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3,63

sur 71 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ah tiens, encore un roman post-apo sur la fin du monde causée par des zombies… me direz-vous d'entrée. Oui, PariZ est un roman post-apo sur la fin du monde causée par des zombies, mais ce premier roman de Rodolphe Casso paru chez les éditions Critic propose une aventure bien plus enthousiasmante que ce simple pitch, d'autant que la couverture signée Aurélien Police donne bien envie !

La Gâchette, La Goutte, La Gobe avec son chien Goa, voilà les personnages principaux que nous suivons dans PariZ ! L'auteur nous les présente au départ avec des chapitres dédiés à chacun d'eux qui sont des tableaux à tomber (littéralement), chacun ayant sa petite expérience le rendant particulier : La Gâchette est un enfant-soldat hanté par ses tueries passées ; La Goutte est un vieillard impotent hanté par ses cuites passées, présentes et futures ; La Gobe est un jeune teuffeur hanté par la musique techno et électro qui semble l'avoir rendu fou et seul son chien Goa le maintient en vie ; tous trois sont des clochards vivant dans le métro parisien. En plus de l'aventure de ce trio, nous suivons également les mésaventures de la Goule, mort-vivant anonyme errant dans Paris. Autant le dire tout net, le casting de départ envoie sacrément de la gnôle et ce n'est pas leur rencontre avec un duo de militaires fascisants qui va les arranger !
Comme dans tout roman qui tourne autour d'une histoire de zombies, il est tentant de ne faire que chercher les originalités. Ici, rien que le fait de suivre des héros en marge de la société est intéressant : à l'image des vieillards de L'Évangile Cannibale (Fabien Clavel, ActuSF, 2014), les clochards de PariZ sont autant en mauvais état que les morts-vivants qu'ils se doivent d'affronter. Outre cela, la gestion de ces zombies reste classique (bruit qui les attire, odeur qui immunise, tête à faire sauter pour arrêter toute fonction motrice, etc.). Toutefois, nous sommes quand même en plein Paris, alors quitte à être là, autant se servir du paysage et c'est là le gros point fort de Rodolphe Casso : il aime cette ville. Des citations personnalisées à chaque début de chapitre, des références dans tous les coins et un itinéraire qu'on pourrait suivre sur un plan du métro : Paris déborde de toutes les pages, on ne peut pas reprocher un manque de repères accordés au lecteur ! À cela, l'auteur convoque l'une des caractéristiques politiques des Français : la tentation fasciste, au sens de la tentation de l'homme providentiel… En effet, la principale péripétie de notre trio de clochards est leur rencontre avec deux militaires partis en commando pour une mission-suicide, envoyés par un colonel qui a pris d'assaut l'Assemblée nationale !
Rodolphe Casso a bien travaillé son style dans PariZ. Outre ces premiers chapitres particulièrement marquants, il se permet d'être extrêmement détaillé dans chaque action menée par les protagonistes sans pour autant que la lecture n'en soit gênée. La beauté du style s'essouffle peut-être légèrement une fois que l'action se lance, mais d'une manière générale, c'est surtout qu'une fois que sont propulsés l'élan d'espoir des héros et l'élan de connerie de leurs différentes rencontres, l'enjeu est suffisamment posé pour vraiment pouvoir surprendre davantage le lecteur dans la deuxième moitié du livre. L'accumulation de références musicales plus ou moins appréciées pourrait agacer certains lecteurs, mais cela relève plutôt de la partie « fun et aventure » de PariZ.

PariZ reste donc comme un bon souvenir de lecture, et certains passages seront à relire pour en apprécier tout le vocabulaire. L'univers est certes restreint et la fin particulièrement énigmatique, ce long roman vaut le coup.
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Tu aimes le tartare, le carpaccio, les sushis ? Bref, tu aimes la chair fraiche.
Peut-être es tu un zombie !
Mais n'es crainte, l'alcool* peut t'aider à surmonter cette apocalypse.
* L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération

Trois clodos, deux barbouzes, un clebs et des zonards affamés, voilà pour la galerie de personnages hauts en couleurs. Une histoire assez classique : l'Apocalypse zombie. Bref, rien de nouveau sous le soleil. Et 500 pages, de quoi me faire peur plus que les zombies : est ce que tout cela n'aurait pas pu tenir en 200 pages ?
Alors, pourquoi vouloir m'attaquer à ce roman ? Je voulais lire Nécropolitains, mais comme le pitch se déroulait un an après les évènements de PariZ...

Et puis, étonnamment, je me vois tourner les pages assez rapidement pour découvrir les aventures de cette bande d'hurluberlus : un jeune écervelé, littéralement, un clochard puant et un noir en proie aux démons. Au fil du récit, c'est leur histoire qui nous est contée ou comment ils sont devenus des zombies aux yeux de la société ou plutôt comment la société les a zombifié, clochardisé.

