Critiques de Farah Anah (267)
Lorsqu’on lit Farah Anah, on sait de suite que le livre ne sera pas simple. Parce que même si l’auteure traite de sujet qu’on pourrait qualifier de classique en romance, elle a la particularité d’insuffler une bonne dose de complexité à tous ses livres et une fois de plus, elle ne déroge pas à sa règle. Ce qui devait être une histoire d’amour et d’amitié s’est transformé en quelque chose de beaucoup plus compliqué.
On you, c’est l’histoire de Ewen et Rina, deux âmes sœurs au destin compliqué. Ils s’aiment, s’échappent, s’attrapent et s’aiment. Mais lorsque l’un est le feu et l’autre l’eau, sont-ils vraiment pour être fait pour être ensemble. Farah Anah, tout au long du livre va nous démontrer que lorsque ces deux éléments se mélangent, cela provoque des étincelles. Et mon cœur a brûlé avec cette histoire aussi belle que douloureuse.
J’ai lu cette romance d’une traite. J’ai adoré chaque mot posé. La plume de l’auteure, dès les premières pages, imposent une intensité et une émotion au delà de l’entendement. J’ai vibré, j’ai pleuré. Chaque passage m’a donné une émotion incroyable.
Ewen est le parfait bookboyfriend. Je suis tombée amoureuse de cet homme que l’on rêve d’avoir. Il est d’une incroyable patience et avec Rina il en a fallu une bonne dose. Parce que je vais pas vous mentir, par moment j’ai eu autant envie de la buter que l’auteure !! Son caractère en fait d’elle une héroïne au caractère très fort mais qui cache une profonde sensibilité. Sa fragilité que l’on découvre l’a rende particulièrement touchante.
Cette histoire ne laissera aucun lecteur indemne. Elle entraînera chacun d’entres vous au cœur de cette relation aussi passionnelle que passionnante. Une histoire d’amitié et d’amour qui vous embarquera dans des émotions d’une intensité incroyable. Farah a ce don pour vous faire souffrir mais on en redemande à chaque fois!!! C’est un gros coup de cœur et c’est pour moi la meilleure romance que j’ai lu sur le thème amitié ! Elle a su insuffler cette dose d’originalité, de sensualité qui m’a fait craquer pour On you.
On you, c’est l’histoire de Ewen et Rina, deux âmes sœurs au destin compliqué. Ils s’aiment, s’échappent, s’attrapent et s’aiment. Mais lorsque l’un est le feu et l’autre l’eau, sont-ils vraiment pour être fait pour être ensemble. Farah Anah, tout au long du livre va nous démontrer que lorsque ces deux éléments se mélangent, cela provoque des étincelles. Et mon cœur a brûlé avec cette histoire aussi belle que douloureuse.
J’ai lu cette romance d’une traite. J’ai adoré chaque mot posé. La plume de l’auteure, dès les premières pages, imposent une intensité et une émotion au delà de l’entendement. J’ai vibré, j’ai pleuré. Chaque passage m’a donné une émotion incroyable.
Ewen est le parfait bookboyfriend. Je suis tombée amoureuse de cet homme que l’on rêve d’avoir. Il est d’une incroyable patience et avec Rina il en a fallu une bonne dose. Parce que je vais pas vous mentir, par moment j’ai eu autant envie de la buter que l’auteure !! Son caractère en fait d’elle une héroïne au caractère très fort mais qui cache une profonde sensibilité. Sa fragilité que l’on découvre l’a rende particulièrement touchante.
Cette histoire ne laissera aucun lecteur indemne. Elle entraînera chacun d’entres vous au cœur de cette relation aussi passionnelle que passionnante. Une histoire d’amitié et d’amour qui vous embarquera dans des émotions d’une intensité incroyable. Farah a ce don pour vous faire souffrir mais on en redemande à chaque fois!!! C’est un gros coup de cœur et c’est pour moi la meilleure romance que j’ai lu sur le thème amitié ! Elle a su insuffler cette dose d’originalité, de sensualité qui m’a fait craquer pour On you.
Les deux personnages sont donc très intéressants, même si nous sommes plus proches d’Alizée, puisque quasiment tout le roman est sa vision de l’histoire.
Malgré son apparence de véritable emmerdeuse, c’est une vraie complexée, elle n’assume absolument pas ses formes, se trouve insignifiante et n’a aucune confiance en elle. Les piques qu’elle adresse à Ervin sont surtout pour le maintenir à l’écart, pour se protéger de cet homme qui pourrait pénétrer son cœur. J’ai beaucoup aimé son personnage, elle a vraiment un cœur énorme et n’hésite pas à donner un coup de main à ceux qu’elle aime. Ce que j’ai surtout aimé avec cette héroïne, ce sont ses punchlines vraiment hilarantes, surtout quand elles sont adressées à Ervin.
J’ai peut-être un peu moins aimé Ervin, malgré le fait que ce soit un passionné et que lui aussi face tout son possible pour aider ses proches. On le sent très protecteur, surtout vis-à-vis d’Alizée. Mais malgré tout ces points positifs, je l’ai trouvé très arrogant, il a ce côté « je veux, je prends » qui m’a horripilé, heureusement qu’Alizée arrive parfois à lui résister.
Le petit point qui m’a un peu gêné dans ce livre, les (trop) nombreuses scènes de sexe. Heureusement, l’auteure y met très souvent de l’humour et de la dérision. Mais ça reste un peu trop pour moi, même si ça n’a pas gêné ma lecture.
Dès le départ, on sait qu’Ervin cache quelque chose, sans réussir à réunir assez d’indices pour comprendre. L’auteure nous fait mariner jusqu’à la quasi fin pour révéler son secret. Entre nous, je suis resté bête devant cette révélation, je n’aurais jamais trouvé ce fameux secret… Un vrai coup de maître de la part de l’auteure.
C’est donc une bonne lecture pour moi, un secret bien caché qui nous tient en haleine, une romance touchante, et surtout beaucoup d’humour. Un livre parfait quand on veut passer un bon moment sans prise de tête.
Lien : https://rowenabookine.wordpr..
Malgré son apparence de véritable emmerdeuse, c’est une vraie complexée, elle n’assume absolument pas ses formes, se trouve insignifiante et n’a aucune confiance en elle. Les piques qu’elle adresse à Ervin sont surtout pour le maintenir à l’écart, pour se protéger de cet homme qui pourrait pénétrer son cœur. J’ai beaucoup aimé son personnage, elle a vraiment un cœur énorme et n’hésite pas à donner un coup de main à ceux qu’elle aime. Ce que j’ai surtout aimé avec cette héroïne, ce sont ses punchlines vraiment hilarantes, surtout quand elles sont adressées à Ervin.
J’ai peut-être un peu moins aimé Ervin, malgré le fait que ce soit un passionné et que lui aussi face tout son possible pour aider ses proches. On le sent très protecteur, surtout vis-à-vis d’Alizée. Mais malgré tout ces points positifs, je l’ai trouvé très arrogant, il a ce côté « je veux, je prends » qui m’a horripilé, heureusement qu’Alizée arrive parfois à lui résister.
Le petit point qui m’a un peu gêné dans ce livre, les (trop) nombreuses scènes de sexe. Heureusement, l’auteure y met très souvent de l’humour et de la dérision. Mais ça reste un peu trop pour moi, même si ça n’a pas gêné ma lecture.
Dès le départ, on sait qu’Ervin cache quelque chose, sans réussir à réunir assez d’indices pour comprendre. L’auteure nous fait mariner jusqu’à la quasi fin pour révéler son secret. Entre nous, je suis resté bête devant cette révélation, je n’aurais jamais trouvé ce fameux secret… Un vrai coup de maître de la part de l’auteure.
C’est donc une bonne lecture pour moi, un secret bien caché qui nous tient en haleine, une romance touchante, et surtout beaucoup d’humour. Un livre parfait quand on veut passer un bon moment sans prise de tête.
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Un second tome explosif ! Bourré de suspens , de révélations, de drames mais également d'amour, beaucoup d'amour et de reconstruction.
Esme et Abain resteront deux de mes personnages favoris. Ils sont passés par beaucoup d'épreuves, ont enduré tellement de choses, on vue leurs âmes torturées pendant des années !
Leur histoire m'a bouleversé ! Et c'est avec un pincement au cœur que j'ai refermé ce livre.
L'auteur a une plume incroyable. Elle nous transporte dans l'univers de ses personnages avec une grande facilité. On ne peut que vivre l'histoire avec eux au travers des lignes. Que ce soit les peines, les angoisses, les remises en questions ou tout simplement les moments de tendresse et d'amour , on est plongé en plein coeur de cet univers sombre et torturé !
Je ne peux que recommander cette formidable duologie !
Esme et Abain resteront deux de mes personnages favoris. Ils sont passés par beaucoup d'épreuves, ont enduré tellement de choses, on vue leurs âmes torturées pendant des années !
Leur histoire m'a bouleversé ! Et c'est avec un pincement au cœur que j'ai refermé ce livre.
L'auteur a une plume incroyable. Elle nous transporte dans l'univers de ses personnages avec une grande facilité. On ne peut que vivre l'histoire avec eux au travers des lignes. Que ce soit les peines, les angoisses, les remises en questions ou tout simplement les moments de tendresse et d'amour , on est plongé en plein coeur de cet univers sombre et torturé !
Je ne peux que recommander cette formidable duologie !
J'ai enchainé ce deuxième roman a peine avoir refermé le premier. Ce deuxième volet nous emmène dans une histoire assez sombre. En effet, les deux personnages vont avoir un assez long parcours en prison. Les deux vont se battre, vont remuer ciel et terre pour se retrouver mais aussi pour comprendre, pour SE comprendre finalement. Ils se cachent tous les deux plein de secrets qui finissent par percer (heureusement). Ce deuxième roman est assez sombre mais un réel bonheur. Pas un coup de coeur mais pas loin.
Cette histoire est dérangeante, glauque, et quelque peu malsaine. Ce n’est pas une dark romance ordinaire, elle ne correspond à rien de ce que j’ai déjà pu lire. Et j’ai aimé.
Pour son dix-huitième anniversaire Wolfgang se voit offrir une fillette, qui ressemble trait pour trait à sa sœur Katharina décédée un an auparavant. Comment peut il faire abstraction que ce n’est pas elle, alors qu’il lui donne le même nom que sa sœur et qu’il lui fait portait les costume d’époque que sa défunte sœur adorait. Passionnante, terrifiante et le regard vide, la nouvelle Katharina n’a plus personne, aucune famille, aucun proche. Elle est parachutée dans cette nouvelle vie et comprend très tôt qu’elle doit tout faire pour satisfaire l’unique héritier de cette famille fortunée, les Von Gail.
Dans ce manoir où les secrets sont nombreux et lourd, il tisse au fil des années une relation puissante, forte et indestructible avec sa poupée, faite de chair et de sang, mais aussi malsaine. Wolf ne veut et ne peut partager Katharina. Sa poupée, sa rédemption. Des sentiments que partage Katharina, qui supporte de moins en moins que son protecteur l’abandonne pour retrouver quelques conquêtes.
Katharina n’est plus une enfant, ses formes et sa féminité perturbe Wolf qui ne peut alors continuer à faire semblant, il lui accorde donc un surnom Kai, pour essayer de la détaché de l’image de sa sœur car les pensées qu’il a envers elles sont lubriques.
L’histoire m’a passionné, les secrets notamment ceux lié au passé de Katharina, la complexité des personnages, m’a totalement envoûté. On est loin des stéréotypes que l’on peut retrouver dans ce genre de roman. Non, les personnages de sont pas gentils, ils n’ont pas pleins de qualités qui peuvent faire rêver. Non, ils sont brutaux, instables et surtout ils sont prêts à tout pour que rien n’interfère dans leur relation.
Katharina est le personnage que j’ai le plus aimé, sa complexité, son sens du bien et du mal est tellement flou. Tout ce qu’elle fait au fils des pages est par amour pour Wolf. Et je peux vous dire que certaine chose m’ont laissé totalement hébétée. Les sentiments qu’elle ressent pour Wolf sont destructeurs et nombreux sont ceux qui en paie le prix au fil des chapitres.
Je ne peux pas dire que je me suis attachée à eux deux car il faut l’avouer ils ne le sont pas. Mais j’ai adoré leur histoire qui m’a dérangé, perturbé et pourtant je n’arrivais pas à la lâcher. C’est une histoire de fou, avec des personnages psychologiquement instables, voir complètement dérangés, mener par la plume poétique l’auteur, qui par ailleurs m’a totalement séduite.
D’ailleurs l’atmosphère qu’il y a dans ce livre est oppressante, elle prend beaucoup de place un peut comme un protagoniste à part entière.
Seul petit point négatif si peut dire ça comme ça. C’est la fin n’aurait aimé que l’auteur aille encore plus loin, que ça soit encore plus sombre et glauque.
Bref vous l’aurez compris, j’ai aimé cette lecture qui m’a dérangé et je suis impatiente de découvrir les autres histoires de cette auteur.
Pour son dix-huitième anniversaire Wolfgang se voit offrir une fillette, qui ressemble trait pour trait à sa sœur Katharina décédée un an auparavant. Comment peut il faire abstraction que ce n’est pas elle, alors qu’il lui donne le même nom que sa sœur et qu’il lui fait portait les costume d’époque que sa défunte sœur adorait. Passionnante, terrifiante et le regard vide, la nouvelle Katharina n’a plus personne, aucune famille, aucun proche. Elle est parachutée dans cette nouvelle vie et comprend très tôt qu’elle doit tout faire pour satisfaire l’unique héritier de cette famille fortunée, les Von Gail.
