K.F. Breene

Le fait que ce soit une réécriture de la Belle et la Bête, sans parler du résumé et de l'autrice… tout était là pour que j'aie envie de lire cette histoire. Et puis, je dois dire que la couverture est vraiment superbe. Je suis donc partie confiance, assurée que cette histoire allait me plaire et me ravir le coeur.



Je ne vais pas tourner autour du pot, je suis totalement passé à côté de cette histoire. Je suis même super déçue de ne pas avoir su aimer le style. Par certains aspects, La Malédiction des Roses m'a rappelé le premier tome de Rejetée par l'Alpha de Jaymin Eve même si ici notre héroïne n'est pas rejetée et que c'est elle qui rejette celui qui veut l'épouser (un Gaston de pacotille dont j'ai oublié le prénom). Suite à une malédiction, les métamorphes ne peuvent plus se transformer et sont victimes d'une maladie qui les tue à petit feu. Finley notre héroïne, arrive, grâce à une plante qui ne pousse que sur le territoire de celui qu'on appelle la Bête, à repousser l'inévitable. Mais un jour, la jeune femme n'a d'autre choix (pour sauver les siens) que de partir de son plein gré chez la Bête qui réclame réparation pour le vol qu'elle a commis. Là-bas, elle se retrouve emprisonnée dans le palais du monstre.



En toute franchise, même si ça sent le réchauffé et que c'est long à démarrer, jusque-là, tout va bien. Sauf que… ça dérape une fois Finley arrivée au château. À partir de là, tout part en vrille et on tombe carrément dans du porno ou les scènes graphiques et la vulgarité s'y côtoient en bonnes copines ! Parce que dans ce château vit des démons, des incubes, qui prennent un malin plaisir à se servir de leur pouvoir sur les résidents qui ne peuvent s'échapper sous peine de se retrouver victimes à leur tour du même mal qui tue les métamorphes en dehors du territoire de la Bête nommée Nyfain.



Il y avait matière à ce que ça me plaise, l'univers sombre est très plaisant, mais le trop plein de scènes épicées m'a perdu et j'admets que le langage utilisé par les personnages m'a vraiment refroidie. Je n'ai pas du tout adhéré au style du coup. L'autrice, au début de l'histoire, dit qu'elle a écrit La Malédiction des roses en se lâchant carrément. Oui, c'est clair qu'elle n'a pris aucun filtre et que le côté spicy annihile tout le reste. On est clairement sur du SMUT, un bon Plot, What Plot? dans toutes les règles de l'art. En général, ça peut me plaire, mais pas quand ça devient vulgaire comme ici.



Je pense sans doute ne pas être le public cible pour ce genre là et si vous aimez ce style, alors il vous conviendra bien mieux qu'à moi. Pour ma part, je m'arrête à ce tome.
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Manoir magique et petit tracas Tome 1 : Une touche de Magie de K.F. Breene



Une urban fantasy avec une héroïne qui a la quarantaine, je dis oui ! On va suivre Jacinta, femme tout récemment divorcée et dont le fils part à l'université. Elle cherche un nouveau but dans sa vie qui vient de changer radicalement, quand sa meilleure amie lui propose d'aller surveiller une maison dont elle avait passé des vacances superbes étant petite : elle saute sur l'occasion, c'est un nouveau départ.



Métamorphe, vampire, dialogues poilants j'ai adoré ce roman léger, déjanté, c'est une urban fantasy originale.



La ville où Jess va atterrir est étrange, petite ; les gens se connaissent tous, la dévisagent, l'ambiance est vraiment bizarre et curieuse.



Jacinta est mature et ne passe pas par quatre chemins pour s'exprimer et dire ce qu'elle veut et ne veut pas. Elle est libre et veut prendre le temps de s'apprécier et de découvrir les joies du célibat. C'est très agréable de suivre une femme avec du caractère.

Ses acolytes vont être Earl, un vieux majordome, Edgar, un jardinier sans âge et une voisine qui ne mâche pas ses mots et qui semble un peu hystérique, son passe temps favori semble être le tir de cailloux sur les voisins !

Leurs échanges sont magiques et hilarants.

J'ai aimé le personnage fort d'Austin Steele, le bad boy, protecteur de cette petite ville qui tient un bar.



