps moderne est accompagné de son double :Corbeau (=Kafka en tcheque?). Il va effectuer un periple , à travers un Japon moderne, assorti de diverses épreuves dont celle du labyrinthe.

Un mystérieux événement survenu en 1944 démarre ce roman à facettes. Sans véritable explication. Des déductions sont laissés à notre libre interprétation .

Ce gros pavé, captivant, nous promène dans un patchwork d'événements disparates, reliés entre eux par les seules deambulations de 2 personnages : le premier découvrant son futur chemin de vie, le second terminant son oeuvre terrestre. Mais ici, jamais aucune vie n'est simple, lineaire, d'autant que le corps et l'esprit sont fréquemment dissociés, et que des présences parfois encombrantes peuvent nous envahir, tel le horla de Maupassant .

Cette accumulation de petits événements , de références, me parait ressembler à ces murs tapissés de cartes postales du monde entier, mais convergeant vers une seule adresse, un destinataire unique.

Les thèmes abordés sont retrouvés à la lecture de la bibliographie de Aruki Murakami : la culture greque, l'amour des chats, le non conformisme, l'animisme : "ce que l'on nomme l'univers du surnaturel n'est autre que les ténèbres de notre propre esrit."

Heureux et soulagé d' avoir réussi ce long périple de 615 pages, Partiellement satisfait. Donc : 3,5/5..... Car ce n'est pas franchement ma tasse de thé....
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Chut ! Je lis !

Cet album est un joli mélange entre la découverte des fonds marins et l’amour de la lecture.

En effet, nous suivons Perle, un poisson qui adore la lecture mais qui ne trouve pas d’endroit calme pour savourer tranquillement son livre. Tantôt dérangé par les poissons, tantôt entourée de créatures marines, Perle souhaite savourer sa lecture seule… elle va donc voyager jusqu’à trouver l’endroit parfait. Mais la lecture est elle vraiment agréable lorsqu’on ne peut pas la partager?

J’ai beaucouo aimé les illustrations ainsi que les couleurs qui bercent la lecture. Un album presque magique.

Une belle histoire sur le partage et surtout sur les poissons et tout le petit monde qui peuple les profondeurs de l’ocean.
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L'enfant de l'enfer

Cathy Glass mère d'accueil se voit confiée Aimée une petite fille qui a connu l'enfer face a une mère toxicomane qui l'a délaissé .

Ce livre nous fait passer par toutes les émotions de la tristesse , de l'attendrissement , de la joie .

On s'attache au fur et à mesure de l'histoire aux personnes en voulant savoir ce qu'ils leurs arrivent ensuite...

J'ai bien aimé l'épilogue pour savoir ce qu'était devenu Aimée et Cathy et les enfants de Cathy.
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Noblesse Oblige

Je m’attendais à aimer cette histoire, et finalement, je l’ai dévoré tellement je l’ai adoré.

Nous avons passé les années 2000 et pourtant, la monarchie est toujours de rigueur. En effet, la révolution française de 1789 n’a pas eu lieu, et le descendant de Louis XVI est bien au pouvoir. Néanmoins, les télévisions existent, ainsi que certaines technologies.

Chaque année, une émission de télé-réalité est organisée: des jeunes femmes sont sélectionnées pour leur sang « pur » parmi des roturières, domestiques de maison, ou filles du peuple. Elles vont être formées afin d’avoir la chance d’épouser un grand héritier de la monarchie. Le rêve me diriez-vous? Et pourtant…

Dans cette histoire, nous allons suivre Gabrielle, antiroyaliste, sélectionnée cette année pour l’émission « Noblesse oblige ». D’abord motivée pour espionner et infiltrer la monarchie, elle va découvrir petit à petit ce qu’il se cache derrière cette fameuse noblesse et se rendre compte qu’il ne faut pas se fier aux apparences.

J’ai tout simplement été passionnée par cette histoire mélangeant faits historiques, émissions télé, politique, amour et surtout rebondissements. Certains personnages m’ont touchés et j’en ai détesté d’autres, m’amenant à tourner frénétiquement les pages afin de connaître leur destin.

Mais surtout, je ne m’attendais pas du tout aux raisons de la mort de Capucine de Léon, point de départ de l’histoire: candidate favorite de l’émission de l’année précédente, elle est morte dans un incendie « accidentel ».

Bref, jusqu’à la fin, le suspense aura été total. Une histoire magnifiquement ficelée, mélange de Cendrillon, La Sélection de Kiera Cass et un soupçon d’Hunger Games.
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Crush of lifetime, tome 2

Bon… je n’avais pas grandement apprécié le tome 1 mais suffisamment pour lire le tome 2. C’est chose faite et… je ne lirai pas la suite. Je n’aime pas les personnages, je n’ai pas été touchée par la pseudo romance, je déteste les dessins de la protagoniste je la trouve très très très très très agaçante. Bref c’est une énorme déception pour moi je DNF cette série.
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Pensées

Bien difficile de porter un jugement quelconque sur les réflexions d'un sage. Bien sûr, la forme est vieille de plus de 2 000 ans, mais le fond est intemporel. Et ce fond, c'est une leçon d'humilité, seule cohérente avec la fugacité et l'inconsistance de notre passage sur terre. C'est la vertu du détachement et de la simple acceptation du monde comme il est. C'est aussi une éthique de fidélité à notre raison intérieure, émanation divine qui seule doit guider nos actions, sans autre finalité que le respect et l'amour des autres et du monde. La rhétorique, autour de quelques idées fortes et louables, est belle et séduisante. Une manne pour les maitres à penser. J'ai quand même du mal à faire le lien de cette morale avec le Marc Aurèle de mon livre d'histoire, un empereur qui s'est illustré par la violence de sa lutte contre les Germains figurant sur la colonne à sa gloire à Rome, et par son massacre des chrétiens, notamment dans la région lyonnaise où périt sainte Blandine. Alors, vraies convictions ou marketing politique avant l'heure. Je soupçonne que malgré son image d'empereur philosophe, il y a des deux. Son image était d'ailleurs partout dans l'Empire et il fut, selon la tradition élevé au rang de dieu à sa mort. Bouddha, malgré son origine princière, était un gourou plus humble.
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La fierté des soeurs Cynster, tome 1 : Audaci..

