AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Michel Pagel (Traducteur)
EAN : 9782385620134
Ellipsis (02/05/2024)
3.91/5   425 notes
Résumé :
C'est une histoire magistrale racontée par la mauvaise personne. June Hayward et Athena Liu ont étudié ensemble à Yale, ont déménagé à Washington après avoir obtenu leur diplôme et sont toutes les deux écrivaines, mais les similitudes s'arrêtent là. Athena est une étoile montante de la littérature, et June n'est personne. Après tout, qui s'intéresse de nos jours aux histoires d'une fille blanche aussi banale qu'elle ? Lorsqu'elle assiste à la mort d'Athena dans un a... >Voir plus
Que lire après YellowfaceVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (93) Voir plus Ajouter une critique
3,91

sur 425 notes
5
45 avis
4
29 avis
3
11 avis
2
5 avis
1
0 avis
« Soyez publié et, soudain, écrire devient une question de jalousie professionnelle, d'obscurs budgets de marketing et d'avances qui ne se comparent pas à celles de vos confrères. Les directeurs littéraires s'imposent et transforment vos mots, votre vision. Marketing et publicité vous obligent à distiller plusieurs centaines de pages de réflexion soignée, nuancée, pour obtenir de mignons éléments de langage de la taille d'un tweet. Les lecteurs infligent leurs attentes non seulement à votre histoire, mais à vos opinions politiques, votre philosophie, votre position éthique sur tous les sujets. C'est vous, pas votre oeuvre, qui devenez le produit – votre physique, votre esprit, vos réponses bien senties et vos prises de position dans des disputes en ligne dont personne n'a rien à foutre dans le monde réel. » ● Athena Liu, une autrice asio-américaine de vingt-sept ans, a connu un succès foudroyant : déjà trois romans publiés, trois succès phénoménaux et maintenant un superbe contrat d'adaptation signé avec Netflix. Juniper Hayward, dite June, elle-même écrivaine, fête cet accomplissement avec Athena. Comme June n'a vendu que deux ou trois mille exemplaires de son seul roman publié, elle est extrêmement jalouse d'Athena mais se garde bien de le lui montrer. La soirée bien arrosée commencée dans un bar se termine dans le somptueux appartement d'Athena où les deux filles décident de se faire des pancakes. En les mangeant, Athena s'étouffe et meurt. June en profite pour voler le dernier manuscrit d'Athena, qu'elle n'a encore fait lire à personne... ● Ce roman est l'occasion de découvrir le monde des maisons d'édition américaines et de constater avec consternation que tout le monde pense en termes de marché, de produits, de parts de marché, etc. La littérature est devenue une partie de l'industrie du divertissement au même titre que le cinéma ou les jeux vidéo, et les auteurs ont complètement intégré cet état de fait. ● Bienvenue dans ce monde où tout est fabriqué par magouille, à commencer par les best-sellers : « je sais que les efforts de l'auteur n'ont rien à voir avec le succès du livre. Les best-sellers sont choisis. Rien de ce qu'on peut faire n'a d'importance. […] Je me demande si c'est là la dernière portion obscure du monde de l'édition : si un livre casse la baraque uniquement parce qu'à un certain moment tout le monde a décidé, sans aucune bonne raison, que ce serait le titre du moment. » ● La concurrence entre auteurs est très rude, et passe par une surenchère de wokisme à la fois amusante à lire et dramatique dans certaines de ses conséquences. ● le récit en lui-même est haletant ; les pages se tournent toutes seules. L'intrigue est très bien menée. ● Les ravages que peuvent faire les réseaux sociaux sont impeccablement démontés ; on se prend au jeu de June, on croirait presque à ses mensonges et on a envie de la défendre. L'autrice évite tout manichéisme et June comme Athena ont toutes deux des qualités et des défauts. ● La thématique du plagiat qui parcourt tout le livre est explorée dans ses moindres recoins si bien qu'on en vient à se demander qui plagie qui. ● J'ai moins aimé la fin, un peu plate, pas à la hauteur du reste. Et la traduction est tout à fait insuffisante, avec des tournures de phrases calquées de l'anglais de façon vraiment lamentable. Par exemple : « J'ai d'abord hésité à signer avec Eden Press, surtout dû au fait qu'il s'agit d'un éditeur indépendant et non de l'un des ‘Cinq Grands'. » « J'attends mais elle n'élabore pas. » ● Malgré ces petits défauts, je recommande vivement ce roman qui m'a fait passer un très bon moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          512
À l'heure où les multiples controverses des auteurs agitent le milieu littéraire, ce roman traite de pistes intéressantes de réflexions.
L'appropriation culturelle, la cancel culture, le harcèlement de masse sur les réseaux sociaux.