Les pointes de magie sont distillées par petites touches dans le roman car Jessie ne connait rien à celle ci et ne sait pas qu'elle existe.

La maison est très énigmatique, un peu glauque dans un premier temps ; une salle remplie de poupées, un grenier débordant d'armes … Notre héroïne est courageuse de dormir dans cette grande bâtisse qui fait un peu peur au premier abord. Au fil de notre lecture on va découvrir les pièces mystérieuses et les passages secrets qu'elle cache, et la maison se fera plus confortable.

J'ai hâte d'en apprendre d'avantage sur celle ci lors du prochain tome. La magie qu'elle recèle aussi m'intéresse fortement et je veux en savoir plus !



C'est un récit agréable à découvrir où j'ai pouffé de rire à plusieurs reprises avec notre équipe de vieillards, il y a beaucoup d'humour et les pages défilent toutes seules. Un roman rafraichissant.



Je remercie NetGalley et les éditions Bookmark pour ce service de presse.

Après ma déception avec sa romantasy, j’avais très envie de lire la nouvelle série d’urban fantasy de K.F. Breene. Autant vous le dire d’emblée : j’ai eu autant un coup de cœur pour l’héroïne que pour l’univers et l’histoire ! C’est juste magique !



Déjà, Jacinta, l’héroïne est une quarantenaire fraichement divorcée qui va de voir s’inventer une nouvelle vie. Ces pas, le destin, et surtout sa meilleure amie, la pousse à devenir la gardienne d’un vieux manoir dans une ville reculée des états unis ! Déjà le pitch de départ me plaisait bien, mais dès que Jessie arrive dans ce fameux manoir… Mamamia ! J’ai eu du mal à lâcher le livre. J’ai vraiment tout aimé dedans ! Que ce soit l’ambiance inquiétante de la maison, Ivy Manor, les personnages secondaires, ou bien encore le héros à venir qui est juste caliente à souhait.



Tout prend son temps ici. Comme nous, Jessie découvre les lieux, et surtout les secrets que renferme la ville et bien sûr, cette vieille maison qui semble hantée. Si on frissonne un peu de peur, on rigole également beaucoup avec un panel de personnages aussi truculents que sympathiques. Je pense au vieux majordome, Earl, ou encore le jardinier, Edgar, et bien évidemment, la vielle voisine, un peu folle à lier sur les bords. Jessie pense être tombée dans un drôle d’endroit, mais ces faits, loin de lui faire peur, l’intrigue encore plus.



Le côté surnaturel, la magie, tout arrive progressivement. Tout le monde cache des secrets et encore plus Austin Steele, le propriétaire du bar qui fait figure d’autorité sur la ville. Austin est un héros dont j’ai aimé faire connaissance. On sent tout de suite son attirance pour notre quadra préférée, mais autant l’un que l’autre, chacun agit avec prudence et reste sur ses gardes, à raison.



C’est un excellent premier tome qui pose les bases d’une série qui promet d’être palpitante avec des personnages très bien travaillés et réalistes. Le thème premier, au-delà du fantastique, est l’âge et la vieillesse qui revient de manière récurrente au fil de l’intrigue. Nos héros ne sont pas tout jeunes, tout comme les personnages secondaires et ils nous le font bien savoir. Mais loin de rebuter, j’ai trouvé cette manière d’aborder les choses très bien construites.



Concernant le côté romantique, nous sommes sur une romance qui va prendre son temps. Un slow burn qui promet de durer a priori. J’aime ça, parce que chaque petit rapprochement amical, chaque conversation entre les héros, ça m’a donné des papillons dans le ventre.



Si vous recherchez une histoire palpitante qui vous tienne en haleine du début à la fin, intelligemment bien menée et amenée, des héros matures et pleins de dérision, bien travaillés et un entourage drôle à souhait… bref, il faut que vous découvriez ce roman ! Ce n’est que le premier tome et c’est un joli coup de cœur pour moi. Je suis tellement impatiente de découvrir la suite des aventures de nos nouveaux amis ! Ça, c’est du K. F. Breene comme je l’aime !
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Ne te fais pas avoir par l’objet livre l’édition collector qui est très belle car il y a tromperie, on n’est pas sur une jolie petite romantasy, si Hades & Persephone t’a choqué par les scènes de smuts à répétition, accroches toi car il y a que ça et dans le délire très très SALE 🤢

Dans tout les cas vous êtes sur un broché à 19,99€ pour 268 pages, et une saga de 4 tomes, désolé mais j’ai vraiment eu l’impression de me faire avoir 😫 ça me gonfle un peu ce genre de saga a plusieurs tomes alors qu’il y a de quoi faire 2 tomes de 480 pages pour le même prix .