Quelques épisodes haut en couleur, comme ce festival de la chanson sur les champs Elysées qui finit par un feu d'artifice de sons et d'images, avec notre feu rocker national en guest star.
Le récit est entrecoupé des pérégrinations d'une goule à travers les rues parisiennes, ses monuments historiques noyés dans la société de consommation. le chapitre 67 nous met clairement dans ses pensées. Brrr, effrayant. Et magnifique coup de l'auteur.
La majeure partie se passe dans le métro, loin du Paris touristique mais que tout à chacun a emprunté si il est descendu ou monté à la Capitale. L'auteur se prend parfois un peu trop comme un guide du tourisme, et se perd par courts moments dans la description des bâtiments, couloirs du métro, cassant le rythme du récit. Mais l'ambiance est bonne, le gore peu présent et les personnages gouailleurs remportent la mise, le tout sous une magnifique couverture.

Une lecture addictive, divertissante, plaisante et pleine d'humour,. que demande le peuple ?
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Il y avait longtemps que je n'avais pas lu de romans avec des zombies et cela me manquait ! J'avais repéré « PariZ » suite à une Masse Critique sur l'imaginaire et ne souhaitais pas passer à côté de cet ouvrage intriguant… Je l'ai donc acheté et ne le regrette pas, car j'ai passé un très bon week-end en compagnie de l'équipe 4G : La Goutte, La Gâchette, La Gobe et son chien Goa. Ce sont des personnages atypiques auxquels on s'attache qui se révèlent plus fouillés qu'il n'y paraît… Malgré sa patte folle et son penchant pour la bouteille, La Goutte va se révéler intelligent et émouvant. Il m'a particulièrement touchée lorsqu'il a raconté son passé à la fin du roman… Avec La Gâchette, on va aborder les thématiques du racisme et des enfants-soldats en découvrant son enfance particulièrement traumatisante. C'est un homme droit, avec des valeurs et une sacrée maîtrise du combat… Sans lui, je doute que le quatuor s'en serait sorti aussi longtemps ! Goa, le chien, a été très utile au groupe. Bien dressé, il a su donner des coups de mâchoires et défendre ses maîtres lorsqu'il le fallait. Bien que la présence d'un animal soit récurrente dans l'univers Z, j'aime lorsqu'il y en a un. La Gobe est le protagoniste que j'ai le moins aimé : il ne sert vraiment à rien, n'est pas très drôle et semble être un bagage que l'on porte à travers tout Paris… le chapitre dédié à son passé ne m'a pas touchée. J'avais espéré que La Gobe se révèle à un moment ou à un autre, hélas, il n'en est rien. Il faut dire que le groupe de la Restauration Française, La Gâchette, La Goutte et Goa prennent déjà pas mal de place dans le récit et sont bien développés… Mais quand même ! J'avais un petit espoir… Tout comme j'avais aspiré à une présence féminine ! Malheureusement, tous les personnages sont masculins. Il n'y a qu'une poignée de « zombettes » que l'on pourrait considérer comme des femmes. Bien que j'aie passé un bon moment, j'avoue qu'une touche féminine m'a manqué…

Bien qu'il ne soit pas novateur en terme de rebondissements, le scénario m'a plu : j'ai trouvé original le fait que l'on découvre la pandémie à travers le groupe de sans-abris. Ces derniers sont en marge de la société, ils n'ont pas les médias et ont l'esprit embrumé par la bouteille. Ils n'ont donc pas fait attention à tout ce qu'il se passait. La Goutte m'avait particulièrement interpellée lorsqu'il a réussi à passer miraculeusement à côté de plusieurs zombies sans se faire attaquer… Je me demandais pour quelles raisons les revenants ne le voyaient pas, surtout la première fois. J'ai rapidement compris la cause, toutefois je n'en dirais pas plus afin de ne spoiler personne. Les 4G vont faire la rencontre de la Restauration Française, un groupe qui a de sacrés projets… Ensemble, ils vont parcourir les rames du métro et vont tenter l'impossible pour éradiquer un maximum de zombies. Les suivre est vraiment plaisant, parfois drôle et sans temps morts. Pour une fois, on se concentre vraiment sur la survie et la petite équipe ne rencontre pas un autre groupe rempli de psychopathes comme c'est le cas avec « Ex Heroes », « The Walking Dead », « Apocalypse Z », « Les Survivants », « Les Marcheurs » ou d'autres sagas. Ça change et ce n'est pas pour me déplaire ! Par ailleurs, on suit régulièrement la marche de la Goule, un mort-vivant qui va se nourrir, attaquer et progresser à travers la capitale. Sa présence est sympathique : il est plaisant de voir ce qu'il se passe du côté des zombies… Autre élément plaisant : tout le travail de Rodolphe Casso sur Paris. En début de chapitres, il y a régulièrement des citations sur la ville, que ce soient des extrais de discours, des citations de livres, des paroles rapportées, etc. de plus, les descriptions de la ville ou des décors sont riches sans pour autant être lourdes.

