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sur 290 notes
Quentin Fergeac, chef de groupe à la Crim' est appelé sur une affaire de meurtre concernant Açelya Bozkir, une jeune fille retrouvée étranglée dans le coffre d'une voiture. le crime a eu lieu il y a quelques jours et c'est l'odeur pestilentielle émanant de la voiture qui a donné l'alerte. Si cette jeune fille étranglée rappelle douloureusement à Quentin la mort de son fils lui aussi étranglé mais à cause d'un jeu idiot appelé le "jeu du foulard", il n'a pas le temps de s'appesantir sur sa douleur car le meurtrier est peut être déjà loin. Rapidement, il croit avoir trouvé le coupable idéal, mais lui et son équipe sont encore bien loin de la vérité, surtout que Jessica, l'amie d'Açelya n'a plus donné signe de vie depuis quelques jours... - See more at: http://www.envies-de-livres.fr/2015/12/le-crime-etait-signe-lionel-olivier.html#sthash.XSsf8qEZ.dpuf
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Un roman policier haltant, plein de précision, on y voit un gros travail de recherches. Dommage la fin y est rapide et manque d'explication à la conclusion.
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Un peu déçue par ce Grand Prix du Quai des Orfèvres, je l'avoue. Ces derniers temps je me suis imprégnée de plusieurs policiers scandinaves (Camilla Läckberg, Henning Mankell, entre autres) et je n'ai pas retrouvé dans ce "Crime était signé" la même magie ensorceleuse. le début était assez prometteur, pourtant. Mais les invraisemblables coïncidences qui permettent la résolution de l'enquête en quelques pages m'ont quelque peu fait penser à ces séries policières américaines dans lesquelles les indices sautent pratiquement au visage des enquêteurs. Dommage.
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Une critique de principe sur un bouquin qui ne vaut pas tripette mais surtout sur le fait qu'il soit primé.
Prix Quai des Orfèvres 2016 attribué paraît-il en petit comité restreint par manque de jury suite aux attentats du 13 novembre 2015 et ma foi c'est bien dommage car on sent la récompense des bons et loyaux services de l' ancien commandant de police Lionel Olivier, par les copains.
Pourquoi je dis ça?
Eh bien, ce prix est sensé récompenser une qualité littéraire, honnêtement je l'ai sincèrement cherché mais ne l'ai pas trouvée, c'est une écriture pressée, sans style défini qui peut éventuellement convenir à un fonctionnaire de police qui veut se faire mousser. .
Ensuite les jurys regardent «l'exactitude matérielle des détails» et là c'est à se pisser dessus de rire.
Enfin il détermine le degré de réalisme, là par contre, rien à dire mais il y a quand même matière à réflexion.
Et donc pour la réflexion.
Bravo pour les exploits gastronomiques.
A Lens des «andouilles», et je ne parle pas des bourrins... (sic je reprend sans vergogne la bonne blague du Commandant), et à «la tour de Montlhéry» (c'est Denise qui a du être être contente pour la pub en 2015) petit sauté de lentilles aux saucisses de Montbéliard, des raies aux câpres, têtes de veau, pieds de porc, rognons en sauce onglet de boeuf mais curieusement pas de fricassée de poulet: les keufs sont protéiniques et sanguins. Toutefois je leur conseille des féculents à indice glycémique bas, des sucres lents pour les journées à rallonge et de laisser tomber les tonneaux de Brouillys et autres cognacs à profusion On imagine ensuite la conduite avec gyrophare pour les urgences: pas bon tout ça! Mieux vaudrait une bonne boisson apaisante à la camomille et à l'orange.
Bravo encore pour le réalisme des échanges d'amitié inter-police de cadeaux: maillots de foot et chants de supporters. Là on parle de Lens.
«Au nord, c'étaient les corons
...
Les hommes des mineurs de fond»*
Bravo! Si certains policiers ont des références littéraires apparemment au 36 et avec Lionel Olivier on est plutôt «rase-moquette» mais convivial et c'est rassurant.
Ah les bourrins! Les branquignoles de l'équipe
Ah les présumés innocents ils sont bien malmenés et j'ai même cru que les bourrins allaient mettre au trou, pour le meurtre, un présumé coupable qui étaient incarcéré au moment des faits. Si. Si Il l'a échappé bel le bougre car en plus il répond derrière ses barreaux !
Pour le réalisme toujours bonjour la politesse avec les prévenus coupables qui s'ignorent et qu'on incarcère car ils ont forcement quelque chose à se reprocher, pensez donc des pédés et des gouines, si c'est pas le cas on va trouver...
Ah tous ces pervers homosexuels qui ont des pratiques innommables.
Ah les remarques politiquement correctes du bon commandant Olivier qui qualifie de « société libertaire» la dépravation de quelques dégénérés psychopathes de surcroît homos mais en plus gays et lesbiennes sataniques et qui dans le même temps compare le 36 à un «phalanstère de l'amitié»: il a une notion assez confuse de l'utopisme politique et mélangerait sans distinction hôtel de police et le familistère, hôtel coopératif utopique d'ailleurs les keufs c'est une grande famille. bizarre! Bizarre!
Note: dans le fond il n' a pas tord car Fourier a imaginé un «trottoir à zèbres» et ceux-ci comme les bourrins sont des équins, bien que, notons-le quand même, l'appellation de «drôle de zèbre» soit plutôt utilisée par les bourrins pour qualifier une personne suspecte.
Oui c'est vrai c'est un roman et donc une fiction mais ce qui me chagrine c'est qu'il ait été primé pour son réalisme et donc c'est caricatural et plutôt effrayant si c'est vrai.
Roman de gare et mauvais

* Pierre Bachelet (qu'on aime bien)"Les Corons"
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SYMPA


Lionel Olivier nous plonge en pleine immersion au "36" avec cette enquête diligentée par le commandant Fergeac.