🔞🔞 Ici on est sur un conte de la Belle et la bête en mode porno , luxure, sodomie et orgie.



Si on saute les passages c’est une très bonne histoire, très bien revisitée .



Le début j’ai ADORÉ !

Finley ramasse ,de nuit dans la forêt interdite où rôdent la Bête et autres créatures démoniaques, une plante pour faire un élixir qui permet de ralentir les effets de la malédiction sur les habitants du village. Nous avons un passage de course poursuite très angoissant à la fois horrifique .

Finley a beaucoup de répartie ce qui est très drôle . C’est très original l’idée de métamorphe , que dans chaque individu sommeille un animal dont la malédiction empêche le développement. Il y a beaucoup de potentiels sûrement plus développés dans le tome 2 .



C’est vraiment dommage qu’il y est une présence sexuelle très bestiale tout le long du récit . Ça casse l’ambiance et c’est tellement pas utile .



Je lirai sûrement le tome 2 en ebook .

Déjà, je souhaite vivement remercier les éditions Bookmark et NetGalley pour ce Service Press et pour leur confiance.



Jessie n’est pas le genre de protagoniste que l’on a souvent dans les livres, car elle a 40 ans. Et je dois dire que c’est ce qui m’a motivé à lire cette histoire !



C’est une femme qui a déjà du vécu et qui décide de reprendre sa vie en main suite à son divorce et au départ de son fils. C’est un personnage que j’ai apprécié, car ce n’est pas une jeune fille frêle et sans défense.



Il y a plusieurs personnages qui gravitent autour d’elle et de la maison où elle va maintenant vivre. J’ai été très intrigué par eux, car là aussi, ils sortent du cadre habituel. Entre le vieux majordome un peu étrange, la voisine dérangée, le jardinier suspect et le beau barman que tout le monde semble traiter comme un chef, on ressent un vent de fraîcheur.



Même au niveau des créatures surnaturelles il y a de nombreuses choses qu’on ne voit pas ailleurs. Alors, certes, il y a un vampire qui reste assez classique, mais à côté, on a des gargouilles ou encore des métamorphes qui ne sont pas des loups ou des félins !



C’était donc une très bonne découverte pour ma part. Pas parfaite, car parfois, j’ai trouvé que Jessie avait des réactions qui ne collent pas avec son âge, mais ça m’a fait du bien de lire une histoire qui change un peu de ce que l’on connaît habituellement !
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Fraîchement divorcée, après 20 ans de mariage, Jessie veut changer de vie. Elle accepte un poste de gardienne d'un manoir. A son arrivée, elle rencontre le vieux majordome qui s'occupe de la maison et une voisine qui l'a prend sous son aile. Mais la véritable nature de la maison va bousculer sa vie...

Je suis passée à côté de ce roman. Pourtant, le résumé m'intriguait, une maison magique, des vampires, il y avait de bonnes promesses. La mise en place prend du temps, on reste dans le flou de cette ville, de ses habitants et de cette maison trop longtemps. C'est brouillon. Et ce qui m'a achevée, ce sont les répétitions. Au lieu de nous expliquer cet univers (qui a du potentiel), on nous redit toujours la même chose. Je n'ai pas compté combien de fois on a le mot quarantenaire mais j'ai fait une overdose. Jessie a 40 ans, très bien, mais ce n'est pas ça qui m'intéresse. Je veux en savoir plus sur l'aspect magique. Je ne me suis pas attachée aux personnages. 

En bref, l'univers a du potentiel mais je n'ai pas accroché à l'histoire, à la plume. je ne lirai pas la suite. 

Spin off de Reagan Sommerset on retrouve ce qui faisait le charme du premier opus de la série originale. De l'humour, de la magie , du slow Burn et des personnages bien écrits.

