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EAN : 9782754803021
144 pages
Futuropolis (17/09/2009)
3.94/5   79 notes
Résumé :
Voici l’histoire d’un petit couple "ordinaire " qui s’aime un peu, beaucoup, à la folie… Ils se sont rencontrés, il y a quelques années et se sont rapidement mariés. L’homme gagne bien sa vie, la femme n’aura pas besoin de travailler.

Pourtant un jour, cette harmonie se brise. Une bête dispute, rien de spécial explique-t-elle. Mais cette dispute entraîne les premiers coups. Leur vie bascule et l’horreur s’installe au quotidien. La femme se tait. Elle ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (32) Voir plus Ajouter une critique
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Un couple est assis sur un canapé. Habillés en tenue de mariage, ils racontent leur vie amoureuse, chacun leur tour.
Cela commence évidemment par la rencontre. Ils sont à la fac tous les deux. Elle, elle a complètement craqué pour lui. Mais, il était entouré la plupart du temps de ses amis, sortait beaucoup et, beau jeune homme, avait beaucoup de succès avec les filles. Elève studieuse, de bonne famille, douce et timide, les garçons ne la regardaient pas vraiment. Il s'est rendu compte de son manège et se demandait alors ce qu'elle lui voulait. A bien la regarder, il la trouvait plutôt jolie sous ses vêtements un peu démodés. La rencontre a eu lieu au cours d'une soirée, malheureusement un peu trop arrosée. Un regard, une danse puis un baiser. S'ensuit le mariage en grande pompe. Chacun raconte alors ce jour mémorable. Lui, apparemment, comptait sur ce jour-là pour se créer un réseau professionnel. Une fois installés ensemble, il a décidé qu'elle ne devait pas travailler, son salaire suffisant largement aux dépenses. Elle s'occupe alors de la décoration de l'appartement, reçoit ses amies chez elle mais elle doit surtout s'occuper de son mari: lui préparer son petit-déjeuner aux aurores et lui concocter de bons petits plats quand il rentre le soir. Un jour où sa meilleure amie est venue lui rendre visite, elle remarque un bleu au coin de l'oeil. Elle lui avouera que sous la tension du travail et la fatigue, son mari était un peu énervé mais lui a promis que cela ne se produirait plus...

Assis côte à côte, ce couple visiblement épris l'un de l'autre raconte à tour de rôle sa vision des événements marquants de leur vie. Au fil de la lecture, l'on se rend compte qu'ils ne les ont pas vécus de la même façon ou qu'ils sont abordés différemment. Ainsi, avec ces flashbacks, l'on remonte le cours de leur vie et l'on essaie de comprendre comment ils ont pu en arriver là, chacun apportant son lot d'explication et son propre ressenti. Sylvain Ricard étonne et interpelle avec cet album à l'allure inoffensive et atypique puisque l'on ne se doute pas de prime abord du sujet sensible et très fort de cette histoire, traité intelligemment et sans fausse note. La trame de cet album est terriblement accrocheuse et astucieuse avec les témoignages à la façon de "Quand Harry rencontre Sally". de plus, l'auteur a choisi expressément un milieu social favorisé pour montrer que cette violence physique et psychologique est partout. le dessin animalier, créant une fausse distance, nous plonge immanquablement dans cette tragédie conjugale.

à la folie... plus du tout?
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Bon, j'avoue, en ce moment, je turbine au Ricard.
Au Sylvain Ricard, pour être précis.
Apéro du jour: … à la folie.
J'vous préviens tout de suite, pour la p'tite collation, oubliez confettis et cotillons, pas vraiment le style du bonhomme.

Ils sont deux sur un sofa. Ouais, on pourrait légitimement appeler ça un couple.
Deux êtres unis par les liens du mariage pour le meilleur et pour le pire.
Pouf, pouf, ce se-ra toi qui te col-ti-nera le pire.
De fait, madame sera la grande gagnante multirécidiviste. Heu-reuse !

La violence conjugale, voilà de quoi il retourne présentement.
Les deux époux se dévoilent, assis côte à côte, sans qu'il n'y ait aucune sorte d'interaction entre eux.
Le physique de madame évoluant au fil du temps mais surtout au rythme des coups reçus inlassablement.
De la rencontre, belle, comme dans un rêve de princesse, au quotidien triste à pleurer, chacun donne sa version du couple étonnamment dissemblable. En même temps, allez demander, vous, à un gland corrigeant sa femme, de faire preuve d'un minimum d'honnêteté intellectuelle. Et je parle même pas de repentir, là.
Elle l'avait bien cherché et pis c'est tout.