Dans ce manoir où les secrets sont nombreux et lourd, il tisse au fil des années une relation puissante, forte et indestructible avec sa poupée, faite de chair et de sang, mais aussi malsaine. Wolf ne veut et ne peut partager Katharina. Sa poupée, sa rédemption. Des sentiments que partage Katharina, qui supporte de moins en moins que son protecteur l’abandonne pour retrouver quelques conquêtes.
Katharina n’est plus une enfant, ses formes et sa féminité perturbe Wolf qui ne peut alors continuer à faire semblant, il lui accorde donc un surnom Kai, pour essayer de la détaché de l’image de sa sœur car les pensées qu’il a envers elles sont lubriques.
L’histoire m’a passionné, les secrets notamment ceux lié au passé de Katharina, la complexité des personnages, m’a totalement envoûté. On est loin des stéréotypes que l’on peut retrouver dans ce genre de roman. Non, les personnages de sont pas gentils, ils n’ont pas pleins de qualités qui peuvent faire rêver. Non, ils sont brutaux, instables et surtout ils sont prêts à tout pour que rien n’interfère dans leur relation.
Katharina est le personnage que j’ai le plus aimé, sa complexité, son sens du bien et du mal est tellement flou. Tout ce qu’elle fait au fils des pages est par amour pour Wolf. Et je peux vous dire que certaine chose m’ont laissé totalement hébétée. Les sentiments qu’elle ressent pour Wolf sont destructeurs et nombreux sont ceux qui en paie le prix au fil des chapitres.
Je ne peux pas dire que je me suis attachée à eux deux car il faut l’avouer ils ne le sont pas. Mais j’ai adoré leur histoire qui m’a dérangé, perturbé et pourtant je n’arrivais pas à la lâcher. C’est une histoire de fou, avec des personnages psychologiquement instables, voir complètement dérangés, mener par la plume poétique l’auteur, qui par ailleurs m’a totalement séduite.
D’ailleurs l’atmosphère qu’il y a dans ce livre est oppressante, elle prend beaucoup de place un peut comme un protagoniste à part entière.
Seul petit point négatif si peut dire ça comme ça. C’est la fin n’aurait aimé que l’auteur aille encore plus loin, que ça soit encore plus sombre et glauque.
Bref vous l’aurez compris, j’ai aimé cette lecture qui m’a dérangé et je suis impatiente de découvrir les autres histoires de cette auteur.
Une Dark Romance perturbante, dérangeante et immorale !
Une fois qu’on franchit les portes du manoir des Von Gail, il n’y a plus de retour en arrière possible. On est absolument pas prêt mais surtout pas préparé pour ce qu’il va advenir de cette trame incroyable que Farah Anah nous a écrit de sa plume époustouflante, aux tonalités poétiques. Au fil des chapitres, au son des notes du piano, elle nous fait sombrer un peu plus, inéluctablement vers les tréfonds d’une folie sans morale. Mais après tout ne dit-on pas : qu’il n’y a point de génie sans un grain de folie ?
🥀
Débarrassez-vous de vos certitudes et de votre raison, vous n’en n’aurez pas besoin parce que l’amour que se vouent Wolfgang et Katharina, va au-delà de l’entendement et de l’interdit. Ce lien qui les unit est profané de sentiments malsains, ils s’aiment autant qu’ils se détruisent. Un amour intense, excessif et extrême, qu’on peut parfois avoir du mal à comprendre mais surtout a concevoir...
D’ailleurs la psychologie de ces personnages est ahurissante. Ils sont façonnés avec une telle virtuosité, que s’en est fascinant.
Les questions à se poser sont :
Jusqu’ou seriez-vous prêt à salir votre âme par amour ?
Quels sacrifices et renoncements seriez-vous prêt à tolérer pour sauver l’âme de votre bien-aimé ?
🥀
Et vous, oserez-vous, vous aventurer dans le manoir de la famille Von Gail pour tenter de percer les sombres secrets que renferment les murs de cette demeure, aux yeux des autres ?
⌁
Cette dark romance vous tente-t-elle ? Ou bien, l’avez vous déjà lu ?
Bonne journée 🌹.
Lien : https://www.instagram.com/la..
Une fois qu’on franchit les portes du manoir des Von Gail, il n’y a plus de retour en arrière possible. On est absolument pas prêt mais surtout pas préparé pour ce qu’il va advenir de cette trame incroyable que Farah Anah nous a écrit de sa plume époustouflante, aux tonalités poétiques. Au fil des chapitres, au son des notes du piano, elle nous fait sombrer un peu plus, inéluctablement vers les tréfonds d’une folie sans morale. Mais après tout ne dit-on pas : qu’il n’y a point de génie sans un grain de folie ?
🥀
Débarrassez-vous de vos certitudes et de votre raison, vous n’en n’aurez pas besoin parce que l’amour que se vouent Wolfgang et Katharina, va au-delà de l’entendement et de l’interdit. Ce lien qui les unit est profané de sentiments malsains, ils s’aiment autant qu’ils se détruisent. Un amour intense, excessif et extrême, qu’on peut parfois avoir du mal à comprendre mais surtout a concevoir...
D’ailleurs la psychologie de ces personnages est ahurissante. Ils sont façonnés avec une telle virtuosité, que s’en est fascinant.
Les questions à se poser sont :
Jusqu’ou seriez-vous prêt à salir votre âme par amour ?
Quels sacrifices et renoncements seriez-vous prêt à tolérer pour sauver l’âme de votre bien-aimé ?
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Et vous, oserez-vous, vous aventurer dans le manoir de la famille Von Gail pour tenter de percer les sombres secrets que renferment les murs de cette demeure, aux yeux des autres ?
⌁
Cette dark romance vous tente-t-elle ? Ou bien, l’avez vous déjà lu ?
Bonne journée 🌹.
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En refermant le premier tome d'Esme, j'ai eu envie d'enchaîner aussitôt avec le deuxième et dernier tome. Bien que j'ai moins aimé celui-ci que le précédent, j'ai passé un très bon moment à suivre la suite de l'histoire d'Esme (je ne peux pas en dire autant pour Abain, personnage que je n'apprécie définitivement pas).
Dans ce deuxième tome, l'histoire nous est racontée selon deux points de vue : celui d'Esme (que nous avions déjà dans le premier) et celui d'Abain.
C'est ainsi l'occasion pour Abain de raconter son histoire, chacun des souvenirs narrés étant lié soit à Esme, soit aux affaires illégales dans lesquelles il trempe. Cela nous permet donc de mieux comprendre ce personnage, notamment les raisons de ses choix, parfois drastiques (et complètement stupides), concernant Esme. Cela ne m'a toutefois pas fait changer d'avis le concernant : pour moi il reste toujours aussi détestable (et stupide). Mais Esme, bien que partageant parfois mon opinion, ne peut s'empêcher d'aimer cet homme plus que tout. Tout ce que j'ai pu dire dans ma chronique sur le premier tome est toujours d'actualité dans celui-ci : ils partagent une sorte d'amour absolu et malsain qui les pousse à faire les mauvais choix dès que cela les concerne. Par exemple, Esme va monter tout un plan concernant son homme et, pour le mener à bien, va travailler pour Lucen, le boss d'Abain. Donc elle, qui s'était juré de ne plus jamais tremper dans ces affaires de drogue, va s'y replonger jusqu'au cou.
Cette fois-ci l'histoire est pas mal centrée sur le trafic de drogue, que ce soit via les souvenirs d'Abain ou via le nouveau job d'Esme. Bon, les histoires de trafic, de gangs et autres trucs dans le genre, je n'aime pas trop à la base, du coup l'intrigue m'a un peu moins intéressée. Nous avons toutefois pas mal de suspens, bien qu'il s'agisse là d'un suspens assez différent de celui du premier tome, qui était vraiment axé sur la question des sentiments. Certes, cette thématique est toujours abordée ici, mais nous avons un peu plus d'actions et le suspens tourne davantage autour de la question de la survie : comment nos personnages vont-il s'en sortir ? Je ne peux pas trop en dire, ça gâcherait tout.
Ce que je reprochais au premier tome, les défauts de vocabulaire et de grammaire, est toujours présent dans cette suite. Mais comme pour le tome précédent, l'autrice a quand même une plume plutôt fluide et parvient à jouer sur la curiosité du lecteur. J'ai toutefois enchaîné les pages moins vite que lors de la lecture du premier, car j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueurs et de répétitions d'éléments déjà abordés dans le premier tome, ce qui donnait un côté un peu rébarbatif à ce second tome. Mais en dehors de ça, j'ai beaucoup apprécié ma lecture, en particulier l'épilogue qui rend la fin plutôt originale.
En bref...
Avec Esme, Farah Anah nous offre un diptyque assez intense et sombre. Dans ce deuxième et dernier tome, la relation entre les deux personnages principaux est bien plus tortueuse, puisqu'elle est cette fois-ci agrémentée d'une sombre histoire de gangs et de trafic de drogue. Les enjeux sont alors plus importants qu'une simple histoire d'amour, car à cela s'ajoute la question de la survie. Malgré quelques défauts d'écriture, longueurs et répétitions, l'autrice parvient toujours à capter notre attention, à attiser notre curiosité, pour nous conduire vers un final assez original.
Esme aura été une bonne découverte pour moi. Ce sera peut-être aussi le cas pour vous.
Dans ce deuxième tome, l'histoire nous est racontée selon deux points de vue : celui d'Esme (que nous avions déjà dans le premier) et celui d'Abain.
C'est ainsi l'occasion pour Abain de raconter son histoire, chacun des souvenirs narrés étant lié soit à Esme, soit aux affaires illégales dans lesquelles il trempe. Cela nous permet donc de mieux comprendre ce personnage, notamment les raisons de ses choix, parfois drastiques (et complètement stupides), concernant Esme. Cela ne m'a toutefois pas fait changer d'avis le concernant : pour moi il reste toujours aussi détestable (et stupide). Mais Esme, bien que partageant parfois mon opinion, ne peut s'empêcher d'aimer cet homme plus que tout. Tout ce que j'ai pu dire dans ma chronique sur le premier tome est toujours d'actualité dans celui-ci : ils partagent une sorte d'amour absolu et malsain qui les pousse à faire les mauvais choix dès que cela les concerne. Par exemple, Esme va monter tout un plan concernant son homme et, pour le mener à bien, va travailler pour Lucen, le boss d'Abain. Donc elle, qui s'était juré de ne plus jamais tremper dans ces affaires de drogue, va s'y replonger jusqu'au cou.
Cette fois-ci l'histoire est pas mal centrée sur le trafic de drogue, que ce soit via les souvenirs d'Abain ou via le nouveau job d'Esme. Bon, les histoires de trafic, de gangs et autres trucs dans le genre, je n'aime pas trop à la base, du coup l'intrigue m'a un peu moins intéressée. Nous avons toutefois pas mal de suspens, bien qu'il s'agisse là d'un suspens assez différent de celui du premier tome, qui était vraiment axé sur la question des sentiments. Certes, cette thématique est toujours abordée ici, mais nous avons un peu plus d'actions et le suspens tourne davantage autour de la question de la survie : comment nos personnages vont-il s'en sortir ? Je ne peux pas trop en dire, ça gâcherait tout.
Ce que je reprochais au premier tome, les défauts de vocabulaire et de grammaire, est toujours présent dans cette suite. Mais comme pour le tome précédent, l'autrice a quand même une plume plutôt fluide et parvient à jouer sur la curiosité du lecteur. J'ai toutefois enchaîné les pages moins vite que lors de la lecture du premier, car j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueurs et de répétitions d'éléments déjà abordés dans le premier tome, ce qui donnait un côté un peu rébarbatif à ce second tome. Mais en dehors de ça, j'ai beaucoup apprécié ma lecture, en particulier l'épilogue qui rend la fin plutôt originale.
En bref...
Avec Esme, Farah Anah nous offre un diptyque assez intense et sombre. Dans ce deuxième et dernier tome, la relation entre les deux personnages principaux est bien plus tortueuse, puisqu'elle est cette fois-ci agrémentée d'une sombre histoire de gangs et de trafic de drogue. Les enjeux sont alors plus importants qu'une simple histoire d'amour, car à cela s'ajoute la question de la survie. Malgré quelques défauts d'écriture, longueurs et répétitions, l'autrice parvient toujours à capter notre attention, à attiser notre curiosité, pour nous conduire vers un final assez original.
Esme aura été une bonne découverte pour moi. Ce sera peut-être aussi le cas pour vous.
Esme, de Farah Anah, est un diptyque romantique assez sombre. Il s'agit là encore d'une découverte pour moi, qui ne connaissait pas du tout l'autrice, et, bien que ce ne soit pas un coup de cœur, j'ai tout de même grandement apprécié ma lecture.
Esme, douze ans, vit dans un quartier pauvre, auprès de parents drogués dont un père alcoolique et violent et une mère prostituée qui n'attend qu'une chose : que sa fille devienne suffisamment grande pour se prostituer à son tour et rapporter de l'argent à la maison. Dans son quartier, les gens sont persuadés qu'Esme finira comme ses parents et la traitent donc avec mépris. Alors Esme ne rêve que d'une chose : obtenir son diplôme pour enfin quitter sa ville natale et vivre une vie normale.
Un jour débarque dans le quartier Abain Loreto, dix-sept ans, qui a emménagé là avec sa famille suite à la mutation forcée de son père instituteur. Dès sa rencontre avec Esme, il sent que quelque chose ne va pas et décide de la prendre sous son aile. Auprès d'Abain et de sa famille, Esme va apprendre ce qu'est un foyer aimant. Abain, qui a rapidement su s'imposer dans le quartier, devient petit à petit plus important pour elle que n'importe qui, à la fois pour leur plus grand bonheur et leur plus grand malheur.
