La vraie vie

Désolée, je suis bien la seule apparemment à n'avoir pas du tout aimé ce livre.
A contre-courant des autres lecteurs.
Je ne comprends pas l'engouement pour ce livre.
Je l'ai trouvé très malsain et glauquissime.
Je n'ai pas accroché du tout.
Quelles horreurs !
Bien sûr, cette critique n'engage que moi et chacun ses goûts, personnellement je préfère lire et m'enthousiasmer pour de belles choses.

Elle - Grand Prix des lectrices - Roman - 2019
Fnac - Roman - 2018
Renaudot - Prix des Lycéens - 2018
Victor Rossel - 2018

Rien que ça.

Un roman dont personnellement je ne vois ni l'intérêt ni la finalité. Je n'en comprends même pas le titre à l'issue de ma lecture.

Décidément, après "Betty" de Tiffany McDaniel, "La vraie vie" est le second succès de librairie ultra violent et mettant en scène des enfants-proies que je lis et je suis en overdose de dégoût. Les scènes qui s'enchaînent dans ce roman ne sont pas crédibles, toutes plus invraisemblables les unes que les autres, avec des comportements (in)humains outranciers et extrêmes, dans un sens comme dans l'autre.

Ni conte pervers, ni roman d'épouvante, ni dénonciation de la violence domestique, ni pamphlet contre la chasse, ni mise en lumière d'une violence conjugale et familiale ordinaire, ni chemin initiatique atypique d'une adolescente-narratrice, ce roman semble un fourre-tout et s'éparpille dans tous les sens, s'attache un temps au personnage du frère pour le laisser de côté, idem pour la mère, idem pour le caïd du lotissement, idem pour la soixante-huitarde qui vit dans les bois. Un roman qui à mes yeux ressemble à un brouillon mis en forme un soir d'ivresse ou de gageure. Il faut croire que nous aimons la violence gratuite pour porter aux nues un récit aussi cruel qui manque cruellement de profondeur ou de portée. Aussi vite lu qu'oublié.


Challenge MULTI-DEFIS 2022
Challenge ATOUT PRIX 2022

Il est rare qu'un roman m'horripile à ce point! j'ai tenu à le lire jusqu'au bout(avec un agacement croissant)pour pouvoir porter un jugement sur un livre que divers critiques ont apprécié et qui semble se tailler un joli succès; mais au diable les critiques littéraires et les prix en tout genre! on ne peut plus se fier à rien et je regrette les 17€ que m'a coûté ce mauvais roman.
Les personnages sont antipathiques et surtout peu étudiés , caricaturaux et plus ou moins invraisemblables. Même la narratrice, qui d'ailleurs suscite peu d'empathie.
Le mélange de réalisme féroce et de conte fantastique est dérangeant et raté.
On subit suffisamment d'horreurs en lisant les nouvelles du monde ou en regardant la télévision pour ne pas avoir à supporter une atmosphère glauque et malsaine comme celle de ce roman. il faut être un peu sadique pour y prendre plaisir!
L'écriture est banale. Quelques effets de style complètement ratés!et ,dans le dernier chapitre...:"on a regardé le haillon( sic) se refermer..."
Rien à sauver! j'ai détesté ce roman.

J'ose à peine exprimer ma déception après la lecture de ce roman tant les critiques sont élogieuses voire dithyrambiques. Pourtant ni le fond ni la forme de ce premier roman ne m'ont touchée : le drame des violences faites aux femmes est ici abordé à la va-vite dans une série d'événements ou de rencontres peu réalistes ou plausibles mais surtout peu fouillées, peu incarnées.
Sauf pour la narratrice, (et encore), l'auteure ne nous permet pas de "capter" les personnages; ils sont survolés, à peine effleurés et je le regrette. Ce traitement superficiel des protagonistes dessert le roman et lui soustrait du crédit. D'autre part l'écriture de la romancière est assez monotone, sans relief ni densité surtout face aux sujets évoqués.
Je suis donc perplexe et m'interroge quant au succès de ce livre:suis je passée aveuglement à coté de l'éclat d'une perle ? suis je insensible à la mise en mots de certains malheurs?

Commentaire destiné aux seuls babeliotes pouvant supporter une critique très acerbe et notre état d'esprit cafardeux.
deux cents page de très mauvais et cinquante pages d'acceptable où se dessine une petite dramaturgie présentant un intérêt oh pas grand-chose mais on se contente de peu en cette fin d'année

Bref on s'est demandé, au vu du style, si ce récit était écrit pour les enfants  et notamment adapté à l'âge de l'héroïne c'est à dire raconté de façon maladroite( un peu comme Keyes avec Charlie Gordon) mais rapidement on déchante: c'était bien un livre pour adulte  écrit normalement mais très mal par une jeune (certes) adulte en pleine possession de ses moyens!(ou alors l'écriture wallonne est particulière ça on ne sait pas)

Que dire d'un livre où les personnages sont taillés à la hachette, caricaturaux au possible, clichés sans imagination à ce demander si l'auteure (jeune certes!) en a déjà vu dans sa vraie vie
J'énumère
Père violent féminicide (femme et fille) alcoolique et viandard, Frère verminé de la tête, tortionnaire,et félinticide et canicide, voisin alcolookidnappicide en marcel dégoûtant , proprio de casse violenticide avec les p'tits ‘enfants, prof émollient mais acidifié de part sa crème entouré d'effluves d'oignons crus, apollon chevalier blanc mais qui vire vite à violeur concupiscent , gros bonhomme en slip qui ressemble à une panna cotta à la framboise (z'ont d l'imagination ces gosses mais bon me voilà dégoûté de mon dessert préféré)et surtout le bouc agressif et vicieux.
Les petits vieux ,l'un glacier et gentil qui va nous importuner longtemps, l'autre petit prof juif gentil mais coriace et brillant Voilà pour les hommes enfin si on peut appeler ça … des hommes !
Les personnages féminins Marie Curie en déesse et mentor, une voisine/ copine/fée qui ne tient pas ses promesses, une vielle femme juive rescapée de tortures (seul et entrevu seulement, personnage émouvant (très) et crédible du livre)

Les animaux le chinchilla qui meurt d'un arrêt du coeur (à cause d'une punaise l'objet?)et qui s'il n'était pas mort serait encore vivant.la petite chienne qui … (je dis pas)les chèvres , la mère (je l'ai mise avec les animaux car elle plus affinité avec les amibes que les humains)et encore le bouc agressif et vicieux.

