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Citations sur Le gang du cancer (53)

Sous-chef de service au CNRS, CROZEMARIE est en - mission administrative -. Il brûle les étapes. Quatre ans après, le voilà propulsé - administrateur - du CNRS et de l'Institut de recherche scientifique sur le cancer. Avancée fulgurante.
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Apparemment, rien dans le passé de JACQUES CROZEMARIE n'explique cette remarquable impunité. Mais, examiné à la loupe, son parcours professionnel fleure bon l'intrigue, pour ne pas dire la tragi-comique imposture.1948 / à 23 ans, CROZEMARIE n'est qu'un modeste chef de section administrative à l'Office national d'études et de recherches aéronautiques - l'Onéra -.
De 1949 à 1951, il sert comme officier en Indochine.
A son retour, il devient,, en Haute-Savoie, chef adjoint de la soufflerie du Mont-Larchet, qui dépend de l'Onéra.
Es-ce ce cursus sans grand relief qui, avec des études d'electricien, prédispose ce fils d'industriel à etre sélectionner pourv figurer dans les instances dirigeantes de la lutte contre le cancer et de la recherche médicale au préstigieux Centre national dfe la recherche scientifique - CNRS - ?
1954 le voit, en effet prendre une nouvelle orientation. Il n'a que 26 ans. Grace à l'appuit de l'avocat, député et président du cionseil, le radical-socialiste et franc-maçon André Marie - un Normland, ami de la mère de CROZEMARIE
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Avec, à l'ARC, un budget de 581 millions en 1993 et 585 millions en 1994, le prince de générosité publique s'est autorisé à continuer ses trafics, sans que jamais la Direction générale des impôts, pas plus que les autres organismes de l'Etat chargés de refréner la grande délinquance financière sanctionnent vraiment ce que JEAN - MICHEL JACQUEMIN a observé, avec combien d'autres, pendant de si nombreuses années. Apparemment, rien dans le passé de Jacques CROZEMARIE n'explique cette remarquable impunité. Mais, examiné à la loupe, son parcours professionnel fleure bon l'intrigue, pour ne pas dire la tragi-comique imposture.
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Apparemment, rien dans le passé de Jacques Crozemarie n'explique cette remarquable impunité. Mais examiné à la loupe, son parcours professionnel fleure bon l'intrigue, pour ne pas dire la tragi-comique imposture.
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Avec, à l'ARC, un budget de 581 millions en 1993 et 585 millions en 1994, le prince de la générosité publique s'est autorisé à continuer ses trafics, sans que jamais la direction générale des impôts, pas plus que les autres organismes de l'état chargé de réfréner la grande délinquance financière sanctionnent vraiment ce que Jean-Michel Jacquemin a observé, avec combien d'autres, pendant de si nombreuses années.
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Ainsi fonctionne les services de l'Etat où, sans qualifications véritable, un CROZEMARIE peut se hisser tout en haut de l'échelle, sans jamais avoir à rendre de comptes sur:
- son itinéraire ;
- les titres qu'ils octroies ;
- sa gestion débridée ;
- ses bilans trafiquées ;
- ses gaspillages et ses détournements constants... et massifs.
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CROZEMARIE crée l'ARC en 1958, sous le nom d'Association pour le développement de la recherche sur le cancer à Villejuif - ADRCV 6? organisme officiellement déclaré en 1960.
10 novembre 1966 : par décret, l'ADRCV est reconnue d'utilité publique. Ce statut lui permet re recevoir des dons et des legs exonères de droits de succession. Mais il lui impose une tutelle administrative sur sa gestion. Ce dont CROZEMARIE se soucie comme d'une guigne.
A ses débuts, L'ADRCV se donne pour objectifs exclusif d'apporter une aide privée aux cinq instituts du plateau Villejuif, qui sont en France le cœur de la lutte contre le cancer : l'Institut Gustave -Roussy ; l'Institut de recherche fondamentale du CNRS ; l'Institut de cancérologie et d'immunogénétique ; l'Institut de radiologie clinique ; et l'Unité de recherches statistiques de l'Inserm.
Le succès aidant et les fonds des donateurs affluant, CROZEMARIE finit par trouver ce champ d'action bien trop étriqué. En 1977, l'ADRCV devient ADRC. Le - V - est supprimé. Car CROZEMARIE veut pouvoir s'évader de Villejuif : il souhaite financer de nouveaux programmes , en province ou à l'étranger. Pour ce faire, une modification des statuts de l'association est indispensable, assortie du feu vert de l'autorité de tutelle : le ministre de la Santé. Conflit !
Le 3 octobre 1979, le conseil d'administration de l'ADRC se donne, à l'unanimité - comme d'habitude ! - de nouveaux statuts qui lui confèrent l'envergure nationale souhaitée par CROZEMARIE. Mais Jacques Barrot, ministre de la Santé sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing et aujourd'hui ministre du travail et de affaires sociales, a du flair. Il tient bon : obstiné, il refuse de donner son indispensable agrément.
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Le directeur financier multiplie alors les facéties comptables grâce auxquelles le commandant - JACQUES CROZEMARIE - suprême de l'ARC peut, parader sur les antennes en ayant le culot de se présenter comme un - bénévole - .
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Le tableau donne confiance !