Une mention spéciale pour Penny et ses jurons et sa mère et son fort caractère.

J'espère que par la suite Mme Bristol et Callie vont se rencontrer car ça promet des échanges savoureux.

Une fin qui me laisse un peu sur ma faim.

L'humour est bien présent, les dialogues sont souvent percutants et Reagan a muri même si elle est toujours aussi borderline.

C'est rythmé, il y a des rebondissements mais je trouve qu'il y aurait eu matière à développer.

L'auteur se laisse la possibilité d'y revenir un jour je pense.

On va pas se mentir, la couverture m'a tout de suite attiré ! Et puis quand j'ai compris qu'il s'agissait d'une réécriture de La Belle et la Bête... je me suis dit que c'était le combo gagnant !



Finley est une jeune femme qui vit dans un village maudit. Chaque année des personnes meurent d'une maladie mystérieuse qui est présente depuis que le roi a conclu un accord avec des démons. Elle est la seule à avoir trouvée la manière de ralentir le mal qui atteint son village... c'est lors d'une de ses récoltes de plantes qu'elle tombe sur la bête qui hante la forêt maudite : Nyfain.



Il y a un côté conte que j'attendais de cette histoire mais le langage très cru utilisé beaucoup trop souvent par...tout le monde, l'héroïne, les personnages secondaires, me sortait de ma lecture !

Il est indéniable que Finley n'est pas le genre princesse en détresse et se défend très bien... mais je pense qu'il n'était pas nécessaire d'ajouter ce côté cru à son langage.

Un autre point (et j'avoue que c'est minime mais ça m'a un peu dérangé) : j'avais l'impression qu'on était dans un univers fantastique... et il y a mention d'un jean porté par Nyfain.



J'étais perdue au final ! Monde fantastique ? Ou pas ? En tout cas pas de doute il s'agit bien d'une réécriture du conte La Belle et la Bête ! Et je trouve l'objet livre magique !



J'ai bien aimé l'idée de cette malédiction due à un pacte avec des démons. L'aspect décadent de ces mêmes démons également (même si encore une fois trop de vulgarité dans la façon de s'exprimer des personnages selon moi) ou encore la présence de métamorphes.



Je lis de la romance en tout genre depuis un moment. Ça m'est déjà arrivée que des héros soient plus ou moins "vulgaires"

Mais là on est à un niveau de vulgarité qui m'a énormément dérangé. Ça m'a complètement sorti de l'histoire et c'est dommage parce que j'aimais bien la mécanique !



J'ai bien envie de lire la suite pour connaître le fin mot de l'histoire mais j'hésite énormément à cause du langage cru...

Une urban fantasy qui change car les personnages sont plus âgés que ce que l'on trouve habituellement.

En effet ce sont ici des quadragénaires ( en non pas des quarantenaires comme c'est dit au moins 10 fois,un quarantenaire célébrant une date anniversaire!!!!)

Jessie vient de divorcer, son fils est parti à l'université , du coup retour chez papa et maman. La cohabitation n'est pas aisée aussi quand sa meilleure amie lui propose un poste de gardienne dans une vieille demeure familiale , Jessie saute sur l'occasion surtout qu'elle y a de super souvenirs de vacances enfant.

Mais ce n'est pas une simple maison, entre un majordome flippant, une voisine irascible et un jardinier tordu, sa prise de poste n'est pas de tout repos. Si on ajoute à cela un patron de pub trop charmant pour son bien la vie de Jessie va prendre un tournant inattendu.

J'ai aimé que les personnages soient plus matures, ils savent ce qu'ils veulent et ne veulent plus. Ils abordent les relations avec moins d'attente et plus d'exigence , leurs meurtrissures sont celles de la vie et cela donne un peu plus de profondeurs.

Et puis la maison est géniale!

Lecture terminée "une touche de magie "



Une lecture rafraîchissante,  car pour un Urban Fantasy j'ai étais surprise.



Il est UF car ça se passe aux Étais Unis,  et qu'il y a de la magie et des surnaturels, au delà de ça nous n'avons pas le rythme des UF ordinaires, c'est plus cosy fantasy



Dans ce roman. Ce qui fait sa force se sont ses personnages, j'ai adoré suivre Jessie cette quarantenaire divorcée de peu, qui veux découvrir la vie de femme libre, elle est drôle et touchante, et surtout proche de nous elle ses défauts que la vie de femme lui ont apporté, elle est un peu timbrée et sensible (elle pleure un peu facilement)

!