L'autrice nous emmène dans les coulisses des maisons d'édition, nous faisant découvrir l'envers du décor de ce microcosme si particulier.

Suite au décès de son amie Athena Liu, jeune écrivaine talentueuse, étouffée par un malheureux pancake au pandan, June Hayward écrivaine désabusée, va s'approprier son manuscrit. Un manuscrit qui traite du corps des travailleurs chinois durant la Première Guerre mondiale.
Le roman va être un succès phénoménal, et la narratrice, exécrable à souhait, va s'engluer dans ces nombreux mensonges pour ne pas être découverte.

Si toutefois, j'ai aimé apercevoir certains pans méconnus du milieu de l'édition, la fin m'aura laissé un petit bout de pancake coincé dans la gorge, l'extrait de pandan n'étant peut-être pas assez à mon goût.
Commenter  J’apprécie          455
Premier livre reçu grâce à mon abonnement annuel auprès de ma librairie et j'étais vraiment ravie de découvrir un livre de Rebecca F Kuang.

C'est un livre un peu difficile à résumer : on suit June qui rêve de devenir écrivain mais qui peine à écrire un bon roman, peine à se faire un nom, peine a se faire éditer tandis que son amie de fac Athena réussie très bien. Bestseller, contrat à 6 chiffres, droits de ses romans vendus a Netflix… forcément, la jalousie s'installe et quand Athena meurt, June lui vole son dernier manuscrit.

Ce roman est décrit comme un thriller, mais finalement, il y a peu de mystère. La mort d'Athena ne fait aucun doute, c'est un accident…. Mais est-ce que June va se faire prendre ? Ça c'est la question qu'on se pose une bonne partie du roman.

Je pense que ce mystère devient secondaire à la fin du livre et que l'auteure a plus voulu mettre en lumière le monde de l'Edition, et cette course aux bestsellers, au détriment des auteurs. Cette course pour plus vendre, avec des contrats toujours plus gros au risque de voir certains auteurs qui n'écrivent plus ce qu'ils veulent mais ce qui fait vendre.

Je n'ai pas réussi à apprécier June, je n'ai pas été sensible à sa solitude, a son besoin d'exister car dès les premières pages, je l'ai trouvé détestable.

On aperçoit aussi le racisme de la société américaine, ou il faut un pourcentage d'auteurs issu de l'immigration mais pas trop malgré tout car la suprématie blanche doit toujours être présente. C'est tellement triste.
C'est en tout cas un roman très intéressant, je dois dire que mon libraire a su cerner mes gouts à merveille.

Lien : https://missmolko1.blogspot...
Commenter  J’apprécie          264
Petit phénomène éditorial, Yellowface, comme ce qu'il semble dénoncer, est un pur produit marketing à être arrivé chez nous peu après avoir bien fait parler de lui outre Atlantique et outre Manche. Ai-je été sensible à ce qu'il racontait et dénonçait ? Oui. Ai-je eu la lecture coup de poing que j'attendais ? Non, la forme était trop pauvre pour cela…

Avec ma collègue et amie Audrey (Light and smell), nous partions pourtant très enthousiastes. Il faut dire que nous sommes faibles face aux beaux objets que l'éditeur Ellipsis a sorti une très belle édition reliée avec jaspage de stylo plume et gouttes d'encre noirs sur fond jaune du plus bel effet, ainsi que pages de gardes et citations significatives très belles également. Nous étions fichue ! Malheureusement, nous n'avons pas trouvé en écho la force que nous attentions de ce texte éminemment annoncé comme étant ravageur par bien des lecteurs.