Une romance où tous les éléments sont réunis pour satisfaire les amoureux des histoires d'amour : un voyage dans le temps, entre l'Angleterre et l'Écosse, un récit avec des lairds, des comtes et comtesses, un homme qui sauve une jeune femme. Et pourtant, l'histoire ne convainc pas sur tous les points :

Le récit de l'enlèvement avec certains points qui ne semblent pas crédibles.

Certains passages sont longs notamment les scènes intimes qui paraissent "tirées par les cheveux" dans le sens où elles ne sont pas assez réalistes et répétitives.

Malgré cela, la lecture est appréciable sur le développement de l'histoire d'amour entre les deux protagonistes et la découverte progressive de la vie du Laird écossais.
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Les Coeurs silencieux

Que feriez-vous si vous n’étiez plus maître de votre corps?
Que vous ne puissiez plus bouger, plus vous exprimer alors que vous observez tout ce qu’il se passe autour de vous sans interagir?
Cela peut arriver à n’importe qui et n’importe quand.

Et se sentir prisonnier dans un corps qui refuse de fonctionner correctement, c’est ce que PEDRO DA SILVA, 68 ans, va vivre dans ce roman de SOPHIE TAL MEN.

Jeune retraité pourtant très actif, PEDRO est victime d’un AVC dans l’entrée de son immeuble.
Pris en charge rapidement par les services de secours, ce dernier ne comprend pas ce qu’il se passe, lui qui estime à la vie saine et sans accros.
Enfin, si, il a des accrocs au cœur et à l’âme.
Il possède des parts d’ombre, surtout au sujet de ses enfants.

PEDRO a quitté sa compagne ADELINE et ses deux fils, TOMÀS et TIAGO, il y a plus de 20 ans maintenant. Il a fui pour des raisons qui le taraudent encore et encore plus depuis son AVC.
Après son départ, PEDRO a rencontré VÉRONIQUE une cadre à l’hôpital de Brest.
Une femme de caractère et mère de la petite Sarah.
Fille que Pedro va prendre sous son aile et l’élever comme si c’était sa propre enfant.

PEDRO comprend que son AVC lui a ôté la possibilité de parler.
Les mots ne sortent plus de sa bouche.
Comme ils ne sortaient plus vraiment de son cœur depuis des années à renier ce qu’il avait fait et à se demander pourquoi il n’avait jamais fait le premier pas vers ses fils.

L’envie d’aller de l’avant va le gagner.
Il voudrait leur parler, du moins, exprimer ses regrets et ses pourquoi.
Et c’est grâce à SARAH, qui l’aide durant sa convalescence, que PEDRO va entamer un chemin vers la rédemption et vers l’amour qu’il a toujours eu pour ses fils.

SARAH va devenir son messager vers les personnes que PEDRO a voulu effacer de son passé.
Elle, qui a connu aussi des déboires et qui, à plus de trente ans, a une vie décousue et complétement vouée à son travail d’infirmière.

Entre la Bretagne et le Portugal, Sarah va tenter de renouer PEDRO avec les liens de son ancienne vie, tout en découvrant de son côté une possible nouvelle vie.

Comment vont réagir les fils de PEDRO à l’arrivée de SARAH?
Vont-ils revoir leur père?
PEDRO recouvra-t-il la parole et exprimer tout ce qu’il a sur le cœur?

SOPHIE TAL MEN nous offre avec ce roman un magnifique et tendre récit “choral”, peuplé de personnages attachants, au passé difficile pour certains.

Avec un style léger, elle arrive à aborder en douceur des thématiques difficiles comme l’abandon d’un parent, la fuite par peur de responsabilités et l’incapacité à exprimer ses émotions.
La destructrice force des non-dits et des silences est donc un thème récurrent dans le livre.
Elle parle aussi de la peur de l’handicap, de la recherche de reconnaissance et de l’absence d’affection. Sans oublier le lourd héritage du passé.
Et ce, sans tomber dans le larmoyant et le pathos, ce qui est pour moi une qualité.
Exprimer le négatif sans trop le signaler est la marque d’une excellente autrice.

L’écriture est limpide, sans lourdeur, non dénuée de poésie et d’humour.
Le rythme est correct et l’envie de tourner les pages vient facilement.

Les personnages principaux sont bien abordés psychologiquement.
Comme cité plus haut, ils sont pour la plupart attachants et on ressent énormément d’empathie pour nos protagonistes.
Dont TIAGO et SARAH qui ressortent du lot pour ma part.

LES COEURS SILENCIEUX est mon premier roman de cette autrice et il m’a beaucoup plu.

On réfléchit, on s’étonne, on pleure, on compatit, on comprend, on rit, on sourit, on voyage, on poétise, on pense, on avance.
Toute une kyrielle de choses que j’ai cru ressentir durant ma lecture.
Ce qui me l’a rendue encore plus intéressante.

Pour terminer, je dirais que s’exprimer, avancer et ne rien regretter seraient les idées que je retiendrai de ce superbe roman de SOPHIE TAL MEN.
Autrice que je suivrai désormais de près, mais aussi dont je lirai les œuvres précédentes.
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