Elle va rencontrer les habitants de O'Brien pas ordinaires voir cinglés aux yeux d'une non surnaturels. Mon préféré  est Earl, je l'adore, majordome qui porte une cape et ne fait pas de bruit quand il se déplace.



Elle se voit confier une maison , qu'elle a connu dans son enfance, entourée de mystère.



Sauf que .... la magie  est partout sans qu'elle le sache. Mais son destin va la mettre en plein dedans. Elle sera guidée par un majordome un peu spécial, une voisine qui jette des cailloux, un jardinier au dents jaunes et un barman sexy a l'aura  d'un alpha.



Ce que j'ai aimé,  c'est l'humour tellement naturel et puis le fait que Jessie réagisse assez normalement (c'est à dire en prenant tout le monde pour des frappés  sans penser une fois à la magie).



Niveau romance ça tâtonne mais rien de concret.



Bref un bonne lecture, différente dans le genre, à voir la suite...

Lecture mitigée de mon côté, je vous note les raisons juste en dessous 🤫



SES POINTS FORTS :

- Héroïne marrante

- Scènes de sexe entre les 2 persos qui sont bien écrites (mais pas assez romantisées)

- Le relié est sublime !

- Le cran de Finley

- Humour ++ (les réflexions mentales de Finley et ses convs avec son animale >>>)

- Le lien de Finley et sa famille

- Les réfs à "La Belle et La Bête"



SES POINTS FAIBLES :

- Trop vulgaire dans les mots utilisés, ça détruit le charme de l'histoire

- Livre trop court

- Plusieurs coquilles dans le livre + illu du relié qui a des traits de pinceaux oubliés (trop dommage)



Mais vraiment la vulgarité a quand même un peu tué ma lecture 🥹

Malgré quelques passages bien "olé olé", dont je ne raffole absolument pas, j'ai adoré la construction de ce récit et l'intensité de la relation entre les personnages principaux. Cette petite touche du conte de La Belle et la Bête (sans aucun doute mon conte préféré), est remarquablement exploitée, et a fait de ce roman un vrai page-turner pour moi, me faisant oublier les parties consacrées au sexe, que j'ai littéralement sautées (ceci dit, je ne suis pas la seule à avoir sauté quelque chose, ou quelqu'un dans ce roman)... 🤣

Petit point à noter : une bonne dose d'humour s'est infiltrée dans le récit, un vrai régal. Bref, même si je ne suis pas fan de l'intégralité de cette dark romance, je serai sans conteste au rendez-vous du tome 2 !

Finley doit s'aventurer dans la forêt interdite pour cueillir les ingrédients nécessaires à ses remèdes. Mais la Bête qui veille sur ces terres finit par la capturer. Elle se retrouve prisonnière dans un château sous le joug des démons. Une revisite de la Belle et la Bête.



J'ai cédé aux chants des sirènes à force de voir ce roman partout. L'histoire n'est pas mal, bien que par moment cela manque de développement. Le but est de faire un roman spicy et par moment l'auteure est allée à la facilité.

L'intrigue autour de cette malédiction, du prince dragon et du roi des démons n'est pas mauvaise et après avoir terminé ce premier tome, j'ai envie de lire la suite. Mais je ne pense pas que ce roman mérite cette mise en avant. Oui, l'objet livre est beau mais je n'achète pas un livre pour son aspect. De plus, le livre est assez court. J'aurai préféré qu'il y ait moins de tomes, avec des romans plus denses pour ce prix.



En bref, cette revisite de la Belle et la Bête est intéressante et je lirai la suite, mais ce n'est pas une lecture qui me marquera.

Attention : livre a contenu pornographique, le contenu est ADULTE et AVERTI. C’est noté en 4e de couverture, il y a des TW dans le roman, mais autant le savoir ! Le langage est cru et volontairement vulgaire.



