Inferno

Comme d'habitude, Dan Brown arrive à nous embarquer dans l'univers de son personnage, Robert Langdon, le globe-trotter enquêteur aux prises ici avec d'un côté une mysterieuse organisation ultra secrète qui veut lui faire la peau (comme d'hab' quoi) et de l'autre un terroriste scientifique partisan d'un ordre nouveau. J'avoue avoir été très déçue par la pirouette de fin (assez prévisible) et le dernier tiers du bouquin. Pourtant, la partie florentine (sur l'univers et l'oeuvre de Dante) est tout simplement excellente. Mais cette première partie ludique et très instructive est plombé par une trame narrative assez lourdingue et décevante (malgré les enjeux). Ca ne m'empechera pas cependant de me pencher sur le prochain de Brown avec plaisir. Parce que voyager à ses côtés restera toujours un plaisir...

PS: La pub cachée et abusive sur le projet "Google books" et les bouquins libres de droit exploités par google par l'intermédiaire de Langdon aurait pu être évitée...

On pourrait croire que toutes ces énigmes vont finir par nous lasser, or il n' en est rien. J' ai retrouvé avec autant d' enthousiasme l' écriture de Dan Brown. L'intrigue est très fine, les personnages bien plantés.
C' est le problème de la surpopulation planétaire qui est abordée ici, et cela fait froid dans le dos. Dans un siècle, à ce rythme de peuplement la Terre ne pourra plus assumer donc Bertrand Zobtrist décide de créer une arme terrible qui évitera aux humains leur destruction.
Robert Langdon va aider l ' OMS à trouver ce fléau annoncé.
Jusqu'à la fin du roman, on attend le dénouement et on est loin d' être déçu. Brown assure jusqu' au bout.

Du très bon Dan Brown qui pose question sur la surpopulation. le dénouement est très surprenant et en même temps superbement logique

Monsieur Brown sait toujours aussi bien créer le suspens mais il doit être bien en peine à ses fins de mois pour devoir nous distiller à longueur de page marques diverses et qualités du dernier smart phone de la marque à la pomme, malgré les millions de livres qu'il vend dans le monde. Ce n'est plus de la littérature mais de la publicité à ce niveau...

Lire un roman de Dan Brown, c'est un peu à double tranchant. D'un côté, je sais que je vais passer un bon moment et que les pages vont tourner d'elles même. Mais de l'autre, je sais que je vais noter tous les petits détails qui me gênent et ça va m'agacer.



Cette fois-ci, l'auteur s'attaque à L'enfer de Dante. Cette histoire est un fondement de la littérature italienne écrite au 14ème siècle. Dans son oeuvre, Dante doit traverser les enfers puis le purgatoire pour enfin arriver au Paradis.

Ici, c'est la partie L'enfer qui est est au centre. le “grand méchant” de l'histoire s'en sert pour dissimuler une énigme que doit résoudre Robert Langdon. du coup, on a droit à de nombreux passages de l'oeuvre. Et on visite Florence et Venise.

Le roman est addictif, on a envie de savoir le fin mot de l'histoire. Mais ça n'empêche pas que je lui ai trouvé des défauts.

Déjà, toute l'histoire se passe en une seule longue journée. Pour un homme blessé à la tête, le personnage principal tient une forme olympique. En plus son nom lui fait ouvrir toutes les portes. Et puis par moment, le roman tient plus du guide touristique que du roman d'aventure. Un conseil, il faut avoir internet sous la main pour pouvoir visualiser les objets et les lieux décris dans le roman.

Et Dan Brown prend un malin plaisir à nous embrouiller l'esprit. Par moment, on ne sait pas vraiment de qui il est en train de nous parler. du coup, on ne sait de quel côté sont les gens. Et puis, ils ont tendance à changer régulièrement de bord.

Et je ne suis pas satisfaite de la fin. Je l'a trouve inaboutie. Je me suis dis: tout ça pour ça. Robert aurait mieux fait de rester chez lui.

Et je ne parle pas de certaines approximations techniques qui pour une scientifique sont dures à accepter.



Je vous rassure, il y a des choses que j'ai aimé dans cette histoire. Déjà il y a un bon rythme, sans vraiment de temps mort.