Ce qu'il y a de frappant, sans mauvais jeu de mot, c'est ce statut de victime expiatoire assumé qui se met en place au fil du temps.
La femme, pas franchement aidée par une amie horrifiée par la situation mais totalement incapable de l'en sortir ni par une mère approuvant ouvertement les méthodes musclées de son gendre, ira jusqu'à accepter cet état de fait en trouvant à son boxeur de mari toutes les raisons possibles et imaginables excusant de tels agissements. Call me ball, punching-ball.

Ricard et James ne font pas dans le sensationnalisme.
Ils auront mis des mots sur ces maux.
Un dessin bicolore, des animaux en guise de protagonistes, ils misent tout sur la dramatique de la situation et le font avec brio.
Ils décrivent parfaitement ce lent et douloureux processus victimaire qui ferait hurler toute personne douée d'un minimum de raison mais totalement étrangère à la situation. le lire est une chose, le vivre en est une autre.
La lente descente aux enfers de notre Eurydice et son morne quotidien tragiquement répétitif comme piqûre de rappel.

Chaque année, en France, près de 216000 femmes sont victimes de violences verbales, psychologiques, physiques ou sexuelles.  Une femme décède tous les 3 jours sous les coups de son con-joint.
Parfois, il arrive cependant que la victime en réchappe, s'en émancipe, mais à quel prix.
Cf affaires emblématiques du moment avec Jacqueline SAUVAGE et Bernadette DIMET.
L'homme est un loup pour l'homme qui, dans un trop louable souci d'équité, décida un jour d'élargir son terrain de chasse...

4.5/5
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- Atroce ! la vie de couple pour le pire...

Histoire d'un couple. Qui s'aime ? Dès le mariage, l'époux décide qu'avec sa bonne situation, sa femme n'aura pas besoin de travailler. Amen. Ainsi en sera-t-il. L'homme est commercial, il a la pression au boulot, ça le met à cran. Il retrouve sa fée du logis le soir dans leur maison impeccable, elle devance ses moindres désirs, se lève avant lui le matin pour préparer son petit déjeuner. Malgré cette perfection apparente, tout devient vite prétexte à mécontentement… donc à disputes, puis à violence. Si la jeune femme essaie de se rebiffer au début, elle ploie vite sous les coups, de plus en plus forts, de plus en plus camouflés sur son corps pour ne pas laisser de traces, mais de plus en plus douloureux…Sans compter la terreur permanente, la crainte de susciter de nouvelles colères démesurées.

Une BD terrifiante, éprouvante, un tourbillon, une spirale infernale vers le fond du gouffre. La violence va crescendo, l'enfer de la jeune femme aussi. Comme l'amie à laquelle elle se confie, on a beaucoup de mal à comprendre : qu'elle ne fuie pas cette situation, qu'elle ne porte pas plainte, qu'elle prétende aimer son mari, avoir besoin de lui (la dépendance financière qu'elle transforme en amour ?), qu'elle croie aux déclarations d'amour du bonhomme, qu'elle lui trouve des excuses… Ce genre de cas est toujours incompréhensible vu de l'extérieur, mais il concerne tellement de femmes qu'on ne peut qu'admettre que c'est souvent inextricable.

Cela dit, sans vouloir le dédouaner, on ne comprend pas davantage l'homme tortionnaire, qui se prétend amoureux, qui promet à chaque fois de ne pas recommencer, mais qui a visiblement de gros problèmes dans ses relations avec les femmes, toutes les femmes.
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Cet album de Sylvain Ricard et James n'est pas précisément une nouveauté, puisqu'il remonte à 2009.

Traitons de cet album en parallèle avec le dernier opus de Terreur graphique (Hypocondrie(s)), qui cause de la peur et de la maladie d'amour, d'une manière plus subtile que bien des philosophes modernes, puisqu'il introduit l'humour, puissant dissolvant de la morale.

En effet, on ne plaisante pas avec le couple aujourd'hui, bien que ce soit une des plus grandes sources du ridicule humain. le couple est devenu une religion cent fois plus contraignante que l'Eglise catholique romaine. Et, bien que cette institution nouvelle soit le produit dérivé du droit canonique de l'Eglise romaine, nul ne songe à s'en émanciper. La philosophie moderne vise le plus souvent la domestication de l'homme et l'encadrement de sa sexualité par l'Etat (comme la volonté de marier les gays l'indique).