Voici l’avis du cœur : j’ai a-d-o-r-é. Pourtant ce n’est PAS DU TOUT mon genre de lecture, loin de là. Mais alors franchement… j’ai kiffé comme une ado. C’était ultra prenant et addictif. C’est barré, faut le lire au moins au deuxième degré, mais c’est que du bonheur avec ce léger recul.



Voici l’avis argumenté : il y a autant de défauts que de qualités. Je vais commencer par le négatif, comme ça c’est fait et on en parle plus… et c’est simple: la traduction est parfois vraiment approximative et floue. Il y a des expressions que je n’ai pas comprises même pendant les scènes spicy. Or, non, en toute logique, c’est pas vraiment le moment où je suis censée ne pas comprendre. L’exemple le plus parlant : « Tu m’envoyais avec tes doigts » (en réponse à la question « qu’est-ce que je te faisais dans ton rêve? »). Je ne saisis pas très bien à quel moment on a pu penser que c’était une bonne traduction. J’imagine que c’était pour éviter le verbe peu élégant très évident… mais ça n’en demeure pas moins incorrect. Et malheureusement, il y avait pas mal de phrases et tournures inadéquates. Cela a rendu certains passages assez obscurs, donnant presque l’impression de passer du coq à l’âne. Dommage…



Notons aussi qu’il y a quelques coquilles voire carrément des fautes qui piquent les yeux. Nouvel exemple très parlant : (…) je le bousculais ou l’envoyer promener (au lieu de « l’envoyais », donc)… et j’avoue que ca pique sévèrement les yeux surtout dans une édition collector à 28,10€ en Belgique.



Évidemment, si je note ce roman à 3 étoiles, c’est quand même que j’ai réussi à lui trouver d’excellentes qualités et que ces défauts, bien que facilement remarquables, ne m’ont pas non plus handicapée dans ma lecture au point de la gâcher.



Déjà parce que l’héroïne est ultra drôle. Elle se fait des films toute seule dans sa tête, elle a des réflexions bien lourdes, par exemple « on se bouge les ovaires » qui me correspondent à 100%, elle est forte et indépendante et ne se laisse pas marcher sur les pieds par La bête (son ravisseur, donc) ni personne. Même quand elle a peur, elle fait face et c’était bien chouette de lire une héroïne un peu badass mais pas trop. Je l’ai trouvée très crédible, très moderne. Évidemment, vu le contexte, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’elle soit prude et j’ai aimé la façon dont elle réagissait à tous ces éléments très sexualisés qui l’entouraient sans totalement les banaliser. Bref, Finley, je t’aime.



Pas autant que Nyfain, par contre, aka La bête, Le Prince, « l’empêcheur de baiser en rond » comme très drôlement qualifié par notre héroïne. Il est couvert de cicatrices, tatoué, c’est vraiment le mâle alpha basique protecteur et dominateur… mais ça fonctionne grâce à l’univers construit. Je l’ai trouvé sexy à mourir alors même que n’importe quel autre livre m’aurait fait lever les yeux au ciel voire grimacer. Le roman m’a été vanté, après achat, comme une dark romance… mais j’avoue ne pas être tout à fait d’accord. Nyfain n’est pas un foutu psychopathe qui n’a aucune notion de consentement ni de respect. Il est acariâtre, renfermé, il a l’impression que tout lui est dû… oui, bien sûr. Il n’empêche qu’il est protecteur et qu’il met un point d’honneur à respecter les choix de Finley (malgré leurs bêtes à tous les deux qui n’attendent que de pondre une marmailles de petits) et a la faire réfléchir. Bref, je veux bien être sa prisonnière, une fois n’est pas coutume. Juste on laisse de côté l’univers rempli de démons tarés aux kinks chelous. Nyfain et moi dans un beau jardin, c’est bien plus alléchant !



Les persos secondaires offrent un paysage cocasse. Ils gagneraient a être davantage développés… mais c’est une romance paranormale, pas une urban fantasy compliquée alors ça ne me dérange pas outre mesure non plus. Tant qu’ils font des coucous de temps en temps et me donnent le sourire, ça me va !



Team slowburn et enemies-to-lovers seront contents : le roman n’entame pas directement l’histoire avec La Bête et, perso, j’ai adoré ça. Le roman est réputé spicy, mais là encore, nos protagonistes mettent du temps avant de passer à la casserole, ils se mettent bien sur la trogne avant tout. Il y a une dualité entre eux et leurs animaux intérieurs qui marche très bien, amenant ce qu’il faut de piment et ce qu’il faut de crédibilité dans le changement de relation.



