Inferno

Florence. Robert Langdon, professeur en symbiologie, se réveille dans une chambre d'hôpital sans aucun souvenir des dernières heures qui viennent de s'écouler. Manifestement on en veut à sa vie, c'est tout du moins la conclusion évidente qu'il tire lorsqu'une tueuse surgit dans l'hôpital et abat de sang froid le médecin italien chargé de le soigner.

Langdon prend alors la fuite en compagnie du second médecin auprès de lui, Sienna Brooks. Elle n'oublie pas de prendre au passage la veste du professeur qui contient un mystérieux cylindre.

Serait-ce pour ce dernier qu'on en veut à la vie de Langdon ? Cet objet créé par un brillant scientifique, passionné par Dante Alighieri, l'auteur de la Divine Comédie et plus particulièrement par son Inferno, veut sauver l'humanité mais à sa manière. Adepte d'une solution radicale pour mettre fin à la croissance exponentielle de la terre et au tarissement de ses ressources, il a prévu de répandre un virus, à la manière de la peste, un fléau ayant pour but de réduire drastiquement le nombre de vies sur terre de 7 à 4 milliards.

S'ensuit alors 600 pages de courses poursuites, tentatives de meurtres, rebondissements en tous genres au coeur de Florence, dans ses ruelles et ses monuments et à la fin un détour par Istambul. Dan Brown nous propose une histoire intéressante, solidement documentée et une balade très agréable dans cette cité italienne qui a vu naître Dante et la Renaissance.

Je n'avais pas lu Dan Brown depuis le raz-de-marée Da Vinci Code, et oui parfois je suis un vrai mouton, qui m'avait je l'avoue bien plus intéressée que ce titre agréable à lire mais que j'ai trouvé trop long. Abondance de rebondissements, évasions… nuit plus qu'il ne sert ici, tout du moins à mon sens. Si l'intrigue principale et toutes les incursions sur Dante et L'Enfer sont vraiment intéressants, le roman a quelques travers notamment celui de se confondre parfois avec un guide touristique richement documenté et de s'éloigner du véritable thriller.

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On me l'a offert et je l'ai lu par politesse. J'y ai retrouvé tous les ingrédients brownesques : le tourisme vu par un américain, le choix d'une secte maléfique moyenâgeuse, des grosses ficelles pour retenir le lecteur. Des invraisemblances teintées de faits réels. Donc on ne devrait pas s'ennuyer. Oui mais voilà lorsque le professeur Langdon se retrouve blessé et amnésique à Florence et qu'il visite les musées de la ville avec des méchants à ses trousses sur le fil rouge de la divine comédie de Dante, on se laisse quand même hypnotiser par les artifices de ce brave Dan. Sur fond de complot international visant à lutter contre la surpopulation de la planète Nos héros (ah oui! j'oubliais de vous dire qu'il est accompagné d'une femme ravissante comme d'hab.) vont vous faire visiter les musées méditerranéens. D'ailleurs, j'ai parfois sauté des paragraphes entiers de description des oeuvres, car je n'aime pas qu'on veuille me cultiver de force, surtout si cela n'apporte rien à l'intrigue. J'ai même parfois la désagréable impression qu'il prend ses lecteurs pour des demeurés en rabâchant certaines sentences. Un vrai américain avec le mot gentil dans le dos pour qu'on comprenne bien.
Je l'ai donc quand même lu avec intérêt mais sans surprise. Je maintiens que l'on va de plus enplus vers le commercial. mon préféré chez cet auteur reste "anges et démons".

Da Vinci code, anges ou démons Inferno, Dan Brown c'est une garantie, un moment plaisant. Tout les ingrédients sont là, l'érudit, la jeune fille, le savant fou, celui là je l'aime bien avec sa folle idée de sauver le monde. Une folle course au trésor. C'est fou ça ces auteurs qui réécrivent sans cesse la même histoire. Ils n'ont rien d'autre à dire?

Dan Brown nous offre encore une histoire haletante pleine de rebondissements dans des lieux chargés de symboles et de poésie. On se laisse porter dans cette course poursuite qui se dévoile à chaque page nous laissant face à notre propre réflexion sur la surpopulation mondiale. le seul regret que l'on puisse avoir ce sont quelques répétitions dans le texte qui alourdissent le style.