Ensuite, l'auteur choisi de nous parler de la surpopulation de la Terre et de ces conséquences à court et long termes. J'ai trouvé cela très intéressant.

Et j'ai passé un bon moment.

Du coup, si on arrive à mettre de côté les choses qui gênent, c'est un bon roman d'aventure. Même si je préfère toujours le Da Vinci Code.

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babelio_id:Brown-Inferno/474853

J'ai réellement apprécié cette lecture.
C'est le tout premier livre que j'ai découvert de Dan Brown et je n'en suis pas déçu. Celui-ci traite et dénonce assez bien les failles liées à notre société et il nous fait prendre conscience de certain aspect politique très important.
Je recommanderais cette lecture.

Un roman intéressant !

C'est toujours plaisant de renouer avec Dan Brown et son personnage Robert Langdon, on en apprend beaucoup sur l'art, l'histoire et dans ce livre ci sur le poète Dante. Nouveaux voyages, nouvelles rencontres, nouvelles péripéties, j'aime beaucoup suivre Langdon dans ses aventures… Toutefois, j'ai trouvé ce roman moins prenant que les précédents. Peut être est-ce le thème qui m'a un peu refroidi, en effet, lire un bouquin qui parle d'épidémie mondiale alors que nous sommes actuellement en train de le vivre, ce n'était pas ce qu'il y avait de mieux je pense. J'ai quand même passé un agréable moment de lecture. Et maintenant que j'ai renouer avec le style de Dan Brown, je pense lire les prochains romans.

Robert Langdon est, dans cette nouvelle aventure, transformé en agent de liaison pour l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Son enquête le mène en Italie où il se réveille, amnésique, dans une chambre d'hôpital à Florence. Fausses pistes, rebondissements, des gentils méchants, des méchants gentils, bref, comme Dan Brown sait le faire. Ce roman permet de se pencher sur le thème de la surpopulation avec le soucis du détails. Car le véritable méchant de l'histoire souhaite stopper la surpopulation en rendant les Hommes stériles en lachant un virus qui se répend sur tout le globe. Ce virus modifie L ADN par sélection naturel, un tiers de la population sera non stérile. Et pour mener Robert, il s'est appuyé sur l'enfer de Dante. Robert découvre tout mais trop tard, le virus est laché, la population mondiale est devenue stérile.
Florence, Venise, Istambul. Sur ces trois villes où se succède l'action, Dan Brown nous offre un guide touristique, des descriptions à outrance souvent rendant la lecture indisgeste. le guide michelin prend le dessus du Da Vinci Code ou Anges et Démons. Certes une approche de Dante qui peut donner envie d'aller jeter un oeil à la Divine Comédie. Quant aux personnages, on reste dans la caricature à la Indiana Jones. Et d'après les commentaires, la fin rend le style un peu science-fiction. On a lu mieux de la part de Dan Brown

GROS COUP DE COEUR 

Robert Langdon se réveille dans un hôpital à Florence, celui-ci est amnésique; il ne se souvient pas des dernières 48 h. Tout comme lui, on ne possède aucune indication sur ces dernières heures. 
On découvre qu'il a en sa possession un objet très étrange que nombreux convoitent, il comprend très vite que sa vie est en danger tout comme la vie de l'ensemble des personnes sur Terre. 
Fuyant l'hôpital avec sa nouvelle coéquipière Sienna Brooks, ils vont parcourir Florence , les oeuvres de Dante et autres lieux magnifiques pour percer ce mystère qui risque d'impacter le monde entier. Mais bien sûr rien ne se passe comme prévu.
On en prend plein les yeux ! En 500 pages, j'ai voyagé à Florence, pourtant je n'y ai jamais mis un pied . Les descriptions sont telles que l'on s'y croit, on s'y voit! En plus de découvrir ce haut lieu touristique, on parcourt des multitudes de chefs d'oeuvres. L'immersion est totale.
On découvre aussi un homme hautement célèbre : Dante Alighieri et son oeuvre phare la Divine Comédie. Il a une place-phare dans l'intrigue, il en est même le fil conducteur. J'ai été ravie d'en apprendre plus sur son oeuvre les nombreuses explications qui en découlent sont nécessaires à la compréhension de la lecture et participent à notre culture générale.