Que dire de la petite héroïne qui passe en douleur de l'âge de l'enfance à la puberté ?Très travaillée par son ventre en toute occasion : peurs, angoisses, émois amoureux aurait bien besoin de spasfon Hésite entre la vraie vie réelle et la vraie vie rêvée voir fantasmée coté coeur Rester dans le cocon de l'enfance ou se transformer en papillon et prendre son vol



Que dire de la partie de chasse digne de la nuit du chasseur mais sans Mitchum avec des relents des chasses du conte Zaroff le talent en moins  ?A vrai dire ici vu le niveau on est plutôt dans Lara Croft version alpha mais qui passerai a la version bêta et nous ne parlons pas de la lettre n'est-ce pas !

Que dire d'un ouvrage primaire ou il y a , même dans cette comptine enfantine (comptine n'est peut-être pas le mot exact mais nous n'en voyons pas d'autre qui qualifié ...ça), les bons d'un coté et les mauvais de l'autre Ces derniers on même le dernier mot et ce tout au long du livre car devant l'inertie des « losers » c'est la violence qui gagne à chaque fois


L'avantage de cet ouvrage c'est qu'il se lit vite on n'a même pas besoin d'utiliser ses deux yeux pour le faire, combiné avec une lecture en diagonale tout en sautant parfois une page inintéressante il nous apprend l'essentiel en peu de temps et nous permet de goûter à ce nectar divin (non on rigole...)...
Oh la la la la !
C'est vrai qu'on a aucune indulgence avec les primo-écrivain.e.s mais lorsqu'on voit le succès du livre on en vient à s'interroger sur la littérature de demain mais aussi, et ça c'est le plus grave, sur soi-même. La primarité de l'ouvrage nous laisse babas ! Avons -nous raté quelque chose ?
Faites au plus court allez directement a la page 200 et quelques.

Il faudra m'expliquer où se trouve la littérature dans cet amoncellement de lieux communs et de caricatures.
Le roman est complètement désincarné, les personnages sans profondeur. le personnage de la narratrice est tout droit sorti de My absolute darling. Nombre d'invraisemblances géographiques jalonnent le bouquin, entre un climat de type méditerranéen (romarin, épines, vent chaud...) et des noms belges (smoutebollen). Les successions de scènes ne font que renforcer cette construction d'un roman qui est finalement un patchwork empruntant ça et là.

J'ai du mal à comprendre tous les prix attribués à ce roman.
Les personnages ne sont que caricatures, l'histoire est survolée, enfin si on peut dire qu'il y a une histoire. Juste une succession de moments glauques... j'ai poursuivi ma lecture tant bien que mal en espérant trouver un sens à cette histoire. Je n'ai pas trouvé.

Je dois sans doute lire trop de thriller et de policiers pour trouver ce roman glauque.
Les personnages sont caricaturaux et ne me sont pas apparus attachants, j'ai poursuivi la lecture par curiosité de voir où tout cela nous menait. Pas bien loin en vérité.
L'écriture n'est pas particulièrement agréable ni admirable.
Beaucoup de clichés, des choses invraisemblables dans "la vraie vie" et un survol du traumatisme de Gilles, décevant.
Je suis passée complètement à côté de ce roman, aussitôt lu, aussitôt oublié.

Un roman qui m'a fait penser à My absolute darling de Gabriel Tallent et qui m'a inspiré le même dégoût pour l'ambiance glauque dans lequel il baigne, pour ses personnages clichés à souhait. En effet, entre l'homme violent, la femme soumise, le jeune garçon psychopathe, la gamine brillante qui se bat pour échapper à cet ersatz de famille qui est la sienne, n'en jetez plus! de même, la trame m'a paru dépourvue d'intérêt, mêlant ultra violence et voyeurisme malsain. de surcroît, l'écriture indigente truffée de termes savants jetés çà et là ne m'a pas non plus séduite.

Après avoir lu beaucoup d'éloges sur ce roman, je me suis enfin lancée.
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur, même si clairement je me suis demandé tout le long où elle voulait en venir. Jusqu'à la fin où là tu te dis « OK, je comprends mieux. » 😅

Ce livre est un condensé de violences. 😨 C'est assez bouleversant, mais malgré tout, les pages se tournent toutes seules ... L'héroïne de 10 ans est surprenante, et PRESQUE attachante. Elle fait tout pour sauver son petit frère de toute cette violence. C'est assez touchant de ce point de vue. Mais je dois dire que cette lecture m'a plongée plusieurs fois dans un sentiment de malaise .... le truc avec ce roman, c'est que ce n'est pas un thriller. J'ai « l'habitude » de lire du glauque, du degueulasse même parfois, mais je le décide. Quand je choisi un thriller, je sais à quoi m'attendre. Là.... je m'attendais pas à ça. 😉
Je ne suis pas spécialement déçue mais je n'ai pas été plus que ça emballée par ce roman.... Et après lecture, je ne comprends pas pourquoi les gens en ont autant parlé... mais soit. Pourquoi pas , il en faut pour tout le monde !
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