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Jacqueline Susini (Traducteur)
EAN : 9782266162050
533 pages
Pocket (19/12/2006)
3.32/5   19 notes
Résumé :
Avery James, vingt-cinq ans, mène une vie agréable entre ses amis et son travail de serveuse pour un traiteur prestigieux de Santa Fe. Pourtant, elle cache derrière son mystérieux regard une blessure profonde laissée par son enfance dans un orphelinat. Lors d'une réception donnée par le célèbre galeriste Paul DeGraf, Avery tombe en arrêt devant le portrait d'une femme qui lui ressemble étrangement : elle sait immédiatement qu'il s'agit de sa mère. Son intuition est ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Cela doit être parce que j'ai lu ce livre très jeune, qu'il m'ait autant marqué..

La fille de personne est un livre que j'ai emprunté à ma mère lorsque elle était encore inscrite à France Loisir. C'était mon premier "roman de grand" -je devais avoir 11 ans- et je me souviens l'avoir dévoré comme par possible. Je me souviens avoir adoré la couverture, qui représentait dans mon édition une petite fille assise dans les escaliers.

En grandissant, et après nombreuses relectures, recommandations au CDI/à la bibliothèque, je m'aperçois qu'il n'est pas si "spécial" que ça si je puis dire, et je suis certaine que c'est un livre que je n'aurais jamais lu s'il ne s'était pas retrouvé chez moi.

Mais c'est une bonne chose que de l'avoir lu, et je ne regrette rien. Après des années j'aime toujours autant cette histoire, pas si spécial en soi mais très marquante.
Avery est un personnage avec lequel je me suis automatiquement attachée et son histoire m'a profondément touché. Je ne peux pas me souvenir de plus car cela fait un bon bout de temps depuis ma dernière relecture, mais je vous conseille ce livre assez rapide à lire, très agréable et sans prise de tête.

4/5
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Avery James travaille pour l'un des plus grands traiteurs de Santa Fe. Lors d'un cocktail chez un riche marchand d'art, elle tombe en arrêt devant le portrait d'une femme aux étranges yeux vairons, qui lui ressemble trait pour trait.
Avery, l'enfant abandonnée, vient de retrouver sa mère.
Morte dans des circonstances tragiques, Lara était la maîtresse du propriétaire du tableau, Paul DeGraf. Ému par le désarroi d'Avery, celui-ci propose son aide à la jeune femme, qui ne reste pas longtemps insensible au charme trouble du personnage. Avec lui, Avery entreprend de recomposer la personnalité de sa mère, cette inconnue si familière.
Dans les paysages flamboyants du Nouveau-Mexique, le récit de cette jeune femme qui s'efforce de rassembler les bribes de son passé est assez prenant. J'ai regretté toutefois le manque d'émotions, pourtant souvent sousjacentes. Reste un beau roman poignant sur la quête d'identité.
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Un roman vite lu : il suffisait juste de trouver le temps d'une soirée pour dévorer les pages.
Le style est agréable aussi les pages se tournent assez rapidement.

le premier tiers du récit s'annonçait prometteur mais tout comme son héroïne, l'auteur effectue des changements de caps. Par la suite, les différents thèmes ne sont que survolés.
C'est dommage, j'aurais bien aimé qu'elle s'attarde un peu plus sur l'aspect médical des plantes et sur la culture amérindienne. Même la recherche de la personnalité de la mère est légère.
Les relations avec les personnages principaux ou pas sont étroitement ficelées, y compris pour le coyote. Les personnages bien que nombreux n'arrivent pas comme des cheveux sur la soupe et se retrouvent tout au long du récit. L'héroïne prend ainsi ses repères pour se constituer sa propre famille à défaut d'en avoir eu une durant son enfance.

Bref un roman plaisant mais qui sera certainement rapidement oublié.
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Ce livre raconte l'histoire d'une jolie jeune fille aux yeux vairons, Avery. Orpheline, elle a eu une enfance difficile, pleine de désillusions mais elle est parvenue à affronter les aleas de la vie grâce à son fort caractère.
Le roman est écrit de telle sorte qu'on fait des allers retours entre le présent et les souvenirs d'Avery ce qui rend la lecture dynamique.
Avery va rencontrer des personnes qui ont connu sa mère et peu à peu reconstruire son histoire.
Au départ très emballée par l'intrigue j'ai trouvé qu'à partir d'un moment l'histoire s'est essoufflée. Je suis un peu déçue car le début était très prometteur selon moi mais ça a vite basculé dans le roman pour adolescent un peu gnangnan.
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J'ai trouvé le résumé intriguant mais pas extraordinaire mais je me suis laissé tenté. J ai adoré cette culture espagnole omniprésente dans le livre. Cette culture a rendu le personnage d'Avery encore plus fascinant et intriguant. Je suis tombé sur le charme. Une très belle découverte.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Un jour, en cours d'histoire, j'ai tracé une ligne qui symbolisait le temps. Une ligne droite, large, noire, entrecoupée de croix représentant des dates et des événements. Selon le professeur, elle permettait d'établir un lien entre les faits marquants de l'histoire. Entre les causes et les effets.Malheureusement, le temps n'est pas une ligne droite. Je le vois plutôt comme un arc immense dont la courbe se dessine peu à peu dans l'espace, masquant non seulement l'avenir mais aussi le passé. En fait, on ne connaît jamais les causes exactes d'un événement. Quant à ses retombées, elles se propagent comme des ondes concentriques de plus en plus larges.
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J'ai vu ma mère pour la première fois le soir de sa mort. La seconde fois, c'était à une réception à Santa Fe.
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Parfois, entre deux personnes, s’installe un silence vide. Parfois, au contraire, le silence est si plein de mots qu’on refuse de le briser pour tout dire, de crainte de ne pas y parvenir.
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Je m’aperçus assez vite que riposter n’est qu’un réflexe, dicté par la crainte de souffrir. La meilleure façon d’oublier les risques, c’est de se concentrer sur ses propres capacités.
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Elle connaissait la vie et elle disait aussi que même le savoir se paie. On devient dépendant de ce qu’on apprend. De tout acquis, d’une manière générale.
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