Critiques de Farah Anah (267)
UNE CLAQUE MONUMENTALE ! UNE DUOLOGIE SENSATIONNELLE ! UN COUP DE CŒUR CORROSIF !
Souvenez-vous, il y a tout juste une semaine, je me retrouvais enfermée dans l’hôpital psychiatrique des éditions Black Ink. Suite à la lecture du premier opus de la saga ESME, la folie s’était emparée de moi. A tel point, que l’on m’a interné de force pour mon propre bien.
Prise en charge par ma psy, Sarah Berziou, j’ai pu démarrer une thérapie intensive en vue de ma lecture du second opus. Remarquez qu’elle ne m’a laissé qu’une seule semaine pour me remettre en selle. Je n’ai pu résisté à l’appel de la lecture, sachant le second tome dans ma liseuse, je me suis jetée dessus comme si ma vie en dépendait, et finalement c’était un peu le cas.
Avec le soutien de ma psy et la baronne, cette très chère Emma Landas, j’ai pu retrouver un semblant de raison, n’étant plus que l’ombre de moi-même, il fallait que replonge dans l’univers de Farah Anah.
« Je crèverai de la toucher, de la serrer contre moi, me couler en elle pour effacer toutes ses souffrances. »
DES PERSONNAGES QUI ONT BOUSCULÉS MON ÂME DE LECTRICE !
Durant cette longue semaine, j’ai tourné en rond dans cette chambre capitonnée. J’avais le manque d’Esme et d’Abain. La peur de découvrir la suite de leur histoire. J’ai eu le temps de me faire du mal, d’imaginer le pire et le début de la lecture m’a fait plonger au plus bas.
J’avais le graal entre les mains, la certitude que cette suite n’allait pas être tendre et ce fut le cas. Ce romantic suspense de haut vol m’a écorchée. J’ai dû me heurter à la bienveillance de ma psy, Sarah Berziou ne pensait pas que j’allais être assez forte pour lire cette suite d’un seul coup. Elle voulait que je me ménage, pauvre folle, va ! J’étais déjà au fond du trou et elle voulait m’y laisser moisir ? Telle une affamée, j’ai puisé la force dans mon fort intérieur, j’ai accompagné Esme et Abain dans ce dernier voyage qui m’a laissé sans voix.
« J’ai la sensation de vivre en parallèle, dans une dimension différente. Une existence où je n’ai jamais cessé de courir. Après la liberté, après l’amour, après l’espoir. Après Abain. »
UN SUSPENSE INSUPPORTABLE, DES RÉVÉLATIONS AHURISSANTES, DE L’AMOUR A REVENDRE…
Si le premier opus m’a mené tout droit à l’hôpital psy, ce second tome m’aura tourmenté comme jamais. A grand coup d’anxiolytique, j’ai tenu bon. J’ai bravé tous les obstacles, à fleur de peau et démunie, je suis arrivée au bout de cette magnifique histoire d’amour. L’univers sombre de l’autrice teinté d’espoir m’a sortie de cette lourde léthargie en me ramenant à la vie.
Putain, j’en tremble encore. Un scénario intelligent, un suspense insupportable, des révélations qui m’ont donné le tournis, de l’amour à revendre… Cette duologie est intense, entre les murs de ma chambre, j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux. Sous l’influence de cette Farah Anah, une véritable psychopathe, moi je vous le dit. J’espère bien qu’elle va continuer de sévir finalement, car j’ai développé une réelle addiction, qui selon ma psy, cette chère Sarah, je ne réussirai jamais à m’en défaire. Aucune méthode de substitution quand on développe ce genre d’addiction.
« Ça n’a jamais été que toi, même quand tu n’y croyais plus. »
UNE HISTOIRE D’AMOUR SINGULIÈRE, DÉCHIRANTE ET SUBLIME !
Durant ma courte thérapie, ma psy m’a dit que c’était normal que je recherche des histoires qui sortent des sentiers battus, elle me connais finalement bien cette sacrée Sarah Berziou. Elle m’a sorti son baratin pour m’endormir, mais elle avait finalement raison.
Cette romance fut comme une révélation, à l’instar de Green Oak, Le cri du silence… Cette duologie s’est ancrée profondément en moi, m’a remué les tripes. J’avais besoin de cette aventure, de découvrir une histoire pleine de suspense avec une intrigue indescriptible. J’avais besoin d’avoir mal comme Esmé, d’aimer à m’en rendre malade. Durant mon séjour à l’hôpital Black Ink, j’ai eu le temps de m’imprégner de cette histoire, de cerner Esmé et Abain, mais mon Dieu, je n’étais pas prête. Je suis allé de surprise en surprise.
J’étais déjà en train de faire un travail sur moi-même psychologiquement, et à peine la première page tournée, j’ai été propulsé dans un monde parallèle au mien, j’ai été une spectatrice impuissante face à tous les rebondissements.
J’ai dû faire de nombreuses pauses, pour hurler, pleurer ma douleur et essayer de me débarrasser de cette sensation que tout ce qui arrivait à Esmé m’arrivait aussi en même temps. Très forte, la Farah Anah, dans le genre je t’arrache le cœur, je te retourne les tripes, elle se pose là.
Le paysage défile en même temps que les pires années de mon existence. Je découvrirai enfin le visage de celui qui m’a plongée au fond du trou, qui a indirectement tiré les ficelles de la vie d’Abain.
Les flammes de la vengeance crépitent dans mes entrailles. Un souffle violent les embrase davantage à chaque kilomètre parcouru.
UN MÉLANGE A VOUS RENDRE DINGUE !
Si vous êtes de ceux qui pense que la lecture n’a aucun pouvoir, passez votre chemin. Je ne suis pas folle, ou ne serait-ce qu’un peu, un chouia, bon d’accord, je ne suis peut-être pas la lectrice la plus équilibrée qui soit, mais passons. La lecture c’est bien plus fort que n’importe quelle drogue… Impossible de s’en défaire. Les mots ont un ascendant terrifiant sur le lecteur, surtout lorsqu’ils sont maniés de cette façon. C’était brillant, fascinant !
Action, suspense, sexe, manipulation, haine, remords et j’en passe. La Farah Anah elle nous file un mélange à nous rendre dingue. Cette diablesse, sans scrupule, m’a transcendée. Je n’étais plus totalement présente durant cette lecture et vous savez quoi ? Je me meurs d’avoir terminé le livre.
Comment reprendre le cours de ma vie ? J’ai besoin de conseils… Je crois que je vais devoir continuer à consulter cette fichue psy… Je la soupçonne d’alimenter mon addiction, elle dit que c’est pour mon bien… Mais est-ce vrai ?
J’ai cette sensation de manque, affreuse, insidieuse et profonde. J’ai eu l’autorisation de sortir, de retourner à ma vie d’avant, mais sans Esmé et Abain, ne vais-je pas dépérir à petit feu ? La seule solution que j’ai trouvé, c’est de me souvenir du cheminement de l’histoire, de capter l’essence même de cette romance, et j’ai la certitude que j’irai un jour bien sans eux.
Farah Anah… C’est à toi que je m’adresse ! Oui, toi ! Que fais-tu de tes lectrices ? As-tu des remords de les rendre dépendantes de ta plume ? De les tourmenter, de les écorcher vives ? Comment ça, je vais un peu loin ? Non, parce que là, je ressens un vide. Cette duologie m’a hantée des jours durant, et je sais pertinemment que le souvenir d’Esmé et d’Abain n’est pas prêt de s’estomper. Il va falloir que je vive avec, pas le choix.
« — J’ai l’impression de rêver, s’épanche-t-elle. Je ne sais pas si c’est un bon ou un mauvais rêve, parce que je me sens vaseuse, que mes bleus et ma gorge me font un mal de chien, mais être ici, avec toi, t’embrasser, te toucher… ça me paraît invraisemblable.
— C’est la réalité, ma zingara. »
EN BREF :
Je ne vis que pour lire ce genre d’histoire. Farah Anah nous offre là un véritable chef-d’oeuvre. Un duologie sensationnelle, un romantic suspense de haut vol qui m’a rendu folle du début à la fin. Le tour de force a été de me faire adhérer à tous les aspects de son histoire, qu’on se le dise, je suis vraiment exigeante, je recherche sans cesse l’histoire qui fera vibrer mon âme. En me lançant dans cette suite, j’avais le cœur prêt à exploser, soyez prévenu, l’autrice ne rigole pas. Je ne peux qu’applaudir l’effort, ce récit est intense, singulier et sort des sentiers battus. J’aime les intrigues avec beaucoup de psychologie, avec des rebondissements imprévisibles et intelligents, et l’autrice m’a donné tout ce dont j’avais besoin pour exulter, pour jouir de ce plaisir que je cherche tant dans la lecture. Et je peux vous dire que la jouissance est au rendez-vous de ce second opus, ainsi que l’amour, celui qui transcende tout, celui qui vous fait devenir meilleur et qui prend possession de tout votre être. Magistral. Parfait !
Lien : http://www.lmedml.fr/2019/10..
Souvenez-vous, il y a tout juste une semaine, je me retrouvais enfermée dans l’hôpital psychiatrique des éditions Black Ink. Suite à la lecture du premier opus de la saga ESME, la folie s’était emparée de moi. A tel point, que l’on m’a interné de force pour mon propre bien.
Prise en charge par ma psy, Sarah Berziou, j’ai pu démarrer une thérapie intensive en vue de ma lecture du second opus. Remarquez qu’elle ne m’a laissé qu’une seule semaine pour me remettre en selle. Je n’ai pu résisté à l’appel de la lecture, sachant le second tome dans ma liseuse, je me suis jetée dessus comme si ma vie en dépendait, et finalement c’était un peu le cas.
Avec le soutien de ma psy et la baronne, cette très chère Emma Landas, j’ai pu retrouver un semblant de raison, n’étant plus que l’ombre de moi-même, il fallait que replonge dans l’univers de Farah Anah.
« Je crèverai de la toucher, de la serrer contre moi, me couler en elle pour effacer toutes ses souffrances. »
DES PERSONNAGES QUI ONT BOUSCULÉS MON ÂME DE LECTRICE !
Durant cette longue semaine, j’ai tourné en rond dans cette chambre capitonnée. J’avais le manque d’Esme et d’Abain. La peur de découvrir la suite de leur histoire. J’ai eu le temps de me faire du mal, d’imaginer le pire et le début de la lecture m’a fait plonger au plus bas.
J’avais le graal entre les mains, la certitude que cette suite n’allait pas être tendre et ce fut le cas. Ce romantic suspense de haut vol m’a écorchée. J’ai dû me heurter à la bienveillance de ma psy, Sarah Berziou ne pensait pas que j’allais être assez forte pour lire cette suite d’un seul coup. Elle voulait que je me ménage, pauvre folle, va ! J’étais déjà au fond du trou et elle voulait m’y laisser moisir ? Telle une affamée, j’ai puisé la force dans mon fort intérieur, j’ai accompagné Esme et Abain dans ce dernier voyage qui m’a laissé sans voix.
