Citations de K.F. Breene (62)
« — À mes yeux, tu es d’une beauté incroyable, et pas seulement pour ton apparence ou ton physique. Ta beauté va jusqu’à ton âme. Tu es tellement honnête sur qui tu es, tellement libre dans tes pensées et tes émotions. Quand j’étais enfant, tout le monde autour de moi était si réservé et si froid. Mais toi… tu as cette lumière divine en toi, une bonté et une honnêteté pures. »
Lève-toi et récupère ce qui t'est dû
Quant à l'énorme différence d'âge, qui étais-je pour juger ? Si une femme voulait profiter d'un coup d'un soir avec un jeune, aussi ridicule que cela puisse sembler, qui étais-je pour critiquer ? Je n'aimais pas me sentir jugée, par conséquent je m'abstenais de juger les autres.
Ce genre de gars sortaient avec des mannequins qui prenaient soin d'elles, portaient de jolis habits et n'oubliaient pas de se brosser les cheveux avant de sortir. Je n'avais aucune énergie pour toutes ces choses. Quand je portais un soutien-gorge, c'était un exploit.
« Un jour, tu verras une fissure dans ta cage, et tu t’enfuiras. »
Si ta bouche continue de faire la maline, je serai obligé de la baiser.
« Je mordillai ma lèvre inférieure.
— Et si l’on n’est pas sûr de… ce que l’on est ?
— Tu es sûre de toi, affirma Austin.
Même si les autres étaient juste là, il semblait avoir prononcé ces mots pour moi seule.
— Tu sais qui tu es et tu sais ce que tu veux, auquel cas tu ne te tiendrais pas ici, à essayer de troquer ta place que la plupart des êtres magiques tueraient pour avoir. J’ignore ce qui t’est arrivé par le passé pour que tu doutes, mais peut-être était-ce pour le mieux. Cela a fait ce que tu es. Dès que je t’ai rencontrée, j’ai pu constater que tu avais les yeux grands ouverts. Tu étais prête à accueillir la vie. Tout ce dont tu as besoin désormais est de trouver ton assurance et tu seras irrésistible. »
Tu es destinée à un avenir illustre, Finley, un futur que ce royaume ne peut t’apporter. Un jour, tu verras une fissure dans ta cage, et tu t’enfuiras.
-Qui a deux doigts, un pouce et un orgasme tous les soirs ? Moi. Je ne voudrais pas échanger ça contre une balade chiante sur ta petite bite. Va pelleter ta merde ailleurs
La beauté disparaît, Jedrek. Mais les défauts restent, et je mets un point d'honneur à en avoir beaucoup.
Nous étions coincé dans cet endroit perdu et oublié, des métamorphes incapables de nous transformer, incapable de sentir l'animal enfermé en nous, presque entièrement coupé de toute ma vie.
J'allais clairement rester célibataire toute ma vie point ce n'était pas une très grande perte, vu les spécimens dans ce village.
Pour ma part, je ne croyais en aucune forme de destinée.
Je n'étais pas du genre à laisser qui que ce soit m'imposer sa volonté, même si c'était mon propre côté bestial qui cherchait à s'imposer. Et je n'en avais plus rien à faire de l'amour du couple. Plus maintenant.
Elle est tordue, la magie de la forêt interdite.
Oh, et Niamh est impatiente de partager un verre avec vous, plus tard. Elle sera à sa place habituelle au bar, comme l'une de ces poivrotes négligées qui n'ont aucune autre raison de vivre.
Il secoua la tête et remarqua trois cailloux à côté de son rocking-chair. Il les frappa du pied, les éparpillant sur le perron.
-J'ai vu !
La porte s'ouvrit à la volée. Mister Tom partit en courant. L'adrénaline qui le parcourait le rajeunissait de la moitié de son âge. Il entendit des pieds balayer le bois :Niamh récupérait ses cailloux éparpillés .
- Tu te crois protégé maintenant qu'il y a une possible élue ? Cria-t-elle.
Un caillou le percuta entre les omoplates.
- Cesse de jouer avec...
Un autre projectile percuta le sol juste à côté de lui et rebondit. Il zigzagua pour ne plus être une cible facile.
-...mes cailloux !
Bien des hommes pouvaient être bernés quant à leur performance, mais d'après le parfait aplomb dans sa voix, je soupçonnais Austin Steele de satisfaire l'autre. De s'assurer de satisfaire, même.
Pour répondre à ta question, mes talents consistent à m'assurer que les habitants de cette ville sont en sécurité. Je n'ai pas besoin d'une meute pour ça. J'offre l'asile à celles et ceux qui n'ont de place nulle part ailleurs.
Techniquement, Austin et moi avions volé les cailloux de Niamh. Mes poches n'avaient pas été suffisamment grandes pour loger toute la collection. J'avais donc fourré le reste sans ménagement dans ses poches, faisant de lui un complice.
-Il vaudrait mieux n'en parlerà personne d'autre. Peut-être... garder ce secret entre nous, si vous voulez bien.
-Bien sûr, madame. Quiconque aura perdu ses cailloux n'entendra rien de ma part.
- Profiter en plein milieu d'un trottoir ? On a quarante ans, gamin. On n'a plus besoin de se cacher sur la banquette arrière d'une voiture, on a la maison pour ça, rétorquai-je.