Inferno

Encore une fois, superbe livre de cet auteur.
Pourtant plus je lis de livre de cet auteur et plus je me rends compte qu' il y a de nombreux passages qui se répètent très souvent, sûrement pour que le lecteur n'oublie rien. Mais à force cela peut devenir redondant.
Heureusement l'intrigue reste bonne et le professeur Langdon est toujours aussi en forme pour de nouvelles aventures étonnantes

Un roman qui utilise les mêmes codes que ceux qui ont fait le succès de l'auteur.
On retrouve Robert Langdon, professeur d'histoire de l'art et de symbologie à l'université de Harvard.
Un même "jeu de piste" que dans les précédents romans (une symbolique en entraînant une autre)
Un enjeu planétaire, le Bien contre le Mal.
Une enquête haletante menant notre héros d'un bout à l'autre de la planète.

Inferno est le monde souterrain décrit par Dante Alighieri dans son poème épique; La Divine Comédie.
Une enquête menée tambour battant par Robert Langdon et Sienna Brooks (médecin de génie au passé trouble)
Florence (Italie), Venise et Istanbul comme toile de fond. Des villes à l'architecture et L Histoire riches.
On y croise Michel-Ange, Botticelli, les Médicis et Vasari.
Nos héros sur la piste de Bertrand Zobrist, biochimiste de génie et philosophe transhumaniste.
Un homme qui est convaincu que la pandémie est l'arme ultime pour lutter contre l'accroissement exponentiel de la population.
Une surpopulation qui ne peut mener qu'à l'anéantissement de l'humanité.
Une enquête haletante, un guide touristique de Forence, Venise et Istanbul, une intéressante réflexion sur le transhumanisme.
Une roman réussi qui se dévore.

Dan Brown sait tenir son lecteur en haleine de la première à la dernière page. Et nous retrouvons Dante qui nous raconte son voyage à travers l'enfer. A lire rapidement et pour ce qui préfère voire une toile il est sorti au cinéma.

Face à la très forte médiatisation sur le dernier livre de Dan Brown, j'ai succombé à la tentation et peu de temps après sa sortie officielle, me voici en train de le lire.
J'étais très enthousiaste au début mais finalement, je garde un avis mitigé où les points négatifs se sont accumulés au fur et à mesure des pages.
Mon premier reproche serait le contenu : on a souvent l'impression de lire plus un guide du Routard qu'un roman tellement il est truffé de descriptions banales sur des bâtiments célèbres de certaines villes. Sa façon de faire le professeur et d'expliquer - on pourrait presque dire vulgariser - certaines notions m'a agacé, comme si nous étions des ignares. En plus, ce système crée des longueurs dans le livre et noie l'intrigue sous une abondance de détails, de références et de chiffres où les sources sont souvent obscures. A prendre avec des pincettes du coup !
Et puis, je me suis sentie mal à l'aise face à cette "publicité" disséminée (intentionnellement ?) dans le livre: quel est l'utilité de mentionner autant de fois le moteur de recherche Google ? Ou faire l'éloge d'une application iphone? ou encore d'écrire "dans son vol Alitalia..."Ces références systématiques a des marques connues polluent énormément la lecture ! Si on commence à avoir de la publicité dans les romans contemporains, ce sera un havre de paix en moins et pour ma part, un retour immédiat et définitif vers les classiques.
Le schéma du livre ne diffère pas de ses précédents best-sellers et on a une sensation de déjà-vu : Robert Langdon entraîné dans une course contre la montre, une jeune et talentueuse demoiselle à ses côtés, plusieurs individus à ses trousses mais il en réchappe toujours in extremis grâce à ses connaissances culturelles. Bref, rien de très nouveau sous le soleil ! Quoiqu'il en soit, les intrigues se chevauchent et les retournements de situation sont multiples mais un peu prévisibles pour un lecteur aguerri.
Le style d'écriture est léger, facile et une fois qu'on laisse de côté les points négatifs, l'histoire reste prenante. Ce n'est pas un livre spectaculaire qui marquera le monde mais plutôt une lecture détente à l'approche de l'été !
Lien : http://leslecturesdehanta.co..

