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3,91

sur 3210 notes
Comme dans tous les épisodes de sa série « Robert Langdon », Dan Brown nous offre une promenade au milieu d'objets et de lieux historiques remarquables, recelant tous quelque message énigmatique. Comme souvent dans ses romans, le côté culturel m'intéresse plus que l'intrigue, mais j'ai quand même apprécié celle-ci, ainsi que la visite en Italie et à Florence sur les traces de Dante.
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Dan Brown surfe sur la vague du Da Vinci Code. Nous retrouvons Robert Langdon en Italie, amnésique et devant sauver le Monde. Même si la lecture du roman est agréable, ce professeur m'a épuisé à force de courir de rues en rues, de villes en villes, poursuivi par des tueurs et des organisations sans scrupules.

Ce roman a tout de même l'avantage de mettre en avant la « Divine Comédie » de Dante et de nous remettre en mémoire ce fabuleux poème épique et mystérieux.
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Comme à son habitude, Dan Brown nous offre un marathon littéraire. Pendant plus de 600 pages (Livre de Poche), nous courrons avec Robert Langdon en Italie, sur fond d'oeuvres du Quattrocento (la Renaissance Italienne du XVème siècle), et on aime ça ! Bien sûr, comment aborder cette si riche période de l'histoire sans parler de Dante ? Divine Comédie, masque mortuaire du célèbre poète, Carte de l'Enfer de Botticelli, etc. Dan Brown rend l'oeuvre de Dante accessible grâce au talent de didacticien de Robert Langdon. L'incollable en symbologie doit encore sauver le monde (même plus étonnant !) mais on se laisse quand même prendre au jeu de cette course contre la montre.

Le thème principal du roman ? La démographie planétaire. Peut-on continuer à vivre avec une population qui croît de manière exponentielle ? le scientifique Zobrist pense que non et met au point ce qu'il considère comme la solution miracle qui peut sauver l'humanité.

Dan Brown joue avec son lecteur comme avec les cercles de l'Enfer et déroule avec aisance et réussite un suspense insoutenable qui pousse son lectorat à ne faire qu'une bouchée du roman. Les retournements de situation sont étonnants et la fin atypique. Encore un roman où Dan Brown mélange histoire, art, science et action.

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Aaaahhh Dan, Dan, mon petit Dan Brown, tu m'as bien retourné le cerveau avec Inferno ! Et je t'en remercie chaleureusement, car ça faisait bien longtemps qu'un livre ne m'avait pas fait cet effet-là !

Dès les premières pages, on est plongé en pleine coeur de l'action et de la confusion qui règne autour du personnage principal, Robert Langon. Visions, tueries, fuite, tout y passe dès les premières lignes ! Et là on se dit : « Ouiiii, ça promet ! ». Et la suite ne baisse pas en rythme : de courses poursuites en traques, on progresse petit à petit avec notre héros dans son enquête.

Mais ce qui est fort avec Dan Brown, c'est le puzzle qu'il réussit à mettre en place tout au long de son roman. Les éléments s'imbriquent les uns aux autres au fur et à mesure, jusqu'à des retournements de situation que je n'ai pas vu venir, et ce n'était que du pur plaisir ! A tel point que j'ai été tentée de relire tout le roman dès le début à un certain moment, afin d'avoir un nouveau point de vue différent sur tout ce qui arrivait.

L'autre point fort de ce roman, c'est la réflexion « humaniste » qu'il implique. Il est assez rare que des romans d'action traitent finalement de tels sujets pour le souligner, et je trouve que le sujet abordé dans Inferno est particulièrement d'actualité et sujet à réflexion. En tout cas il m'a fait me rappeler de certaines choses, pas de bonnes choses malheureusement, et rien que pour toute la réflexion que j'ai eu pendant ma lecture, je me rappellerai de ce roman pendant longtemps.

Pourquoi pas le coup de coeur alors ? Parce que le héros, Robert Langdon, m'a un peu déçu dans ce tome ! Normalement c'est lui qui mène la danse, qui devine les supercheries, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Là, il reste spectateur de sa propre agonie, et n'est pas acteur de ce qui se passe autour de lui. Donc ça m'a un peu déçu par moments… mais bon je lui pardonne, il ne peut pas être parfait le petit Robert ! Et j'ai trouvé que la fin portait un peu trop en queue de poisson…

Mon plus gros souci maintenant, c'est de savoir quand Dan Brown sortira un nouveau tome des aventures de Robert Langdon… Bah oui parce qu'après ça, je ne peux qu'en redemander !