Nous avons d'ailleurs tiqué dès les premières lignes, face à une traduction un peu ampoulée, maladroite, manquant de fluidité parfois et avec des constructions de phrases rendant le propos moins intelligible. La plume générale, en dehors de ces moments confus, ne nous a pas convaincues non plus. Plate, sans relief, presque robotique, elle n'a pas eu la force et la verve attendue. Les schémas d'écriture même, à titre personnel, m'ont fait penser à ce que j'avais pu lire maintes fois dans des romans pour ados et jeunes adultes, alors que j'attendais un texte plus mature dans sa forme et pas seulement son fond. Petite déception.

C'est dommage parce que les premiers temps de l'histoire m'ont fait croire que j'allais avoir le pendant littéraire de l'excellent film The Ghostwriter qui m'avait dérangée et fascinée. J'aimais l'idée de suivre une jeune femme volant l'idée de roman de amie toute juste décédée. J'aimais encore plus que ce soit le prétexte, pour nous lecteurs, de nous fondre dans ce milieu impitoyable qu'est celui de l'édition, le tout avec un angle critique sur la question du racisme, des auteurs racisés, des histoires own voices et du poids fou des réseaux sociaux. Il y avait vraiment de quoi me plaire et me faire passer un très bon moment. Ce fut notamment le cas dans les ultimes pages du récit où j'ai enfin eu la critique piquante de tout ce milieu. Mais cela n'est arrivé que dans les derniers chapitres. C'était trop tard…

Le reste du temps, j'avoue avoir beaucoup traîné la patte. Pourquoi ? Parce que je n'ai pas du tout accroché à l'héroïne, très agaçante, très chouineuse, ne se remettant jamais en question après ce qu'elle avait fait et fonçant toujours plus vite dans le mur. J'ai également été très déçue par le volet sur l'édition. Je m'attendais à un récit en mode coup de poing, avec peut-être une lanceuse d'alerte pour dénoncer les travers de ce milieu. Je n'ai pas eu cela. Ce fut même assez plat et convenu, avec le récit de mécanisme éditoriaux déjà bien connus dans le choix des textes, leur travail avant impression, leur publicité et marketing, ce que reçoivent et ce qu'on demande des auteurs, et même le harcèlement en ligne. Rien ne sortait de l'ordinaire, tout était déjà vu et l'autrice n'est pas parvenue à transcender cela pour m'offrir quelque chose de différent et marquant.

Le volet « thriller » de l'histoire m'a donc semblé très plat et convenu, sans surprise, avec de nombreuses répétitions dans ce qui arrivait à l'héroïne. C'était clairement inintéressant. Seul le traitement du racisme et des personnes racisées aux États-Unis a su soulever mon intérêt. J'ai aimé voir se confronter des opinions très divergentes représentés par les différents « personnages » de l'histoire : il y a les blancs qu'on accuse à tort de racisme et qui sont surtout ignorants et maladroits ; il y a certains racisés qui montent tout en épingle et accusent à tort et à travers, se complaisant dans leur posture de victime et semblant ne savoir vivre qu'à travers cette identité ; mais il y a aussi de vraies critiques sur le racisme dans l'édition quand on enferme quelqu'un dans ce qu'il doit écrire à cause de sa couleur de peau ou ses origines et ça marche pour tous. J'ai aimé la critique de cette dérive des sensitive readers et des own voices, pour montrer qu'il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre et apporter de la nuance. On ressent très bien la violence que chacun ressent quand il se sent attaqué et combien tout cela peut se cristalliser. C'est assez terrible.