Voilà un livre Z que je ne suis pas prête d'oublier ! Hormis la conclusion qui est un peu rapide, j'ai adoré les personnages, l'ambiance, l'humour décalé, le style d'écriture et le rythme du récit. Un premier roman réussi ! Si vous aimez le post-apo' ou nos chères goules dégoulinantes de tripes et de sang, n'hésitez pas à le découvrir.

Lien : https://lespagesquitournent...
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Un roman zombiesque assez barré qui se déroule dans les rues et le métro de Paris.
Nous allons suivre trois sdf (La Gâchette, La Goutte et La Gobe) qui vont se retrouver malgré eux a devoir faire équipe avec une bande de néonazi qui ont prit d'assaut l'assemblée national pour s'en sortir.
Le roman est plein de petit clin d'oeil. Les personnages très sympathique.
Les amoureux de Paris ne devrait pas se sentir perdu et apprécieront certainement.
Un petit mot pour la couverture, qui comme d'habitude avec les éditions Critic est magnifique.
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Amis des personnages bien foutus vous allez être servis car c'est bien la grande force de ce roman qui s'ouvre sur l'éveil post-alcoolisation de l'extrême de la Goutte dans une station de métro, engoncé dans un manteau de fourrure dégueulasse et pas vraiment au fait de ce qui se trame au-dessus de sa tête. Cette vie souterraine, symbole ultime de l'exclusion du vieillard et de ses deux comparses, va devenir leur meilleure chance de survie quant, à l'air libre, 99% de la population se traîne lamentablement dans une morne quête de chair humaine. Il suffit de quelques lignes pour être happé par le style de l'auteur et par ces personnages uniques qui sont eux-mêmes des personnages, par ces survivants qui sont déjà des survivants, chacun à leur manière.

L'intrigue prend un nouveau tour lorsqu'ils sont contraints d'ouvrir leur planque à deux militaires de la Restauration Française, tous deux dotés d'une grande ouverture d'esprit et d'un « très bon ami maghrébin ». Si La Gâchette, marginal mais combattant hors-pair, porte bien son nom, la précision du dénommé Kévin avoisinant plutôt celle du Stormtrooper, le chef des deux nazillons voit bientôt l'intérêt d'embarquer la joyeuse bande pour mener à bien un plan délirant pour bouter les zombies hors de Paris.

Ce qui est génial dans ce roman, c'est qu'on ne sait jamais vraiment où on va, mais ON Y VA, et Rodolphe Casso nous réserve des scènes d'action hallucinantes, des situations, des dialogues à mourir de rire et des twist à tomber qui nous font oublier le petit manque côté contextualisation de la pandémie. En plus de cela, il ne manque pas de rendre un bel hommage à la culture populaire et à la musique en particulier (attendez-vous par contre à le maudire, Les Lacs du Connemara, c'est comme A la Volette, ça reste.)

Mais mon petit coup de coeur est de l'autre côté de la barrière, en plein dans la tête de la Goule. Ce zombie et sa balade mélancolique dans Paris remet la capitale en perspective, en révèle toute la beauté, la cruauté, l'histoire et l'absurdité mercantile. Et pour l'empathie ressentie pour une coquille vide, j'ai envie de dire chapeau.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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our un premier roman publié, Rodolphe Casso fait preuve d'une grande maîtrise de sa plume et propose une histoire vraiment rythmée que l'on suit avec beaucoup de plaisir. Je sais, c'est pas très sympa pour les personnages. L'intrigue est bien construite et propose des enchaînements de points de vue qui permettent de voir l'histoire sous différents angles... Même de celui des zombies ! Quand on commence Pariz, on ne sait pas vraiment où l'on va... et on est surprit de voir où on est arrivé dans les dernières pages. Autant vous dire que le suspens et les rebondissements sont bien présents, notamment grâce à la brièveté des chapitres.


Le roman met en scène plusieurs catégories de personnages : les habituels survivants, des guerriers - peu fréquentables il faut l'avouer, de vrais racistes - et des sans-abri vivant dans le métro. Et une goule. Chacun possède sa propre personnalité - bonne ou mauvaise, je ne jugerai pas - qui se révèle terriblement réaliste. L'auteur a su conférer à ses protagonistes des traits et des réactions qui montre une très bonne connaissance du genre humain. Et parfois, il faut avouer que l'on suit les personnages un peu parce qu'ils sont là et qu'on n'a pas vraiment le choix...

