J’ai tué un aigle une fois,
Et observé son corps somptueux, j’ai soulevé ses plumes
Et en dessous j’ai vu les poux : nous sommes les poux blancs
De ce monde d’aigles. Je ne fais pas un bon pou,
Rien ne me satisfait.
On devrait se satisfaire de la graisse chaude
Sous les plumes qui volent à travers l’orage ;
Fermer les yeux et aspirer.