« J’ai la sensation de vivre en parallèle, dans une dimension différente. Une existence où je n’ai jamais cessé de courir. Après la liberté, après l’amour, après l’espoir. Après Abain. »
UN SUSPENSE INSUPPORTABLE, DES RÉVÉLATIONS AHURISSANTES, DE L’AMOUR A REVENDRE…
Si le premier opus m’a mené tout droit à l’hôpital psy, ce second tome m’aura tourmenté comme jamais. A grand coup d’anxiolytique, j’ai tenu bon. J’ai bravé tous les obstacles, à fleur de peau et démunie, je suis arrivée au bout de cette magnifique histoire d’amour. L’univers sombre de l’autrice teinté d’espoir m’a sortie de cette lourde léthargie en me ramenant à la vie.
Putain, j’en tremble encore. Un scénario intelligent, un suspense insupportable, des révélations qui m’ont donné le tournis, de l’amour à revendre… Cette duologie est intense, entre les murs de ma chambre, j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux. Sous l’influence de cette Farah Anah, une véritable psychopathe, moi je vous le dit. J’espère bien qu’elle va continuer de sévir finalement, car j’ai développé une réelle addiction, qui selon ma psy, cette chère Sarah, je ne réussirai jamais à m’en défaire. Aucune méthode de substitution quand on développe ce genre d’addiction.
« Ça n’a jamais été que toi, même quand tu n’y croyais plus. »
UNE HISTOIRE D’AMOUR SINGULIÈRE, DÉCHIRANTE ET SUBLIME !
Durant ma courte thérapie, ma psy m’a dit que c’était normal que je recherche des histoires qui sortent des sentiers battus, elle me connais finalement bien cette sacrée Sarah Berziou. Elle m’a sorti son baratin pour m’endormir, mais elle avait finalement raison.
Cette romance fut comme une révélation, à l’instar de Green Oak, Le cri du silence… Cette duologie s’est ancrée profondément en moi, m’a remué les tripes. J’avais besoin de cette aventure, de découvrir une histoire pleine de suspense avec une intrigue indescriptible. J’avais besoin d’avoir mal comme Esmé, d’aimer à m’en rendre malade. Durant mon séjour à l’hôpital Black Ink, j’ai eu le temps de m’imprégner de cette histoire, de cerner Esmé et Abain, mais mon Dieu, je n’étais pas prête. Je suis allé de surprise en surprise.
J’étais déjà en train de faire un travail sur moi-même psychologiquement, et à peine la première page tournée, j’ai été propulsé dans un monde parallèle au mien, j’ai été une spectatrice impuissante face à tous les rebondissements.
J’ai dû faire de nombreuses pauses, pour hurler, pleurer ma douleur et essayer de me débarrasser de cette sensation que tout ce qui arrivait à Esmé m’arrivait aussi en même temps. Très forte, la Farah Anah, dans le genre je t’arrache le cœur, je te retourne les tripes, elle se pose là.
Le paysage défile en même temps que les pires années de mon existence. Je découvrirai enfin le visage de celui qui m’a plongée au fond du trou, qui a indirectement tiré les ficelles de la vie d’Abain.
Les flammes de la vengeance crépitent dans mes entrailles. Un souffle violent les embrase davantage à chaque kilomètre parcouru.
UN MÉLANGE A VOUS RENDRE DINGUE !
Si vous êtes de ceux qui pense que la lecture n’a aucun pouvoir, passez votre chemin. Je ne suis pas folle, ou ne serait-ce qu’un peu, un chouia, bon d’accord, je ne suis peut-être pas la lectrice la plus équilibrée qui soit, mais passons. La lecture c’est bien plus fort que n’importe quelle drogue… Impossible de s’en défaire. Les mots ont un ascendant terrifiant sur le lecteur, surtout lorsqu’ils sont maniés de cette façon. C’était brillant, fascinant !
Action, suspense, sexe, manipulation, haine, remords et j’en passe. La Farah Anah elle nous file un mélange à nous rendre dingue. Cette diablesse, sans scrupule, m’a transcendée. Je n’étais plus totalement présente durant cette lecture et vous savez quoi ? Je me meurs d’avoir terminé le livre.
Comment reprendre le cours de ma vie ? J’ai besoin de conseils… Je crois que je vais devoir continuer à consulter cette fichue psy… Je la soupçonne d’alimenter mon addiction, elle dit que c’est pour mon bien… Mais est-ce vrai ?
J’ai cette sensation de manque, affreuse, insidieuse et profonde. J’ai eu l’autorisation de sortir, de retourner à ma vie d’avant, mais sans Esmé et Abain, ne vais-je pas dépérir à petit feu ? La seule solution que j’ai trouvé, c’est de me souvenir du cheminement de l’histoire, de capter l’essence même de cette romance, et j’ai la certitude que j’irai un jour bien sans eux.
Farah Anah… C’est à toi que je m’adresse ! Oui, toi ! Que fais-tu de tes lectrices ? As-tu des remords de les rendre dépendantes de ta plume ? De les tourmenter, de les écorcher vives ? Comment ça, je vais un peu loin ? Non, parce que là, je ressens un vide. Cette duologie m’a hantée des jours durant, et je sais pertinemment que le souvenir d’Esmé et d’Abain n’est pas prêt de s’estomper. Il va falloir que je vive avec, pas le choix.
« — J’ai l’impression de rêver, s’épanche-t-elle. Je ne sais pas si c’est un bon ou un mauvais rêve, parce que je me sens vaseuse, que mes bleus et ma gorge me font un mal de chien, mais être ici, avec toi, t’embrasser, te toucher… ça me paraît invraisemblable.
— C’est la réalité, ma zingara. »
EN BREF :
Je ne vis que pour lire ce genre d’histoire. Farah Anah nous offre là un véritable chef-d’oeuvre. Un duologie sensationnelle, un romantic suspense de haut vol qui m’a rendu folle du début à la fin. Le tour de force a été de me faire adhérer à tous les aspects de son histoire, qu’on se le dise, je suis vraiment exigeante, je recherche sans cesse l’histoire qui fera vibrer mon âme. En me lançant dans cette suite, j’avais le cœur prêt à exploser, soyez prévenu, l’autrice ne rigole pas. Je ne peux qu’applaudir l’effort, ce récit est intense, singulier et sort des sentiers battus. J’aime les intrigues avec beaucoup de psychologie, avec des rebondissements imprévisibles et intelligents, et l’autrice m’a donné tout ce dont j’avais besoin pour exulter, pour jouir de ce plaisir que je cherche tant dans la lecture. Et je peux vous dire que la jouissance est au rendez-vous de ce second opus, ainsi que l’amour, celui qui transcende tout, celui qui vous fait devenir meilleur et qui prend possession de tout votre être. Magistral. Parfait !
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Ce qu’il me tardait de découvrir cette suite ! Le premier tome m’a tellement plu, j’ai plongé dans un univers tissé de toute pièce par l’auteure et une fois tombée dedans, se fut dur de s’arrêter pour attendre cette suite. J’ai replongé avec plaisir dans cette suite, qui enchaine directement sur la continuité de l’histoire, on est alors pris dans une déferlante d’événements qui n’ont pas cessé tout du long de la lecture.
Que de rebondissements ! Ce tome est épique, il s’y passe tellement de choses. Le premier tome avait posé la structure d’une histoire avec des clans et des peuples différents qui combattent les uns contre les autres et nous avait alors révélé bien des faits sur les enjeux de chacun d’eux. Ici l’histoire se poursuit et elle présente bien des secrets qui nous seront dévoilés au fil des pages. C’est un récit complètement captivant, on a l’impression d’être pris dans une histoire qui ne s’arrête jamais de rebondir et c’est très entrainant de suivre les aventures de ses personnages.
C’est un retour aux sources pour Sanaé, qui revient à Celestia après sa captivité à Draone. Un retour plutôt compliqué, ce qu’elle a vécu de l’autre côté des murs a laissé des traces en elle, et elle va devoir s’en remettre. Mais elle est ici, dans un but très précis, obtenir des réponses sur les doutes que Leith a su insuffler dans son esprit sur ceux qui gouvernent Celestia. Il devient difficile de savoir à qui se fier, car chacune de ses personnalités dirigeantes ne veulent qu’une chose : avoir le pouvoir sur l’autre. Mais cette guerre n’a que trop duré et Sanaé est persuadée qu’il y a un moyen pour qu’elle cesse.
La position de Sanaé au sein de cette société et par de là les murs a toujours été ambigüe, sa particularité par rapport à ce que faisait son père, fait d’elle un personnage clé pour atteindre le pouvoir. C’est ainsi qu’elle sera constamment en danger et elle va faire avec cette peur constante que lui insuffle tant de personnages froids et malsains, qui n’ont jamais été franc avec elle. Le doute et la peur sont de mises, et elle va devoir oeuvrer pour obtenir des réponses parmi tant de personnes influentes sans savoir en qui, elle peut avoir confiance. Cette atmosphère lourde d’interrogations et de doutes, alliée à cet état de guerre et de menaces permanentes ne font que rendre la situation que plus compliquée encore. A cela ajoutez, l’ambiguité de la relation qu’entretient Sanaé avec Leith et vous obtenez une situation explosive. Sanaé a beaucoup muri avec cette expérience, la jeune femme qui fonçait tête baissée sans prendre conscience du danger est toujours aussi téméraire, mais elle analyse plus ce qu’elle fait. Dans ce tome, elle va se poser bien des questions, et elle va déterrer des secrets bien enfouis, de ceux auxquels on ne s’attendait pas.
Concernant ses sentiments, elle ne peut s’empêcher d’aimer cet homme qui lui a fait tant de mal de bien des façons, elle souhaiterait que sa colère vis à vis de lui prenne le pas sur l’amour qu’elle éprouve pour lui mais c’est plus fort qu’elle. En revenant à Celestia, elle va retrouver bien des personnes auxquelles elle tient plus que tout, mais elle ne sait plus en qui avoir confiance, la situation est plus que préoccupante et son cercle d’amis va devenir de plus en plus restreint. Si son coeur balance, nous aussi, nous nous poserons des tas de questions sur ce qu’elle vit et sur les choix qui vont être les siens. Tous les personnages de cette histoire sont passionnants à suivre, au delà des deux principaux, il y a tous les proches de Sanaé ainsi que ceux proche de Leith. Chacun d’eux aura un rôle important à jouer dans l’histoire de ces peuples, leurs actes auront des répercutions sur le déroulement de ce conflit. Ce qui est aussi très intéressant, c’est de les voir constamment évoluer selon ce qui se passe. L’auteure a fait en sorte que nous les connaissions suffisamment de façon à nous attacher à leur présence auprès des deux héros qui font cette histoire. Nous en détesterons certains, tandis que d’autres trouveront une place importante et plus attachante, ils sont tous intéressants avec leurs défauts et leurs qualités.
