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Citations sur Méfiez-vous des anges (71)

Paul Green… je m’appelle Paul Green. Et je sais qui je suis. Je suis ce gars qui ne lâche jamais. Ce bonhomme qui se fout le monde entier à dos, qui perd tout en route, mais qui, coûte que coûte, va au bout.
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C'est pour ça qu'il faut vivre. Je le dois aux morts qui m'accompagnent et auX VIVants qui m' attendent Il faut vivre. Malgré tout.
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Condamné à vivre dans l'instant.
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Pour casser la monotonie du paysage, il n'y a que ces poteaux électriques, qui se dressent, tels d'immenses crucifix, devant les phares de ma voiture.
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Je ne supporte plus ces jeunes qui débarquent dans mes rues avec des envies de guérilla. lls s'imaginent en justiciers, rêvant de faire la couverture de l'édition dominicale du Los Angeles Times. Non, être flic, c'est attendre toujours. Faire des tâches usantes, répétitives, tâtonner, se tromper, essayer, encore. Et, la plupart du te ca signifie aussi s'en prendre plein la gueule. Insultes, portes qui claquent, crachats, indifférence... Être flic, surtout à LA, c'est tout sauf être un héros.
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(…) un homme ne se définit pas par ses actions passées, mais par ce qu’il est prêt à entreprendre pour devenir meilleur.
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J’ai du mal à décrypter Green. Un drôle de type. Derrière son apparente bonhomie, son côté monsieur tout-le-monde, il y a autre chose. Il m’a raconté son histoire. Cet homme s’est pris des coups toute sa vie. Et pourtant, il est là, il continue. Je ne lui dis pas, évidemment, mais peut-être sommes-nous un peu pareils. On se fait mal, on s’abîme dans nos enquêtes, lui à chercher ses disparus, moi ici, aux Homicides. Ça fait longtemps qu’on aurait dû s’arrêter, et pourtant, on persévère, même si on est à genoux.
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Face à moi, une explosion de guirlandes lumineuses et de néons. Il y a des rires, des flashs d’appareils photo. Ça sent la barbe à papa et le sucre. Tant d’innocence, d’insouciance. Alors qu’un loup rode parmi eux.
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Historiquement, l'Homicide Spécial était un repère d'hommes, blancs de préférence. Cela fait une dizaine d'années seulement que la direction de la police tente de faire évoluer l'image du service. Notamment avec l'embauche de ma supérieure à un poste à responsabilité. Mais même elle, encore aujourd'hui, après plus de 7 ans, s'efforce d'être la plus exemplaire possible, comme s'il lui fallait sans cesse prouver qu'elle méritait sa place. En gommant toute trace de ce que les grands machos des Homicides attendent d'une femme, d'abord. Corwin est dur, sèche, ses cheveux blonds, courts, toujours plaqués en arrière. Ses tailleurs cintrés, impeccables. Divorcée, elle s'occupe seule de ses trois enfants, je le sais, même si elle n'en parle jamais. Car Corwin ne mélange pas. Elle ne veut pas afficher le moindre signe de faiblesse. Rien à quoi pourrait s'accrocher les vieux charognards des Homicides pour la dénigrer.
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Il faut se méfier des anges. Rafa m'a parlé d'un vieux dicton mexicain qui dit : " una jaula de oro, sigue siendo una jaula. " une cage dorée reste une cage. En réalité, le mieux, c'est peut être de croire en soi, de s'accepter tel qu'on est avec ses fêlures, se regarder dans le miroir et se dire :" OK, on fera avec."
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