Dan Brown nous fait voyager en quelques heures entre Florence, Venise et Istanbul, grâce à l'énigme que doit résoudre Langdon. Il en profite pour nous faire visiter les incontournables, comme les recoins cachés. C'est presque un guide touristique. L'action est là, le suspense aussi, le thème de l'énigme est passionnant.
Mais (car il y a un mais), je suis décue par ces centaines de pages à lire. C'est très rare pour moi de ressentir cela, mais j'ai parfois eu l'impression que l'auteur a fait du remplissage, pour sortir un bon pavé (j'adore, ça tombe bien). J'ai eu la sensation de redites, de descriptions qui certes donnent envie de voyager, mais qui n'ont rien à faire et n'apportent pas grand chose à l'intrigue.
Plus grave, je me suis sentie écartée d'office du processus de déduction et de résolution de l'énigme. En effet, les éléments de l'enquête arrivent au fur et à mesure, sans que le lecteur puisse déduire ou tenter de deviner les choses, puisque rien n'est anticipé. Avec Langdon, c'est "bon sang, mais c'est bien sûr!" ! Cela lui rappelle ceci (dont il n'a jamais été question avant) et donc, il en déduit cela.
Les étapes de déduction m'ont paru aussi parfois trop détaillées. le lecteur n'est pas bête ! Il peut arriver à comprendre, sans forcément en venir à tout dire.
Bref. J'avoue que je n'ai pas pu m'empêcher d'aller jusqu'au bout, pour connaitre le fin mot de l'histoire, et puis, je suis curieuse et la thématique, vraiment dans l'ère du temps. Mais, le style me gêne. Pourtant, tous les ingrédients sont là pour réussir une belle enquête.

Ennuyeux, une trame identique aux autres bouquins de l'auteur. Bref, une grosse déception.

Comme d'habitude, on retrouve tous les ingrédients d'un bon Dan Brown avec beaucoup de suspense, une intrigue passionnante, des surprises. Sauf que c'est là que la bât blesse car à force de vouloir tout le temps surprendre son lecteur, Dan Brown, plonge parfois dans le grotesque (bon, je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler la fin du livre) et c'est dommage d'où mon 4/5 et non 5/5. En revanche, le point positif de ce livre, ce sont les descriptions des architectures, des oeuvres d'art (peinture et sculpture) et de la littérature dantesque : fan De La Renaissance italienne, je ne pouvais qu'adhérer. Bref, une bonne manière d'apprendre (ou de confirmer ses connaissances) tout en se faisant plaisir à cavaler de nouveau dans la ville de Florence en compagnie de Robert Langdon.

Un bon Dan Brown auquel j'aurais mis 5 étoiles s'il n'y avait pas eu ce petit "moins".

Comme toujours j'ai retrouvé une intrigue bien ficelée et ingénieuse qui ne laisse jamais paraître la vérité. On est sans cesse amené sur de fausses pistes, ce qui nous réserve bien des surprises ! le début d'Inferno diffère beaucoup des précédents romans avec ce cher Robert Langdon et c'est autant mieux ! Encore une fois les énigmes sont super-intéressantes, je ne m'en lasse pas. Les personnages sont énigmatiques à souhait pour mon bon plaisir. Mais alors pourquoi aie-je mis 4 étoiles plutôt que 5 étoiles à côtés de tous les autres Dan Brown ?
Il y a un point dans ma lecture qui m'a empêché d'apprécier l'histoire à sa juste valeur et ce point est la description. Il y en avait beaucoup trop. Dan Brown nous met des couches de paragraphes détaillants des lieux, des architectures n'ayant rien à voir avec l'intrigue. Parlant de monuments que Langdon "croise" seulement sur son chemin.
Certaines descriptions auraient pu être évitées et cela aurait favorisé l'histoire qui, comme dans les précédents tomes, se déroule sur quelques heures, les personnages menant une vraie course contre le temps. Et donc, ces descriptions ont, je pense, ralenti ce phénomène, m'obligeant parfois à lire plus vite les descriptions pour me concentrer sur l'intrigue que j'ai trouvée superbe comme à chaque fois !!

A tout les fervents amateurs de Dan Brown, n'hésitez pas à lire ce livre pour son ingéniosité et ces révélations plus que déroutantes. Même s'il m'a laissé une petite déception quant aux descriptions, le reste est, à mon goût, parfait !