Leith reste ce personnage très imposant, tant dans sa prestance physique que dans ces actes. Il est fascinant de le suivre, tantôt nous le détesterons pour ce qu’il fait subir à Sanaé, tantôt nous nous rappèlerons ce qui les unit. Son peuple reste d’une cruauté sans pareil, mais nous les regardons autrement maintenant que nous avons appris à les connaitre. Leith va devoir s’imposer en tant que futur dirigeant des « Sauvages », il ne peut pas se permettre d’être faible. Et Sanaé, c’est sa faiblesse, elle est alors un pion que beaucoup aimerait voir disparaitre. Les conflits engendrés par cette guerre et le séjour qu’a effectué Sanaé auprès des siens, ont causé bien des tracas, Leith va devoir faire des choix, notamment sur la confiance qu’il donne à ses proches et à sa famille. Nous continuons d’appréhender son personnage qui agit toujours avec autant d’autorité et souvent beaucoup de brutalité. Il est partagé entre son devoir et ce qu’il ressent mais il ne doit pas se laisser attendrir, autant dire que cela engendre bon nombres de conflits. Dans ce besoin de bien faire pour son peuple, il commettra bien des impairs, allant parfois beaucoup trop loin et il devra en subir les conséquences.
Il se passe tellement de choses dans ce tome, on sent bien que la fin de cette histoire est proche et tout s’accélère, les pions sont jetés et c’est une course contre la montre que vont devoir jouer les personnages pour atteindre leur but. C’est le type d’histoire que l’on pourrait analyser des heures durant tellement l’auteure nous apporte de détails de façon à ce que l’on s’imagine bien l’ambiance. A la façon d’une série télé, tout comme certaines dystopies, on est plongé au coeur d’une histoire faites de rebondissements et où l’héroïne risque sa vie tout du long du récit.
Le sang des sauvages fut vraiment très additif, j’ai adoré l’univers proposé par l’auteure. Elle a su gérer son histoire avec aisance, et son univers et ses personnages sont bien assumés. Elle nous offre une histoire juste palpitante, conduite par des personnages très marqués par leur appartenance à tel ou tel peuple. La sauvagerie ne quittera jamais Leith et c’est un point important qui nous démontre bien que les « Sauvages » n’ont pas vécu comme les Célestins. Le fossé creusé entre deux peuples qui n’ont pas vécu de la même manière est ici comblé par l’attirance qui unit ces deux personnages que tout oppose. Malgré leurs différences, ils vont s’aimer envers et contre tous. Et ce malgré la souffrance que ce conflit va engendrer car tous deux vont subir de nombreux retour de bâtons et leurs actes seront parfois bien cruels envers l’autre.
Une lecture très prenante, j’ai tout adoré des couvertures à l’univers ainsi que le déroulement de l’histoire. En nous proposant cet univers imaginaire, Farah Anah nous a introduit dans son monde créé de toute pièce et c’est bluffant de voir de quelles façons cela fonctionne à merveille. C’est complètement dépaysant de pouvoir découvrir ces différents peuples et personnages. Un récit très entrainant que je vous conseille si vous aimez ces histoires où les peuples se déchirent pour obtenir gain de causes sur leur façon de vivre.
Petit mot pour finir : je reviens très rapidement sur les couvertures de cette série, que je trouve très représentatives de son histoire. Elles sont vraiment très belles et adaptée à cette romance. C’est d’ailleurs celle du premier tome qui m’a interpellé et m’a donc poussé à m’intéresser à ce roman. Elles ont cette obscurité qui caractérise bien l’ambiance générale du roman, tant dans la personnalité des personnages que dans leurs actes.
Lien : http://www.livresavie.com/le..
Que de rebondissements ! Ce tome est épique, il s’y passe tellement de choses. Le premier tome avait posé la structure d’une histoire avec des clans et des peuples différents qui combattent les uns contre les autres et nous avait alors révélé bien des faits sur les enjeux de chacun d’eux. Ici l’histoire se poursuit et elle présente bien des secrets qui nous seront dévoilés au fil des pages. C’est un récit complètement captivant, on a l’impression d’être pris dans une histoire qui ne s’arrête jamais de rebondir et c’est très entrainant de suivre les aventures de ses personnages.
C’est un retour aux sources pour Sanaé, qui revient à Celestia après sa captivité à Draone. Un retour plutôt compliqué, ce qu’elle a vécu de l’autre côté des murs a laissé des traces en elle, et elle va devoir s’en remettre. Mais elle est ici, dans un but très précis, obtenir des réponses sur les doutes que Leith a su insuffler dans son esprit sur ceux qui gouvernent Celestia. Il devient difficile de savoir à qui se fier, car chacune de ses personnalités dirigeantes ne veulent qu’une chose : avoir le pouvoir sur l’autre. Mais cette guerre n’a que trop duré et Sanaé est persuadée qu’il y a un moyen pour qu’elle cesse.
La position de Sanaé au sein de cette société et par de là les murs a toujours été ambigüe, sa particularité par rapport à ce que faisait son père, fait d’elle un personnage clé pour atteindre le pouvoir. C’est ainsi qu’elle sera constamment en danger et elle va faire avec cette peur constante que lui insuffle tant de personnages froids et malsains, qui n’ont jamais été franc avec elle. Le doute et la peur sont de mises, et elle va devoir oeuvrer pour obtenir des réponses parmi tant de personnes influentes sans savoir en qui, elle peut avoir confiance. Cette atmosphère lourde d’interrogations et de doutes, alliée à cet état de guerre et de menaces permanentes ne font que rendre la situation que plus compliquée encore. A cela ajoutez, l’ambiguité de la relation qu’entretient Sanaé avec Leith et vous obtenez une situation explosive. Sanaé a beaucoup muri avec cette expérience, la jeune femme qui fonçait tête baissée sans prendre conscience du danger est toujours aussi téméraire, mais elle analyse plus ce qu’elle fait. Dans ce tome, elle va se poser bien des questions, et elle va déterrer des secrets bien enfouis, de ceux auxquels on ne s’attendait pas.
Concernant ses sentiments, elle ne peut s’empêcher d’aimer cet homme qui lui a fait tant de mal de bien des façons, elle souhaiterait que sa colère vis à vis de lui prenne le pas sur l’amour qu’elle éprouve pour lui mais c’est plus fort qu’elle. En revenant à Celestia, elle va retrouver bien des personnes auxquelles elle tient plus que tout, mais elle ne sait plus en qui avoir confiance, la situation est plus que préoccupante et son cercle d’amis va devenir de plus en plus restreint. Si son coeur balance, nous aussi, nous nous poserons des tas de questions sur ce qu’elle vit et sur les choix qui vont être les siens. Tous les personnages de cette histoire sont passionnants à suivre, au delà des deux principaux, il y a tous les proches de Sanaé ainsi que ceux proche de Leith. Chacun d’eux aura un rôle important à jouer dans l’histoire de ces peuples, leurs actes auront des répercutions sur le déroulement de ce conflit. Ce qui est aussi très intéressant, c’est de les voir constamment évoluer selon ce qui se passe. L’auteure a fait en sorte que nous les connaissions suffisamment de façon à nous attacher à leur présence auprès des deux héros qui font cette histoire. Nous en détesterons certains, tandis que d’autres trouveront une place importante et plus attachante, ils sont tous intéressants avec leurs défauts et leurs qualités.
Leith reste ce personnage très imposant, tant dans sa prestance physique que dans ces actes. Il est fascinant de le suivre, tantôt nous le détesterons pour ce qu’il fait subir à Sanaé, tantôt nous nous rappèlerons ce qui les unit. Son peuple reste d’une cruauté sans pareil, mais nous les regardons autrement maintenant que nous avons appris à les connaitre. Leith va devoir s’imposer en tant que futur dirigeant des « Sauvages », il ne peut pas se permettre d’être faible. Et Sanaé, c’est sa faiblesse, elle est alors un pion que beaucoup aimerait voir disparaitre. Les conflits engendrés par cette guerre et le séjour qu’a effectué Sanaé auprès des siens, ont causé bien des tracas, Leith va devoir faire des choix, notamment sur la confiance qu’il donne à ses proches et à sa famille. Nous continuons d’appréhender son personnage qui agit toujours avec autant d’autorité et souvent beaucoup de brutalité. Il est partagé entre son devoir et ce qu’il ressent mais il ne doit pas se laisser attendrir, autant dire que cela engendre bon nombres de conflits. Dans ce besoin de bien faire pour son peuple, il commettra bien des impairs, allant parfois beaucoup trop loin et il devra en subir les conséquences.
Il se passe tellement de choses dans ce tome, on sent bien que la fin de cette histoire est proche et tout s’accélère, les pions sont jetés et c’est une course contre la montre que vont devoir jouer les personnages pour atteindre leur but. C’est le type d’histoire que l’on pourrait analyser des heures durant tellement l’auteure nous apporte de détails de façon à ce que l’on s’imagine bien l’ambiance. A la façon d’une série télé, tout comme certaines dystopies, on est plongé au coeur d’une histoire faites de rebondissements et où l’héroïne risque sa vie tout du long du récit.
Le sang des sauvages fut vraiment très additif, j’ai adoré l’univers proposé par l’auteure. Elle a su gérer son histoire avec aisance, et son univers et ses personnages sont bien assumés. Elle nous offre une histoire juste palpitante, conduite par des personnages très marqués par leur appartenance à tel ou tel peuple. La sauvagerie ne quittera jamais Leith et c’est un point important qui nous démontre bien que les « Sauvages » n’ont pas vécu comme les Célestins. Le fossé creusé entre deux peuples qui n’ont pas vécu de la même manière est ici comblé par l’attirance qui unit ces deux personnages que tout oppose. Malgré leurs différences, ils vont s’aimer envers et contre tous. Et ce malgré la souffrance que ce conflit va engendrer car tous deux vont subir de nombreux retour de bâtons et leurs actes seront parfois bien cruels envers l’autre.
Une lecture très prenante, j’ai tout adoré des couvertures à l’univers ainsi que le déroulement de l’histoire. En nous proposant cet univers imaginaire, Farah Anah nous a introduit dans son monde créé de toute pièce et c’est bluffant de voir de quelles façons cela fonctionne à merveille. C’est complètement dépaysant de pouvoir découvrir ces différents peuples et personnages. Un récit très entrainant que je vous conseille si vous aimez ces histoires où les peuples se déchirent pour obtenir gain de causes sur leur façon de vivre.
Petit mot pour finir : je reviens très rapidement sur les couvertures de cette série, que je trouve très représentatives de son histoire. Elles sont vraiment très belles et adaptée à cette romance. C’est d’ailleurs celle du premier tome qui m’a interpellé et m’a donc poussé à m’intéresser à ce roman. Elles ont cette obscurité qui caractérise bien l’ambiance générale du roman, tant dans la personnalité des personnages que dans leurs actes.