Car des années plus tard, Esme, alors âgée de vingt-quatre ans, a le cœur brisé d'avoir été abandonnée il y a six ans par celui qu'elle aimait plus que tout. Le pire étant de ne pas savoir ce qu'il est devenu et la raison de sa soudaine disparition. Mais le voilà qui réapparaît à la station service où elle travaille pour ne montrer que de l'indifférence à son égard. Pire encore : il semble avoir réalisé ses rêves de grandeur, mais avec une autre femme qu'elle à ses côtés. Qu'a-t-il bien pu se passer pendant toutes ces années durant lesquelles ils ont été séparés ?
Il n'est pas évident de proposer un résumé pas trop long, car tout est lié, et il y a beaucoup d'éléments clés. Mais l'on va se contenter de ça, de toute façon je vais forcément en dire davantage en parlant des personnages.
Dans ce premier tome, l'histoire nous est racontée du point de vue d'Esme : c'est elle qui nous raconte ce qu'elle a vécu autrefois et ce qu'elle vit au présent, nous livrant ses sentiments les plus enfouis, ses secrets les plus sombres, ses souvenirs les plus horribles, mais aussi ses souvenirs les plus beaux. Sur environ le premier tiers du livre, nous découvrons son adolescence. Esme n'a vraiment pas eu de chance dans la vie, et ce depuis sa naissance. Sa mère est tombée enceinte pour que son petit-ami, qui avait alors une bonne situation, l'épouse. Malheureusement il a tout perdu (famille, emploi, argent) et ils se sont retrouvés à devoir vivre pauvrement. Devenus alcooliques et drogués, ils ont traité Esme comme une moins-que-rien. La jeune fille était obligée de sortir dès que ses parents invitaient des amis, car ceux-ci pouvaient être dangereux (mains baladeuses, regards concupiscents, etc.). Mais Esme a tout fait pour pouvoir un jour quitter cet univers qui la répugne, refusant de toucher à la drogue et travaillant d'arrache-pied pour avoir son diplôme. Rencontrer Abain et sa famille a été salvateur pour elle, du moins au début. Les Loreto l'ont accueillie et ont fini par la considérer comme un membre de leur famille. Si au départ Abain était un ami, les sentiments d'Esme ont fini par évoluer et elle s'est mise à exiger plus de lui : d'abord un baiser, puis d'autres, puis des caresses, etc. Abain, qui prenait cela pour un simple jeu, habitué à fréquenter tout un tas de filles, a fini par se rendre compte que cela devenait de plus en plus sérieux. Parfois j'ai trouvé cette relation un peu dérangeante, car ils ont cinq ans d'écart : quand on est adulte, une telle différence est minime, mais quand la fille a treize ans et le garçon dix-huit, c'est plus problématique. Il y a la question légale avec le détournement de mineur (qui est d'ailleurs abordée dans l'histoire), ou encore celle du consentement (bon, ici c'est elle qui prend les devants, mais vu de l'extérieur on peut se demander s'il n'y a pas eu une quelconque manipulation, etc.). Alors oui, comme je le disais, c'est Esme qui a démarré cette relation, qui a décidé de chacune des étapes. Mais Abain était censé être plus mature, pourtant à chaque fois qu'il a refusé l'une de ces étapes justement à cause de leur différence d'âge, il a toujours fini par céder, et pas toujours de manière très réfléchie (pas de préservatif pour leur première fois, par exemple). Je ne dis pas que cette relation n'avait pas lieu d'être, au contraire on en comprend chaque étape, on comprend aisément les sentiments d'Esme. C'est juste que certains points m'ont dérangée.
Et c'est pire lorsque l'on retrouve les personnages des années plus tard, ce qui occupe les deux-tiers suivants du livre avec toutefois quelques chapitres flash-back. Esme (je ne dis pas ce qu'elle a fait pendant tout ce temps, ça fait partie des surprises de l'histoire) n'a pas accompli ses rêves : elle vit dans un appartement pourri avec sa meilleure amie (une mère qui fuit son mari drogué et violent) et travaille illégalement dans une station service pour un salaire de misère. À cause des horreurs qu'elle a vécu ces dernières années et l'abandon de l'homme qu'elle aimait plus que tout, elle s'est barricadée derrière des remparts bien hauts et bien épais (elle avait déjà un bonne carapace autrefois, là c'est pire) pour ne plus laisser qui que ce soit l'atteindre pour la briser à nouveau. Quand Abain réapparaît, il est tout son contraire : il porte de beaux costumes, a un super travail qui lui rapporte beaucoup d'argent, vit dans une belle maison dans un beau quartier et a une fiancée dont les parents sont riches. Quand Esme se retrouve à la rue, à la recherche d'un nouveau logement, Abain propose de l'héberger dans sa dépendance. Alors "propose" est un bien grand mot, car il ne lui laisse pas vraiment le choix : il lui pique ses affaires pour la forcer à le suivre. Comme si vivre avec son ex-petit-ami et sa future épouse n'était pas déjà assez difficile, Abain passe son temps à la torturer, allant parfois vers elle pour la fuir aussitôt. Abain qui, tout au long de l'histoire, est comparé à un prince charmant. J'explique : on a toute une référence au Disney Le Bossu de Notre-Dame, étant donné que le nom complet d'Esme est Esmeralda, et elle a décidé d'attribuer le rôle de Phoebus à Abain. Bon, elle était gamine à l'époque et Abain s'apparentait pour elle à un véritable prince charmant. Qui s'avère en fait être un parfait connard. Parce que déjà à l'époque où ils sortaient ensemble, il l'a poussée à consommer de la drogue et elle se mettait à boire énormément lors de soirées. Et quand des années plus tard il se retrouvent, Esme ne boit plus, ne fume plus et ne touche plus à la drogue, pourtant il essaie de la pousser à boire (ce qui conduit à une fin de soirée désastreuse) et à fumer (il la force à prendre la cigarette dans sa bouche).
Bref ! Je n'ai pas du tout aimé le personnage d'Abain, qui est un bel hypocrite. Quant à Esme, cela dépend des moments. Ce personnage m'a beaucoup intéressée, elle est forte malgré tout ce que ses parents lui ont fait endurer, elle fait tout ce qu'il faut pour s'en sortir au point de s'endurcir peut-être un peu trop, pourtant elle reste une personne avec un grand cœur et est prête à tout pour protéger ceux qu'elle aime. Le problème c'est que, dès que cela concerne Abain, elle ne fait que les mauvais choix. Franchement, vu la manière dont il ne cesse de se comporter avec elle durant la période où il la loge, je n'ai pas compris pourquoi elle s'accrochait autant et ne se contentait pas simplement de se barrer. Bon si, j'ai compris, tous deux partagent une sorte d'amour absolu, mais hyper malsain, qui leur fait autant de mal que de bien. Mais perso je me serais barrée depuis longtemps, à sa place, je n'aurais pas autant repoussé les limites de ma tolérance. Pour le coup elle m'a exaspérée à plusieurs reprises, ce qui ne m'a toutefois pas empêchée d'apprécier quand même le personnage et son histoire.
Quand j'ai débuté ma lecture, j'ai cru que je ne parviendrais pas à apprécier ce roman. Déjà parce que le style de l'autrice m'a laissée quelque peu perplexe. Il y a eu parfois des phrases et des expressions qui ont été mal tournées, ce qui m'a un peu dérangée, parce que dans ces cas-là je ne peux pas m'empêcher de m'arrêter pour corriger la phrase dans ma tête. Du coup ça me coupe un peu dans ma lecture. J'ai également eu un peu de mal avec le vocabulaire employé, car j'ai trouvé que par moments ça dénotait avec le reste du texte. Par exemple, utiliser le mot "palpitant" pour désigner le "cœur" : dans certaines circonstances ça fonctionne, mais dans certains passages, surtout romantiques ou sensuels, j'ai trouvé que le mot cassait un peu l'ambiance. C'est un exemple (celui qui apparaît le plus dans le récit, même si ce n'est pas celui qui m'a le plus dérangée, mais comme je ne les ai pas listés, j'ai pris celui dont je me souvenais), mais il y en a eu plusieurs comme ça qui m'ont dérangée. L'autrice emploie également certains mots pour caractériser quelque chose de concret alors qu'ils sont censés être utilisés pour de l'abstrait. Tout cela m'a donné l'impression qu'elle a cherché dans les listes de synonymes pour varier le vocabulaire, sauf que ça n'a pas forcément été employé comme il faut.
L'autre raison pour laquelle j'ai pensé ne pas arriver à apprécier le roman était justement cet amour malsain entre Esme et Abain, et l'exaspération que je ressentais face aux décisions d'Esme.
Malgré ces défauts, je n'ai pas pu m'empêcher de tourner les pages. L'autrice sait comment susciter la curiosité. J'avais vraiment envie de connaître le secret d'Abain (la raison de sa disparition) et de savoir ce qu'il allait advenir de nos deux amoureux maudits. Même si certains mots ou certaines phrases n'ont pas été employés correctement, globalement l'écriture de l'autrice reste fluide et dessert bien l'histoire, particulièrement addictive. J'ai beaucoup aimé le fait que l'on s'attarde sur l'adolescence d'Esme et l'évolution de sa relation passée avec Abain, tout comme les flash-back qui nous permettent de découvrir ce qu'elle a vécu durant les années où il a disparu de sa vie. Présenter l'histoire ainsi était une bonne idée, l'autrice ayant vraiment pris le temps de nous faire connaître son héroïne à l'adolescence, pour que nous puissions mieux comprendre son héroïne adulte. Je pense que si elle s'était contentée de parler brièvement de son passé, j'aurais bien moins su apprécier le personnage.
En bref...
Le premier tome d'Esme met en place une romance parfois assez sombre particulièrement bien réussie, tant dans le traitement des personnages (qu'on les apprécie ou pas) que dans celui de l'intrigue. Malgré quelques défauts de vocabulaire et de grammaire, l'autrice parvient d'une plume fluide à attiser la curiosité du lecteur, le poussant à tourner les pages pour toujours en savoir plus. Technique qu'elle utilise également pour la fin du tome, qui laisse alors le lecteur sur sa faim, désireux d'assouvir ce besoin de connaître enfin le fin mot de l'histoire.
Pour ma part, j'ai aussitôt enchaîné sur le deuxième tome.
Lien : https://escape-in-books.blog..
Esme, douze ans, vit dans un quartier pauvre, auprès de parents drogués dont un père alcoolique et violent et une mère prostituée qui n'attend qu'une chose : que sa fille devienne suffisamment grande pour se prostituer à son tour et rapporter de l'argent à la maison. Dans son quartier, les gens sont persuadés qu'Esme finira comme ses parents et la traitent donc avec mépris. Alors Esme ne rêve que d'une chose : obtenir son diplôme pour enfin quitter sa ville natale et vivre une vie normale.
Un jour débarque dans le quartier Abain Loreto, dix-sept ans, qui a emménagé là avec sa famille suite à la mutation forcée de son père instituteur. Dès sa rencontre avec Esme, il sent que quelque chose ne va pas et décide de la prendre sous son aile. Auprès d'Abain et de sa famille, Esme va apprendre ce qu'est un foyer aimant. Abain, qui a rapidement su s'imposer dans le quartier, devient petit à petit plus important pour elle que n'importe qui, à la fois pour leur plus grand bonheur et leur plus grand malheur.
Car des années plus tard, Esme, alors âgée de vingt-quatre ans, a le cœur brisé d'avoir été abandonnée il y a six ans par celui qu'elle aimait plus que tout. Le pire étant de ne pas savoir ce qu'il est devenu et la raison de sa soudaine disparition. Mais le voilà qui réapparaît à la station service où elle travaille pour ne montrer que de l'indifférence à son égard. Pire encore : il semble avoir réalisé ses rêves de grandeur, mais avec une autre femme qu'elle à ses côtés. Qu'a-t-il bien pu se passer pendant toutes ces années durant lesquelles ils ont été séparés ?
Il n'est pas évident de proposer un résumé pas trop long, car tout est lié, et il y a beaucoup d'éléments clés. Mais l'on va se contenter de ça, de toute façon je vais forcément en dire davantage en parlant des personnages.
Dans ce premier tome, l'histoire nous est racontée du point de vue d'Esme : c'est elle qui nous raconte ce qu'elle a vécu autrefois et ce qu'elle vit au présent, nous livrant ses sentiments les plus enfouis, ses secrets les plus sombres, ses souvenirs les plus horribles, mais aussi ses souvenirs les plus beaux. Sur environ le premier tiers du livre, nous découvrons son adolescence. Esme n'a vraiment pas eu de chance dans la vie, et ce depuis sa naissance. Sa mère est tombée enceinte pour que son petit-ami, qui avait alors une bonne situation, l'épouse. Malheureusement il a tout perdu (famille, emploi, argent) et ils se sont retrouvés à devoir vivre pauvrement. Devenus alcooliques et drogués, ils ont traité Esme comme une moins-que-rien. La jeune fille était obligée de sortir dès que ses parents invitaient des amis, car ceux-ci pouvaient être dangereux (mains baladeuses, regards concupiscents, etc.). Mais Esme a tout fait pour pouvoir un jour quitter cet univers qui la répugne, refusant de toucher à la drogue et travaillant d'arrache-pied pour avoir son diplôme. Rencontrer Abain et sa famille a été salvateur pour elle, du moins au début. Les Loreto l'ont accueillie et ont fini par la considérer comme un membre de leur famille. Si au départ Abain était un ami, les sentiments d'Esme ont fini par évoluer et elle s'est mise à exiger plus de lui : d'abord un baiser, puis d'autres, puis des caresses, etc. Abain, qui prenait cela pour un simple jeu, habitué à fréquenter tout un tas de filles, a fini par se rendre compte que cela devenait de plus en plus sérieux. Parfois j'ai trouvé cette relation un peu dérangeante, car ils ont cinq ans d'écart : quand on est adulte, une telle différence est minime, mais quand la fille a treize ans et le garçon dix-huit, c'est plus problématique. Il y a la question légale avec le détournement de mineur (qui est d'ailleurs abordée dans l'histoire), ou encore celle du consentement (bon, ici c'est elle qui prend les devants, mais vu de l'extérieur on peut se demander s'il n'y a pas eu une quelconque manipulation, etc.). Alors oui, comme je le disais, c'est Esme qui a démarré cette relation, qui a décidé de chacune des étapes. Mais Abain était censé être plus mature, pourtant à chaque fois qu'il a refusé l'une de ces étapes justement à cause de leur différence d'âge, il a toujours fini par céder, et pas toujours de manière très réfléchie (pas de préservatif pour leur première fois, par exemple). Je ne dis pas que cette relation n'avait pas lieu d'être, au contraire on en comprend chaque étape, on comprend aisément les sentiments d'Esme. C'est juste que certains points m'ont dérangée.