On peut dire que la révolution sexuelle des années 70, qui coïncide avec la désindustrialisation, a été faite par des hommes égoïstes, pour des hommes égoïstes, avant d'être récupérée immédiatement par les femmes, tirant la couverture à elles. Une chose est sûre, et doublement illustrée par l'album de Terreur graphique et celui de Sylvain Ricard & James : l'homme et la femme ont de la liberté sexuelle une conception différente. J'en veux pour preuve la morale de F. Nietzsche, qui comporte un aspect de «libération sexuelle» virile et misogyne. Ce n'est certainement pas un hasard si on donne de la morale de Nietzsche une traduction émasculée aujourd'hui, en particulier dans les milieux populaires. M. Onfray appelle ça "gauchir Nietzsche": cela revient à vider complètement Nietzsche de son sens pour en faire une peau de lapin, adaptée aux moeurs libérales modernes, c'est-à-dire à l'un des trucs que Nietzsche vomit le plus.

Sylvain Ricard, comme Terreur graphique, souligne intelligemment le paradoxe du couple moderne, à savoir que c'est ce qui le provoque et le justifie qui le détruit. Exactement comme le couple traditionnel auparavant. Tout se transforme, rien ne change, au niveau du coït, et de toute la poésie mystique qui va avec.

Quand Terreur graphique traite de la «maladie d'amour», et de la position de faiblesse qui est celle de l'homme amoureux au sein du couple, étreint par sa femme comme l'enfant par sa mère, ainsi que de la manière d'exorciser cette passion, Ricard et James, eux, évoquent le tableau clinique inverse du couple où la femme pâtit, du fait de la violence de son conjoint et de l'étalage de sa puissance physique.

La situation de violence conjugale, a contrario de la maladie d'amour précédente, mobilise les autorités morales de ce pays, dont on peut déduire qu'elles agissent de façon désordonnée et inefficace (c'est la caractéristique des autorités morales), car la maladie d'amour n'est pas moins grave et explosive, bien que totalement négligée, voire excitée à travers la littérature la plus débile ou la circonstance atténuante du "crime passionnel". C'est typique de la société moderne de négliger la violence psychologique, de faire comme si elle n'existait pas, et de ponctuer d'un point d'interrogation hypocrite les tueries sur les campus américains. On n'a pas vu venir ces violences, précisément parce qu'elles signifient l'éclatement au grand jour d'une oppression occultée ; il n'y sera pas remédié, en raison de l'usage de cette violence psychologique pour faire régner l'ordre social.

On pouvait craindre, sur le sujet de la violence conjugale, la moraline habituelle des grandes prêtresses du féminisme (parfois de sexe masculin), dont on apprend ensuite qu'elles écrivent des romans porno-chics pour payer leurs loyers (quand elles ne sont pas entretenues directement par leur père ou leur conjoint). "A la Folie" se situe sur un plan supérieur à celui de la morale ou de la religion ; le plan de l'observation.

C'est une bonne idée de la part de Ricard, à la manière d'Esope, de peindre les protaganistes du couple qu'il décrit comme des animaux (des chiens). C'est l'inquiétude pour la cellule familiale qui explique que l'épouse retarde le moment de porter plainte pour coups, blessures et viols. Et tout l'amour pour son conjoint brutal se résume, de son point de vue, le seul valable, à lui trouver des excuses et lui pardonner facilement. Si elle ne lui trouvait pas d'excuses, cela impliquerait aussi qu'elle ne l'aime pas. Nul ne comprend que la femme battue aime son mari, alors que c'est pour elle une des preuves de son amour.

Le cercle est parfait, comportant sa part de douleur et sa part de plaisir égales. En exergue, un poème d'Etienne Ricard : (…) Les coups à la volée/Ensemble font hurler/Nos désirs – A la volée/La gifle nuptiale/Frappe de son battoir/Le destin des amants. le cercle est bel et bien érotique ou vital. Des couples plus chics ou plus âgés, afin de mieux se préserver, prennent parfois la voie de la simulation érotique sado-masochiste... mais cela revient au même, le rapport de force est conservé. Les adultes peuvent jouer au sexe, comme les enfants jouent à la guerre, avec le même sérieux.