17/20
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Pour la critique d'Inferno je pourrais faire court en disant: Référez-vous à la critique du Da Vinci Code étant donné que les deux histoires ont beaucoup de similitudes.
Un livre que je ne trouve donc réellement prenant qu'à partir de la deuxième moitié, la première partie étant à mon goût un Da Vinci Code bis. La trame étant quasi identique (une course poursuite entre Langdon accompagné d'une femme et par la police, un objet historique à rechercher, le tout avec un rebondissement que l'on sent venir très tôt).

Après, qu'on se le dise, Inferno reste un bon ouvrage (d'où les trois étoiles tout de même). Les différents personnages sont tous intrigants, beaucoup de références historiques (peut-être un peu trop, on en perd le fil de l'histoire parfois).

En conclusion un livre que tout amateur de récit policier/historique aimera, mais il ne vaut mieux pas enchaîner l'Inferno et le Da Vinci Code...overdose possible, lol !
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La recette d'Anges et Démons et de Da Vinci Code continue de fonctionner. Mais bien sûr Dan Brown se répète et s'épuise.
On ne s'ennuie toujours pas pendant la lecture, mais on commence à avoir fait le tour de la question. Mon dernier Dan Brown.
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Bon voilà, ça y est c'est fait je l'ai lu. Encore une aventure du Professeur Robert Langdon mais cette fois on passe au thriller scientifique. Un virus comme ultime ennemi, la Science comme ennemie.

L'auteur nous entraîne d'abord dans l'Italie du Moyen Âge et de la Renaissance. Je dois dire que ses descriptions parfaites de Florence, de Venise ou de leurs abords m'ont fait grand effet. Oui, clairement l'Italie est un des pays les plus riches en histoire et donc en énigme potentielle.

Car c'est de nouveau à travers une énigme incroyable que Dan BROWN nous fait voyager. A l'appui, l'oeuvre de Dante, chef d'oeuvre terrible et si complexe qu'elle donne lieu à de nombreuses interprétations et comme pour le Da Vinci Code, qui pourra venir dire le contraire d'un tel déluge de connaissances en la matière (références à Dante, nombreuses citations,...)?

L'ambiance thriller est bien présente. Mais elle est loin d'être formidable. Le personnage de Sienna Brooks, médecin, qui accompagne Langdon possède un passé trouble et un lourd secret.

Malgré tout, le thriller navigue entre longueurs et soubresauts. Même si Robert Langdon fait montre d'une sagesse et d'un savoir encyclopédique pour comprendre les énigmes, et si celle proposée par le méchant du livre, Zobrist, reste très intéressante, la suite l'est moins. Car le thriller se dirige pas à pas dans du pseudo scientifique... le transhumanisme (non pas la transhumance comme mon clavier voudrait l'écrire...).

Un virus menace la planète. A chaque fois que Langdon et Sienna Brooks se trouvent menacés je n'y crois plus. Et en effet à la fin du livre vers la 500ème page tout ce que je croyais s'effondre bien que je sentais que quelque chose clochait dans tout ça. Et encore cent pages plus loin, je m'aperçois que je me suis encore trompée. L'auteur sait bien nous balader. Mais cela valai-il le coup? Car malgré ses efforts, malgré ses balades incroyables à travers l'Italie et ensuite la Turquie, je ne trouve aucunement son histoire convaincante et parfois à la limite du grotesque. Pourtant j'aime son écriture et sa façon d'élaborer des énigmes. Peut-être ne faut-il pas mélanger thriller scientifique avec un thriller pseudo historique (car il concerne une interprétation de l'Histoire)?

Du côté des personnages, ils sont tous horriblement tirés par les cheveux. Sienna Brooks est une jeune femme blonde extrêmement brillante avec un QI supérieure à la moyenne, et angoissée, Bertrand Zobrist est un méchant généticien à l'air déluré et déterminé, (on lui ajouterait des cheveux blancs de savant fou, des gants en Latex, des lunettes à verre épais et une blouse, voilà l'idée que je me suis faite de ce personnage aux yeux verts....), la directrice de l'OMS est une femme désespérée par sa stérilité, et Le Président est un homme froid et ambitieux (avec les plus mauvaises ambitions quelques fois bien sûr) que je me suis imaginée grave, petit et gros, sans cheveux et boutonneux malgré les descriptions de Dan BROWN.