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Lecture compulsive, addictive. Une histoire déchirante et une héroïne bouleversante. Tout est fait pour nous rendre accro. Farah est une auteur sadique que j’ai aimée détester.
Je m'impatiente déjà de lire le second tome !
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Je m'impatiente déjà de lire le second tome !
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[ COUP DE COEUR ] Une très belle lecture, intense et forte en émotions ! Des personnages un brin torturés mais surtout très attachants ! Un récit prenant et captivant au point où je n'avais pas envie que ça ce termine ! Maintenant ma seule hâte ? De lire le prochain tome !! Je vous recommande vivement l'histoire d'Esme & Abain ♥
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Qu'elle plaise ou non la couverture de ce roman aura au moins l'avantage d'attirer l'attention, c'est d'ailleurs le côté sombre et sauvage qui m'a interpellé et décidé à découvrir ce livre.
Si vous aimez la dark fantasy vous allez être servis.
Farah Anah nous offre un univers où deux peuples se mènent une lutte sans merci pour l'appartenance à une terre. Sanaé, notre héroïne mène sa vie au sein de l'armée dans le seul but de détruire les sauvages qui ont tué son père et enlevé sa mère et sa soeur. Motivée par la vengeance, elle commet plusieurs bévues qui vont contrariés ses plans ; cependant son chemin va croisé celui d'un sauvage à plusieurs reprises et contre tout attente, il lui laissera la vie sauve à chaque fois.
Pourquoi ne pas l'avoir tué, dans quel but lui révèle t-on des choses qui vont à l'encontre de ses convictions et de ses croyances?
Un roman sombre, torride, crispant et complètement addictif. Un premier tome qui malmène ses personnages. Actions et émotions se succèdent à un rythme effréné et nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.
Une fin qui nous promet déjà une suite tout aussi intrigante.
Lien : http://ligneapresligne.over-..
Si vous aimez la dark fantasy vous allez être servis.
Farah Anah nous offre un univers où deux peuples se mènent une lutte sans merci pour l'appartenance à une terre. Sanaé, notre héroïne mène sa vie au sein de l'armée dans le seul but de détruire les sauvages qui ont tué son père et enlevé sa mère et sa soeur. Motivée par la vengeance, elle commet plusieurs bévues qui vont contrariés ses plans ; cependant son chemin va croisé celui d'un sauvage à plusieurs reprises et contre tout attente, il lui laissera la vie sauve à chaque fois.
Pourquoi ne pas l'avoir tué, dans quel but lui révèle t-on des choses qui vont à l'encontre de ses convictions et de ses croyances?
Un roman sombre, torride, crispant et complètement addictif. Un premier tome qui malmène ses personnages. Actions et émotions se succèdent à un rythme effréné et nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.
Une fin qui nous promet déjà une suite tout aussi intrigante.
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La plume de Farah Anah est entraînante et magnifique, elle sait nous amener à éprouver diverses émotions et nous faire surtout vibrer. Ces deux romans sont un concentré d’émotions, mêlant romance et dark fantasy, c’est captivant, exaltant, intriguant et palpitant. On joue entre trahison, sentiments, endoctrinement, horreur, manipulation, mensonge, espoir et tant d’autres, comment rester indemne après une telle lecture ? Certaines scènes sont vraiment dures et d’autres si touchantes que ça prend aux tripes. La seule chose que je n’ai cessé d’espérer au final, c’est que Sanaé et Leith est enfin le droit d’avoir un nous et un avenir heureux et surtout en paix, mais cela est-il seulement possible ?
Les premiers mots qui me viennent à l’esprit après avoir refermé ses deux tomes sont OMG ! J’avais déjà complètement adhéré au tome un, le tome deux m’a confirmé que cette série ferait partie de mes plus gros coups de cœur, c’est si complexe en émotions, qu’on en redemande.
Plus de détails sur notre site !
Lien : https://songedunenuitdete.co..
Les premiers mots qui me viennent à l’esprit après avoir refermé ses deux tomes sont OMG ! J’avais déjà complètement adhéré au tome un, le tome deux m’a confirmé que cette série ferait partie de mes plus gros coups de cœur, c’est si complexe en émotions, qu’on en redemande.
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Les premiers mots qui me viennent à l'esprit après avoir refermé ses deux tomes sont OMG ! J'avais déjà complètement adhéré au tome un, le tome deux m'a confirmé que cette série ferait partie de mes plus gros coups de coeur, c'est si complexe en émotions, qu'on en redemande.
Mais avant cela revenons à l'histoire de Sanaé et Leith, ils n'étaient pas faits pour se rencontrer, du moins pas la rencontre à laquelle on pense, car ils sont ennemis, le peuple de Leith est responsable de la mort de la famille de Sanaé et les sauvages se battent pour récupérer ce qui leur appartient de droit. C'est à l'occasion d'un combat hors des murs de la cité que le regard de Sanaé va croiser celui de Leith et que la danse entre eux va commencer.
Retrouver la chroniques complète sur notre site de Songe d'une nuit d'été !
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Mais avant cela revenons à l'histoire de Sanaé et Leith, ils n'étaient pas faits pour se rencontrer, du moins pas la rencontre à laquelle on pense, car ils sont ennemis, le peuple de Leith est responsable de la mort de la famille de Sanaé et les sauvages se battent pour récupérer ce qui leur appartient de droit. C'est à l'occasion d'un combat hors des murs de la cité que le regard de Sanaé va croiser celui de Leith et que la danse entre eux va commencer.
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De la dark fantasy, il en faillait de peu pour m’appâter et de plus, je n’avais qu’entendu du bien au sujet de Farah Anah. Alors zou, je me suis jetée tête la première dans une histoire qui s’avère dépoter bien plus que tu ne peux le penser. Un duo entre la romance et dark fantasy, merveilleusement maitrisé pour une histoire démentielle où le palpitant a bien des soucis à se faire.
Un univers saisissant !
En règle général dans la fantasy, l’univers proposé est crée de toute pièce. Un univers souvent étrange et contradictoire qui offre de multiples mises en scènes. Souvent divisé, en plusieurs régions où diffèrent chaque caractéristiques. Farah Anah ne fais pas fi aux règles et son univers a charmé la fan que je suis du genre. Les descriptions proposées sont judicieuses et rapides empêchant le lecteur de s’empêtrer dans tout un tas d’informations inutiles. Trois royaumes, un forêt occupée par des sauvages et des bêtes mystérieuses, une mer refermant de nombreuses légendes et monstres. Farah Anah offre de très belles balades dans des endroits tout aussi enchanteurs que romantiques et ose même te filer les frissons dans des décors digne d’Halloween. J’aime beaucoup toute cette palette que l’auteur explore, loin d’être figé dans un décor ce dernier évolue au rythme de l’histoire et au moment opportun.
Un melting pot surprenant de personnages !
Des rois, une princesse, des gardes royaux, des soldats, une garnison, des habitants, des chefs, des cochons sauvages comme moyen de transport, des enfants, des sauvages, de quoi te donner le tournis mais à ne pas te faire perdre la tête.
Parmi toute cette foule, une fille animée par une sentiment de vengeance. Sanae du haut de ses 17 ans avec ses rêves de devoirs et un besoin terrible d’assouvir sa rancœur envers les sauvages qui ont lâchement assassiné sa famille. Sanae est têtue, tête en l’air, maladroite, revancharde, solitaire. Acharnée, diaboliquement acharnée, elle se fourre dans des situations pas possibles et inimaginables. Son caractère est exécrable. Elle n’a qu’en tête sa vengeance personnelle et fait fi de son entourage. Personnellement, c’est le genre de personnage que je trouve exécrable et fatiguant. Elle ne cesse de se changer d’avis, un coup c’est blanc un coup c’est noir. Elle fonce tête baissé. Elle m’insupporte. Son comportement est grrrr !!! Elle réfléchit trop, elle pense trop, se pose trop de question, prend des tas des chemins au lieu de se positionner sur le plus direct. Très attachiante mais pas trop attachante !
Heureusement, que Leith est là pour relever le tout. Leith, est le fameux sauvage en question. Pour te donner une image : tu prends un viking, tu prends un Highlander, tu shakes tout ça et le résultat est très surprenant : un sauvage ! Dans le genre bien bâti, cheveux longs, yeux noirs, une forte carrure (bien évidemment) et tu ne peux que tomber dénue devant la caricature parfaite du mâle alpha. La masculinité dans toute sa splendeur ! (hop, on essuie la petite goute de bave au coin de la bouche). Leith est le bras droit du roi des Sauvages. Il dirige beaucoup d’opérations visant le royaume de Celestia (là où vit Sanae). Leurs motifs semblent lier à la pire des cruautés, mais tu verras que autre chose se cache sous se comportement agressif. Leith est une figure à part de sa communauté : droit dans ses bottes, intransigeant, fin manipulateur, humaniste, loin d’être égoïste, toujours à aider son prochain et surtout il déteste plus que tout que ses comparses violent. Alors oui j’adore Leith, plus que de raisons surement. Mais voilà, son charisme et sa volonté farouche fait de lui une personne admirable.
Ces deux personnages sont aux antipodes, pourtant leur rencontre va changer la donne.
De la dark et encore de la dark !
Rien n’est tout beau dans cet univers. Les personnages se battent pour une cause noble, mais au fil des pages le lecteur se rend compte de beaucoup de chose. Une atmosphère sombre et glaçante. Frayeur et scène abominable, il y a très peu de moment romantique. Les personnages abattus mais plein d’espoir dans leurs causes sont accaparés par les mauvais choix qui s’imposent à eux. Tout est noir. La cruauté des hommes est mise dans toute sa splendeur : des scènes de viols ou de violence envers les femmes et les enfants sont présentes. Du sang, des corps étêtés, des vers, des caves parfaits l’histoire.
En bref !
J’adore l’univers proposé par Farah Anah. Son histoire est aussi machiavélique que sensationnelle. Ses personnages sont à la hauteur de l’atmoshére crée. La trame de l’histoire relève un suspense haletant. De la dark fantasy comme je l’aime loin des licornes à paillettes et des bisounours tout rose.
Farah Anah a une écriture addictive et sans fioriture. Elle ne prend pas les chemins de traverse et ne pense même pas à épargner sa lectrice. Du brut de décoffrage dans toute sa splendeur et sans concession. Elle a pris le risque que sa narration évolue uniquement auprès de Sanae. A mon sens, c’est le seul petit point négatif. J’aurais effectivement voulu que Leith ai sa voix. Ne serait ce qu’un chapitre pour effleurer ses pensées et que son personnage soit davantage approfondi.
De l’amour, de la haine, de la colère, du sang : un mélange explosif pour une histoire à dévorer !
Lien : https://lesmisschocolatinebo..
Un univers saisissant !