Armé d'une santé à toute épreuve, JACQUES CROZEMARIE aune forme physique évolutive. Son hygiène de vie est un défi à tous les cancers. En 1966, à 41 ans, il ne pratique que deux sports : le ski et la chasse. En 1972, il y ajoute le tennis. A partir de 1978, la cinquantaine bien sonnée, il se fait l'assiette en pratiquant l'équitation. Ce qui, entre parenthèses, va couter une fortune à Publicadvise... je devrais dire AUX DONNEURS DE L'ARC. Première révélation de Jean-Michel JACQUEMIN :
- Il s'agit de la construction d'un corral dans son domaine de Rians, dans le Var, près de brignole, dont j'ai personnellement dû assurer les paiements, en les faisant supporter par l'ARC. Prestataire de service privilégié et très spécial de l'ARC, notre société a alors sous ma responsabilité, la délicate mission d'effectuer les règlement des travaux - CEUX DE CROZEMARIE et SES COMPLICES s'offrent pour le détente, en POMPANT DANS LA MASSE DES DONS et LEGS REÇUS PAR L'ARC - tel ou tel chantier hospitalier ou caractère médical, en rapport avec la recherche et la lutte contre le CANCER. -
Le directeur financier multiplie alors les facéties comptables grâce auxquelles le commandant suprême de L'ARC peut parader sur les antennes en ayant le culot de se présenter comme un -BÉNÉVOLE -.
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31 janvier 1991 : en présence d'un avocat, conseil de l'ARC, de CROZEMARIE et de PUBLICADVISE, deux chefs d'entreprises sous-traitants des marchés de l'ARC sont contraints par MICHEL SIMON de signer ce faux témoignage.


Paris, le 31 janvier 1991

Monsieur MICHEL SIMON Directeur général de la société Anonyme PUBLICADVISE, sise 107, bd Raspail PARIS 6e, a été tenu au courant de certains propos concernant la dite société. Ces propos, qui aurait été tenus par Mon sieur ou Madame Desroy de la société nouvelle VOUNIKOGLOU, sise 166, route d'Antony WISSOUS 91320, fournisseur de longue date de la S.A. PUBLICADVISE feraient état de moyens de chantage à l'égard de la Société PUBLICADVISE.

Monsieur MICHEL SIMON a convoqué ce jour Monsieur et Madame DESROY au siège Social de la dite Société afin de leur demander des explications sur de telles rumeurs qui lui paraissent très graves.

Il a été demande à Maitres François NATIVI, 93, bd Arago PARIS 14e, avocat à la cour de bien vouloir être présent à cet entretien.

La question ayant été directement posée à Monsieur et Madame DESROY ceux-ci ont affirmé ne pas comprendre de tels propos et ont affirmé ne pas les avoirs tenus avec qui que ce soit.

Ils ont affirmés ne jamais avoir eu de collusions avec aucun membre de cette société à quelques postes que ce soit et ne jamais s'être prête à aucun acte délictueux à quelque niveaux que ce soit dans les actes commerciaux qui ont été réalisé avec la Société PUBLICADVISE.

Face à la sincérité et à la spontanéité de leur témoignage Monsieur MICHEL SIMON leur déclare ne pas donner suite à ces rumeurs, mais il leur signale que si de tels propos sont à nouveaux répétés, il se verra dans l'obligation de poursuivre en diffamation les personnes qui les auraient tenus et en demandera réparation devant les Tribunaux.

La présente lettre est remise en mains propres à Monsieur et Madame DESROY qui ont contre signé l'original.
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