Si l'on redescend au niveau de la santé ou de la morale publique (que cette BD évite soigneusement d'aborder), on verra d'ailleurs qu'il n'y a rien de pire que l'enseignement de l'amour courtois, c'est-à-dire la croyance dans la possibilité d'un couple égalitaire ou d'un amour unisexe, satisfaisant la femme et l'homme de la même façon. C'est l'assurance de transformer les gosses qui gobent cette utopie en tyrans domestiques, ou bien en hypocondriaques, voire en pervers manipulateurs hypocrites, sans doute la pire espèce des trois, car celle qui impose la violence psychologique.

Personne n'est innocent, pas même les femmes, pourrait-on conclure à la lecture de cet album. La folie sociale et ses débordements résultent d'une complicité entre l'homme et la femme : s'il y a un point où les sexes opposés s'accordent, c'est sur l'idée de s'affronter. Ce constat peut paraître banal : il ne l'est qu'à condition de reconnaître que toutes les utopies socialistes impliquent de nier cette évidence que l'homme et la femme sont nés pour s'entretuer, et non pour s'entraider comme les apôtres du mariage nous disent. le mariage gay est beaucoup moins explosif... en même temps qu'il est totalement inutile sur le plan social, en principe. Cela permet de comprendre pourquoi, à défaut d'être parfaitement heureux dans l'antiquité, on n'y faisait pas tout pour être malheureux, comme dans le monde moderne, qui marche sur la tête.
Lien : http://fanzine.hautetfort.co..
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Un canapé, un homme, une femme. Chacun raconte à tour de rôle comment leur couple a sombré dans la violence. Chacun leur tour, ils racontent leur rencontre, leurs moments ensemble et leur vision de leur couple. Quand vient la première gifle, la femme commence à l'excuser... et rien ne va plus.
...à la folie raconte la violence conjugale d'un couple. Comme dans beaucoup de couples malheureusement elle parait ordinaire. L'une excuse l'autre, l'autre se sent dans son droit. Les discussions avec d'autres personnes ne changent rien. La femme quitte alors le domicile conjugal... On croit alors que les choses vont s'améliorer, mais peut-on vraiment changer du tout au tout ?
Une mise en scène un peu déstabilisante au début mais la personnalité de chacun est vraiment bien construite et le dessin s'unit bien au texte. Un scénario simple sans clichés qui aborde un sujet très sensible. J'ai vraiment été touchée par cette BD qui ne laisse pas de marbre.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
- Votre épouse a porté plainte contre vous.
- Mon épouse ? C'est absurde !
- Ce n'est pas l'avis du procureur de la République à qui la plainte a été adressée. Plainte qui fait état de "violence volontaire sur conjoint".
- C'est n'importe quoi !
- Une plainte pour violence sur personne n'est jamais n'importe quoi.
- Mais..., ce n'est pas une personne, c'est ma femme.

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La première fois qu'il m'a giflé...
On n'oublie pas ces choses-là...
Ce sont des souvenirs gravés en dur dans la mémoire.
Je ne m'y attendais pas vraiment. Je n'aurais même pas pu l'imaginer à cette époque.
Ca m'est arrivé d'un coup, brutalement, sans sommation... A l'occasion de ce qui aurait pu rester comme une dispute banale.
Un matin comme les autres...
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Avec ma femme, j'ai décidé qu'elle ne travaillerait pas. Et puis, c'est souvent comme ça quand le mari a une bonne situation. La femme reste à la maison. J'ai largement de quoi subvenir à nos besoins. Alors, pourquoi irait-elle travailler ?
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J’aime ma femme et elle le sait. Et je sais qu’elle le sait. D’ailleurs je suis sûr qu’elle aussi a toujours des sentiments pour moi. C’est vrai que je n’ai pas été toujours délicat avec elle. C’est vrai. Mais quand même, je subis énormément de tension au travail et ce n’est pas toujours simple de rester maître de soi. Alors oui, il m’est arrivé de sortir de mes gonds, pas toujours de la bonne manière, mais toujours pour une bonne raison
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Je sais que si je continue à me comporter de la sorte, je vais perdre ma meilleure amie. Mais j’ai l’impression qu’elle vient me voir comme si on va voir un vieux à l’hospice. Par habitude, par devoir, pour soulager une conscience un peu chiffonnée. Et ça me dérange. Je l’imagine assez bien parlant de moi à ses amies, ses collègues… Vous savez, mon amie qui se fait battre par son mari. Et eux, unanimes pour dire que ça ne devrait pas être permis, à y aller de leur fait divers, de leur anecdote. De leur analyse profonde et pleine de bon sens arborant leur costume de justicier ou de professeur de morale
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