Et c'est pire lorsque l'on retrouve les personnages des années plus tard, ce qui occupe les deux-tiers suivants du livre avec toutefois quelques chapitres flash-back. Esme (je ne dis pas ce qu'elle a fait pendant tout ce temps, ça fait partie des surprises de l'histoire) n'a pas accompli ses rêves : elle vit dans un appartement pourri avec sa meilleure amie (une mère qui fuit son mari drogué et violent) et travaille illégalement dans une station service pour un salaire de misère. À cause des horreurs qu'elle a vécu ces dernières années et l'abandon de l'homme qu'elle aimait plus que tout, elle s'est barricadée derrière des remparts bien hauts et bien épais (elle avait déjà un bonne carapace autrefois, là c'est pire) pour ne plus laisser qui que ce soit l'atteindre pour la briser à nouveau. Quand Abain réapparaît, il est tout son contraire : il porte de beaux costumes, a un super travail qui lui rapporte beaucoup d'argent, vit dans une belle maison dans un beau quartier et a une fiancée dont les parents sont riches. Quand Esme se retrouve à la rue, à la recherche d'un nouveau logement, Abain propose de l'héberger dans sa dépendance. Alors "propose" est un bien grand mot, car il ne lui laisse pas vraiment le choix : il lui pique ses affaires pour la forcer à le suivre. Comme si vivre avec son ex-petit-ami et sa future épouse n'était pas déjà assez difficile, Abain passe son temps à la torturer, allant parfois vers elle pour la fuir aussitôt. Abain qui, tout au long de l'histoire, est comparé à un prince charmant. J'explique : on a toute une référence au Disney Le Bossu de Notre-Dame, étant donné que le nom complet d'Esme est Esmeralda, et elle a décidé d'attribuer le rôle de Phoebus à Abain. Bon, elle était gamine à l'époque et Abain s'apparentait pour elle à un véritable prince charmant. Qui s'avère en fait être un parfait connard. Parce que déjà à l'époque où ils sortaient ensemble, il l'a poussée à consommer de la drogue et elle se mettait à boire énormément lors de soirées. Et quand des années plus tard il se retrouvent, Esme ne boit plus, ne fume plus et ne touche plus à la drogue, pourtant il essaie de la pousser à boire (ce qui conduit à une fin de soirée désastreuse) et à fumer (il la force à prendre la cigarette dans sa bouche).
Bref ! Je n'ai pas du tout aimé le personnage d'Abain, qui est un bel hypocrite. Quant à Esme, cela dépend des moments. Ce personnage m'a beaucoup intéressée, elle est forte malgré tout ce que ses parents lui ont fait endurer, elle fait tout ce qu'il faut pour s'en sortir au point de s'endurcir peut-être un peu trop, pourtant elle reste une personne avec un grand cœur et est prête à tout pour protéger ceux qu'elle aime. Le problème c'est que, dès que cela concerne Abain, elle ne fait que les mauvais choix. Franchement, vu la manière dont il ne cesse de se comporter avec elle durant la période où il la loge, je n'ai pas compris pourquoi elle s'accrochait autant et ne se contentait pas simplement de se barrer. Bon si, j'ai compris, tous deux partagent une sorte d'amour absolu, mais hyper malsain, qui leur fait autant de mal que de bien. Mais perso je me serais barrée depuis longtemps, à sa place, je n'aurais pas autant repoussé les limites de ma tolérance. Pour le coup elle m'a exaspérée à plusieurs reprises, ce qui ne m'a toutefois pas empêchée d'apprécier quand même le personnage et son histoire.
Quand j'ai débuté ma lecture, j'ai cru que je ne parviendrais pas à apprécier ce roman. Déjà parce que le style de l'autrice m'a laissée quelque peu perplexe. Il y a eu parfois des phrases et des expressions qui ont été mal tournées, ce qui m'a un peu dérangée, parce que dans ces cas-là je ne peux pas m'empêcher de m'arrêter pour corriger la phrase dans ma tête. Du coup ça me coupe un peu dans ma lecture. J'ai également eu un peu de mal avec le vocabulaire employé, car j'ai trouvé que par moments ça dénotait avec le reste du texte. Par exemple, utiliser le mot "palpitant" pour désigner le "cœur" : dans certaines circonstances ça fonctionne, mais dans certains passages, surtout romantiques ou sensuels, j'ai trouvé que le mot cassait un peu l'ambiance. C'est un exemple (celui qui apparaît le plus dans le récit, même si ce n'est pas celui qui m'a le plus dérangée, mais comme je ne les ai pas listés, j'ai pris celui dont je me souvenais), mais il y en a eu plusieurs comme ça qui m'ont dérangée. L'autrice emploie également certains mots pour caractériser quelque chose de concret alors qu'ils sont censés être utilisés pour de l'abstrait. Tout cela m'a donné l'impression qu'elle a cherché dans les listes de synonymes pour varier le vocabulaire, sauf que ça n'a pas forcément été employé comme il faut.
L'autre raison pour laquelle j'ai pensé ne pas arriver à apprécier le roman était justement cet amour malsain entre Esme et Abain, et l'exaspération que je ressentais face aux décisions d'Esme.
Malgré ces défauts, je n'ai pas pu m'empêcher de tourner les pages. L'autrice sait comment susciter la curiosité. J'avais vraiment envie de connaître le secret d'Abain (la raison de sa disparition) et de savoir ce qu'il allait advenir de nos deux amoureux maudits. Même si certains mots ou certaines phrases n'ont pas été employés correctement, globalement l'écriture de l'autrice reste fluide et dessert bien l'histoire, particulièrement addictive. J'ai beaucoup aimé le fait que l'on s'attarde sur l'adolescence d'Esme et l'évolution de sa relation passée avec Abain, tout comme les flash-back qui nous permettent de découvrir ce qu'elle a vécu durant les années où il a disparu de sa vie. Présenter l'histoire ainsi était une bonne idée, l'autrice ayant vraiment pris le temps de nous faire connaître son héroïne à l'adolescence, pour que nous puissions mieux comprendre son héroïne adulte. Je pense que si elle s'était contentée de parler brièvement de son passé, j'aurais bien moins su apprécier le personnage.
En bref...
Le premier tome d'Esme met en place une romance parfois assez sombre particulièrement bien réussie, tant dans le traitement des personnages (qu'on les apprécie ou pas) que dans celui de l'intrigue. Malgré quelques défauts de vocabulaire et de grammaire, l'autrice parvient d'une plume fluide à attiser la curiosité du lecteur, le poussant à tourner les pages pour toujours en savoir plus. Technique qu'elle utilise également pour la fin du tome, qui laisse alors le lecteur sur sa faim, désireux d'assouvir ce besoin de connaître enfin le fin mot de l'histoire.
Pour ma part, j'ai aussitôt enchaîné sur le deuxième tome.
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J’ai été partenaire Black Ink cette année pour la première fois, l’occasion de découvrir tant d’histoires, d’univers et des auteurs en tous genres. Ce roman qui est sorti en septembre, j’ai souhaité le lire pour plusieurs raisons : déjà pour son auteure que j’ai beaucoup aimé lire dans ses précédents romans, ensuite j’ai trouvé la couverture magnifique. Je crois que rien que pour la couverture, j’aurai pu lire ce livre. Pour finir, je suis très très intriguée par l’histoire ! J’ai choisi de le lire en me demandant ce qu’elle allait nous réserver, et en me disant que cela devait être quelque chose d’à part. Je l’ai donc commencé avec beaucoup de curiosité.
L’idée que l’on entraperçoit à la lecture du résumé est étrange : à la fois dérangeante mais aussi très intrigante. Un manoir, une famille, une perte, une remplaçante, une poupée, tant d’éléments qui vont nous offrir un récit un peu à part. Farah Anah nous propose ici une histoire tordue, elle l’est tellement que durant toute ma lecture et même une fois le livre refermé, j’oscille entre deux sentiments : être fascinée ou au contraire être dérangée, l’un n’allant pas sans l’autre. En commençant la lecture, on sait d’emblée que cette histoire est un peu à part, bien loin de ce que l’on a l’habitude de lire, et j’avoue que je ne sais pas trop comment en parler, car en fin de compte, je reste avec tellement d’interrogations sur mes propres ressentis à la lecture.
Le manoir des von Gail sera le lieu où se déroulera cette histoire. Wolfang, l’héritier de ces lieux, y vit en compagnie de quelques membres de sa famille. Il a perdu sa soeur il y a quelques temps, perdant ainsi tous ses repères et depuis il n’a jamais repris goût à la vie. C’est alors qu’on lui offre un cadeau d’anniversaire très particulier : une personne. Une jeune fille, en tous points semblable à sa soeur, une copie de Katharina, une poupée vivante la représentant Elle et ce pour palier au chagrin qui le ronge de l’intérieur. Une idée vraiment très étrange, mais aussi dérangeante car on ne remplace pas un être cher perdu par un être en tous points conformes physiquement. Quelle sera la réaction de Wolfang face à cette initiative ? Mais aussi de quelles manière cette idée leur est venue en tête ?
Wolfang est un personnage mystérieux, à la fois éteins par la perte qu’il a subit, tout en étant toutefois quelqu’un qui réagit souvent à chaud à ce qu’il lui arrive. Nous aurons ainsi l’occasion de constater que sa personnalité peut être changeante mais qu’il exprime assez bien ses émotions, sans les cacher aux autres. Fascinée par cette poupée qu’on lui offre, il est partagé entre ce besoin qu’il a de la garder et la choyer, de façon un peu morbide ou obsessionnelle, et aussi ce sentiment colérique à l’idée même qu’elle puisse même exister. Vont naitre alors des émotions contradictoires en lui, et plus le temps va passer, plus la relation qu’il entretient avec elle va évoluer, vers quelque chose qu’il est difficile à qualifier de suite et d’assez complexe. Wolfang semble être assez sombre, et si son esprit est en dérive, il dégage toutefois une certaine aura impressionnante.
Elle, que l’on qualifiera tantôt de demi-soeur, ou de cousine, et encore de poupée ou de bien d’autres manières, endosse l’identité de la disparue. Elle a un comportement totalement éteins au départ, elle est effrayée, ne sachant pas trop à quoi s’attendre, il semblerait qu’elle est oubliée son passé, donc elle se retrouve dans une sorte de néant complet qui accentue sa peur de l’inconnu. Elle se retrouve dans des lieux qu’elle ne connait pas, assez impressionnant et parmi une famille qui l’est tout autant, aux personnalités multiples et variées. Et on lui demande alors d’être une autre : un être perdu qui était aimé et qui manque, alors qu’elle ne semble pas avoir de place bien définie auprès de qui que se soit. La pauvre chose qu’elle est au départ, va donc faire son possible pour devenir Elle, Katharina, au dépend de sa propre personnalité, un fait étrange et qui occasionne bien des questions. Son mutisme dérange mais nous pousse aussi à être très intriguée par ce qu’elle est. Quelles sont les retombées psychologiques de ce type de comportement ? c’est très intriguant de voir ce que cela peut occasionner, tant sur les autres que sur elle-même, qui malgré tout, a aussi une histoire passée.
Dans les débuts du roman, on a un peu cette impression d’être dans une autre dimension. L’action est très isolée, se contentant de quelques personnages et la particularité de la situation confère au roman une aura un peu étrange comme fantastique. Temporellement, il nous faut quelques chapitres pour bien saisir l’âge des protagonistes, enfant, jeune adulte, ou encore adulte accompli, chacun est à un moment différent de sa vie, et pourtant tous semblent reliés à ce manoir et à cette famille particulière. Les replacer aussi dans leur propre histoire, temporellement, face à la perte d’une soeur, ou encore face à des événements qui semblent faire réminiscence du passé nous permet d’évoluer dans la découverte de cette histoire. Le fait que l’action se déroule dans une sorte de huit clos, dans ce manoir ne fait qu’exacerber cette impression dérangeante autour du fait même que l’on puisse offrir une enfant en cadeau en remplacement identique d’une autre, alors même que la présence de la défunte semble encore être tellement forte.
