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Elle ne répondit pas. Parfois, il n'y a rien à répondre.

Les gens comprennent ou ne comprennent pas.
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Des gens m'ont dit sans réfléchir: "Un jour vous vous remarierez. Vous épouserez un brave homme qui vous rendra heureuse." Me marier? L'idée même de me marier me terrifiait. Personne ne peut vous faire autant de mal qu'un mari. Personne n'est plus proche de vous.
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Victor Hugo était un grand séducteur et aurait tout tenté pour un moment passé dans les bras d'une jolie fille. Il les aime plutôt jeunes, avouant avec subtilité ne pas être "bouquiniste en amour".
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Au début, Celia fit des additions et des soustractions, puis des multiplications — bien plus amusantes —, puis des divisions — autrement plus compliquées. Enfin, il y eut des problèmes. Celia adorait les problèmes. Ils concernaient des petits garçons et des pommes, des moutons dans un pré et des robinets. Bien qu'ils ne fussent que des opérations déguisées, du moment qu'il s'agissait de pommes ou de moutons, c'était passionnant.
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— Étiez-vous heureuse quand vous étiez enfant?

— Oh! oui. (Il n'y avait aucun doute sur la certitude de son accent. Elle ajouta :) Trop heureuse !

— Est-ce possible?

— Oui. Voyez-vous, dans ce cas, on n'est pas préparé à ce qui vous arrive. On ne conçoit pas que cela puisse arriver.

— Vous avez connu une expérience tragique ?

— Non... pas vraiment. Ce qui m'est arrivé ne sort pas de l'ordinaire. C'est une expérience que connaissent bien des femmes. Je n'ai pas été particulièrement malheureuse. J'ai été... stupide. Oui, stupide... et il n'y a pas de place dans ce monde pour les gens stupides.

— Écoutez-moi... J'ai ressenti ce que vous ressentez. Vous croyez que la vie ne vaut pas d'être vécue. J'ai connu ce désespoir aveugle et je vous l'assure, cela passe. Le chagrin ne dure pas toujours. Rien ne dure. Il n’existe qu'un seul véritable consolateur : le temps.
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Victor Hugo n'est pas baptisé. Il n'a pas fait sa communion, ne s'est jamais rendu au catéchisme et n'aimait pas assister à la messe. Mais il croit en Dieu, profondément, et cela depuis sa plus tendre enfance.
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Il est plus que temps d'ouvrir votre coeur à l'amour. Parce que si vous continuez ainsi, les toiles d'araignées finiront par recouvrir entièrement la serrure. L'amour est à portée de main. Il vous suffit de bien regarder.
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On traversait Paris libéré, Paris délivré du vide sanitaire, du silence de l'exode, Paris envahi de masques.
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Le regard de Victor Hugo sur les femmes sera souvent empreint d'excès, mais jamais de malveillance.
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Les patients décèdent surtout de maladies nosocomiales véhiculées par les systèmes de clim à bas prix, comme en temps normal. C'est la surpopulation dans des unités insuffisantes qui augmente le nombre des victimes. Sans compter la pénurie de masques qui contamine les soignants, lesquels répandent à leur tour le virus de lit en lit. Ce qui est mortifère, c'est votre politique d'économies en matière de santé. Le virus n'en est que le révélateur.
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Hugo fut l'une des rares voix masculines de son temps à plaider en faveur de l'égalité des sexes.
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Il est temps de vous lancer dans ce projet auquel vous pensez depuis longtemps. Il est temps d'aller de l'avant. Vous pourriez être surprise de ce que vous êtes capable d'accomplir. N'ayez pas peur. Chaque pas qui vous rapprochera de l'accomplissement de ce projet sera un pas de libération.
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Hugo a passionnément aimé les femmes. Elles sont partout : dans sa vie, ses livres, pour la plupart belles et combattantes. Femmes de tête ou bafouées, courtisanes ou princesses, tyranniques ou angéliques : il les admire, les idéalise parfois, n'hésite jamais à prendre leur défense.
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A travers sa réflexion sur la difformité considérée comme splendeur, Hugo a poursuivi son inlassable combat pour la défense d'une humanité en souffrance.
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La beauté est donc une cractéristique toute relative chez Hugo, qui lui préfère l'alliance du grotesque et du sublime -- au fondement du drame romantique. Dégager la lumière de l'obscurité, révéler la grâce du monstre : tel est son dessein. Alors il peint le sombre, le caché, le pétrifié, tout ce que les hommes négligent, moquent, ou rejettent. Quasimodo, Gwynplaine, et triboulet incarnent cet héroïsme singulier.
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Je me dis souvent que la vie serait beaucoup plus sereine si l'on connaissait avec exactitude et dès le départ la date de sa fin. Il n'y aurait plus besoin de s'embarrasser de précautions inutiles ou de peurs handicapantes. On se sentirait plus léger. En tout cas, moi, je me sentirais plus légère.
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A défaut d'oreiller, Victor Hugo s'était aménagé un look-out dans sa maison de Guernesey, une pièce entre ciel et terre -- ou plutôt entre ciel et mer --, étouffante de chaleur les jours de beau temps, assourdissante lorsque la tempête venait frapper aux fenêtres.
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Pour l'écrivain en quête d'émotions rares, le rêve permet d'accéder à la poésie, d'échapper à la tristesse et à la mort.
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L'Univers a toujours fasciné Hugo. Il s'est beaucoup interrogé sur ce qu'il pouvait bien y avoir au-dessus de nos têtes et sous nos pieds.
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Ça ne m'était jamais arrivé d'être douée pour quelque chose. Je veux dire, comme ça, sans rien faire pour.

Jamais je n'ai pensé que je pouvais avoir un talent inné pour quoi que ce soit. C'est à la fois grisant et en même temps désagréable, comme si c'était une imposture.
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