C'est mon deuxième roman complet de DAN BROWN je n'avais lu que le début du Da Vinci code que j'ai vu évidemment en film et ensuite j'avais lu le symbole perdu que j'avais trouvé bon.
Ce que je trouve très agréable chez Dan Brown c'est qu'il arrive avec subtilité à nous intéressé à des éléments culturels sur lesquels on ne se serait pas penché en nous retraçant l'âme d'une ville et de ses monuments sur fond d'un policier et de suspens.
Personnellement je ne connais pas Dante ni ses oeuvres, encore moins Boticelli et suis très loin d'être une spécialiste dans tous ces domaines et ce que j'ai vraiment aimé c'est découvrir des oeuvres de ces artistes à travers les yeux de Brown. Me coucher moins bête le soir en somme.
Et puis parcourir en lecture les rues et les plus beaux monuments de Florence et Venise m'a replongé dans mes voyages dans ses villes et m'a totalement emporté. Il nous donne envie d'être ce Langdon qui connaît si bien toutes les oeuvres et ses symboles, il nous donne envie de parcourir les lieux cités dans ses livres.
Quant à l'histoire c'est du grand Dan Brown, le transhumanisme, une pandémie, des énigmes que seul résoud Langdon sans trop y convient le lecteur, tout un truc bien ficelé qui se lit bien et qui parfois se dévore sans parler de quelques lenteurs bien sûr.
J'ai trouvé les retournements de situation très bons, on est aussi paumé que le héro dans toute cette pagaille de poursuivants de bons ou mauvaises personnes.
En revanche quelque peu déçue de la fin.
L'idée de cette épidémie un peu spéciale est très bonne mais la rédemption de la petite chauve qui accède à l'OMS m'a un peu déçue, tant de retournements pour en arrivé à cette conclusion est un peu dommage.
Comme beaucoup d'écrivains que j'affectionne les idées sont tellement bonnes, novatrices et bien construites et la fin si peu travaillé et abrupte qu'on reste sur notre faim...

Suite au décevant « Symbole perdu », je n'avais pas envie d'acheter « Inferno », la nouvelle aventure du célèbre Robert Langdon héros fétiche de Dan Brown depuis le très célèbre et merveilleux Da Vinci Code. Heureusement une amie me l'a prêté, merci Marie !

Les endroits les plus sombres de l'enfer sont réservés aux indécis qui restent neutres en temps de crise morale.
Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard, se réveille en pleine nuit à l'hôpital. Désorienté, blessé à la tête, il n'a aucun souvenir des dernières trente-six heures. Pourquoi se retrouve-t-il à Florence ? D'où vient cet objet macabre que les médecins ont découvert dans ses affaires ? Quand son monde vire brutalement au cauchemar, Langdon va s'enfuir avec une jeune femme, Sienna Brooks. Rapidement, Langdon comprend qu'il est en possession d'un message codé créé par un éminent scientifique - un génie qui a voué sa vie à éviter la fin du monde, une obsession qui n'a d'égale que sa passion pour l'une des oeuvres de Dante Alighieri : le grand poème épique Inferno.
Pris dans une course contre la montre, Langdon et Sienna remontent le temps à travers un dédale de lieux mythiques, explorant passages dérobés et secrets anciens, pour retrouver l'ultime création du scientifique - véritable bombe à retardement - dont personne ne sait si elle va améliorer la vie sur terre ou la détruire.

Pas de grands changements dans ce nouveau roman : Langdon va être sollicité pour ses connaissances en symbologie, il va vivre une formidable aventure périlleuse au côté d'une jeune femme, il va parcourir une ville italienne de fond en comble et bien entendu résoudre les énigmes en s'aidant des oeuvres des artistes passés, de leurs pensées, de leurs écrits... On aime le style de Dan Brown pour ça, ne le nions pas….

Les nouveautés sont les suivantes : tout d'abord les premiers chapitres sont à couper le souffle puisqu'on se retrouve au milieu de l'enquête de Langdon et qu'on ne sait rien de ses premières recherches. Il se retrouve amnésique, paniqué, blessé à la tête et on vit son traumatisme à ses côtés. Pour nous tenir encore plus en haleine, il se fait carrément agresser à l'hôpital, dans sa chambre, on veut le tuer une seconde fois. C'est vraiment sympa de vivre son aventure dans le désordre finalement.
Heureusement pour lui (et pour nous), une médecin Sienna Brooks le sauve in extremis. Cette jeune femme est dotée d'une grande intelligence et à l'avantage d'être italienne et donc de connaître les monuments, les rues, les chefs d'oeuvre de Florence comme sa poche.
Florence est la ville que Dan Brown nous fait découvrir dans toute sa splendeur. Ses descriptions précises et subtiles nous mettent l'eau à la bouche et l'on a vraiment envie de prendre le roman avec nous et de visiter Florence à travers lui.
On évoque moins la religion dans cette aventure, on aborde davantage les sciences, la médecine, les problèmes sociaux, les maladies… La pensée du scientifique à l'origine de tous les maux de Langdon est d'ailleurs fortement intéressante puisque encrée dans notre présent. Elle est largement débattue dans ce roman selon différents points de vue et cela rend l'aventure d'autant plus réelle et palpitante.

Deux petites déceptions cependant, la pensée du scientifique est trop souvent rabâchée, ça en devient pénible à la longue et la fin de relation entre Robert et Sienna est trop évidente.