Lorsqu'Audiolib m'a proposé d'écouter ce nouveau livre de Dan Brown, j'ai été piquée par la curiosité. J'avais été (très)(très) déçue par la fin du Da Vinci Code et j'avais envie de donner une deuxième chance à l'auteur…
Et… comment dire… je ne suis pas sûre que c'était la meilleure idée de l'année car je me suis profondément ennuyée à l'écoute de cet ouvrage. J'ai trouvé l'histoire lente, ça n'avançait pas et les descriptions et apartés sur l'histoire de Dante et de Botticelli n'ont rien arrangé à l'affaire. J'ai trouvé ces passages de culture générale très intéressants mais ils étaient, à mon goût, bien trop nombreux et coupaient systématiquement le dynamisme de l'histoire.
J'ai trouvé aussi que les personnages manquaient de réalisme. Qui prend le temps de décrire le musée qui l'entoure quand il est poursuivi par une tueuse ?!!!
Le seul point positif, c'est la réflexion que j'ai pu avoir sur la surpopulation de la planète mais ça ne pèse pas bien lourd dans la balance.
Bref, vous l'aurez compris, ce livre n'est pas un coup de coeur.
Avec cet ouvrage, je peux donc conclure que cet auteur ne me correspond pas, je ne pense donc pas lire d'autres ouvrages de lui mais si vous aimez son style, je vous le conseille car il est dans la même veine que le Da Vinci Code.
Par contre, j'ai beaucoup aimé la voix de François d'Aubigny qui a su me faire tenir jusqu'au bout de mon écoute.
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La qualité littéraire du roman n'est pas à la hauteur du battage médiatique, d'où ma frustration. Malgré ça, le nouveau Dan Brown reste agréable à lire malgré quelques longueurs. L'auteur aborde un sujet grave avec une certaine légèreté. C'est peut-être ce qui m'a gêné dans ma lecture. Quoi qu'il en soit, je le recommande, surtout pour les descriptions des monuments de Florence.

Franchement j'ai passe un bon moment avec ce livre qui m'a donné envie de redécouvrir Florence et Istanbul

A consseiller

Mon Avis ( Juillet 2013) :

Depuis le 14 mai aux Etats Unis (le 24 en France), Dan Brown revient sur le devant de la scène avec son dernier roman : Inferno. Ne changeant pas les recettes du succès, on retrouve ainsi les mêmes « ficelles » que dans les précédents opus. Bien sûr, le héros cher à Dan Brown, un personnage largement inspiré de sa propre existence, Robert Langdon reprend du service.
Comme le bon vin, le professeur de symbiologie a gagne avec les années (depuis le Da Vinci Code) et on le retrouve entre Florence et Venise à la poursuite d'un mystérieux scientifique protégé par une mystérieuse organisation. L'intrigue n'est pas des plus originales, même si ce thriller (car il s'agit bien de cela) repose sur une documentation et une érudition quasi parfaite. Comme pour le Da Vinci Code, on lira ici ou là les spécialistes pinailler sur tel ou tel point de détails, dénonçant les approximations de l'auteur. Franchement, passionné par ces symboles et cette période du passé, je ne peux qu'apprécier le travail de recherche effectué par Dan Brown mais aussi louer le talent de l'écrivain.
On est donc littéralement emporté par ces aventures, qui certes nous poussent à en découvrir toujours plus sur l'univers de Dante et de l'Inferno mais aussi sur les cités illustres et énigmatiques de Florence et Venise.
Accompagné d'une charmante jeune femme, Sienna, le héros se heurte cette fois-ci à cette mystérieuse organisation, dirigée par le Président mais aussi par la présidente de la plus officielle Organisation Mondiale de la Santé (O.M.S.). de qui devra-t-il le plus se méfier, et pourquoi l'O.M.S. s'intérresse-t-elle tant aux détails révélés par l'Inferno ?
Ne vous inquiétez pas, je ne vous délivrerai aucun des détails de l'intrigue, juste ces grandes lignes. Quoi qu'il en soit, le plaisir à lire cet ouvrage est évident et je ne pourrai que trop vous le conseiller.
Les héros et autres personnages prennent vie sous la plume de Dan Brown, qui sait maintenir un rythme haletant du début à la fin sans pour autant tomber dans la frénésie des rebondissements à chaque chapitre.........

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Comme toujours avec Dan Brown, une grande créativité historique, une histoire qui se déroule dans 3 villes magiques (Florence, Venise, Istanbul), avec une trame de fond bien pensée.
Un bon moment de lecture garanti.

Il y a des auteurs que l'on peut lire les yeux fermés ! Dan Brown en fait partie ! J'ai donc lu Inferno (version numérique), on retrouve le personnage principal Robert Langdon dans de nouvelles aventures. Cette fois l'énigme se fonde autour de Dante, on est plongé dans une course poursuite contre le temps au coeur de l'Italie !

Les nombreux rebondissements en font un roman palpitant, que l'on ne peut que dévorer ! Les pages se sont tournées toutes seules !

Robert est cette fois amnésique au début du roman, il doit reconstituer une énigme dont il avait déjà connaissance mais qu'il a oublié. Il se retrouve mêlé à une drôle d'histoire liée à l'OMS, et qui lui font faire de nombreux voyages.

J'ai apprécié une fois de plus le style de l'auteur, j'ai également bien accroché avec l'histoire et les différents personnages, surtout Sienna qui partage les aventures de Robert.

Bref, une lecture que je conseille vivement si vous voulez passer un bon moment avec un roman d'aventures et de suspense !
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