Carl Mørck a été arrêté pour différentes charges dont celle de meurtre . Dans une cellule de 7m2 , il essaie de survivre à la haine de ses anciens collègues et à celle plus forte encore de ses codétenus, bien déterminés à l'éliminer. Et celà avec l'aide d'une organisation de trafic de drogue qui veut le faire taire définitivement.

Mais il est aidé par sa femme Mona et ses coéquipiers Assad, Rose et Gordon.

Réussira t'il à se sortir de ce piège ? Et saura t'il reconnaître autour de lui qui est un ami et qui est un traître ?



Ce n'est pas le meilleur mais sûrement le plus intense de la série.

Le côté psychologique des personnages est réellement très bien écrit et indispensable au déroulé de l'intrigue.

Et le retour de personnages des livres précédents prêts à tout pour sauver celui qui les a sorti des griffes de monstres est vraiment bien pensé car il nous replonge , nous fidèles lecteurs , dans les différents épisodes de la série .

On laisse derrière nous le département V avec un pincement au coeur .

Bonne lecture

Troisième enquête du département V chargé des cold cases. Je n’ai pas lu les deux premières. L’équipe est composée d’un inspecteur assez falot flanqué de coéquipiers très atypiques (un syrien énigmatique et une secrétaire improbable ), elle est moyennement convaincante. Je n’ai pas aimé le duo timbré Rose/Yrsa, les digressions mal exploitées sur les problèmes de locaux et de désamiantage (ça aurait pu être drôle, c’était un peu lourd), le deuxième cold case avec les incendies qui ne m’a pas intéressé plus de deux minutes. A part Assad les personnages qui gravitent autour de l’inspecteur Carl Morck me passionnent peu, hélas !

Reste l’enquête principale, à la fois originale et classique, passionnante. A partir d’une bouteille à la mer trouvée en Ecosse, la police découvre qu’un tueur en série sévit depuis au moins treize ans : il kidnappe deux enfants d’une fratrie, demande une rançon, tue l’un des enfants et libère l’autre. Toujours dans des familles membres de sectes ou de communautés religieuses atypiques. Jamais une plainte de déposée. L’atmosphère de différentes sectes est bien rendue avec le côté vie en vase clos, replié sur soi et la religion. Le lecteur découvre peu à peu la personnalité et les motivations malsaines du tueur qui se venge curieusement de son enfance. Le démarrage est lent mais ensuite ça s’accélère au point de devenir haletant. Le portrait psychologique du tueur est très réussi et le cheminement de son personnage crédible.J’ai aussi apprécié l’alternance des points de vue (enquêteurs, tueur, victimes, femme du tueur) qui permet de mieux cerner les personnages, et, accessoirement, limite les pages consacrées à l’équipe d’enquêteurs.

Une excellente intrigue.

J'ai retrouvé avec plaisir Carl et Assad, leurs bons mots et leur complicité. Dans ce tome, on rencontre aussi la soeur de Rose, Ursa. Ce sont deux personnes bien différentes : l'une est gothique et l'autre un brin barbie. En revanche, niveau histoire, j'ai été un peu perdue par ce tome. Carl et Assad s'occupent pour une fois de deux enquêtes : l'une concerne des incendies criminels avec un seul mort à chaque fois (grâce à Assad qui a trouvé un vieux dossier du même genre) et la seconde concerne une bouteille retrouvée à la mer avec une lettre dedans. Cette seconde affaire sera plus longue à résoudre car il faut déjà du temps pour que la lettre arrive entre les mains de Carl. On passe également plus de temps dans le présent d'autres narrateurs (et/ou leur passé). En revanche, ils appartiennent à quelle enquête ? Il a fallu un moment avant que cela devienne plus clair et intéressant. Au milieu des enquête, nous avons les tranches de vie de Carl avec Mona, avec son nouveau psychologue (très bizarre) ainsi que chez lui ou à la rencontre de ses coéquipiers. Comme d'habitude, l'auteur choisit vraiment des histoires hors normes avec des personnages très secrets. Pour celui-ci, je me suis vraiment demandée si Carl et son équipe allaient arriver au bout de cette enquête. Il aura fallu une suite de péripéties et d'indices faibles pour qu'ils puissent la clôturer. En tout cas, je passe toujours un bon moment en compagnie de Carl et de son équipe. Je me demande ce que l'auteur va encore inventer pour la suite de cette série. Se sert-il d'enquêtes pré-existantes ? Ou de seulement certains éléments dont il imagine la fin ?



