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3,91

sur 3210 notes
Après avoir suivi le Professeur Langdon à Paris (Da Vinci Code) et à Rome (Anges & Démons), me voilà avec le même Professeur se réveillant dans un hôpital à Florence et ça démarre fort : amnésie, course poursuite, meurtre…

Le prologue et le cauchemar de Langdon semblent tout droit sortis d'un film d'horreur. Au départ, tout semble confus pour lui, comme pour le lecteur, mais le voile se lève peu à peu au fil des pages. On découvre alors le projet dément de Zobrist qui fait froid dans le dos.

Par contre, à un moment donné au milieu du livre, j'ai été totalement perdue : je ne savais plus qui étaient les méchants et qui étaient les gentils. J'étais à deux doigts de lâcher l'intrigue, mais, heureusement, les explications sont venues et j'ai été surprise par beaucoup de détails. J'ai adoré ce retournement de situation qui m'a rendu le livre beaucoup plus captivant. Pour ne rien spoiler je ne vous donnerais aucun détail mais sachez que si vous êtes sur le point de vouloir abandonner le livre, accrochez-vous le dernier tiers réserve plein de surprises intéressantes et une fin qui m'a totalement pris au dépourvu.

Ce que je préfère dans ce roman et les précédents, ce sont les références à l'art (peinture, sculpture…). Florence est une ville que j'aimerais beaucoup visiter et le roman la met bien en valeur notamment au niveau des références historiques et artistiques. Il met également en valeur deux autres villes et leurs monuments. C'est d'ailleurs à mes yeux le point fort de tous les romans de Dan Brown que j'ai lu jusqu'à présent.
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Jusqu'aux alentours de la page 400, j'avais l'impression que Dan Brown s'était contenté de réutiliser la formule du "Da Vinci Code" et je commençais à être lassée de la course infernale des deux protagonistes.
Heureusement, les 100 dernières pages sont assez surprenantes. A elles seules, elles peuvent justifier la lecture de ce roman.
En conclusion, un roman assez moyen.
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C'est avec grand plaisir que l'on retrouve le professeur Langdon, toujours simple et droit, et confronté (une fois de plus) à un problème planétaire.
Le style de Dan Brown est toujours le même, simple mais efficace, on est assaillit par une quantité d'informations historiques sans que ce soit rébarbatif. le suspens va croissant et l'auteur maîtrise l'art du retournement de situation final, qui va déboussoler autant les personnages que le lecteur.
L'intrigue se déroule majoritairement en Italie, entre Florence et Venise. Grâce aux révélations successives de l'histoire, on découvre ces villes de fond en comble : les monuments historiques y sont légions et cela peut devenir lassant tant on nous les présente et tant ils paraissent se ressembler. Mais cela reste très intéressant, on a qu'une envie : prendre un avion et voir par ses propres yeux. L'ensemble de l'énigme est basée sur l'oeuvre de Dante : l'Inferno. On en apprend beaucoup là dessus, ce qui est encore une fois très intéressant pour les férus d'Histoire et d'Histoire de l'art. Mais, comme toujours avec cet auteur, le contenu historique va de pair avec un événement actuel et/ou scientifique.
Il s'agit ici du problème croissant de la surpopulation mondiale. le fait est très bien exposé, on nous présente les chiffres alarmants et ses conséquences tout en gardant une certaine objectivité : deux camps s'opposent sur la résolution de ce problème sous-estimé. Il y a ceux qui prônent la manière radicale, et ceux qui essayent tant bien que mal de trouver des solutions plus humaines. Et ces deux concepts placent le lecteur (et les personnages) face à un dilemme d'envergure. La solution proposé par "l'adorateur de Dante" m'a énormément fait pensé à la (très bonne) série anglaise Utopia (c'est, pour ainsi dire, exactement le même principe, mais le scénario autour est clairement différent).
La convergence de ces deux points - historiques et scientifiques - mêlée au thriller rend le tout très prenant et rythmé. On a du mal à le lâcher et ce qu'on y a apprit ne va pas nous lâcher non plus une fois le livre refermé. de la série 'Robert Langdon' de l'auteur, c'est celui que j'ai préféré, après le célèbre Da Vinci Code.
Lien : http://a-petits-pas-de-pages..
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De tous les Dan Brown incluant Robert Langdon, Inferno est de loin le plus mauvais. Je conservais un bon souvenir du Da Vinci Code et du Symbole perdu, aussi ai-je abordé ce roman avec un a priori favorable. Quelle n'a pas été ma déception !
L'intrigue démarre d'une manière classique. Langdon, blessé à la tête, se réveille dans un hôpital de Milan. Il ne se souvient pas des trente-six dernières heures et apprend, à son grand désarroi, qu'on a tenté de le tuer. Ce début, disais-je, est des plus classiques, mais on a quand même envie de savoir le pourquoi du comment. Sauf que lorsque le romancier daigne enfin éclairer la lanterne du lecteur, le récit perd toute saveur, tout intérêt.
Il présente la même trame que les autres romans incluant Langdon. De nouveau, le lecteur est entraîné dans une course poursuite, une recette qui devient lassante. Rien de nouveau sous le soleil de Milan et d'Istanbul, donc. Mais ce n'est pas le pire : l'intrigue est tout sauf plausible, elle progresse difficilement et non sans longueurs superflues, les personnages (excepté Langdon, quand même !) sont tous plus caricaturaux et inintéressants les uns que les autres.
Entre une jeune femme sexy sortie de nulle part pour épauler Langdon (comme d'habitude) et qui pourrait largement être sa fille, un méchant risible rien qu'à cause de son nom (et je ne parle pas du reste) et une égocentrique qui passe le roman à se lamenter sur sa stérilité, on aura tout vu.
Le pire, à mon sens, n'est autre que Bertrand Zobrist, le méchant, qui est loin d'avoir la pointure et la distinction d'un Teabing. Zobrist est un scientifique qui veut régler le problème de la surpopulation mondiale au moyen d'un virus (spoiler !). A travers lui, Dan Brown ridiculise les partisans d'une décroissance démographique pourtant vitale pour la planète et pour l'humanité. (Voir Isaac Asimov, le plus grand auteur de SF du siècle dernier). Pour diminuer la population, la solution n'est évidemment pas un virus, mais la diminution de la natalité. Sauf qu'avec un livre comme Inferno, la décroissance ne prête plus qu'à sourire. Merci Dan Brown.
Voilà un roman qui sent l'opportunisme à plein nez. Pourtant, les millions déjà engrangés par l'auteur devraient lui suffire, non ?
Circulez, amis lecteurs. Il n'y a rien à voir.
Pour Milan et Istanbul, je vous recommande un guide touristique.
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Absolument excellent. C'est un mix entre Da Vinci et Anges et démons.
ça part dans tous les sens, les énigmes sont bien senties et trompeuses, comme on les aime.
La restitution des lieux est inspirée. Sans aller jusqu'à dire que l'on voit les lieux, on les reconnaît aisément.
Le théâtre final de l'intrigue est affublé d'un nom qui n'est pas celui que l'on utilise traditionnellement en français. Ce n'est pas grave. ça force à réfléchir un peu plus.
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Il faisait parti de ma PAL depuis un bon petit moment.
Je me suis donc lancé dans la quête de cet Inferno. Proche du Da Vinci Code, Dan Brown reste fidèle à son style d'écriture. Prenante, rapidité de l'action, de changement d'univers, de lieux, j'ai adoré.
Il traite malheureusement d'un problème d'actualité, la surpopulation qui maltraite notre planète.
Des rappels historiques, des lieux historiques, tout y est !
je recommande vivement
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Fan de Dan Brown, j'ai adoré ce livre. Différent de Ange et Démon ou Da Vinci Code, le style est un différent mais très efficace. le début démarre fort comme toujours, et la fin est surprenante. A la fin du livre on peut se poser beaucoup de questions sur notre actualité et notre manière de penser. Je l'ai trouvé très proche de nos questionnements (médias, études...). Et encore une fois Avec Robert Langdon, on voyage. Prochaine Destination pour mon mari et moi : Florence!!!
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Cette fois Robert Langdon se retrouve à Florence, amnésique et à nouveau à deux doigts de sauver le monde (heureusement que Bruce Willis et lui existent, sinon on s'en sortirait pas).