L’action qui se déroule au présent va être agrémentée de la résurgence de ce passé qui joue un rôle primordiale dans ce qu’ils vivent à ce moment de l’histoire. Ce manoir et cette famille ne sont pas sans cacher bien des secrets et nous les découvrons au fil des pages qui tournent. Parfois, on devine certaines choses mais sans vraiment découvrir toute la vérité, mais les attitudes étranges de certains personnages ne nous laissent aucun doute sur l’étendu et sur l’importance de ces secrets qui sont cachés. Les personnages principaux ne peuvent pas se contenter d’être ce qu’ils sont ou ce que l’on leur demande d’être, sans avoir connaissance de leur vécu pour comprendre qu’elle est réellement leur place. Il y a une recherche de sa propre identité, alors que l’on essaye de lui en faire endosser une pour elle, elle se perd par moments entre être Katharina et son passé qui refait surface pour lui rappeler qui elle est véritablement. Wolfang n’est pas en reste, puisqu’à travers ce passé qui se dévoile, il en apprend aussi davantage sur sa propre famille, et tout semble lié.
L’évolution et la tournure qui va prendre l’histoire est assez étonnante, je ne m’y attendais pas. Le récit est bien construit, nous permettant d’abord d’accompagner notre jeune héroïne dans son apprentissage de cette nouvelle vie, assez particulière je vous l’accorde, et de découvrir les autres membres de cette famille qui l’a accueillie. Un Wolfang au comportement instable, qui l’impressionne et dont elle ne sait pas trop quoi penser, si ce n’est que malgré la peur, il la fascine. Et les autres membres présents, qui semblent vouloir veiller au grain, surveiller que tout se passe bien, et sans débordement. Mais justement pourquoi veiller ainsi sur eux ? C’est là, la question que l’on se pose. Bien sur car la situation est loin d’être normale déjà, mais au delà de cela, tout n’a pas été révélé sur la venue de cette jeune fille. Nous vivons les faits par le présent, mais nous avançons aussi dans l’histoire générale en effectuant quelques allers retours vers le passé, des deux personnages principaux. Cela nous permet alors de les comprendre et aussi d’appréhender la situation dans son ensemble.
Pour conclure sur ce roman, je dirai que la plume de l’auteure accompagne avec brio le scénario qu’elle a voulu nous conter, quelque chose d’assez machiavélique et complexe, voir tordu. Il y a cette part d’obscurité qui ne quitte pas les personnages et leurs actions, celle qui justement peut déranger mais sans laquelle, ce livre ne serait pas ce qu’il est. Il y a aussi cette façon dont on est envouté par l’aura des personnages qui vous conduisent là où ils souhaitent nous mener. Après on adhère ou pas, c’est vraiment très personnel comme réaction, car avec ce genre de livre, on ne peut pas dire que l’on est sur que tout le monde va aimer. Et moi, alors ? Je reste indécise , fascinée mais pas toujours totalement convaincue, car parfois dérangée par la tournure qu’a pu prendre cette histoire, mais comme cela se tient, je ne peux pas dire que ce n’est pas bon. Non, ça l’est et c’est un roman qui vaut franchement le détour.
Farah Anah a su m’étonner, me dérouter et me déstabiliser avec cette proposition de scénario. C’est une histoire à part, d’inqualifiable et de totalement singulier et inattendu. J’aime être un peu bousculée et en partant du principe que son histoire tient la route, j’ai trouvé cette proposition audacieuse et pertinente, occasionnant bien des réactions à sa lecture.
Lien : http://www.livresavie.com/lo..
L’idée que l’on entraperçoit à la lecture du résumé est étrange : à la fois dérangeante mais aussi très intrigante. Un manoir, une famille, une perte, une remplaçante, une poupée, tant d’éléments qui vont nous offrir un récit un peu à part. Farah Anah nous propose ici une histoire tordue, elle l’est tellement que durant toute ma lecture et même une fois le livre refermé, j’oscille entre deux sentiments : être fascinée ou au contraire être dérangée, l’un n’allant pas sans l’autre. En commençant la lecture, on sait d’emblée que cette histoire est un peu à part, bien loin de ce que l’on a l’habitude de lire, et j’avoue que je ne sais pas trop comment en parler, car en fin de compte, je reste avec tellement d’interrogations sur mes propres ressentis à la lecture.
Le manoir des von Gail sera le lieu où se déroulera cette histoire. Wolfang, l’héritier de ces lieux, y vit en compagnie de quelques membres de sa famille. Il a perdu sa soeur il y a quelques temps, perdant ainsi tous ses repères et depuis il n’a jamais repris goût à la vie. C’est alors qu’on lui offre un cadeau d’anniversaire très particulier : une personne. Une jeune fille, en tous points semblable à sa soeur, une copie de Katharina, une poupée vivante la représentant Elle et ce pour palier au chagrin qui le ronge de l’intérieur. Une idée vraiment très étrange, mais aussi dérangeante car on ne remplace pas un être cher perdu par un être en tous points conformes physiquement. Quelle sera la réaction de Wolfang face à cette initiative ? Mais aussi de quelles manière cette idée leur est venue en tête ?
Wolfang est un personnage mystérieux, à la fois éteins par la perte qu’il a subit, tout en étant toutefois quelqu’un qui réagit souvent à chaud à ce qu’il lui arrive. Nous aurons ainsi l’occasion de constater que sa personnalité peut être changeante mais qu’il exprime assez bien ses émotions, sans les cacher aux autres. Fascinée par cette poupée qu’on lui offre, il est partagé entre ce besoin qu’il a de la garder et la choyer, de façon un peu morbide ou obsessionnelle, et aussi ce sentiment colérique à l’idée même qu’elle puisse même exister. Vont naitre alors des émotions contradictoires en lui, et plus le temps va passer, plus la relation qu’il entretient avec elle va évoluer, vers quelque chose qu’il est difficile à qualifier de suite et d’assez complexe. Wolfang semble être assez sombre, et si son esprit est en dérive, il dégage toutefois une certaine aura impressionnante.
Elle, que l’on qualifiera tantôt de demi-soeur, ou de cousine, et encore de poupée ou de bien d’autres manières, endosse l’identité de la disparue. Elle a un comportement totalement éteins au départ, elle est effrayée, ne sachant pas trop à quoi s’attendre, il semblerait qu’elle est oubliée son passé, donc elle se retrouve dans une sorte de néant complet qui accentue sa peur de l’inconnu. Elle se retrouve dans des lieux qu’elle ne connait pas, assez impressionnant et parmi une famille qui l’est tout autant, aux personnalités multiples et variées. Et on lui demande alors d’être une autre : un être perdu qui était aimé et qui manque, alors qu’elle ne semble pas avoir de place bien définie auprès de qui que se soit. La pauvre chose qu’elle est au départ, va donc faire son possible pour devenir Elle, Katharina, au dépend de sa propre personnalité, un fait étrange et qui occasionne bien des questions. Son mutisme dérange mais nous pousse aussi à être très intriguée par ce qu’elle est. Quelles sont les retombées psychologiques de ce type de comportement ? c’est très intriguant de voir ce que cela peut occasionner, tant sur les autres que sur elle-même, qui malgré tout, a aussi une histoire passée.
Dans les débuts du roman, on a un peu cette impression d’être dans une autre dimension. L’action est très isolée, se contentant de quelques personnages et la particularité de la situation confère au roman une aura un peu étrange comme fantastique. Temporellement, il nous faut quelques chapitres pour bien saisir l’âge des protagonistes, enfant, jeune adulte, ou encore adulte accompli, chacun est à un moment différent de sa vie, et pourtant tous semblent reliés à ce manoir et à cette famille particulière. Les replacer aussi dans leur propre histoire, temporellement, face à la perte d’une soeur, ou encore face à des événements qui semblent faire réminiscence du passé nous permet d’évoluer dans la découverte de cette histoire. Le fait que l’action se déroule dans une sorte de huit clos, dans ce manoir ne fait qu’exacerber cette impression dérangeante autour du fait même que l’on puisse offrir une enfant en cadeau en remplacement identique d’une autre, alors même que la présence de la défunte semble encore être tellement forte.
L’action qui se déroule au présent va être agrémentée de la résurgence de ce passé qui joue un rôle primordiale dans ce qu’ils vivent à ce moment de l’histoire. Ce manoir et cette famille ne sont pas sans cacher bien des secrets et nous les découvrons au fil des pages qui tournent. Parfois, on devine certaines choses mais sans vraiment découvrir toute la vérité, mais les attitudes étranges de certains personnages ne nous laissent aucun doute sur l’étendu et sur l’importance de ces secrets qui sont cachés. Les personnages principaux ne peuvent pas se contenter d’être ce qu’ils sont ou ce que l’on leur demande d’être, sans avoir connaissance de leur vécu pour comprendre qu’elle est réellement leur place. Il y a une recherche de sa propre identité, alors que l’on essaye de lui en faire endosser une pour elle, elle se perd par moments entre être Katharina et son passé qui refait surface pour lui rappeler qui elle est véritablement. Wolfang n’est pas en reste, puisqu’à travers ce passé qui se dévoile, il en apprend aussi davantage sur sa propre famille, et tout semble lié.
L’évolution et la tournure qui va prendre l’histoire est assez étonnante, je ne m’y attendais pas. Le récit est bien construit, nous permettant d’abord d’accompagner notre jeune héroïne dans son apprentissage de cette nouvelle vie, assez particulière je vous l’accorde, et de découvrir les autres membres de cette famille qui l’a accueillie. Un Wolfang au comportement instable, qui l’impressionne et dont elle ne sait pas trop quoi penser, si ce n’est que malgré la peur, il la fascine. Et les autres membres présents, qui semblent vouloir veiller au grain, surveiller que tout se passe bien, et sans débordement. Mais justement pourquoi veiller ainsi sur eux ? C’est là, la question que l’on se pose. Bien sur car la situation est loin d’être normale déjà, mais au delà de cela, tout n’a pas été révélé sur la venue de cette jeune fille. Nous vivons les faits par le présent, mais nous avançons aussi dans l’histoire générale en effectuant quelques allers retours vers le passé, des deux personnages principaux. Cela nous permet alors de les comprendre et aussi d’appréhender la situation dans son ensemble.
Pour conclure sur ce roman, je dirai que la plume de l’auteure accompagne avec brio le scénario qu’elle a voulu nous conter, quelque chose d’assez machiavélique et complexe, voir tordu. Il y a cette part d’obscurité qui ne quitte pas les personnages et leurs actions, celle qui justement peut déranger mais sans laquelle, ce livre ne serait pas ce qu’il est. Il y a aussi cette façon dont on est envouté par l’aura des personnages qui vous conduisent là où ils souhaitent nous mener. Après on adhère ou pas, c’est vraiment très personnel comme réaction, car avec ce genre de livre, on ne peut pas dire que l’on est sur que tout le monde va aimer. Et moi, alors ? Je reste indécise , fascinée mais pas toujours totalement convaincue, car parfois dérangée par la tournure qu’a pu prendre cette histoire, mais comme cela se tient, je ne peux pas dire que ce n’est pas bon. Non, ça l’est et c’est un roman qui vaut franchement le détour.
Farah Anah a su m’étonner, me dérouter et me déstabiliser avec cette proposition de scénario. C’est une histoire à part, d’inqualifiable et de totalement singulier et inattendu. J’aime être un peu bousculée et en partant du principe que son histoire tient la route, j’ai trouvé cette proposition audacieuse et pertinente, occasionnant bien des réactions à sa lecture.
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J’avais entendu de supers échos à propos de ce roman et je me faisais une hâte de le lire. C’est pour ça que quand j’ai vu qu’une séance dédicaces était organisée dans les locaux de la maison d’édition, j’ai sauté sur l’occasion et ai commandé mon exemplaire du roman. Qui est arrivé 1 mois après la guerre ET abîmé, mais bon, il était dédicacé, donc j’imagine que c’était déjà cela.
Et quelle déception puisque que je n’ai pas pu le terminer et l’ai déjà revendu avec ma dédicace à l’intérieur, donc je me dis que j’aurais davantage dû réfléchir avant de me le procurer plein prix..
Déjà, la première chose qui m’a dérangée mais que j’ai choisi de passer outre pour le reste du roman, est la différence d’âge entre les deux personnages. Je n’ai rien contre la différence d’âge, quand elle prend place quand les deux protagonistes sont majeurs. Or, ici, le personnage féminin a seulement 12 ans et lui près de 18, et j’ai ainsi trouvé cela très malsain. Je n’ai pas réussi à m’impliquer dans l’histoire même si on peut voir que le milieu duquel ils viennent fait que. Du coup, je me suis dit que j’allais passer outre ce détail sous peine de passer totalement à côté.
Et pourtant, je suis quand même passée à côté, mon intérêt est vite redescendu et arrivée à la moitié, je me suis totalement lassée de la romance rapide. Je la trouvais malsaine et je n’arrivais pas à m’attacher aux personnages. Abain, le personnage masculin, m’a semblé beaucoup trop manipulateur et envahissant dans la vie de Esme. J’avais l’impression qu’il contrôlait ses faits et gestes, elle ne pouvait rien faire seule. Je l’ai trouvé beaucoup trop toxique pour elle. Ainsi, je n’ai pas réussi à trouver la romance mignonne. De plus, les histoires de tromperie, je n’aime absolument pas cela dans les romans et c’est ce qui m’a fait abandonner ma lecture au final, de toute façon, je n’avais aucune accroche avec l’histoire pour me motiver à continuer et ça a même été un soulagement de ne pas poursuivre jusqu’au bout de peur de tomber en panne de lecture.
Malgré tout, j’ai quand même trouvé l’écriture agréable à lire et recherchée.
Pour finir, je vous le conseille si vous recherchez des romances sombres et complexes, mais cette lecture s’est avérée beaucoup trop torturée et toxique pour moi.
Lien : https://booksbookmarks.wordp..