Bref, mon pavé César se termine pour vous dire : foncez avec mille degrés, vous allez rire et kiffer !

Un univers où Seattle est gouvernée par La Guilde des Mages, très corrompue, qui tue régulièrement soit par "intérêt" soit parce qu'ils se sentent menacés. Néanmoins, les métamorphes qui s'occupent des meutres magiques et les vampires, les pro des informations, n'entretiennent pas de très bon rapports. Sans oublier que ceux qui s'opposent à la Guilde, meurent.

Penny Bristol est une jeune femme qui se doute détenir de la magie, mais sa mère l'empêche d'approfondir, elle la pousse même à renier ses capacités. Néanmoins, à 24ans, les choses changent et ses dons prennent une nouvelle tournures. Tout ce qu'elle découvre elle le prend avec facilité et fait preuve de courage face aux assaillants.

Emery est un jeune homme plein de colère et de doute. Son deuil entache sa perception des choses, même s'il parvient entendre ce que les autres lui disent. Il a de nombreux alliés, même s'il doute de son intégrité. Sa rencontre avec Penny change bien des choses, mais il s'adapte.

La romance est un slow burn, malgré une attirance immédiate. Penny n'y connaît pas grand chose et avec le contexte ce n'est pas la priorité. Pour autant, plusieurs scènes attestent du début de relation.

Ce premier tome introduit l'univers avec pédagogie et lenteur. Tout le premier tiers est vraiment marqué par des descriptions assez peu d'évènements donc j'ai eu du mal à entrer dedans. Néanmoins j'ai bien fais de persévérer parce que plus on avance plus on découvre les intrigues, l'univers et les personnages. Je dirai que c'est une urban fantasy avec le côté magie bien réfléchi ainsi que la hiérarchie au sein de tous les groupes de créatures magiques. Le dernier tiers est très rythme et de qualité. Vu la fin du premier tome, j'espère que la suite ne tardera pas trop.

Je suis perplexe et frustré...

J'ai aimé et en même temps je n'ai pas aimé... ( Vous allez me dire elle est pas logique la fille ! Tu m'étonnes 😂)



J'ai beaucoup aimé le personnage Reagan Somerset, son pouvoir mystérieux, son caractère fort et son humour un brin dérangé lol, en revanche j'ai pas trop apprécié le duo Darius / Reagan... Je ne sais pas pourquoi... Et c'est ce qui me frustre le plus...



L'enquête en soit du mage surpuissant était bien mené... Les divers personnages secondaires sont sympas...

Vlad est un mystère...



J'ai pas du être à fond dans cette histoire pour l'apprécier à sa juste valeur...

Vais je lire la suite ? Oui je pense mais peut être pas de suite...

En début d'année je me plongeais dans Reagan Somerset, une chasseuse de prime basée à la Nouvelle-Orléans. Un premier tome qui donnait le ton, entre vampires, lycans et mages en tout genre, notre héroïne ne manquait jamais une occasion de mener à bien une mission, pourvue que la récompense soit élevée. Mais une chose en entrainant une autre, Reagan s'est attirée l'intérêt de bon nombre d'individus puissants et notamment un ancien vampire du nom de Darius, qui lui colle aux basques depuis. De multiples meurtres particulièrement sordides ont lieu et Reagan se voit envoyé en mission à Seattle en compagnie du couple de mages et de Darius pour contrer un puissant démon.



Comme pour le premier tome, on se plonge assez facilement dans l'histoire. Reagan n'a toujours pas sa langue dans sa poche et cela met de suite une petite ambiance. L'humour est donc bien présent et sans doute parfois un peu trop, dans le sens où cela casse le côté dangereux de l'affaire. J'ai trouvé qu'on ne ressentait pas forcément la pression montée comme dans le premier tome. Reagan a une tendance à n'en faire qu'à sa tête et quelques fois, cela peut donner envie de la secouer. Mais malgré tout, elle reste attachante et se rend compte que l'ouvrir à tord et à travers n'est pas forcément la chose à faire et saura prendre du recul là-dessus au fur et à mesure. Fort heureusement, elle peut compter sur des alliés de taille, et notamment Callie et Dizzy, les deux mages rencontrés dans le premier tome mais également Darius, vampire ô combien protecteur qui semble plus que désarçonné par Reagan.



