La bibliothèque des rêves secrets, de
Michiko Aoyama est disponible en poche à cette adresse : https://www.jailu.com/
la-bibliotheque-des-reves-secrets/9782290384275
Michiko Aoyama, des romans doux et réconfortants venus du Japon.
Chez Mme Komachi, les livres façonnent les vies.
Imposante et énigmatique, coincée entre le paravent et le bureau d'angle d'une petite bibliothèque au coeur de Tokyo, Sayuri Komachi attend patiemment ceux qui décident de venir la voir. Hommes ou femmes, jeunes ou vieux, salariés ou retraités
, ils sont tous au carrefour de leur vie. À chacun, la mystérieuse bibliothécaire propose un ouvrage totalement inattendu, bien loin de celui qu'il était venu chercher. Et derrière cette lecture imprévue se dessinent toujours les premiers jalons d'un nouveau départ.
Un roman choral poétique qui célèbre le pouvoir des livres et l'importance qu'une personne attentive et attentionnée peut avoir sur le destin d'autrui.
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- Un rêve ne peut pas "se terminer" tant qu'il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique. Même si tu ne le réalises pas, c'est aussi un choix de vie. Car rêver sans plan déterminé n'est pas quelque chose de mal. ça permet de profiter pleinement de la vie.
- Dans ma vie, j'ai tâché d'emprunter le chemin le plus droit, ce que mon entourage attendait de moi. mais j'ai dû faire erreur quelque part.
- Hmm... Je pense que ce qui compte, ce n'est pas de suivre une route droite, C'est de marcher aussi droit que possible sur un chemin tortueux.
VEGEMITE
Du salé caché sous une apparence sucrée, voilà qui était tout à fait à l'image de la vie humaine.
“Dans ce monde où notre avenir nous est inconnu, aujourd’hui, je fais ce que je peux.”
"Le parc d'attraction est vaste"
Devais je descendre du manège pour essayer une autre attraction ? Sachant que rester sur mon cheval n'avait rien d'un exploit, pouvais je être honnête avec moi même et partir en quête de ce que je désirais vraiment ?
Derrière l'enclos des girafes. la baie de Sydney s'étendait à l'horizon, et au-delà, se dressaient d'innombrables gratte-ciel. Les girafes, la mer, les gratte-ciel. Quel paysage atypique.
Avec la poésie, il n'est pas nécessaire de comprendre, il suffit de ressentir l'atmosphère, sans y réfléchir à tout prix. On visualise ce qu'on veut.
Un livre appartient à ceux qui le font, ceux qui le vendent et ceux qui le lisent. Voilà ce qu'est la société.
Une girafe a vigoureusement ployé le cou. Un cou aussi long ne semblait pas très pratique. Quand les girafes attrapent un rhume et ont mal à la gorge, d'où à où souffrent elles ? On aurait dit qu'elles portaient des faux cils qui claquaient à chaque battement de paupières. Deux d'entre elles restaient près de moi et sans bavarder - évidemment - ni se regarder, elles avalaient des feuilles ou regardaient au loin, vers les gratte-ciel.
Ce que j'aime avec le feutrage à l'aiguille, c'est qu'on peut tout changer en cours de route. Même si l'objet est plus ou moins fini, on peut facilement modifier la trajectoire durant la fabrication.