Et quelle déception puisque que je n’ai pas pu le terminer et l’ai déjà revendu avec ma dédicace à l’intérieur, donc je me dis que j’aurais davantage dû réfléchir avant de me le procurer plein prix..
Déjà, la première chose qui m’a dérangée mais que j’ai choisi de passer outre pour le reste du roman, est la différence d’âge entre les deux personnages. Je n’ai rien contre la différence d’âge, quand elle prend place quand les deux protagonistes sont majeurs. Or, ici, le personnage féminin a seulement 12 ans et lui près de 18, et j’ai ainsi trouvé cela très malsain. Je n’ai pas réussi à m’impliquer dans l’histoire même si on peut voir que le milieu duquel ils viennent fait que. Du coup, je me suis dit que j’allais passer outre ce détail sous peine de passer totalement à côté.
Et pourtant, je suis quand même passée à côté, mon intérêt est vite redescendu et arrivée à la moitié, je me suis totalement lassée de la romance rapide. Je la trouvais malsaine et je n’arrivais pas à m’attacher aux personnages. Abain, le personnage masculin, m’a semblé beaucoup trop manipulateur et envahissant dans la vie de Esme. J’avais l’impression qu’il contrôlait ses faits et gestes, elle ne pouvait rien faire seule. Je l’ai trouvé beaucoup trop toxique pour elle. Ainsi, je n’ai pas réussi à trouver la romance mignonne. De plus, les histoires de tromperie, je n’aime absolument pas cela dans les romans et c’est ce qui m’a fait abandonner ma lecture au final, de toute façon, je n’avais aucune accroche avec l’histoire pour me motiver à continuer et ça a même été un soulagement de ne pas poursuivre jusqu’au bout de peur de tomber en panne de lecture.
Malgré tout, j’ai quand même trouvé l’écriture agréable à lire et recherchée.
Pour finir, je vous le conseille si vous recherchez des romances sombres et complexes, mais cette lecture s’est avérée beaucoup trop torturée et toxique pour moi.
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Il est 2h33 quand j'achève enfin ma lecture. Je dis enfin, parce qu'il s'agit en fait d'un manège à sensation émotionnelle.
On dit que la première impression est toujours la bonne malheureusement pour Ervin, cela ne va sans doute pas lui plaire mais bordel cest quoi son Fuckin problème à celui-ci ? Non parce que là, ça me depasse au point d'en rester sur le C**. Alors si au départ je suis tombée amoureuse de ce personnage, tout cet amour s'est transformé en une haine viscérale pour la gente masculine, enfin surtout pour Ervin.C'est que Solidarité féminine oblige, mes sentiments sont passés aux oubliettes.
Sincèrement je me suis demandé comment toute cette histoire allait finir, j'ai imaginé divers scénarios mais jamais je n'aurais pensé à ça. Je me suis retrouvée à faire la carpe dans l'incompréhension la plus totale, quelle belle image me direz vous.
Hormis cette grande parenthèse et mes nombreuses envie de meurtres, j'ai vraiment A▪︎D▪︎O▪︎R▪︎É !! Autant les personnages que l'histoire en elle-même. Alizée m'a énormément touché et il n'a pas été compliqué de s'identifier à ce personnage. Quoi que la jeune femme est plus du genre à ressembler aux kardashian et moi à Casimir, bon quand même pas à ce point mais j'ai envié sa vie durant mes quelques heures de lecture. C'est une femme très complexée et elle doit ses complexes apres des relations complètement foireuses qui l'ont également empêché d'écrire de la romance et s'est un peu rabattu sur le thriller. Alizée est auteure et s'est déjà fait belle réputation derrière son pseudonyme mais malheureusement elle souffre du syndrome de la page blanche, il suffirait d'avoir une bonne source d'inspiration pour que ça reparte mais quand ça veut pas et bien ça veut pas.
Cependant, l'arrivé soudaine d'un nouveau voisin va la sortir de son confort et pimenté un peu sa vie la rendant plus palpitante. Vous l'aurez compris, ce fameux voisin n'est autre qu'Ervin, un jaguar qui ne se prend pas la tête et qui fait hurler ses conquêtes à en perdre leurs voix.
Ervin est un dieu grec qui ferait baver même une nonne mais cet homme est arrogant, il sait qu'il est beau et en joue. Malgré son côté jaguar j'ai vraiment sa personnalité même si certains font que ... bref à vous de découvrir Ervin et Dédé, son doudou.
En conclusion, j'ai adoré découvrir l'histoire d'Alizée & Ervin, qui ont une veritable histoire à raconter, sans parler des personnages secondaires. C'est une belle histoire que j'ai pris plaisir à lire qui m'a également donné quelques cheveux blancs.
Bonne lecture 😁
On dit que la première impression est toujours la bonne malheureusement pour Ervin, cela ne va sans doute pas lui plaire mais bordel cest quoi son Fuckin problème à celui-ci ? Non parce que là, ça me depasse au point d'en rester sur le C**. Alors si au départ je suis tombée amoureuse de ce personnage, tout cet amour s'est transformé en une haine viscérale pour la gente masculine, enfin surtout pour Ervin.C'est que Solidarité féminine oblige, mes sentiments sont passés aux oubliettes.
Sincèrement je me suis demandé comment toute cette histoire allait finir, j'ai imaginé divers scénarios mais jamais je n'aurais pensé à ça. Je me suis retrouvée à faire la carpe dans l'incompréhension la plus totale, quelle belle image me direz vous.
Hormis cette grande parenthèse et mes nombreuses envie de meurtres, j'ai vraiment A▪︎D▪︎O▪︎R▪︎É !! Autant les personnages que l'histoire en elle-même. Alizée m'a énormément touché et il n'a pas été compliqué de s'identifier à ce personnage. Quoi que la jeune femme est plus du genre à ressembler aux kardashian et moi à Casimir, bon quand même pas à ce point mais j'ai envié sa vie durant mes quelques heures de lecture. C'est une femme très complexée et elle doit ses complexes apres des relations complètement foireuses qui l'ont également empêché d'écrire de la romance et s'est un peu rabattu sur le thriller. Alizée est auteure et s'est déjà fait belle réputation derrière son pseudonyme mais malheureusement elle souffre du syndrome de la page blanche, il suffirait d'avoir une bonne source d'inspiration pour que ça reparte mais quand ça veut pas et bien ça veut pas.
Cependant, l'arrivé soudaine d'un nouveau voisin va la sortir de son confort et pimenté un peu sa vie la rendant plus palpitante. Vous l'aurez compris, ce fameux voisin n'est autre qu'Ervin, un jaguar qui ne se prend pas la tête et qui fait hurler ses conquêtes à en perdre leurs voix.
Ervin est un dieu grec qui ferait baver même une nonne mais cet homme est arrogant, il sait qu'il est beau et en joue. Malgré son côté jaguar j'ai vraiment sa personnalité même si certains font que ... bref à vous de découvrir Ervin et Dédé, son doudou.
En conclusion, j'ai adoré découvrir l'histoire d'Alizée & Ervin, qui ont une veritable histoire à raconter, sans parler des personnages secondaires. C'est une belle histoire que j'ai pris plaisir à lire qui m'a également donné quelques cheveux blancs.
Bonne lecture 😁
Un style qui se veut dynamique, mais presque trop.
Heureusement par moments on souffle un peu et les paragraphes se rallongent. Pas que j'aime les pages compactes, mais les dialogues très djeunz à base de défense agressive ou d'exclamations plus ou moins grossières m’essoufflent réellement.
Sur le fond, tous les classiques de la littérature sentimentale sont réunis, mais je me suis laissée embarquer.
Heureusement par moments on souffle un peu et les paragraphes se rallongent. Pas que j'aime les pages compactes, mais les dialogues très djeunz à base de défense agressive ou d'exclamations plus ou moins grossières m’essoufflent réellement.
Sur le fond, tous les classiques de la littérature sentimentale sont réunis, mais je me suis laissée embarquer.
Je suis déçue. J’avais beaucoup apprécié le tome 1 et la façon d’écrire de l’auteure alors je m’attendais à un second tome tout aussi bien. Sauf que non. Autant, dans le 1 on avait une vraie histoire, du suspens et du mystère, dans celui-là, le sexe l’emporte grandement sur l’histoire. Ici, c’est un prétexte pour tout. On a même l’impression que c’est ce qui forge leur couple alors que, rappelons-le, leur amour est censé être beau, unique, fusionnel, inconditionnel et je ne sais quoi d’autre. Sauf que pour cela, il ne faut pas le rythmer qu’avec du sexe. C’est physique, on n’a que très peu de ressenti sur ce que pensent les deux personnages principaux moralement l’un de l’autre.
Je n’ai pas retrouvé cette chose qui fait que le roman est addictif. C’était long, je n’avais qu’une envie : en finir au plus vite.
Ce qui ne m’a pas aidée non plus, c’est Esme. Elle fait preuve d’un tel égoïsme...! J’ai détesté ça. D’ailleurs, elle-même le dit. Elle m’a énervée du début à la fin.
Concernant l’écriture du roman, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de répétitions, notamment dans les expressions. Ça en devient lassant. Ensuite, j’ai trouvé qu’il n’y avait pas toujours de sens aux actions qui se déroulaient.
Bref, vous l’aurez compris, je n’ai pas apprécié ma lecture, et c’est bien dommage sachant que j’avais beaucoup aimé le tome 1. Le seul point positif que je peux trouver, c’est le fait qu’on ait le point de vue d’Abain. C’est beaucoup plus intéressant que d’avoir les ressentis que d’un seul personnage.
Je n’ai pas retrouvé cette chose qui fait que le roman est addictif. C’était long, je n’avais qu’une envie : en finir au plus vite.
Ce qui ne m’a pas aidée non plus, c’est Esme. Elle fait preuve d’un tel égoïsme...! J’ai détesté ça. D’ailleurs, elle-même le dit. Elle m’a énervée du début à la fin.
Concernant l’écriture du roman, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de répétitions, notamment dans les expressions. Ça en devient lassant. Ensuite, j’ai trouvé qu’il n’y avait pas toujours de sens aux actions qui se déroulaient.
Bref, vous l’aurez compris, je n’ai pas apprécié ma lecture, et c’est bien dommage sachant que j’avais beaucoup aimé le tome 1. Le seul point positif que je peux trouver, c’est le fait qu’on ait le point de vue d’Abain. C’est beaucoup plus intéressant que d’avoir les ressentis que d’un seul personnage.
C’est avec bonheur que je retrouve la superbe plume de Farah Anah!
Je suis FAN FAN FAN FAN FAN de cette Auteure ! Chacune de mes lectures d’un de ses romans me rend heureuse et me procure un bonheur indescriptible.
En plus d’être une Auteure du tonnerre, elle est quelqu’un d’adorable avec qui j’ai déjà eu l’occasion de papoter 🙂
J’ai passé un excellent moment avec Alizée et Ervin, toutes les émotions sont passées au fil des lignes de ce roman.
L’histoire est légère mais elle aborde néanmoins des sujets plus profonds, plus complexes et surtout d’actualité.
Alizée est complexée de son corps qui ne correspond pas aux diktats de la mode actuelle, alors que son entourage la trouve belle comme un coeur!
Son manque de confiance en elle et en les hommes fait d’elle une femme à caractère intraitable !
Ervin a tout d’un apollon, il sait combien il est beau et combien il plaît à la gent féminine !
Et il veut tout faire afin de mettre sa nouvelle voisine au fin fond de son lit.
Sauf que la jeune femme ne l’entend pas de cette oreille, et cela donne des joutes verbales extra-ordinaires!!
Ma chronique est disponible entièrement sur mon blog :)
Lien : https://monpetitcoinlecture8..
Je suis FAN FAN FAN FAN FAN de cette Auteure ! Chacune de mes lectures d’un de ses romans me rend heureuse et me procure un bonheur indescriptible.
En plus d’être une Auteure du tonnerre, elle est quelqu’un d’adorable avec qui j’ai déjà eu l’occasion de papoter 🙂
J’ai passé un excellent moment avec Alizée et Ervin, toutes les émotions sont passées au fil des lignes de ce roman.
L’histoire est légère mais elle aborde néanmoins des sujets plus profonds, plus complexes et surtout d’actualité.
Alizée est complexée de son corps qui ne correspond pas aux diktats de la mode actuelle, alors que son entourage la trouve belle comme un coeur!
Son manque de confiance en elle et en les hommes fait d’elle une femme à caractère intraitable !
Ervin a tout d’un apollon, il sait combien il est beau et combien il plaît à la gent féminine !
Et il veut tout faire afin de mettre sa nouvelle voisine au fin fond de son lit.
Sauf que la jeune femme ne l’entend pas de cette oreille, et cela donne des joutes verbales extra-ordinaires!!
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En ces temps difficiles, voilà une histoire agréable et légère, bien que complexe, qui promet une lecture amusante mais aussi douloureuse de part le thème abordé.
Un moment entre nos héros et nous qui nous apporte une multitude d'émotions aussi salvatrices que contradictoires, et que j'ai adoré vivre 🥰.
Alizée est une jeune femme à l'aube de la trentaine. Auteure aux multiples succès, elle préfère néanmoins la tranquillité de son appartement adoré que sa notoriété.
C'est une femme-enfant solitaire, sarcastique, complexée et avec un caractère enflammé mais qui s'assume !
Seulement voilà, ce comportement de battante chevronnée parfois forcé l'aide à cacher des blessures profondes et toujours aussi purulentes malgré le temps qui passe.
Seule sa meilleure amie, Galati, trouve grâce à ses yeux.
Mais arrive un nouveau voisin qui s'installe juste à côté de chez elle. Et celui-ci est décidé à lui taper sur les nerfs mais aussi à se rapprocher d'elle, pourquoi ?