En règle général dans la fantasy, l’univers proposé est crée de toute pièce. Un univers souvent étrange et contradictoire qui offre de multiples mises en scènes. Souvent divisé, en plusieurs régions où diffèrent chaque caractéristiques. Farah Anah ne fais pas fi aux règles et son univers a charmé la fan que je suis du genre. Les descriptions proposées sont judicieuses et rapides empêchant le lecteur de s’empêtrer dans tout un tas d’informations inutiles. Trois royaumes, un forêt occupée par des sauvages et des bêtes mystérieuses, une mer refermant de nombreuses légendes et monstres. Farah Anah offre de très belles balades dans des endroits tout aussi enchanteurs que romantiques et ose même te filer les frissons dans des décors digne d’Halloween. J’aime beaucoup toute cette palette que l’auteur explore, loin d’être figé dans un décor ce dernier évolue au rythme de l’histoire et au moment opportun.
Un melting pot surprenant de personnages !
Des rois, une princesse, des gardes royaux, des soldats, une garnison, des habitants, des chefs, des cochons sauvages comme moyen de transport, des enfants, des sauvages, de quoi te donner le tournis mais à ne pas te faire perdre la tête.
Parmi toute cette foule, une fille animée par une sentiment de vengeance. Sanae du haut de ses 17 ans avec ses rêves de devoirs et un besoin terrible d’assouvir sa rancœur envers les sauvages qui ont lâchement assassiné sa famille. Sanae est têtue, tête en l’air, maladroite, revancharde, solitaire. Acharnée, diaboliquement acharnée, elle se fourre dans des situations pas possibles et inimaginables. Son caractère est exécrable. Elle n’a qu’en tête sa vengeance personnelle et fait fi de son entourage. Personnellement, c’est le genre de personnage que je trouve exécrable et fatiguant. Elle ne cesse de se changer d’avis, un coup c’est blanc un coup c’est noir. Elle fonce tête baissé. Elle m’insupporte. Son comportement est grrrr !!! Elle réfléchit trop, elle pense trop, se pose trop de question, prend des tas des chemins au lieu de se positionner sur le plus direct. Très attachiante mais pas trop attachante !
Heureusement, que Leith est là pour relever le tout. Leith, est le fameux sauvage en question. Pour te donner une image : tu prends un viking, tu prends un Highlander, tu shakes tout ça et le résultat est très surprenant : un sauvage ! Dans le genre bien bâti, cheveux longs, yeux noirs, une forte carrure (bien évidemment) et tu ne peux que tomber dénue devant la caricature parfaite du mâle alpha. La masculinité dans toute sa splendeur ! (hop, on essuie la petite goute de bave au coin de la bouche). Leith est le bras droit du roi des Sauvages. Il dirige beaucoup d’opérations visant le royaume de Celestia (là où vit Sanae). Leurs motifs semblent lier à la pire des cruautés, mais tu verras que autre chose se cache sous se comportement agressif. Leith est une figure à part de sa communauté : droit dans ses bottes, intransigeant, fin manipulateur, humaniste, loin d’être égoïste, toujours à aider son prochain et surtout il déteste plus que tout que ses comparses violent. Alors oui j’adore Leith, plus que de raisons surement. Mais voilà, son charisme et sa volonté farouche fait de lui une personne admirable.
Ces deux personnages sont aux antipodes, pourtant leur rencontre va changer la donne.
De la dark et encore de la dark !
Rien n’est tout beau dans cet univers. Les personnages se battent pour une cause noble, mais au fil des pages le lecteur se rend compte de beaucoup de chose. Une atmosphère sombre et glaçante. Frayeur et scène abominable, il y a très peu de moment romantique. Les personnages abattus mais plein d’espoir dans leurs causes sont accaparés par les mauvais choix qui s’imposent à eux. Tout est noir. La cruauté des hommes est mise dans toute sa splendeur : des scènes de viols ou de violence envers les femmes et les enfants sont présentes. Du sang, des corps étêtés, des vers, des caves parfaits l’histoire.
En bref !
J’adore l’univers proposé par Farah Anah. Son histoire est aussi machiavélique que sensationnelle. Ses personnages sont à la hauteur de l’atmoshére crée. La trame de l’histoire relève un suspense haletant. De la dark fantasy comme je l’aime loin des licornes à paillettes et des bisounours tout rose.
Farah Anah a une écriture addictive et sans fioriture. Elle ne prend pas les chemins de traverse et ne pense même pas à épargner sa lectrice. Du brut de décoffrage dans toute sa splendeur et sans concession. Elle a pris le risque que sa narration évolue uniquement auprès de Sanae. A mon sens, c’est le seul petit point négatif. J’aurais effectivement voulu que Leith ai sa voix. Ne serait ce qu’un chapitre pour effleurer ses pensées et que son personnage soit davantage approfondi.
De l’amour, de la haine, de la colère, du sang : un mélange explosif pour une histoire à dévorer !
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Un tome 2 dans la continuité du premier en termes d’ambiance sombre. Cependant, fini les flashbacks de leur enfance pour se concentrer sur leur présent cette fois. Présent plus que chaotique entre les deux héros qui auront du mal à se retrouver autour des menaces qui planent sur eux.
Ce qui fait vraiment la force de ce tome c’est le personnage de Esme que j’ai adoré pour son courage et sa détermination pour retrouver son aimé. A contrario, je n’ai vraiment pas apprécié Abain que j’ai fini par trouver détestable. Les révélations dans ce tome n’ont de plus pas aidé à me faire l’aimer davantage. Je n’y ai pas trouvé de l’amour dans ses décisions mais davantage de la bêtise. Du coup, cela m’a bloqué tout du long de ma lecture.
Finalement, Je ne sais pas si j’ai aimé ou pas ce tome. Je l’ai lu de façon fluide mais sans être passionné par les péripéties et les protagonistes où la romance ne m’a pas convaincu. La conclusion reste cependant parfaite, en adéquation avec eux mais, je reste assez déçu dans sa globalité. J’ai largement préféré le premier tome.
Ce qui fait vraiment la force de ce tome c’est le personnage de Esme que j’ai adoré pour son courage et sa détermination pour retrouver son aimé. A contrario, je n’ai vraiment pas apprécié Abain que j’ai fini par trouver détestable. Les révélations dans ce tome n’ont de plus pas aidé à me faire l’aimer davantage. Je n’y ai pas trouvé de l’amour dans ses décisions mais davantage de la bêtise. Du coup, cela m’a bloqué tout du long de ma lecture.
Finalement, Je ne sais pas si j’ai aimé ou pas ce tome. Je l’ai lu de façon fluide mais sans être passionné par les péripéties et les protagonistes où la romance ne m’a pas convaincu. La conclusion reste cependant parfaite, en adéquation avec eux mais, je reste assez déçu dans sa globalité. J’ai largement préféré le premier tome.
Je dois avouer qu'au début, j'avais peur d'être déçu. Mais au fil des pages, j'ai quand même appréciée ce que je lisais. Bon, j'avoue aussi que même si j'ai beaucoup aimé l'histoire, je n'irais pas jusqu'à dire que c'est un gros coup de cœur mais l'histoire est quand même prenante. L'héroïne m'a plu, sans doute parce que j'ai les mêmes complexes: les rondeurs! Et pour une fois, il est vrai que j'ai apprécié, ca change des héroïnes toute plates, sans forme ou avec leur taille 36 (il n'y a pas assez de romans comme ca enfaite). Que dire de Ervin? Je l'ai adoré, franchement, comment ne pas l'aimé? Son humour m'a régalé, sa beau gossitude, sa facon de compliments le corps des femmes qui sont ronde, franchement ca m'a donné envie de tombé amoureuse de lui, si seulement les hommes pouvaient réagir comme ca dans la vraie vie. Même si j'ai trouvé Alizée un peu (trop parfois) caractérielle, j'ai été conquis par leur couple.
Merci à Black Ink & Diboux pour l’envoi 🫶🏻
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Je me suis directement plongée dans cette superbe lecture. Dès les premières pages, j’ai de suite été prise dans l’histoire.
En effet, Leyah, notre protagoniste féminine m’a, dès les premières pages, énormément plu. C’est une jeune femme venant d’une communauté mormone. À travers cette protagoniste, on découvre cette communauté, que l’auteure a osé aborder ! Et j’ai trouvé ça audacieux ! On en apprend davantage et on voit de quelle manière Leyah a été élevé. Notre protagoniste a envie de s’éloigner de sa communauté, donc elle part faire ses études à Los Angeles ! Cette protagoniste c’est : une femme drôle, mignonne, touchante, spontanée, et surtout, une femme qui a envie de découvrir cette vie qui lui a toujours été interdite ! J’ai complètement adoré 😍 !
Puis.. il y a Zach. Le meilleur ami de son frère dont elle a toujours été amoureuse, qui a quitté la communauté mormone, mais qu’elle va retrouver à Los Angeles. Dans la fraternité, qu’elle s’aventurera à découvrir. Ohlalala…. Comment vous dire que j’ai adoré Zach ? Arrogant… Bad Boy… Drôle… Un protagoniste que j’ai adoré. Il traîne toujours dans la soirée, est toujours présent pour se moquer de la petite sœur de son meilleur ami : ça nous donne des étoiles pleins les yeux !
Même si Farah nous a écrit un roman totalement différent de d’habitude : léger, drôle, qui fait sourire.. on retrouve sa touche personnelle car, il y a quand même des moments sombres, douloureux.
L’histoire est totalement addictive, on n’a pas envie de la lâcher. 😍
On adore suivre l’évolution de Leyah au fil des pages ! Elle se révèle et c’est totalement génial ! De plus, voir comment les deux protagonistes se tournent autour.. 😍🫶🏻 !
C’est un véritable coup de coeur que j’ai eu pour cette superbe histoire ! J’espère que vous vous laisserez tous tenter 🫶🏻
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Je me suis directement plongée dans cette superbe lecture. Dès les premières pages, j’ai de suite été prise dans l’histoire.
En effet, Leyah, notre protagoniste féminine m’a, dès les premières pages, énormément plu. C’est une jeune femme venant d’une communauté mormone. À travers cette protagoniste, on découvre cette communauté, que l’auteure a osé aborder ! Et j’ai trouvé ça audacieux ! On en apprend davantage et on voit de quelle manière Leyah a été élevé. Notre protagoniste a envie de s’éloigner de sa communauté, donc elle part faire ses études à Los Angeles ! Cette protagoniste c’est : une femme drôle, mignonne, touchante, spontanée, et surtout, une femme qui a envie de découvrir cette vie qui lui a toujours été interdite ! J’ai complètement adoré 😍 !
Puis.. il y a Zach. Le meilleur ami de son frère dont elle a toujours été amoureuse, qui a quitté la communauté mormone, mais qu’elle va retrouver à Los Angeles. Dans la fraternité, qu’elle s’aventurera à découvrir. Ohlalala…. Comment vous dire que j’ai adoré Zach ? Arrogant… Bad Boy… Drôle… Un protagoniste que j’ai adoré. Il traîne toujours dans la soirée, est toujours présent pour se moquer de la petite sœur de son meilleur ami : ça nous donne des étoiles pleins les yeux !