Comme vous l'aurez compris, ce tome a encore été une bonne lecture, vu qu'elle a été un peu embrouillée par le début des deux enquêtes et le nombreux narrateurs. Vu qu'un youtubeur promet de mettre les tomes 4 et 5 en ligne sous peu, je vais en profiter tout en continuant à alterner avec des histoires plus légères voire fantastiques. Si vous êtes amateurs de thrillers danois, je vous conseille donc très fortement de découvrir la suite de cette série.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Pour que ça fonctionne, il faut aimer les contes. La recette reste la même : intrigue rocambolesque à rebondissements multiples, héros très typés et très, très malins, méchants cruels jusqu'à la caricature, pas de souci du réalisme... mais le plaisir est au rendez-vous.

Adler Olsen, on me l'a recommandé depuis longtemps. Je me suis lancée dans le premier de la série Département V, ce fameux "Miséricorde".

J'ai détesté le sommeil qui m'empêchait de continuer ma lecture. Oui, l'histoire est dure mais quel talent ! J'adore le personnage si grognon avec un grand coeur qu'est Carl Morck et son adjoint Assad qui apporte une touche d'humour. Je vais vite me procurer les autres tomes de la série.

Découverte du département V de la police de Copenhague avec "Délivrance", troisième opus de la série, dans lequel un tueur s'en prend à la progéniture de familles ultra religieuses.



Le récit met un temps certain à démarrer, avant d'atteindre enfin un certain rythme et une certaine tension. Dommage que l'histoire soit par ailleurs alourdie par des passages (les problématiques de locaux du Departement V, par exemple) clairement superflus, voire prévisibles (les développements autour de Rose et d'Yrsa). Une intrigue plus condensée se serait sûrement révélée plus intéressante. Les personnages ne sont, quant à eux, pas vraiment attachants, les zones d'ombre autour de certains d'entre eux (Assad notamment) n'étant pas levées en fin de récit.



Bref, un avis plutôt mitigé. "Délivrance", serait-ce ce que l'on ressent à être arrivé au bout du roman ?

Et voilà, le dernier opus de la série sur le Département V, 7m2 de Jussi adler Olsen est lu.



Ne pas lire ce retour, ni le résumé, si vous n’avez pas encore lu « SEL ».



En effet, Carl, après avoir résolu l’affaire Sisle Park, se retrouve dans 7 m2, la taille de sa cellule.

Accusé de plusieurs choses, il devra se battre pour comprendre qui et pourquoi on lui a tendu ce piège, car il clame son innocence.



Alors que plusieurs collègues l’abandonnent, il pourra toujours compter sur Rose, Assad, Gordon et Mona.

Hardy sera de retour aussi, avec une belle surprise qui surprendra tout le monde.



Cependant, la lecture c’est montré, à un moment, laborieuse en raison du nombre de personnages qui gravite autour de ce complot.



Mais on lit aussi avec le sentiment d’urgence pour sauver la vie de Carl alors que sa tête est mise à prix au sein de la prison.

Comment va-t-il pouvoir s’en sortir et comment joindre son équipe pour les aider à avancer.

Une aide inespérée, clin d’œil à son premier livre, lui sauvera probablement la vie.



J’ai aimé ma lecture, dense, mais vibrante d’émotions, on peut y voir la noirceur de l’homme, mais aussi la bonté insoupçonnée cachée en chacun. Le combat de l’amour contre la haine



Et, même si la fin est révélée de manière rapide et brutale, jamais je n’aurais pensé à cette trahison.



Adler Jussi Olsen finit en beauté sa série Département V, et nous dévoile un Carl change à jamais.

Le plus dur sera de ne plus revoir Rose, Assad et Gordon, la fine équipe tellement déjantée et attachante

Je découvre cet auteur, et si ses autres livres valent celui-ci, je ne vais plus le lâcher! Ça, c'est du polar! Carl, un flic cabossé, plus ou moins mis au placard, son assistant, dont on devine que la vie ne lui a pas non plus fait de cadeau, un peu sombre et inquiétant, parfois, complexe et redoutablement efficace, une affaire datant de plusieurs années prise un peu au hasard sur la pile qu'on a posée sur le bureau, et c'est parti! Je n'ai pas lâché ce livre jusqu'à la fin. Sous pression.