Inferno

Robert Langdon est, dans cette nouvelle aventure, transformé en agent de liaison pour l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Son enquête le mène en Italie où il se réveille, amnésique, dans une chambre d'hôpital à Florence. Fausses pistes, rebondissements, des gentils méchants, des méchants gentils, bref, comme Dan Brown sait le faire. Ce roman permet de se pencher sur le thème de la surpopulation avec le soucis du détails. Car le véritable méchant de l'histoire souhaite stopper la surpopulation en rendant les Hommes stériles en lachant un virus qui se répend sur tout le globe. Ce virus modifie L ADN par sélection naturel, un tiers de la population sera non stérile. Et pour mener Robert, il s'est appuyé sur l'enfer de Dante. Robert découvre tout mais trop tard, le virus est laché, la population mondiale est devenue stérile.
Florence, Venise, Istambul. Sur ces trois villes où se succède l'action, Dan Brown nous offre un guide touristique, des descriptions à outrance souvent rendant la lecture indisgeste. le guide michelin prend le dessus du Da Vinci Code ou Anges et Démons. Certes une approche de Dante qui peut donner envie d'aller jeter un oeil à la Divine Comédie. Quant aux personnages, on reste dans la caricature à la Indiana Jones. Et d'après les commentaires, la fin rend le style un peu science-fiction. On a lu mieux de la part de Dan Brown