Même si Farah nous a écrit un roman totalement différent de d’habitude : léger, drôle, qui fait sourire.. on retrouve sa touche personnelle car, il y a quand même des moments sombres, douloureux.
L’histoire est totalement addictive, on n’a pas envie de la lâcher. 😍
On adore suivre l’évolution de Leyah au fil des pages ! Elle se révèle et c’est totalement génial ! De plus, voir comment les deux protagonistes se tournent autour.. 😍🫶🏻 !
C’est un véritable coup de coeur que j’ai eu pour cette superbe histoire ! J’espère que vous vous laisserez tous tenter 🫶🏻
Merci beaucoup à la maison d’édition pour l’envoi ! 🩷
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J’ai tout d’abord apprécié replonger dans l’univers de la High Hills University et retrouver les protagonistes du premier tome. Nous découvrons West & Quinn, deux protagonistes qui ne vont cesser de se lancer des pics. West est le cliché du sportif et Quinn est une grande féministe, avec un grand caractère et de superbes joutes verbales, ce qui fait que les choses auront du mal à passer entre eux. Ce que j’ai apprécié dans ce roman, c’est comment le féminisme est mis en avant ainsi que le sujet du sexe. J’ai beaucoup aimé comment l’auteure aborde ce sujet et fait de la « prévention ».
De plus, nous pouvons retrouver beaucoup d’humour entre les pics, les petites taquineries mais on retrouve également des sujets forts et puissants.
La relation entre nos protagonistes sera intéressante puisqu’on retrouve un personnage masculin plus si cliché que cela quand on apprend à véritablement le connaître.
Bref, c’est une histoire que j’ai trouvé agréable à lire et à découvrir ! Le premier tome reste, pour le moment, mon favori mais j’ai hâte de découvrir les autres !
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J’ai tout d’abord apprécié replonger dans l’univers de la High Hills University et retrouver les protagonistes du premier tome. Nous découvrons West & Quinn, deux protagonistes qui ne vont cesser de se lancer des pics. West est le cliché du sportif et Quinn est une grande féministe, avec un grand caractère et de superbes joutes verbales, ce qui fait que les choses auront du mal à passer entre eux. Ce que j’ai apprécié dans ce roman, c’est comment le féminisme est mis en avant ainsi que le sujet du sexe. J’ai beaucoup aimé comment l’auteure aborde ce sujet et fait de la « prévention ».
De plus, nous pouvons retrouver beaucoup d’humour entre les pics, les petites taquineries mais on retrouve également des sujets forts et puissants.
La relation entre nos protagonistes sera intéressante puisqu’on retrouve un personnage masculin plus si cliché que cela quand on apprend à véritablement le connaître.
Bref, c’est une histoire que j’ai trouvé agréable à lire et à découvrir ! Le premier tome reste, pour le moment, mon favori mais j’ai hâte de découvrir les autres !
Une histoire bien écrite mais qui ne plaira pas à tout le monde, j'ai eu du mal avec certains passages. Leur histoire s'étale sur plusieurs années, un point fort pour comprendre la psychologie des personnages, comprendre ce qui les as mené à leur vie d'aujourd'hui. Ce choix amène aussi beaucoup de longueurs, de répétitions dans les scènes (nombreuses se ressemblent de part leur contexte) qui m'on fait perdre le fil et l'ennui s'est invité dans ma lecture.
Plus j'avançais dans l'histoire et plus Rena m'insupportait même si je sentais qu'il y avait des non-dits. Ewen ne m'a pas parut crédible dans son rôle d'ami, leur relation a finit par me lasser tout en voulant connaitre la suite.
Beaucoup de haut et de bas dans cette histoire qui plaira surement à un autre public mais qui sera vite oubliée pour ma part.
Plus j'avançais dans l'histoire et plus Rena m'insupportait même si je sentais qu'il y avait des non-dits. Ewen ne m'a pas parut crédible dans son rôle d'ami, leur relation a finit par me lasser tout en voulant connaitre la suite.
Beaucoup de haut et de bas dans cette histoire qui plaira surement à un autre public mais qui sera vite oubliée pour ma part.
Une fois de plus, j'ai beaucoup aimé ma lecture ! Comme pour Lexmo, le style est léger, fluide et plein d'humour.
Je me suis beaucoup retrouvée en Alizée : ses complexes, son asociabilité, son manque de confiance.
Ses joutes verbales avec Ervin étaient un vrai délice.
J'ai vraiment beaucoup aimé l'évolution de leur relation, la façon dont Alizée arrive à rester fidèle à ses principes et le fait qu'elle ne se laisse pas faire, malgré la beaugossitude d'Ervin.
J'ai vraiment passé un bon moment avec eux et je vous recommande chaudement cette lecture !
Je me suis beaucoup retrouvée en Alizée : ses complexes, son asociabilité, son manque de confiance.
Ses joutes verbales avec Ervin étaient un vrai délice.
J'ai vraiment beaucoup aimé l'évolution de leur relation, la façon dont Alizée arrive à rester fidèle à ses principes et le fait qu'elle ne se laisse pas faire, malgré la beaugossitude d'Ervin.
J'ai vraiment passé un bon moment avec eux et je vous recommande chaudement cette lecture !
C'était ma première romance de cette autrice et je n'ai pas été déçue. Déjà, j'adore les romances universitaires et j'avoue avoir un faible pour le "Good girl/Bad Boy" (on ne changera pas mon âme de Dramioniste ^^). Donc le pitch avait tout pour me plaire.
J'ai été très agréablement surprise par sa première note d'autrice, qui explique toutes les recherches qu'elle a faites pour alimenter ce livre, ainsi que les notes en bas de page tout au long de ma lecture.
J'ai aussi aimé les messages et les valeurs véhiculées dans cette histoire, surtout vers la fin.
J'ai été un peu déçue que Leyah excuse certains comportements de Zach un peu trop facilement, mais ça rejoint ma publication sur ce sentiment car au final, c'est totalement logique avec le personnage et la façon dont elle a été élevée. Elle cherche à prendre du recul face à son éducation, mais ce n'est pas si facile de changer qui on est. Donc oui, c'est un peu frustrant, j'aurais aimé qu'elle le fasse ramer un peu plus, mais c'est une réaction cohérente (et j'aime la cohérence).
Bref, une très chouette petite romance que je recommande à qui aime ces tropes !
J'ai été très agréablement surprise par sa première note d'autrice, qui explique toutes les recherches qu'elle a faites pour alimenter ce livre, ainsi que les notes en bas de page tout au long de ma lecture.
J'ai aussi aimé les messages et les valeurs véhiculées dans cette histoire, surtout vers la fin.
J'ai été un peu déçue que Leyah excuse certains comportements de Zach un peu trop facilement, mais ça rejoint ma publication sur ce sentiment car au final, c'est totalement logique avec le personnage et la façon dont elle a été élevée. Elle cherche à prendre du recul face à son éducation, mais ce n'est pas si facile de changer qui on est. Donc oui, c'est un peu frustrant, j'aurais aimé qu'elle le fasse ramer un peu plus, mais c'est une réaction cohérente (et j'aime la cohérence).
Bref, une très chouette petite romance que je recommande à qui aime ces tropes !
Après avoir découvert la plume de Farah Anah à travers Ton Parfum, il était évident que j’allais continuer dans ma lancée et allais découvrir un autre de ses romans dont j’ai beaucoup entendu parler. Faire les éloges de Loving Doll est loin d’être évident parce qu’encore une fois, l’autrice a réussi à me charmer par ses personnages à la psychologie déviante (toujours !) et à me captiver par les secrets les plus inavouables de la famille Von Gail. Sa plume poétique est envoûtante et m’a entraînée à travers les pages de cette Dark Romance qui a su me toucher au cœur et aux tripes, et me retourner le cerveau dans tous les sens.
A travers les yeux de Kai et Wolf, j’ai plongé dans les sombres secrets familiaux des Von Gail, mais aussi dans le lien profond et puissant qui uni nos deux personnages principaux. Offerte à Wolfgang à l’âge de onze ans pour remplacer sa petite sœur, une fillette sortie de nulle part, va devoir jouer un rôle : celui de Katharina Von Gail, décédée un an plus tôt, avec qui sa ressemblance est frappante. Prendre son identité, s’habiller comme elle, satisfaire les moindres caprices de son nouveau grand-frère, tout est mis en place pour ramener le jeune homme détruit dans le droit chemin qu’il a quitté depuis ce funeste jour. Elle n’a pas le choix. Malgré cela, dès les premières pages, on se rend bien compte que Kai a un passé mystérieux. Retrouvée vivante près des ruines d’un monastère ravagé par un incendie, on ne sait rien d’elle.
Distant et froid avec les membres de sa famille, électron complètement libre et indomptable, Wolf est un jeune homme brisé par le décès de sa petite sœur. Et lorsqu’on lui présente celle qui remplacera Katharina, c’est le choc. Comme si un clone pouvait la remplacer. Comme si les machinations de sa famille en vue de l’aider à faire son deuil étaient acceptables – réduire une fillette à être quelqu’un d’autre qu’elle-même… Pourtant, à travers les années, Wolf et sa poupée tissent un lien puissant et indissociable. La fascination et l’obsession qu’ils se vouent prennent des tournants différents au fur et à mesure que Kai grandit. Il est bien obligé de se rendre compte qu’elle n’est plus une petite fille, mais bien une femme. Et que si elle a adopté l’identité de Katharina, elle est aussi quelqu’un avec ses propres aspirations. Elle réveille ainsi ses plus bas instincts en même temps qu’il lui permet de s’ouvrir au monde et de quitter son enveloppe d’obéissance. Le nouvel aspect de leur relation est intense et puissant. L’alchimie est à la fois belle et malsaine, et je l’ai adoré. Leur possessivité respective est lourde et sombre comme l’ambiance qui règne au manoir des Von Gail. Leur désir l’un pour l’autre est impossible à combattre. Tout ceci a de lourde conséquence, et a fait palpiter mon cœur à plus d’une reprise, poussé par une montée d’adrénaline au fil des pages, et au fil des rebondissements.
Farah Anah nous maintient dans le mystère, elle étire ses révélations dans le temps afin de garder son lectorat en haleine. J’ai deviné certaines petites choses parce qu’elles m’ont semblé évidente, d’autres ont été des surprises de taille. J’adore la manière dont cette autrice fait carburer mon cerveau avec les mystères et les déviances psychologiques de ses personnages. Les scènes sont aussi puissantes qu’incroyables, c’est une véritable immersion dans un univers assez « huis clos » étant donné que la plupart de l’histoire se déroule au manoir. C’est une magnifique composition musicale où les premières notes sont discrètes et hésitantes pour finalement éclater dans un maelstrom de sentiments où se mêle l’amour, la colère et la peur ; avec quelques lignes d’apaisement qui permettent aussi de reprendre son souffle et où le soleil tente une percée dans l’atmosphère qui s’assombrie de plus en plus.