La romance n'est pas ultra présente. Comme dans le premier tome, elle est plutôt au second plan, ce que j'apprécie assez. Cela évite de tomber dans des scènes spicy à répétition histoire de remplir l'histoire. Non, ici, on ne tombe absolument pas dans l'excès, et ce, malgré la tension qui s'installe entre nos deux héros. Après tout, Darius est un vampire et cela va de paire avec sa nature. J'ai apprécié cette évolution du couple et la réserve de Reagan. Pour autant, j'ai trouvé qu'elle manquait parfois un peu de maturité. Mais bon, Darius a une patience à toute épreuve et saura se montrer à la hauteur.



Côté enquête et intrigue, nous voilà entre la Nouvelle-Orléans et Seattle. Une enquête qui met un peu plus l'accent sur les démons et celui qui sévit derrière tout ça. Le mystère reste encore entier et j'apprécie cela. On avance doucement mais surement dans cette affaire et quelques masques tombent. Comme pour le premier tome, j'aime aussi également les acolytes de Reagan que ce soit le couple Callie et Dizzy (drôles à souhait) ou ses voisins pas comme les autres. Je trouve que cela ajoute un côté humain assez intéressant dans le sens où Reagan est assez solitaire mais est consciente que ces voisins sont une sorte de relation amicale pour elle tout en l'aidant à garder un œil sur sa maison et l'affaire en cours. Des indiques de taille !



En conclusion j'ai apprécié la suite des aventures de Reagan Somerset. L'héroïne est fidèle à elle-même, l'intrigue tient toujours en haleine et la romance s'installe doucement mais surement. Je ressors malgré tout un peu moins convaincue que le premier tome. C'était très chouette et j'ai hâte de connaître l'issue, mais j'ai trouvé certains éléments pas assez approfondis. Cela reste bon et franchement prenant mais pas sans quelques défauts. Dans l'ensemble, j'ai préféré le premier tome à celui-ci mais, c'est très, très souvent le cas avec moi donc on verra si le troisième tome tient ses promesses !
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Une bête - une malédiction -une femme retenue captive - oui nous sommes bien dans une revisite du conte de "la Belle et la Bête" mais ici il est question d'un demon king, de shifters qui peuvent se changer en animaux mais qui ont perdu leurs pouvoirs avec la malédiction et d'une maladie qui tue les adultes à petit feu.



Finley se bat pour maintenir sa famille en vie et pour aider son village. Sa connaissance des herbes et plantes ont permis de retarder les effets de la maladie et de préparer différents remèdes.

Lorsque la bête l'enlève, elle se retrouve face à Nyfain, un dragon shifter qui a perdu ses ailes. Son château est envahi de démons et de scènes de débauche.



Peuvent-ils sauver le royaume condamné à disparaitre?



Bon, ce roman passe ne casse pas trois pattes à un canard. J'ai aimé la revisite d'un conte connu mais j'ai eu du mal avec le vocabulaire simple et trop "familier" tout comme avec les scènes "hot" que j'ai trouvé parfois trop vulgaire dans la manière dont elles sont amenées.



Les héros ont une relation très superficielle. Je n'ai pas eu l'impression qu'ils apprennent à se connaitre. On reste sur de l'attirance.

J'aurais aimé en apprendre plus sur l'histoire de ce royaume, de Nyfain, des shifters, ...

Un peu de profondeur dans l'intrigue, les sentiments, ...



Je ne pense pas continuer cette saga car il m'aura manqué beaucoup d'ingrédient pour que la sauce prenne.

J'avais apprécié le premier tome, j'avais un peu peur ne pas pas retrouver dans ce second ce qui m'avait plû.

Mais non , on y retrouve bien l'humour et l'action.

Une Urban Fantasy comme je les aime! Le shéma est classique mais l'origine de Reagan fait l'originalité.

Dans ce 2ieme opus , on découvre une Reagan moins sûre d'elle même, en proie à des peurs et des doutes et j'ai apprécié cette part d'elle.