Je n'ai pas été totalement emballée par ce Dan Brown. Je partais avec un a priori négatif, je l'avoue. J'avais bien aimé le Da Vinci Code, eu du mal à finir Anges et Démons… Mais en voyant Inferno dans un présentoir dans mon Monop', j'ai craqué ((être faible que je suis).
La fin est un peu longuette mais contrairement à Anges et Démons, dont j'ai abandonné la lecture une quarantaine de pages avant la fin, je vous conseille de persévérer pour Inferno. (par contre si vous avez lu les 40 dernières pages d'Anges et Démons, et qu'il se passe un truc incroyable, prévenez moi. Merci.)

On retrouve une foule d'anecdotes historiques et d'histoire de l'art, ce qui est assez plaisant. Ainsi qu'un style simple et qui permet une lecture rapide.
Et malgré tout il y a un petit rebondissement qui me fait dire que le livre est mieux construit qu'il ne semble l'être au début…

Je pense que j'aurais plus apprécié ce live sur une plage ensoleillée, avec les cris des gamins construisants des châteaux de sable et le roulis des vagues.

A lire si vous cherchez un roman avec une intrigue, qui vous fait vous balader dans les monuments de Florence et truffé d'anecdotes historico-artistiques.
Lien : http://pagecinquantetrois.co..
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Le thème de la surpopulation n'avait jamais été traité comme cela...J'ai eu du mal à finir le livre, trop de détails, trop longs...Je crois que quand on a lu un Dan Brown on les a tous lu...Dommage...
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Comme toujours avec Dan Brown, on découvre une ville et une histoire, ici Florence et l'auteur Dante. Beaucoup de rebondissements, et agréable à lire. Ce n'est pas son meilleurs selon moi, mais j'ai beaucoup aimé.
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