Loving Doll est une histoire qui ne laisse personne insensible, et qui m’a fait succomber pour deux personnages fascinants qui s’aiment d’une façon indescriptible et qui se place bien au-delà de l’Amour. Elle sort des sentiers battus, offre quelque chose d’inédit, d’original, de puissant, loin de tout ce qu’on peut lire en temps normal. Elle nous plonge dans les confins de la psychologie humaine, aussi bien dans sa beauté que dans sa noirceur. Le loup n’est pas forcément celui qui en revêt le masque. A nouveau, je ne ressors pas indemne d’une histoire de Farah Anah. Elle m’a laissé vidée. Le retour à la réalité a été un choc, il m’a fallu un moment pour quitter le manoir Von Gail et ses deux âmes sœurs prêtes à tout l’une pour l’autre, au point de repousser les limites de l’acceptable. Je ne peux que conseiller cette lecture à celles et ceux qui sont capables de moduler leur esprit pour vivre à 100% cette histoire à fond et se laisser transporter par sa mélodie.
A travers les yeux de Kai et Wolf, j’ai plongé dans les sombres secrets familiaux des Von Gail, mais aussi dans le lien profond et puissant qui uni nos deux personnages principaux. Offerte à Wolfgang à l’âge de onze ans pour remplacer sa petite sœur, une fillette sortie de nulle part, va devoir jouer un rôle : celui de Katharina Von Gail, décédée un an plus tôt, avec qui sa ressemblance est frappante. Prendre son identité, s’habiller comme elle, satisfaire les moindres caprices de son nouveau grand-frère, tout est mis en place pour ramener le jeune homme détruit dans le droit chemin qu’il a quitté depuis ce funeste jour. Elle n’a pas le choix. Malgré cela, dès les premières pages, on se rend bien compte que Kai a un passé mystérieux. Retrouvée vivante près des ruines d’un monastère ravagé par un incendie, on ne sait rien d’elle.
Distant et froid avec les membres de sa famille, électron complètement libre et indomptable, Wolf est un jeune homme brisé par le décès de sa petite sœur. Et lorsqu’on lui présente celle qui remplacera Katharina, c’est le choc. Comme si un clone pouvait la remplacer. Comme si les machinations de sa famille en vue de l’aider à faire son deuil étaient acceptables – réduire une fillette à être quelqu’un d’autre qu’elle-même… Pourtant, à travers les années, Wolf et sa poupée tissent un lien puissant et indissociable. La fascination et l’obsession qu’ils se vouent prennent des tournants différents au fur et à mesure que Kai grandit. Il est bien obligé de se rendre compte qu’elle n’est plus une petite fille, mais bien une femme. Et que si elle a adopté l’identité de Katharina, elle est aussi quelqu’un avec ses propres aspirations. Elle réveille ainsi ses plus bas instincts en même temps qu’il lui permet de s’ouvrir au monde et de quitter son enveloppe d’obéissance. Le nouvel aspect de leur relation est intense et puissant. L’alchimie est à la fois belle et malsaine, et je l’ai adoré. Leur possessivité respective est lourde et sombre comme l’ambiance qui règne au manoir des Von Gail. Leur désir l’un pour l’autre est impossible à combattre. Tout ceci a de lourde conséquence, et a fait palpiter mon cœur à plus d’une reprise, poussé par une montée d’adrénaline au fil des pages, et au fil des rebondissements.
Farah Anah nous maintient dans le mystère, elle étire ses révélations dans le temps afin de garder son lectorat en haleine. J’ai deviné certaines petites choses parce qu’elles m’ont semblé évidente, d’autres ont été des surprises de taille. J’adore la manière dont cette autrice fait carburer mon cerveau avec les mystères et les déviances psychologiques de ses personnages. Les scènes sont aussi puissantes qu’incroyables, c’est une véritable immersion dans un univers assez « huis clos » étant donné que la plupart de l’histoire se déroule au manoir. C’est une magnifique composition musicale où les premières notes sont discrètes et hésitantes pour finalement éclater dans un maelstrom de sentiments où se mêle l’amour, la colère et la peur ; avec quelques lignes d’apaisement qui permettent aussi de reprendre son souffle et où le soleil tente une percée dans l’atmosphère qui s’assombrie de plus en plus.
Loving Doll est une histoire qui ne laisse personne insensible, et qui m’a fait succomber pour deux personnages fascinants qui s’aiment d’une façon indescriptible et qui se place bien au-delà de l’Amour. Elle sort des sentiers battus, offre quelque chose d’inédit, d’original, de puissant, loin de tout ce qu’on peut lire en temps normal. Elle nous plonge dans les confins de la psychologie humaine, aussi bien dans sa beauté que dans sa noirceur. Le loup n’est pas forcément celui qui en revêt le masque. A nouveau, je ne ressors pas indemne d’une histoire de Farah Anah. Elle m’a laissé vidée. Le retour à la réalité a été un choc, il m’a fallu un moment pour quitter le manoir Von Gail et ses deux âmes sœurs prêtes à tout l’une pour l’autre, au point de repousser les limites de l’acceptable. Je ne peux que conseiller cette lecture à celles et ceux qui sont capables de moduler leur esprit pour vivre à 100% cette histoire à fond et se laisser transporter par sa mélodie.
Leyah cherche à s’émanciper de la communauté des Mormons dans laquelle elle a grandi. Elle entame une nouvelle vie et part retrouver son amour d’enfance, Zach, qui se trouve à High Hills Université.
Un roman prenant, captivant sur ce duo improbable. De cette ex-mormone, un peu naïve sur les gens et le monde, qui découvre les bons et les mauvais côtés de l’université. De Zach, ancien mormon, renié par sa famille, qui profite du mariage de sa mère pour étudier et faire partie de la fraternité des BTP. Ensemble, ils se lient d’une amitié profonde qui n’est rien d’autre qu’une mascarade pour cacher ses sentiments.
La naïveté de Leyah est un vent de fraîcheur pendant la lecture. Parfois gênante, elle n’a aucun filtre, aucun gène, elle se sent libre de parler comme elle pense, sans aucune retenue.
Basé sur un Brother’s best friend, ce roman nous livre un beau #slowburn entre Leyah et Zach. On est attendri par leur histoire. De cette jeune fille qui veut à tout prix retrouver son amour d’enfance, de Zach qui cherche à tout prix à oublier à coup de drogue et de boissons. Ensemble, ils vont s’épauler, se soutenir, s’entraider pour mieux affronter le monde qui les entoure.
Une lecture que je vous conseille et qui évoque l’emprise de certaines « religion – secte ». L’auteur apporte une vision réaliste de ce qu’est la vie de mormons sans tomber dans l’excès. Basé sur des recherches et des récits, @farah_anah_auteure nous montre à travers Leyah, comment une croyance peut nous enclavé dans une certaine bulle.
Une lecture que j’ai beaucoup appréciée. J’ai eu un peu de mal au départ avec le style d’écriture et un manque de fluidité pour moi, mais ce sentiment s’est estompé dans la seconde partie du livre pour m’arriver à me captiver pleinement dans ma lecture.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Un roman prenant, captivant sur ce duo improbable. De cette ex-mormone, un peu naïve sur les gens et le monde, qui découvre les bons et les mauvais côtés de l’université. De Zach, ancien mormon, renié par sa famille, qui profite du mariage de sa mère pour étudier et faire partie de la fraternité des BTP. Ensemble, ils se lient d’une amitié profonde qui n’est rien d’autre qu’une mascarade pour cacher ses sentiments.
La naïveté de Leyah est un vent de fraîcheur pendant la lecture. Parfois gênante, elle n’a aucun filtre, aucun gène, elle se sent libre de parler comme elle pense, sans aucune retenue.
Basé sur un Brother’s best friend, ce roman nous livre un beau #slowburn entre Leyah et Zach. On est attendri par leur histoire. De cette jeune fille qui veut à tout prix retrouver son amour d’enfance, de Zach qui cherche à tout prix à oublier à coup de drogue et de boissons. Ensemble, ils vont s’épauler, se soutenir, s’entraider pour mieux affronter le monde qui les entoure.
Une lecture que je vous conseille et qui évoque l’emprise de certaines « religion – secte ». L’auteur apporte une vision réaliste de ce qu’est la vie de mormons sans tomber dans l’excès. Basé sur des recherches et des récits, @farah_anah_auteure nous montre à travers Leyah, comment une croyance peut nous enclavé dans une certaine bulle.
Une lecture que j’ai beaucoup appréciée. J’ai eu un peu de mal au départ avec le style d’écriture et un manque de fluidité pour moi, mais ce sentiment s’est estompé dans la seconde partie du livre pour m’arriver à me captiver pleinement dans ma lecture.
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Ce livre était présent dans ma pile à lire depuis un certain temps. Une bonne lecture. Si le personnage d’Alizée est attachant, celui d’ervin est plus complexe et malheureusement j’ai trouvé à un moment que cela induisait ne mauvaise compréhension de la personne et de l’histoire au global.
Énorme coup de cœur pour ce roman avec lequel je découvre la plume de Farah Anah. J'avais déjà vu quelques retours plus que bons sur ce livre, et c'est à mon tour de venir faire son éloge - ou tout du moins essayer parce que ça ne va pas être facile d'exprimer à travers des mots la façon dont ce roman m'a envoutée, captivée, et faite vibrer comme très peu d'autres réussissent à le faire. Je tire sincèrement mon chapeau à l'autrice pour l'écriture de cette masterclass. Au-delà d'être une Dark Romance, j'admire totalement la façon dont elle explore la psychologie de ses personnages, et puis j'adore sa plume poétique qui met des images criantes aux moments intenses, et fait naître des émotions qui vous tord les tripes et vous prend au cœur. Soyez sûr qu'une fois ce roman commencé, il sera très difficile à lâcher.
A travers les yeux d'Ava et d'Imrel, on plonge progressivement dans un univers où les odeurs sont le maître mot de toute l'histoire, et où les sensations olfactives vont être les maîtresses des sensations vécues par les personnages. Impossible de ressortir indemne de cette lecture sans remettre en cause quelques perceptions du monde, et de se dire : "mais oui, c'est évident !"
Ava est un personnage féminin attachant. Elle possède ses propres démons, ses propres terreurs et des fragilités touchantes qui font d'elle quelqu'un de fort et de courageux. Le divorce de ses parents marque le début de son enfer personnel, et bien que huit années se soient écoulés depuis lors et qu'elle maintient au mieux sa tête hors de l'eau, on sent très vite que cet événement a laissé des stigmates aujourd'hui invisibles à l’œil nu. Ses vacances en Toscane sont l'occasion pour elle de rendre visite à sa famille maternelle, mais aussi de se confronter à sa mère et Imrel, son beau-père, celui qui a foutu en l'air toute sa vie, et de faire la connaissance de sa petite sœur Pia.