Je suis pour ma part pour une littérature ouverte. Chacun doit pouvoir écrire sur le sujet qui lui plaît. Il ne faut pas oublier que c'est de la fiction, donc il est possible oui d'être blanc et de parler de l'histoire d'un noir ou d'un asiatique, d'être valide et de parler d'un handicapé, d'être hétéro et de raconter une histoire LGBTQ+, etc. Mais il ne faut pas non plus blesser sciemment avec des propos racistes, sectaires, homophobes, ou autre, ces minorités. Je trouve en cela les trigger warning et les préfaces / postfaces toujours très intéressantes pour expliquer un projet et ce qu'on peut trouver dans un roman et qui pourrait heurter. Je prône donc plutôt le dialogue que l'enfermement dans des cases. Et je trouve que Yellowface est très intéressant pour cela, je le lui reconnais.

Une lecture que j'attendais avec impatience qui s'est malheureusement transformée en petit flop malgré sa grande facilité à être lue. J'attendais certainement trop de ce texte qui n'est pas aussi mature et fouillé que j'aurais aimé dans son fond et sa forme. Une plume plate et un contexte ainsi que des personnages peu travaillés, c'est assez rédhibitoire pour moi et ce n'est pas ma co-lectrice qui me contredira. C'est dommage car il y avait vraiment une histoire puissante à raconter et des thèmes qui auraient dû nous prendre plus aux tripes.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          140
J'ai adoré ce nouveau roman de R F Kuang qui aborde des thématiques extrêmement intéressantes, notamment la cancel culture, l'appropriation culturelle, le difficile monde de l'édition et les problèmes actuels de notre société tels que l'acharnement médiatique ou le cyber-harcèlement.

Juniper, personnage principal de ce roman, nous offre l'envers du décor de la vie d'auteure : la jalousie omniprésente entre "rivaux", l'ardue ascension dans les tops littéraires, la pression, les paillettes qui peuvent disparaître à la vitesse éclair, mais aussi les difficultés actuelles du monde éditorial américain : il faut se démarquer au possible, les Blancs ne peuvent pas parler des Chinois par exemple sans être attaqués (n'étant pas Chinois, ils ne peuvent pas comprendre leurs sentiments, leur culture etc etc). J'ai d'ailleurs appris qu'il existait maintenant des démineurs littéraires. L'auteure aborde aussi parfois le sujet du racisme inversé à travers les propos de son personnage principal (Juniper est une "Karen", comprenez une Blanche banale, et va donc avoir du mal à sortir du lot). À l'inverse, les éditeurs semblent friands des auteurs issus de la diaspora ou de minorités mais en publient avec parcimonie puisqu'il semble y avoir des sortes de quotas. Il y est également sujet de la pression mise aux auteurs pour sortir régulièrement des romans, sinon ils risquent de tomber dans l'oubli intersidéral des méandres d'Internet (Instagram, Twitter et compagnie).

Juniper est un personnage complexe et intéressant. Nous ne cautionnons bien sûr pas certains de ses faits et gestes, mais j'ai ressenti de la compassion pour cette jeune femme qui s'accroche à ses rêves coûte que coûte, malgré le fait que sa famille ne la soutienne pas et ne comprenne tout simplement pas qu'être écrivain peut être un métier, ils voient cela comme une lubie. Elle semble extrêmement seule, sans réelle personne à qui se confier. À travers le battage médiatique qui entoure le personnage, l'auteure nous montre la méchanceté des gens, bien cachés derrière un écran et n'hésitant pas à se réjouir des malheurs des autres. Elle nous prouve également qu'Instagram et Twitter semblent mqintenant faire la "loi" et sont paroles d'Évangile. Mais comme elle l'a dit plusieurs fois, CE N'EST PAS LA VRAIE VIE.

