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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Pasdeloup habite « Vieux pays » à Goussainville, tout près des pistes de l'aéroport Charles de Gaulle, là où un avion s'est écrasé en juin 1973.

Un prénom étrange pour un homme qui l'est tout autant. Ses yeux vairons lui donnent un air ténébreux, fascinant et sauvage. Il règne en maître sur ce village et se montre le plus souvent grossier. Mais derrière cette façade il observe et sait reconnaître la détresse. Sans s'apitoyer, il se montre loyal et généreux envers ceux qui peuvent supporter sa brutalité. Pas vraiment méchant Pasdeloup.

L'auteur évoque par flashs le passé de cet homme bourru. Pour supporter ses blessures il a joué avec sa vie, comme pour défier la mort.

Un thriller qui nous embarque dans la noirceur du terrorisme. Mais Pasdeloup, l'ancien démineur, témoin des massacres au Rwanda, n'a pas peur des terroristes ni des dealers.

J'ai trouvé ce roman un peu trop caricatural. L'auteur s'éparpille parfois dans les bribes du passé. Certaines scènes n'étaient pas nécessaires à mon avis. Finalement on ne fait qu'effleurer à force de se disperser.
Mais j'ai aimé les petites pointes d'humour, la bonté cachée de Pasdeloup et certains personnages comme François le bouquiniste.

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Pour un premier roman, Jean-Pierre Rumeau fait preuve d'une belle singularité. le vieux pays est un roman noir aussi surprenant qu'inclassable.

Et quoi de mieux, pour accrocher le lecteur curieux, que de le plonger d'emblée dans un environnement surprenant ? Quelle idée magnifique que d'avoir localisé cette histoire dans la vieille ville de Goussainville, au bout des pistes de Roissy ! Un vieux pays bien réel, abandonné du fait de son emplacement et suite à un terrible crash avion au beau milieu de la ville. Allez voir sur internet, cette histoire folle est authentique.

L'auteur y a vu de quoi créer une atmosphère unique, autour des rares habitants de cette endroit mort. Lecteur ferré d'entrée.

Mais une idée, la meilleure soit-elle, ne suffit pas à faire un roman. Il faut une histoire prenante, des personnages forts et (si possible) une personnalité propre. Vous trouverez tous ces bons ingrédients dans ce premier roman.

Le moins que l'on puisse dire c'est que le protagoniste principal est un bonhomme à part. Comme le dit l'auteur, « il a perdu le nord et ne l'a jamais retrouvé ». Non pas qu'il n'ait plus toute sa tête, mais plutôt qu'il a perdu foi en l'homme et en la vie. Il est le sel de ce récit (le genre de sel qu'on verse sur les plaies).

Le roman de Jean-Pierre Rumeau est à l'image de son propre parcours de vie. Après ses études au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique, il se tourne vers le métier de cascadeur, tout en mettant en scène pour le théâtre ou le one-man show. Atypique mélange de genres, comme son roman.

Inclassable roman donc, blanc et noir (surtout noir), avec quelques passages introspectifs et d'autres qui s'apparentent au thriller. le tout mené avec une personnalité affirmée et une gouaille assez jubilatoire (l'auteur est fan de Frédéric Dard, et ne renie pas sa filiation). Même si j'ai trouvé un certain déséquilibre entre les passages, le roman ne se lâche pas.

C'est un livre inscrit dans notre monde, avec sa thématique tristement contemporaine en lien avec le terrorisme. Mais pas que… Il a aussi l'allure de ces vieux films qui prenaient soin de créer une vraie ambiance (d'ailleurs les références cinématographiques sont bien présentes tout au long de l'histoire).

Le vieux pays est un premier roman noir prenant, surprenant par son ton et son histoire. Singulier, vraiment. Jean-Pierre Rumeau est à suivre, assurément.
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Le vieux pays c'est celui de Goussainville qui vit sous le bruit assourdissant des décollages et atterrissages des avions de Roissy-Charles-de-Gaulle situé juste à côté. C'est un endroit qui a été majoritairement déserté suite à la construction de l'aéroport dans les années 60 et qui est donc devenu un village fantôme. Des maisons abandonnées, des fenêtres murées, des murs tagués, des dealers, des bagarres où règnent la haine et les affrontements dans les rues.

C'est sans compter Pasdeloup Meunier, un des habitants venu s'installer après la construction de l'aéroport. Et dès son arrivée, il va faire sensation auprès des squatters et va devenir le maître des lieux. Peu à peu dans le roman, nous obtenons des bribes de son passé et des explications sur son étrange comportement. Pasdeloup Meunier court jusqu'à avoir mal, il est vulgaire, volontairement méchant, apprécie de blesser les autres et ne compte que sur de rares « amis ». D'abord fils d'un père riche et étudiant, il fait une rencontre qui va le briser à jamais. Il devient alors démineur professionnel dans des pays dangereux, carrière dans laquelle il fera sensation…

Le roman est intéressant, on se prend au jeu mais il faut suivre les nombreux passages du passé du personnage. Les sauts dans le temps ne sont pas chronologiques et nous sont livrés en fonction des évènements présents de Pasdeloup. C'est assez déstabilisant au début. Il faut aussi compter sur des discours assez vulgaires et blessants. Et un monsieur qui fait apparemment tomber toutes les femmes jeunes ou âgées qu'il rencontre ce qui semble par moment un peu incohérent vu son comportement et répétitif…