Parviendra-t-elle à s'ouvrir à cet Ervin qui semble vraiment s'intéresser à sa personne dans son intégralité sans le regretter ?
Ervin est un homme à femmes. Il plaît et il le sait, et en abuse. Son charisme de fou, son air mutin et provocateur et son attitude désinvolte attirent autant qu'ils repoussent sa charmante voisine.
C'est un sportif aguerri dont le métier lui permet de sillonner le globe à sa guise pour son plus grand bonheur.
Mais dans le fond, que cherche-t-il à cacher ? Qui est vraiment ce tombeur doux, à l'écoute et à l'âme sensible si bien dissimulée.
Son meilleur ami Milo est le seul à le connaître vraiment, et même lui semble parfois dépassé par sa bipolarité !!!
Saura-t-il prendre, sans trébucher, ce tournant que semble vouloir prendre sa vie ?
Tout semble les opposer mais ils sauront trouver chacun chez l'autre comment combler le vide qui les habite, à leurs dépens 😜.
Je me suis peut-être un peu trop identifiée à cette héroïne dont certains problèmes ont fait écho. Elle est attachante, émouvante et avec un cœur si tendre qu'il est trop facilement blessé. Elle suscite énormément d'empathie.
Là où notre bad boy est horripilant et trop sûr de lui. Mais il suscite malgré lui autant de colère que de compassion.
Entre fureur, réparties cinglantes et des émotions toujours à fleur de peau, ils vont se détester autant que s'adorer.
Mais entre doutes, peurs, culpabilité, secrets et trahison, ils vont aussi devoir s'éloigner, prendre du recul, pour mieux se retrouver.
Et heureusement pour eux, famille et amis seront là pour les soutenir.
Venez découvrir cet univers pailleté saupoudré de testostérone. Venez sourire, rire et vous émouvoir avec ce couple si particulier.
Vous ne le regretterez pas 😉.
Un moment entre nos héros et nous qui nous apporte une multitude d'émotions aussi salvatrices que contradictoires, et que j'ai adoré vivre 🥰.
Alizée est une jeune femme à l'aube de la trentaine. Auteure aux multiples succès, elle préfère néanmoins la tranquillité de son appartement adoré que sa notoriété.
C'est une femme-enfant solitaire, sarcastique, complexée et avec un caractère enflammé mais qui s'assume !
Seulement voilà, ce comportement de battante chevronnée parfois forcé l'aide à cacher des blessures profondes et toujours aussi purulentes malgré le temps qui passe.
Seule sa meilleure amie, Galati, trouve grâce à ses yeux.
Mais arrive un nouveau voisin qui s'installe juste à côté de chez elle. Et celui-ci est décidé à lui taper sur les nerfs mais aussi à se rapprocher d'elle, pourquoi ?
Parviendra-t-elle à s'ouvrir à cet Ervin qui semble vraiment s'intéresser à sa personne dans son intégralité sans le regretter ?
Ervin est un homme à femmes. Il plaît et il le sait, et en abuse. Son charisme de fou, son air mutin et provocateur et son attitude désinvolte attirent autant qu'ils repoussent sa charmante voisine.
C'est un sportif aguerri dont le métier lui permet de sillonner le globe à sa guise pour son plus grand bonheur.
Mais dans le fond, que cherche-t-il à cacher ? Qui est vraiment ce tombeur doux, à l'écoute et à l'âme sensible si bien dissimulée.
Son meilleur ami Milo est le seul à le connaître vraiment, et même lui semble parfois dépassé par sa bipolarité !!!
Saura-t-il prendre, sans trébucher, ce tournant que semble vouloir prendre sa vie ?
Tout semble les opposer mais ils sauront trouver chacun chez l'autre comment combler le vide qui les habite, à leurs dépens 😜.
Je me suis peut-être un peu trop identifiée à cette héroïne dont certains problèmes ont fait écho. Elle est attachante, émouvante et avec un cœur si tendre qu'il est trop facilement blessé. Elle suscite énormément d'empathie.
Là où notre bad boy est horripilant et trop sûr de lui. Mais il suscite malgré lui autant de colère que de compassion.
Entre fureur, réparties cinglantes et des émotions toujours à fleur de peau, ils vont se détester autant que s'adorer.
Mais entre doutes, peurs, culpabilité, secrets et trahison, ils vont aussi devoir s'éloigner, prendre du recul, pour mieux se retrouver.
Et heureusement pour eux, famille et amis seront là pour les soutenir.
Venez découvrir cet univers pailleté saupoudré de testostérone. Venez sourire, rire et vous émouvoir avec ce couple si particulier.
Vous ne le regretterez pas 😉.
Okay, parfois les sentiments les plus simples sont les plus compliqués à exprimer. Parfois mettre des mots sur une lecture c’est aussi dur que de courir le marathon. Parfois ce qu’on a sur le cœur est aussi douloureux que l’espérance.
Esme a tout dit, a tout crié à Abain. Elle a lui vomit ses tripes, elle s’est mise à genoux pour arriver à comprendre et à accepter cette histoire. Les mensonges et les vérités s’agglutinent pour former une illusion perfide. Esme a tout essayer en vain car à nouveau son destin, son amour, son ancre s’échappe. Une nouvelle épreuve et une nouvelle et cruelle réalité. Et si Abain avait dit la vérité et si ses gestes masqués une terrible vérité ? Car aussi détestable qu’était Abain dans le premier volume, tu vas apprendre à l’aimer malgré tout les preuves qui jouent en sa défaveur. Pour le pire et le meilleur, il n’y a qu’un pas pour tomber en enfer. Et le Diable ouvre grand ses portes pour les amants maudits.
Second tome pour un final totalement explosif, inattendu et tentateur. Pas une seconde de répit, Farah Anah continue dans sa lancée et nous offre un dénouement digne des grands films Hollywoodiens. Une immersion totale dans un monde où les mensonges, les manipulations, les complots, l’argent, la drogue, les gangs, les cris et le sang sont au cœur d’un danger omniprésent. Plus de lois, plus de règles, Esmé joue selon ses intentions cachées. La petite gringa dans le monde des Grands, s’épanouit aux côtés de la mort et des balles qui sifflent. Mais elle ne perd pas de vue son objectif, Abain. Esme se révèle manipulatrice et séductrice pour la bonne cause. Mais elle ignore qu’elle a mis les pieds dans un engrenage mortel et quand les événements se précipitent sa vie ne tient plus qu’à un fil.
On découvre le véritable visage d’Abain. Un homme qui a joué avec les limites du tolérable par amour. Un homme qui a flirté avec la mort bien trop souvent. Un homme qui n’a pas eu le choix. Un homme qui s’est perdu dans les profondeurs de la passion et de l’amour. Un homme qui a dédié sa vie à une unique raison, Esmé. Un homme qui a perdu son âme dans ses yeux. Un homme épris et sous l’emprise d’une seule femme. Un homme dont ses actes l’ont porté dans ce chaos et il est temps pour lui de payer ses erreurs.
Farah Anah m’a une seconde fois coupé le souffle. Une lecture en apnée où les émotions te secouent et t’accaparent en un éclair de secondes. C’est prenant, addictif et douloureux. C’est fort, intransigeant et puissant. C’est langoureux, tendre et passionnant. C’est horrible, cauchemardesque et terrifiant. C’est bouleversant et époustouflant. C’est tout et tout à la fois. C’est juste wouahhhhh !!!!!! Farah Anah signe une duologie de tonnerre ! Une histoire qui laisse indéniablement des traces et de celles qui ne s’effacent jamais. Esmé et Abain, deux personnages régis par un seul sentiment : l’amour magnifié par ce qu’il peut recéler de malsain en lui. La toxicité, l’environnement, les fêlures, les aléas et bien plus encore qui a attrait à la vie, forment cette cage dorée qu’ils vont devoir brisée pour enfin pouvoir aspirer à vivre autre chose.
Un romantic suspense qui dépote les sens : moi je suis totalement conquise !
Lien : https://lesmisschocolatinebo..
Esme a tout dit, a tout crié à Abain. Elle a lui vomit ses tripes, elle s’est mise à genoux pour arriver à comprendre et à accepter cette histoire. Les mensonges et les vérités s’agglutinent pour former une illusion perfide. Esme a tout essayer en vain car à nouveau son destin, son amour, son ancre s’échappe. Une nouvelle épreuve et une nouvelle et cruelle réalité. Et si Abain avait dit la vérité et si ses gestes masqués une terrible vérité ? Car aussi détestable qu’était Abain dans le premier volume, tu vas apprendre à l’aimer malgré tout les preuves qui jouent en sa défaveur. Pour le pire et le meilleur, il n’y a qu’un pas pour tomber en enfer. Et le Diable ouvre grand ses portes pour les amants maudits.
Second tome pour un final totalement explosif, inattendu et tentateur. Pas une seconde de répit, Farah Anah continue dans sa lancée et nous offre un dénouement digne des grands films Hollywoodiens. Une immersion totale dans un monde où les mensonges, les manipulations, les complots, l’argent, la drogue, les gangs, les cris et le sang sont au cœur d’un danger omniprésent. Plus de lois, plus de règles, Esmé joue selon ses intentions cachées. La petite gringa dans le monde des Grands, s’épanouit aux côtés de la mort et des balles qui sifflent. Mais elle ne perd pas de vue son objectif, Abain. Esme se révèle manipulatrice et séductrice pour la bonne cause. Mais elle ignore qu’elle a mis les pieds dans un engrenage mortel et quand les événements se précipitent sa vie ne tient plus qu’à un fil.
On découvre le véritable visage d’Abain. Un homme qui a joué avec les limites du tolérable par amour. Un homme qui a flirté avec la mort bien trop souvent. Un homme qui n’a pas eu le choix. Un homme qui s’est perdu dans les profondeurs de la passion et de l’amour. Un homme qui a dédié sa vie à une unique raison, Esmé. Un homme qui a perdu son âme dans ses yeux. Un homme épris et sous l’emprise d’une seule femme. Un homme dont ses actes l’ont porté dans ce chaos et il est temps pour lui de payer ses erreurs.
Farah Anah m’a une seconde fois coupé le souffle. Une lecture en apnée où les émotions te secouent et t’accaparent en un éclair de secondes. C’est prenant, addictif et douloureux. C’est fort, intransigeant et puissant. C’est langoureux, tendre et passionnant. C’est horrible, cauchemardesque et terrifiant. C’est bouleversant et époustouflant. C’est tout et tout à la fois. C’est juste wouahhhhh !!!!!! Farah Anah signe une duologie de tonnerre ! Une histoire qui laisse indéniablement des traces et de celles qui ne s’effacent jamais. Esmé et Abain, deux personnages régis par un seul sentiment : l’amour magnifié par ce qu’il peut recéler de malsain en lui. La toxicité, l’environnement, les fêlures, les aléas et bien plus encore qui a attrait à la vie, forment cette cage dorée qu’ils vont devoir brisée pour enfin pouvoir aspirer à vivre autre chose.
Un romantic suspense qui dépote les sens : moi je suis totalement conquise !
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Certaines décisions sont difficiles à prendre mais que ne ferions-nous pas pour mettre notre âme sœur à l’abri, un sacrifice s’avère parfois nécessaire.
C’est une suite vraiment attendue, j’en espérais beaucoup, notamment que Farah arrête de me torturer. Et bien je vous garantis que j’en ai pris autant pour mon garde que dans le premier tome. Parce que l’amour n’est pas toujours un conte de fée, qu’il peut être sombre, suffocant, égoïste.
Ce tome est celui des révélations, pourquoi certaines décisions difficiles ont été prises mais c’est aussi celui de l’action, certaines têtes vont tomber, la trahison n’est pas admise. J’ai été ravie de voir enfin Esme prendre en main son destin et de se battre pour lui.
On y retrouve le pdv d’Abain et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il est un player incomparable au jeu de dupe. Sous le masque placide du tome 1 une tempête d’émotion faisait rage, une colère vivace face à certaines découvertes sur le vécu d’Esme. Et surtout on réalise à quel point Esme est toute sa vie depuis toujours, elle est ancrée dans son cœur, dans son âme, dans sa chair. Je ne valide absolument pas tous ses choix mais il les a toujours fait par amour et instinct de protection.
Esme, elle tombe de haut, les révélations faites sur Abain prouve qu’il n’a pas laissé de côté certaines habitudes et cela va encore une fois les séparer un certain temps.
Cependant elle est déterminée, va jouer ses cartes habilement car son seul et unique but est et a toujours été Abain. Certes ça peut agacer quand son pardon arrive mais que sommes nous face à l’amour.
Cette histoire c’est celle de deux âmes noircies par la vie qui s’aiment à en perdre la raison, leur amour est leur plus grande force mais s’avère être aussi leur plus grande faiblesse face à un monde où d’autres dictent les règles.
Au final leur amour aurait-il été aussi passionné sans ces quelques embûches ? (Bien joué l’idée de l’épilogue « bisounours »)
Je remercie Farah car même si toute cette tension autant sexuelle que malveillante m’a frustrée bien des fois, elle est aussi grisante malgré tout. J’ai hâte de retrouver ta plume et toute une myriade d’émotion dans une prochaine histoire.
Abain et Esme sont tatoués dans mon cœur ♥️
C’est une suite vraiment attendue, j’en espérais beaucoup, notamment que Farah arrête de me torturer. Et bien je vous garantis que j’en ai pris autant pour mon garde que dans le premier tome. Parce que l’amour n’est pas toujours un conte de fée, qu’il peut être sombre, suffocant, égoïste.