Bref, un livre pour faire passer le temps. Sans plus.
Lien : http://www.unefrancaisedansl..
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Lorsque DaVinci Code est sorti en librairie, je m'étais laissée tenter par ce roman plébiscité par les lecteurs. Ma déception avait été à la hauteur de mes attentes : un style banal, une fin ridicule, des répétitions à outrance...

Mais je déteste rester sur un mauvais a priori, d'autant plus que mon père aime cet auteur et qu'il a bien du mal à comprendre mes réticences. Aussi j'ai eu envie de donner une seconde chance à Dan Brown et j'ai chipé Inferno à mes parents.

Mon avis n'a hélas pas changé. Je me suis terriblement ennuyée ! L'histoire démarre lentement, très lentement. L'intrigue se met vraiment en place au bout de 200 pages (pour un thriller, c'est tout de même long).

Il ne se passe pas grand-chose jusqu'à un retournement de situation médiocre.
Après ce premier twist, un second qui là me plaît beaucoup parce que je ne l'avais pas vu venir. Je me suis fait avoir, ça me plaît bien. Oui mais ça ne dure pas car Dan Brown balance un nouveau rebondissement qui affadi terriblement l'histoire :

L'histoire est plate, sans saveur, sans rythme. Et l'auteur s'égare en permanence en proposant une visite guidée des hauts lieux de Florence, Venise et Istanbul. J'ai eu l'impression de lire le Guide du Routard. J'étais venu chercher du suspense, pas une description de toutes les statues se trouvant dans le jardin de Boboli. Si au moins ces infos servaient l'intrigue mais ça n'est pas le cas. J'ai eu l'impression que l'auteur avait envie d'étaler sa culture et de signifier à ses lecteurs qu'il s'était rendu sur place avant d'écrire son livre. Mais de là à indiquer le nom des rues et des carrefours...

Et une fois de plus Dan Brown répète les mêmes infos au moins dix fois. S'il ne se répétait pas autant, le livre serait amputé de 100 pages. J'avoue d'ailleurs que j'ai fini par sauter les passages où il décrit la caverne parce que je n'en pouvais plus.

J'ai mis pratiquement deux semaines pour lire Inferno ce qui est révélateur de mon ennui (les thrillers, d'habitude, je les gobe). et j'ai poussé un profond soupir de soulagement quand j'ai lu la dernière ligne.
Je pense que je vais laisser passer un peu de temps avant de retenter l'expérience avec cet auteur.
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Dan Brown avait multiplié les ventes de livres avec son Da Vinci Code. Depuis chacun de ses nouveaux ouvrages est précédé d'une mise en avant publicitaire massive. Voici la version 2013 : Inferno.
Mais de quoi parle t-on vraiment ? D'un auteur de thriller, qui sait être efficace, multiplier les courtes situations pour enchaîner les rebondissements. Il y ajoute bon nombre de pseudo secrets ésotériques, quelques anecdotes historiques, et de beaux paysages de carte postale avec Robert Langdon en guide touristique (ici Florence).
Mais quant est-il de la trame de l'intrigue ? Hum, hum.. En gros on va parler d'un scientifique fou qui a mis au point une arme bactériologique (pour le bien de l'humanité... bien sûr), d'une jeune et belle doctoresse qui joue double jeu (ou triple, ou quatruple), d'assassins qui traînent partout où Langdon montre le bout de son nez (les rues de nos jours ne sont plus sûres)... En gros James Bond se met à lire du Dante.
Le roman s'oublie aussi vite qu'il a été lu, pourtant bizarrement le lecteur a passé un bon moment et va sans nul doute enchaîner sur le prochain Brown.
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Les esprits aigris diront que c'est nul , et pourtant ils applaudiront Levy et Musso qui sortent des purges , alors que Brown lui parvient encore à ces fins : distraire lelecteur tout en lui apportant de nouvelles connaissances . Certes la formule est connue , et cela est parfaitement adapté aux régles du page turner . Et alors ? Langdon est toujours aussi attachant , ces aventures sont rondements menées , malgré les habitudes que Brown prend à chaque livre , le tout se laisse lire avec un plaisir non dissimulé . Certes ce n'est pas un chef d'oeuvre , mais une bonne série B , qui se laisse lire , en attendant le prochain tome des aventures de Langdon .
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