Au fil des jours qu'elle va passer à la Villa Lavanda, on va regarder Ava tomber petit à petit dans les filets d'Imrel. Si elle-même tente tant bien que mal de faire front et d'alimenter sa haine envers cet homme qui est la cause de tous ses maux, elle sent bien que la situation lui échappe et que malheureusement, elle ne peut absolument pas lutter contre le magnétisme puissant du Parfumeur.
Imrel est... obsessionnel. Il dégage un mystère et une fascination hors du commun, et il est extrêmement difficile de lui résister. Et son physique avantageux ne gâche absolument rien au paysage :'-D J'ai été envoûtée et captivée par la façon dont il se distille petit à petit dans l'esprit d'Ava, la manière dont il la manipule pour lui faire adopter sa façon de voir - ou plutôt de sentir - le monde. C'est bien simple, il n'exerce pas uniquement une influence sur le personnage féminin de l'histoire, mais aussi sur le lecteur. À peine ai-je commencé à le découvrir que j'ai désiré tout savoir de cet homme. Il initie Ava aux plaisirs des sens, en même temps qu'il tente de percer le mystère de son odeur. Il lui voue une véritable obsession, et au fur et à mesure que j'ai découvert les origines de tout ceci, j'ai eu mon cœur qui s'est mis à battre à mille à l'heure, et j'ai fini mordu en un rien de temps pour le dire.
La relation qui s'instaure entre Ava et Imrel est intense, puissante d'une alchimie malsaine que je me suis plu à adorer. L'interdit fait peser une ambiance sombre dans le paysage, lourde aussi, voire même étouffante à l'image de la chaleur toscane en plein été. Il est certain qu'Ava ne ressortira pas indemne de cette histoire. Ses attentes sont complètement différentes de celles d'Imrel. Elles ne pourront jamais se conjuguer. Et honnêtement, j'ai eu très, très peur tout le long de ma lecture parce que je ne savais pas du tout ce que Farah Anah allait nous réserver comme fin à cette histoire. Cette crainte s'est mêlée à l'obsession à tel point que j'ai sauté à pieds joints dans l'histoire sans savoir si mon cœur allait finir en 18 000 morceaux ou peut-être un peu plus indemne que je ne l'aurais cru.
Ton parfum est un roman anticonformiste qui va remettre en question pas mal de valeurs morales. On se rend très vite compte qu'Imrel ne fonctionne absolument pas comme tout le monde, et il ne tient qu'à nous de pouvoir moduler notre esprit pour comprendre sa façon d'être. Il est aussi dérangeant et malsain, et pourtant... et pourtant... j'ai aimé ça ! Farah Anah manipule les déviances psychologiques de ses personnages à la perfection. Elle les exploite à tel point que mon cerveau a surchauffé. Et puis, les révélations... Est-ce qu'on parle deux secondes des révélations ?! Je n'ai rien vu venir ! Tout est tellement bien plus profond que ce qu'on peut penser. Comme j'ai pu lui dire "ou c'est de la folie, ou c'est du génie". Et je pense que les deux ne sont pas une mauvaise combinaison.
N'hésitez pas à vous laisser séduire par ce roman si vous n'avez pas peur de voir votre esprit malmené afin de laisser vos sens prendre le dessus sur votre perception du monde. Vous n'en sortirez pas indemne, mais si vous avez l'esprit ouvert, ne passez pas à côté de ce bijou de la dark romance.
A travers les yeux d'Ava et d'Imrel, on plonge progressivement dans un univers où les odeurs sont le maître mot de toute l'histoire, et où les sensations olfactives vont être les maîtresses des sensations vécues par les personnages. Impossible de ressortir indemne de cette lecture sans remettre en cause quelques perceptions du monde, et de se dire : "mais oui, c'est évident !"
Ava est un personnage féminin attachant. Elle possède ses propres démons, ses propres terreurs et des fragilités touchantes qui font d'elle quelqu'un de fort et de courageux. Le divorce de ses parents marque le début de son enfer personnel, et bien que huit années se soient écoulés depuis lors et qu'elle maintient au mieux sa tête hors de l'eau, on sent très vite que cet événement a laissé des stigmates aujourd'hui invisibles à l’œil nu. Ses vacances en Toscane sont l'occasion pour elle de rendre visite à sa famille maternelle, mais aussi de se confronter à sa mère et Imrel, son beau-père, celui qui a foutu en l'air toute sa vie, et de faire la connaissance de sa petite sœur Pia.
Au fil des jours qu'elle va passer à la Villa Lavanda, on va regarder Ava tomber petit à petit dans les filets d'Imrel. Si elle-même tente tant bien que mal de faire front et d'alimenter sa haine envers cet homme qui est la cause de tous ses maux, elle sent bien que la situation lui échappe et que malheureusement, elle ne peut absolument pas lutter contre le magnétisme puissant du Parfumeur.
Imrel est... obsessionnel. Il dégage un mystère et une fascination hors du commun, et il est extrêmement difficile de lui résister. Et son physique avantageux ne gâche absolument rien au paysage :'-D J'ai été envoûtée et captivée par la façon dont il se distille petit à petit dans l'esprit d'Ava, la manière dont il la manipule pour lui faire adopter sa façon de voir - ou plutôt de sentir - le monde. C'est bien simple, il n'exerce pas uniquement une influence sur le personnage féminin de l'histoire, mais aussi sur le lecteur. À peine ai-je commencé à le découvrir que j'ai désiré tout savoir de cet homme. Il initie Ava aux plaisirs des sens, en même temps qu'il tente de percer le mystère de son odeur. Il lui voue une véritable obsession, et au fur et à mesure que j'ai découvert les origines de tout ceci, j'ai eu mon cœur qui s'est mis à battre à mille à l'heure, et j'ai fini mordu en un rien de temps pour le dire.
La relation qui s'instaure entre Ava et Imrel est intense, puissante d'une alchimie malsaine que je me suis plu à adorer. L'interdit fait peser une ambiance sombre dans le paysage, lourde aussi, voire même étouffante à l'image de la chaleur toscane en plein été. Il est certain qu'Ava ne ressortira pas indemne de cette histoire. Ses attentes sont complètement différentes de celles d'Imrel. Elles ne pourront jamais se conjuguer. Et honnêtement, j'ai eu très, très peur tout le long de ma lecture parce que je ne savais pas du tout ce que Farah Anah allait nous réserver comme fin à cette histoire. Cette crainte s'est mêlée à l'obsession à tel point que j'ai sauté à pieds joints dans l'histoire sans savoir si mon cœur allait finir en 18 000 morceaux ou peut-être un peu plus indemne que je ne l'aurais cru.
Ton parfum est un roman anticonformiste qui va remettre en question pas mal de valeurs morales. On se rend très vite compte qu'Imrel ne fonctionne absolument pas comme tout le monde, et il ne tient qu'à nous de pouvoir moduler notre esprit pour comprendre sa façon d'être. Il est aussi dérangeant et malsain, et pourtant... et pourtant... j'ai aimé ça ! Farah Anah manipule les déviances psychologiques de ses personnages à la perfection. Elle les exploite à tel point que mon cerveau a surchauffé. Et puis, les révélations... Est-ce qu'on parle deux secondes des révélations ?! Je n'ai rien vu venir ! Tout est tellement bien plus profond que ce qu'on peut penser. Comme j'ai pu lui dire "ou c'est de la folie, ou c'est du génie". Et je pense que les deux ne sont pas une mauvaise combinaison.
N'hésitez pas à vous laisser séduire par ce roman si vous n'avez pas peur de voir votre esprit malmené afin de laisser vos sens prendre le dessus sur votre perception du monde. Vous n'en sortirez pas indemne, mais si vous avez l'esprit ouvert, ne passez pas à côté de ce bijou de la dark romance.
MAIS POURQUOI JE N’AI PAS LU LEXMO ?! Rassurez-vous je rectifierai cette erreur très rapidement et tout ça grâce à Queen! Un grand merci aux éditions et à Diboux pour l’envoi de cette merveille autant visuelle qu’intellectuelle 🫶🏻.
⠀
La globalité du roman est concentré sur les jeunes fêtards dans un campus universitaire où alcool et drogues sont religions mais pas que ! Farah Anah a mis plein de thèmes sérieux dans ce livre et qui touchent un grand nombre d’entre nous. Il est question de body positive, de girl power, d’amitié, de confiance, de reconstruction et d’amour.
⠀
Quinn m’a, au départ, un peu désarçonné avec son féminisme carabiné. Mais au fil des pages j’ai vu son combat et sa détermination à aider les femmes sous ses posts chocs. WeRqueens nous le rappelle si on doute. Son personnage casse les codes pour mon plus grand plaisir. Plaisir doublé quand j’ai découvert West Reed. Queutard mais pas que ! Sous ses airs joyeux et profiteur de la vie se cache aussi un mal-être et un désir d’être digne de ses parents.
⠀
La romance prend vraiment son temps (bon l’auteure n’est pas connu pour écrire des petits romans) et j’ai apprécié qu’ils se découvrent, s’aident mutuellement. En plus de la romance, la relation fraternelle entre Quinn et Dolly boy était touchante. Je rencontrais aussi la joyeuse bande pour la première fois et c’est un coup de cœur.
⠀
Queen c’est une romance universitaire mais porteuses de messages forts : une ode au melting-pot des cultures, des combats et des religions. Un message d’amour et d’amitié fraternelle, même sang ou pas. Et cette fin … Liam qu’as-tu fait ?!
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La globalité du roman est concentré sur les jeunes fêtards dans un campus universitaire où alcool et drogues sont religions mais pas que ! Farah Anah a mis plein de thèmes sérieux dans ce livre et qui touchent un grand nombre d’entre nous. Il est question de body positive, de girl power, d’amitié, de confiance, de reconstruction et d’amour.
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Quinn m’a, au départ, un peu désarçonné avec son féminisme carabiné. Mais au fil des pages j’ai vu son combat et sa détermination à aider les femmes sous ses posts chocs. WeRqueens nous le rappelle si on doute. Son personnage casse les codes pour mon plus grand plaisir. Plaisir doublé quand j’ai découvert West Reed. Queutard mais pas que ! Sous ses airs joyeux et profiteur de la vie se cache aussi un mal-être et un désir d’être digne de ses parents.
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La romance prend vraiment son temps (bon l’auteure n’est pas connu pour écrire des petits romans) et j’ai apprécié qu’ils se découvrent, s’aident mutuellement. En plus de la romance, la relation fraternelle entre Quinn et Dolly boy était touchante. Je rencontrais aussi la joyeuse bande pour la première fois et c’est un coup de cœur.
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Queen c’est une romance universitaire mais porteuses de messages forts : une ode au melting-pot des cultures, des combats et des religions. Un message d’amour et d’amitié fraternelle, même sang ou pas. Et cette fin … Liam qu’as-tu fait ?!
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