Suite à la découverte du corps d'une jeune fille retrouvée nue et étranglée dans le coffre d'une voiture, le commandant et son équipe vont mener de front cette enquête et percer le fin mot de l'histoire...

Dans un style fluide et vif, l'auteur nous happe dès les premières pages.

Certes, le dénouement n'est pas développé voire creusé et les révélations du meurtrier arrivent trop rapidement pour moi mais cela n'a pas altéré ma lecture.

A l'inverse, j'ai beaucoup aimé l'ambiance de cette brigade à laquelle on s'attache.

Un polar que j'ai trouvé agréable et qui se lit rapidement.

A découvrir donc pour vous faire votre propre avis !





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Le cadavre d'une adolescente est retrouvée dans le coffre d'une voiture près d'un cimetière mais le propriétaire est vite innocenté car il était en prison. L'enquête remonte jusqu'à l'amie de la victime qui a elle aussi disparue. Comme toujours pour les" prix du quai des orfèvres", je trouve que les livres mériteraient d'être un peu plus longs pour mieux étayer les personnages. Ici, il y en a vraiment beaucoup et on s'y perd vraiment. Dans ces livres, on a également l'impression que la procédure prend le pas sur l'enquête elle même d'où un sentiment mitigé en fin de lecture.
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C'est Un bon roman policier. Prix quai des orfèvres.
La nostalgie du "36" est présente. Les caractères sont esquissés. La virile camaraderie est détaillée, même si une femme est présente sans être particulièrement marquante..
Le suspense est maintenu presque jusqu'au bout.
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Cela fait un moment que ce livre trainait dans ma bibliothèque sans avoir été lu. J'avais essayé de le lire lorsque je l'ai reçu mais j'avais vite laissé tomber car je n'arrivais pas à entrer dedans. Cette semaine j'ai voulu lui donner une seconde chance pour enfin le retirer de ma pile à lire.

J'ai eu du mal à entrer dans ce roman car il n'y a aucune introduction, nous entrons tout de suite dans le vif du sujet avec ces enquêteurs. Je pense que c'est volontaire afin de rendre ce roman plus immersif mais le problème est qu'il est difficile de reconnaître les personnages lors des premiers chapitres, ce qui rend l'histoire difficile à suivre au début.

En revanche une fois que j'ai réussi à retenir les nombreux noms, j'ai trouvé ce roman particulièrement sombre et addictif. Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de romans policiers, maintenant j'ai bien envie de m'y remettre. L'enquête est bien ficelée, l'auteur a su me tenir en haleine jusqu'à la fin pour nous mener vers un final tiré par les cheveux c'est vrai mais surtout effrayant. La seule chose que je regrette sur cette fin est qu'elle soit amenée un peu rapidement sinon appart ça je la valide.

Autre point positif de ce roman, il semblerait qu'il y ait eu un véritable travail de recherche pour nous embarquer au plus près du 36 quai des orfèvres. C'est vraiment intéressant de découvrir le travail de cette unité!

Au final malgré un début un peu long je trouve que c'est un bon roman policier que je conseillerais.
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avec ce roman, nous allons suivre au coeur d'une équipe la progression et les différentes procédures sur cette enquête suite à la découverte du corps d'une adolescente dans le coffre d'une voiture

mon seul bémol est l'épilogue un peu tiré par les cheveux

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Une ode à la gloire du 36 quai des Orfèvres, qui a fait les beaux jours d'un certain… Jules Maigret ! En passe de déménager dans les beaux quartiers parisiens, la Crim' se paye une dernière enquête. Une équipe soudée, travaillant "à l'ancienne" dans des locaux enfumés, exigus, non isolés des aléas climatiques, tout juste si l'on n'y dispose pas des assiettes pour se protéger de la pluie ! Et pourtant, quelles réussites ! Un milieu d'hommes, certains machos et pas que sur les bords, au milieu desquels une femme va faire preuve de perspicacité et faire rebondir une enquête qui piétine, grâce à sa connaissance de la langue des signes. Pour celles et ceux qui veulent savoir comment fonctionne la Police Judiciaire autrement que par les innombrables romans, films et séries télévisées qui lui ont été consacrés, lisez ce roman qui ne cache rien du processus complexe que constitue une enquête sur un meurtre. Comment on parvient, avec les moyens modernes mais aussi une forte dose d'intuition et de psychologie, à cerner les "vrais" et "faux" coupables et au final arrêter l'assassin. Un travail d'équipe, où chacun fait profiter les autres de ses capacités. Une autre vision de la Crim' que celle d'une certaine Danielle Thiéry ("Affaire classée" et tant d'autres merveilleux polars), qui l'a pourtant bien connue, et de l'intérieur en ce qui la concerne. Mais saura-t-on jamais la vérité ?
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