J'ai retrouvé la plume fluide et agréable de R F Kuang dans un roman qui change un peu de ses précédents mais qui m'a tout autant passionnée.
Commenter  J’apprécie          170


critiques presse (1)
LeDevoir
15 juillet 2024
Rebecca F. Kuang s'éloigne de la fantasy pour mordre (dans) le milieu littéraire. Jusqu'au sang.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
Le meilleur moyen de cacher un mensonge est de le laisser en pleine vue.
Commenter  J’apprécie          00
La littérature construit des ponts, cela rend notre monde plus grand, pas plus petit
Commenter  J’apprécie          00
C'est une histoire magistrale
racontée par la mauvaise personne.
Commenter  J’apprécie          00
Je crois très dangereux de signifier à un auteur ce qu'il peut et ne peut pas écrire : c'est de la censure. [...] je détesterais vivre dans un monde où l'on imposerait aux gens d'écrire ceci ou cela en raison de la couleur de leur peau. Retournez donc votre argument et voyez ce que ça donne. Est'ce qu'n auteur noir ne peut pas écrire un roman avec un protagoniste blanc ? Et que dire de tous les auteurs qui ont parlé de la Deuxième Guerre mondiale sans l'avoir vécue ? On peut critiquer un livre pour ses qualités littéraires et sa représentation de l'histoire - oui, bien sûr. Mais je ne vois aucune raison pour laquelle je ne devrais pas trqiter ce sujet pour peu que j'accepte de faire le boulot.
Commenter  J’apprécie          70
On a négocié des contrats avec l’Allemagne, l’Espagne, la Pologne et la Russie. Pas encore avec la France, mais on y travaille, me dit-il. Cela dit, personne ne se vend bien en France. Si les Français t’apprécient, tu sais que tu fais carrément fausse route.
Commenter  J’apprécie          132

Videos de R. F. Kuang (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de R. F. Kuang
Pour sa sixième édition, le Prix des lecteurs Babelio a une nouvelle fois récompensé 10 livres dans 10 genres différents, lors d'une soirée de remise des prix avec pour thème 'Le Crime de l'Orient-Express' d'Agatha Christie. Félicitations aux lauréats et un grand merci aux 16 000 votants !
Retrouvez ici les 100 sélectionnés pour le Prix 2024, ainsi que les 10 lauréats par catégorie : https://www.babelio.com/prix-babelio Plus de détails sur le Prix Babelio : https://www.babelio.com/article/2355/Prix-Babelio--Decouvrez-les-laureats
Et voici les lauréats dans les 10 catégories :
- Manga : Hayao Miyazaki pour le Voyage de Shuna (Sarbacane) - Imaginaire : R. F. Kuang pour Babel (De Saxus) - Jeunesse : Titiou Lecoq pour Les femmes aussi ont fait L Histoire (Les Arènes) - Non-fiction : Thomas Pesquet pour Ma vie sans gravité (Flammarion) - Polar & Thriller : Freida McFadden pour Les Secrets de la femme de ménage (City éditions) - Littérature étrangère : Ken Follett pour Les Armes de la lumière (Robert Laffont) - Roman d'amour : Rebecca Yarros pour Fourth Wing (Hugo Roman) - Jeune adulte : Clara Héraut pour L'Effet boule de neige (Hachette Romans) - Bande dessinée : Manu Larcenet pour La Route (Dargaud) - Littérature française : Laure Manel pour Cinq coeurs en sursis (Michel Lafon)
Abonnez-vous à la chaîne Babelio : http://bit.ly/2S2aZcm Toutes les vidéos sur http://bit.ly/2CVP0zs
Retrouvez nos rencontres passées et à venir, et inscrivez-vous juste ici : https://www.babelio.com/article/1939/Retrouvez-toutes-nos-rencontres-dauteurs-et-inscr Suivez-nous pour trouver les meilleurs livres à lire : Babelio, le site : https://www.babelio.com/ Babelio sur Twitter : https://twitter.com/babelio Babelio sur Facebook : https://www.facebook.com/babelio/ Babelio sur Instagram : https://www.instagram.com/babelio_/
+ Lire la suite
autres livres classés : racismeVoir plus
Les plus populaires : Littérature étrangère Voir plus


Lecteurs (1190) Voir plus



Quiz Voir plus

L'Année du Dragon

Ce samedi 10 février 2024, l'année du lapin d'eau laisse sa place à celle du dragon de bois dans le calendrier:

grégorien
chinois
hébraïque

8 questions
135 lecteurs ont répondu
Thèmes : dragon , Astrologie chinoise , signes , signes du zodiaques , chine , culture générale , littérature , cinemaCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..