Ce tome est celui des révélations, pourquoi certaines décisions difficiles ont été prises mais c’est aussi celui de l’action, certaines têtes vont tomber, la trahison n’est pas admise. J’ai été ravie de voir enfin Esme prendre en main son destin et de se battre pour lui.
On y retrouve le pdv d’Abain et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il est un player incomparable au jeu de dupe. Sous le masque placide du tome 1 une tempête d’émotion faisait rage, une colère vivace face à certaines découvertes sur le vécu d’Esme. Et surtout on réalise à quel point Esme est toute sa vie depuis toujours, elle est ancrée dans son cœur, dans son âme, dans sa chair. Je ne valide absolument pas tous ses choix mais il les a toujours fait par amour et instinct de protection.
Esme, elle tombe de haut, les révélations faites sur Abain prouve qu’il n’a pas laissé de côté certaines habitudes et cela va encore une fois les séparer un certain temps.
Cependant elle est déterminée, va jouer ses cartes habilement car son seul et unique but est et a toujours été Abain. Certes ça peut agacer quand son pardon arrive mais que sommes nous face à l’amour.
Cette histoire c’est celle de deux âmes noircies par la vie qui s’aiment à en perdre la raison, leur amour est leur plus grande force mais s’avère être aussi leur plus grande faiblesse face à un monde où d’autres dictent les règles.
Au final leur amour aurait-il été aussi passionné sans ces quelques embûches ? (Bien joué l’idée de l’épilogue « bisounours »)
Je remercie Farah car même si toute cette tension autant sexuelle que malveillante m’a frustrée bien des fois, elle est aussi grisante malgré tout. J’ai hâte de retrouver ta plume et toute une myriade d’émotion dans une prochaine histoire.
Abain et Esme sont tatoués dans mon cœur ♥️
C’est l’histoire d’un premier amour, un amour dévorant, celui qui marque, qui passionne, qui s’encre en vous à vie, celui pour lequel on est prêt à tout.
Face à une vie cruelle, il peut être malmené, les choix ont leurs conséquences et l’entourage n’est pas forcément bien attentionné.
Êtes-vous prêts à lire Abain et Esme ?
Accrochez-vous car on est clairement pas dans un conte de fée !
Quand Esme 12 ans rencontre Abain 17 ans, un lien profond les unit, d’abord protecteur, il égaye sa vie, allège un quotidien violent, il devient son roc. Toujours présent dans les premières étapes qui font d’Esme une femme. Les mois passants le désir se fait ressentir, l’envie de devenir plus, de former un tout les happe. Naissent alors des sentiments si forts à la limite de la toxicité.
On va découvrir ce duo du pdv d’Esme entre présent et passé, ce couple sur toute la partie passé m’a fait littéralement fondre, à l’opposé de la partie présent qui m’a fait enrager comme jamais.
Esme reste égale à elle-même, toujours si forte, si courageuse mais un sentiment de désespoir gronde au fond de son âme et l’envie de s’en sortir va être plus forte que la raison.
Quand à Abain il me rend perplexe, je ne sais que penser de sa duplicité, que cache cette belle gueule et ses beaux discours, on ressent pourtant qu’un feu prêt à tout brûler couve sous cette carapace.
Venez découvrir comment un amour si passionné peut se briser, comment survivre dans l’espoir de retrouver sa liberté, sa moitié, comment la déception peut être immense, comment la vie et les choix de vie peuvent séparer un tout.
Je suis amère en refermant ce premier tome, j’ai limite envie de pleurer, l’amour n’est-il pas sensé être une priorité ?!
L’être aimé devrait passer en premier plan.
Je crois que je suis arrivée au stade où j’aime Abain autant que je le hais.
Limite à souhaiter qu’Esme arrête de s’en prendre plein la gueule, qu’elle refasse sa vie et soit vraiment heureuse.
Le tome 2 promet d’être riche en émotion !
Quelle route vont-ils emprunter ?
Peuvent-ils encore aspirer à un bonheur à deux ?
Le souhaitent-t-ils vraiment ?
Est-ce seulement faisable ?
Et surtout quels autres secrets vont émergés ?
Farah a tellement bien joué de sa plume que j’ai ressenti les émotions aussi puissamment que les protagonistes de l’histoire en dépit de ma santé mentale, merci pour ces sentiments poussés à l’extrême ♥️
PS : Je fais ma vilaine « À bas la Mollybourgeoise » !
Et Chanise je la kiffe !
Face à une vie cruelle, il peut être malmené, les choix ont leurs conséquences et l’entourage n’est pas forcément bien attentionné.
Êtes-vous prêts à lire Abain et Esme ?
Accrochez-vous car on est clairement pas dans un conte de fée !
Quand Esme 12 ans rencontre Abain 17 ans, un lien profond les unit, d’abord protecteur, il égaye sa vie, allège un quotidien violent, il devient son roc. Toujours présent dans les premières étapes qui font d’Esme une femme. Les mois passants le désir se fait ressentir, l’envie de devenir plus, de former un tout les happe. Naissent alors des sentiments si forts à la limite de la toxicité.
On va découvrir ce duo du pdv d’Esme entre présent et passé, ce couple sur toute la partie passé m’a fait littéralement fondre, à l’opposé de la partie présent qui m’a fait enrager comme jamais.
Esme reste égale à elle-même, toujours si forte, si courageuse mais un sentiment de désespoir gronde au fond de son âme et l’envie de s’en sortir va être plus forte que la raison.
Quand à Abain il me rend perplexe, je ne sais que penser de sa duplicité, que cache cette belle gueule et ses beaux discours, on ressent pourtant qu’un feu prêt à tout brûler couve sous cette carapace.
Venez découvrir comment un amour si passionné peut se briser, comment survivre dans l’espoir de retrouver sa liberté, sa moitié, comment la déception peut être immense, comment la vie et les choix de vie peuvent séparer un tout.
Je suis amère en refermant ce premier tome, j’ai limite envie de pleurer, l’amour n’est-il pas sensé être une priorité ?!
L’être aimé devrait passer en premier plan.
Je crois que je suis arrivée au stade où j’aime Abain autant que je le hais.
Limite à souhaiter qu’Esme arrête de s’en prendre plein la gueule, qu’elle refasse sa vie et soit vraiment heureuse.
Le tome 2 promet d’être riche en émotion !
Quelle route vont-ils emprunter ?
Peuvent-ils encore aspirer à un bonheur à deux ?
Le souhaitent-t-ils vraiment ?
Est-ce seulement faisable ?
Et surtout quels autres secrets vont émergés ?
Farah a tellement bien joué de sa plume que j’ai ressenti les émotions aussi puissamment que les protagonistes de l’histoire en dépit de ma santé mentale, merci pour ces sentiments poussés à l’extrême ♥️
PS : Je fais ma vilaine « À bas la Mollybourgeoise » !
Et Chanise je la kiffe !
Si vous l’avez lu, vous savez que j’avais ADORÉ le tome 1 de Esme de Farah Anah. J’ai cru que j’allais mourir d’impatience en attendant le second tome, car la fin du tome 1 était plus qu’horrible. Quand le tome 2 de Esme est sorti, vous pouvez croire que je n’ai pas attendu longtemps avant de le commencer. Néanmoins, je ne vais pas m’épancher sur ce qui se passe dans le livre, car ça serait dévoiler déjà beaucoup de choses. Je vais donc simplement vous dire ce que j’en ai pensé.
Et WOW, le tome 2 de Esme de Farah Anah était à la hauteur de mes espérances, je me suis réellement pris une claque monumentale en me replongeant dans les histoire d’Abain et Esme. C’est un second tome puissant dans ses évènements, dans son intrigue, dans ses rebondissements, et surtout avec des personnages plus que bouleversants.
C’est un second tome rempli de suspense, et clairement si vous n’avez pas le coeur accroché et les épaules solides, je vous souhaite du bon courage. La romance du tome 1 est légèrement mise à l’écart, pour nous plonger dans une histoire tumultueuse où règnent secrets, manipulation, vengeance, mais aussi beaucoup d’espoir et d’amour. Il n’y a pas de repos, les évènements s’enchaînent rapidement nous tenant bien plus qu’en haleine, et nous rendent accro à tous ces retournements de situation. Si vous aimez les manèges à sensation, et bien je vous recommande fortement cette histoire, car Farah Anah et les personnages vous en feront voir de toutes les couleurs.
Parlons un peu des personnages, à l’image du précédent tome, je les ai toujours autant aimé malgré leurs actions. J’ai réellement eu un coup de coeur pour ces personnages, on les voit évoluer et grandir encore plus dans ce tome 2, et surtout on en apprend bien plus sur Abain ! Malheureusement, rien n’est facile pour eux, et leur chemin vers le bonheur est semé d’obstacles aussi insurmontables que les autres. Mais ils ne baisseront jamais les bras et feront tout pour se retrouver, et c’est aussi notre plus grand espoir.
Pour conclure,
Je ne vous recommande pas cette histoire, je vous oblige de la lire car elle est exceptionnelle, avec une intrigue addictive et poignante, et des personnages si bouleversants et attachants. Je suis passée par un tas d’émotions avec cette duologie, mais je n’en veux pas à Farah Anah, au contraire, je la remercie pour cette histoire juste magnifique. Un vrai COUP DE COEUR !!
Lien : https://ladiescolocblog.com/..
Et WOW, le tome 2 de Esme de Farah Anah était à la hauteur de mes espérances, je me suis réellement pris une claque monumentale en me replongeant dans les histoire d’Abain et Esme. C’est un second tome puissant dans ses évènements, dans son intrigue, dans ses rebondissements, et surtout avec des personnages plus que bouleversants.
C’est un second tome rempli de suspense, et clairement si vous n’avez pas le coeur accroché et les épaules solides, je vous souhaite du bon courage. La romance du tome 1 est légèrement mise à l’écart, pour nous plonger dans une histoire tumultueuse où règnent secrets, manipulation, vengeance, mais aussi beaucoup d’espoir et d’amour. Il n’y a pas de repos, les évènements s’enchaînent rapidement nous tenant bien plus qu’en haleine, et nous rendent accro à tous ces retournements de situation. Si vous aimez les manèges à sensation, et bien je vous recommande fortement cette histoire, car Farah Anah et les personnages vous en feront voir de toutes les couleurs.
Parlons un peu des personnages, à l’image du précédent tome, je les ai toujours autant aimé malgré leurs actions. J’ai réellement eu un coup de coeur pour ces personnages, on les voit évoluer et grandir encore plus dans ce tome 2, et surtout on en apprend bien plus sur Abain ! Malheureusement, rien n’est facile pour eux, et leur chemin vers le bonheur est semé d’obstacles aussi insurmontables que les autres. Mais ils ne baisseront jamais les bras et feront tout pour se retrouver, et c’est aussi notre plus grand espoir.
Pour conclure,
Je ne vous recommande pas cette histoire, je vous oblige de la lire car elle est exceptionnelle, avec une intrigue addictive et poignante, et des personnages si bouleversants et attachants. Je suis passée par un tas d’émotions avec cette duologie, mais je n’en veux pas à Farah Anah, au contraire, je la remercie pour cette histoire juste magnifique. Un vrai COUP DE COEUR !!
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Ces derniers temps, tout le monde parle de ce roman sur les réseaux sociaux. C’est donc avec une grande curiosité que je me suis lancée dans ma lecture. Et maintenant que j’ai lu les deux tomes, je dois dire que je comprends mieux tout cet engouement autour de cette histoire.
Je n’ai eu aucun répit dans ma lecture. Esme et Abain m’ont fait devenir complètement dingue. Leur histoire est bouleversante. L’auteur, c’est acharné mais alors véritablement acharné sur eux. Je suis devenue totalement « CRAZY » à la fin du premier tome. Heureusement, j’ai pu attaqué le deuxième aussitôt. Je vous conseil donc d’acheter les deux tomes en même temps.
Tout au long de ma lecture, j’ai ressenties beaucoup d’émotions brutes mais sincères. J’étais frustrée et en colère. Mais malgré ces sentiments, j’en ai redemandé car je souhaitais connaître le dénouement de cette histoire d’amour avec un grand A, de cet amour fusionnel, passionné mais également douloureux. Une romance sombre qui ne vous laissera pas sans séquelle.
Le seul bémol que je pourrais émettre, c’est la longueur de certains passages mais également du dénouement de l’histoire. Peut être y ‘a t-il trop de rebondissement dans ces deux tomes!!! Dans tous les cas, nous sommes ici en présence d’une histoire totalement addictive qui va vous rendre accro.
Laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas!!!
Lien : https://bouquinebook.wordpre..
Je n’ai eu aucun répit dans ma lecture. Esme et Abain m’ont fait devenir complètement dingue. Leur histoire est bouleversante. L’auteur, c’est acharné mais alors véritablement acharné sur eux. Je suis devenue totalement « CRAZY » à la fin du premier tome. Heureusement, j’ai pu attaqué le deuxième aussitôt. Je vous conseil donc d’acheter les deux tomes en même temps.
Tout au long de ma lecture, j’ai ressenties beaucoup d’émotions brutes mais sincères. J’étais frustrée et en colère. Mais malgré ces sentiments, j’en ai redemandé car je souhaitais connaître le dénouement de cette histoire d’amour avec un grand A, de cet amour fusionnel, passionné mais également douloureux. Une romance sombre qui ne vous laissera pas sans séquelle.
Le seul bémol que je pourrais émettre, c’est la longueur de certains passages mais également du dénouement de l’histoire. Peut être y ‘a t-il trop de rebondissement dans ces deux tomes!!! Dans tous les cas, nous sommes ici en présence d’une histoire totalement addictive qui va vous rendre accro.
Laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas!!!
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