Une cinquantaine de page par nouvelle suffisent à
Karine Giebel pour créer une atmosphère pesante à souhait.
On entre tout de suite dans le vif du sujet, les «
maîtres du jeu » font leur apparition rapidement, et peu de pages suffisent pour découvrir les personnages.
Le format ne laisse que peu de place aux descriptions, l'importance est donnée aux dialogues et aux actions.
J'ai énormément aimé la première nouvelle, des les premières pages je me suis plongée dans l'histoire, impossible de ne pas finir, la fin m'a clairement époustouflée.
La seconde en revanche m'a moins plus, plus glauque et malsaine, des personnages moins attachants.