Mais il y a un hic. J'aime bien savoir beaucoup de choses à propos des protagonistes. Or, on en apprend beaucoup sur La Gâchette et La Gobe, mais pas beaucoup à propos de la Goutte, mis à part quelques lignes à la fin du texte. Cet homme semble posséder un background très riche et il est dommage d'en savoir aussi peu. Mais ce parti pris de l'auteur laisse la porte ouverte à l'imagination du lecteur.

La suite sur le blog !
Lien : http://laplume-ou-lavie.blog..
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En général, je ne suis pas spécialement attirée par les histoires de zombies. Trop violent, trop sanglant à mon goût. Mais bon, des anti-héros dans un Paris post-apocalyptique, ça se tente.

Et au final, plutôt une bonne surprise. Bien sûr, on n'échappe pas au sanglant ni à la violence et les descriptions m'ont paru souvent très crues. Mais bizarrement, un peu de poésie se glisse parfois au détour d'une page et l'horreur apparaît alors presque auréolée d'une certaine beauté.

Un rythme nerveux, des chapitres courts (avec une mention spéciale pour le 67), nous sommes dans l'action pure, même quand nous suivons la goule dans son périple à travers un Paris post-apocalyptique.

Je me suis vite attachée à la Gâchette,  la Goutte et la Gobe, SDF, sans oublier bien sûr le chien Goa. Ces anti-héros, improbables survivants d'une pandémie hors normes, doivent faire face à de multiples menaces. Et à cet égard, les autres survivants n'apparaissent pas moins féroces que les zombies.
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Roman post-apo zombie se déroulant à Paris, nous suivrons un trio de héros pas comme les autres, La Goutte, Gâchette et la Gobe, accompagne du chien Goa, 3 clodos, chacun avec un lourd passif.
Ils vont être rejoint par 2 jeunes hommes d'une organisation paramilitaire, envoyé en mission pour liquider le plus de zombie possible, entre autre.
Il est intéressant de suivre cette galerie de personnages haut en couleurs lors de leurs périple, en redecouvrant Paris d'une autre manière.
Un bon roman zombie, genre que je n'avais pas lu depuis longtemps.
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Un roman de zombie bien sympathique.



Je lis peu de roman de zombie (d'ailleurs, je me demande si ce n'est pas mon premier).



La force de ce roman, ce sont ces personnages. En effet, les quatre clochards – le chien compris parce qu'il est plus éveillé que son maitre – sont tous très bien construits, mais pour autant tombés dans le misérabilisme ou la pitié. Dès le début, on connait le parcours de certains d'entre eux – La Goutte reste le plus mystérieux. Leurs histoires sont touchantes et l'on souffre avec et pour eux.

Mon affection va pour La Goutte. L'auteur distille des informations au fur et à mesure du récit, comme les gorgées de gnole, sur ce vieillard dont on a du mal à comprendre comment il tient toujours debout. J'avoue que j'ai vite calé une partie de son histoire (je suis tordue) et cela me l'a rendu encore plus sympathique.



Tout le livre est ponctué de « piste » sonore. Et bien que certains titres laissent à désirer pour leur qualité (kof), on peut dire que l'auteur a su faire part du meilleur de chaque morceau, notamment sur les champs Élysée que je ne regarderai plus jamais de la même manière…



Les chapitres sont super courts ce qui est hyper bien ! le roman ne se dévore que plus vite… mais pas aussi vite qu'un vivant part un zombie.



Il y a une chose que je n'ai pas trop aimée dans le livre : les longues descriptions des lieux de Paris. J'avoue ne pas être fan des récits qui décrivent les rues, les magasins, etc., des villes où se déroule l'action. Comment souvent je ne visualise pas à quoi ressemble ces endroits, je sors de ma lecture. Je comprends que ce type description puisse être utile dans un récit.

Un petit point négatif aussi du côté de la représentation féminine. Mais bon, mieux vaut un récit sans nana qu'un récit avec des potiches…Mais une clodo parmi le groupe aurait pu être sympa.



Cependant, j'avoue une petite déception pour la fin. Elle n'est pas mauvaise. Au contraire, elle propose une sorte de rêve fou où l'on ne peut que constater comment certaines personnes sont à côté de la plaque, même face à une apocalypse zombie. Mais ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. J'espérais quelques choses de plus… alcoolisées dirais-je.



Pariz n'en reste pas moins un bon roman qui se lit tout seul.
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Sympa mais sans plus.
Un point de vue différent qui relate quelques jours d'une invasion zombie en plein Paris avec son lot de personnages hétéroclites. C'est sûr que l'originalité est au rendez-vous mais pas assez de suspens à mon goût et des zombies peu réactifs, qui n'aspirent pas trop de danger malheureusement.
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