L'auteur évoque des sujets variés, tant sur la désertion de villages français, ici dans le cas d'une construction d'un aéroport, avec la lutte de ses habitants pour redynamiser leur lieu de vie. Il aborde également les attentats et les terroristes, le racisme, les guerres de cités, la religion juive… C'est un roman assez plaisant sur la diversité des sujets et sur ces personnages spéciaux mais dont on finit par apprécié l'originalité. Je remercie la maison d'édition Albin Michel et Babelio pour cette découverte.
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Premier roman qui dépote.
Pasdeloup Meunier, démineur à la retraite, a comme qui dirait rendez-vous avec un vieux fantôme qui lui a fait perdre son âme plusieurs dizaines d'années plus tôt, pour empêcher l'atroce de se reproduire.

Bon... Pasdeloup est radical dans sa personnalité. Coeur de pierre dégoulinant de testostérone, il nous rappelle ce qu'est la virilité virile. Mais il est vrai que pour se confronter à la détermination de terroristes suicidaires, dans un bon thriller, c'est plus intéressant de mettre en scène un type comme lui. D'autant plus qu'il est doté d'un humour grinçant.

Bon... le suspense n'est pas fou. Mais il est vrai que la structure du roman, avec ses allers-retours dans le temps, nous faisant faire connaissance avec des personnages secondaires brut de décoffrage, ne laisse pas le temps ne serait-ce que de commencer à s'ennuyer.

Deux petits "Bon..." qui ne tiennent pas vraiment la route parce que le résultat, c'est que ça fonctionne.
J'ai été entraînée dans cette histoire à l'ambiance morose dans un décor dépouillé de toute beauté, du début à la fin.
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Étonnant personnage ce Pasdeloup Meunier. Taille moyenne. Mince et sec. Des cheveux très courts. Difficile de lui donner un âge (on apprend assez vite qu'il a la soixantaine bien tapée). Et surtout, un visage émacié, dur, une bouche méprisante et une vitalité animal qui émane de lui, une sorte d'obstination infatigable. Ses yeux sont surprenants. Veyron. le gauche marron foncé, presque noir, le droit gris pâle, donnant l'impression d'un oeil blanc.
C'est le personnage central du roman ; pas très sympathique, il faut bien le dire.
Pourtant, à mon avis, l'intérêt du thriller repose sur lui. Bien qu'il _ou peut-être parce qu'il_ est méprisant et hautain avec les gens qui l'entourent, il suscite l'intérêt du lecteur et donne envie d'en savoir davantage sur lui. En tout cas pour moi c'est comme ça que ça a fonctionné. Il est clair que son attitude cache quelque chose, des failles, des douleurs, des blessures, on ne sait pas mais on a envie de l'apprendre. Ce dont nous sommes sûrs c'est que ce ne sera pas léger, car même si Pasdeloup dit quelquefois des mots pour rire, c'est sans rire, car il ne rit pas souvent.
Je ne dirai rien bien sûr de l'intrigue du thriller car le plaisir est dans la lecture.
Merci à Albin Michel et à Babelio et surtout à Jean-Pierre Rumeau pour "Le Vieux Pays", son premier roman.
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Le vieux pays, c'est cette zone de Goussainville vouée à la démolition lorsqu'à la fin des années 60 on décide d'y construire l'aéroport de Roissy Charles de Gaule. Là, il reste quelques terrains vagues, une église, un cimetière et quelques maisons murées. Aujourd'hui, squatteurs et habitants ont investi les lieux ; l'un des plus emblématiques est Pasdeloup Meunier, un écorché vif qui a sévi longtemps sur les théâtres d'opérations extérieures comme démineur, l'un des meilleurs dans ce métier difficile.
Lorsqu'il vient au Vieux Pays c'est pour y rester tranquille, secondé par Maria qui vient chaque jour pour le ménage, ses voisins les bouquinistes, et restaurer l'église du village fantôme. Avec ses yeux vairons, c'est un homme qui fascine. Il règne en maître sur le Vieux pays, et son mauvais caractère éloigne les intrus. L'intrigue se déroule au fil des pages, des flash-back sur l'enfance et les années de déminage, le présent et l'adolescence, les amis perdus. Jusqu'au jour où il croise Antoine. Pasdeloup décide de l'aider.
Au Vieux pays, il y a aussi les dealers, Abdel, le féroce, l'ennemi, et Nuri, qui s'entraine chaque jour à des sports de combat et dont le comportement étrange interroge, Nuri et sa mère voilée.
Le Vieux Pays, ce sont aussi des rencontres et des amours, des âmes déchirées et des espoirs de jours meilleurs, une lutte sans merci contre le terrorisme et la haine, quels que soient le lieu et l'époque, avec des amis qui font preuve d'humanité dans les heures les plus sombres, on pense ne particulier au père de Pasdeloup et à son ami de toujours, Wolfgang… Un roman étonnant qui se lit d'une traite tant on a hâte de savoir et de comprendre. Un premier roman particulièrement réussi.

Lien : https://domiclire.wordpress...
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Un premier roman noir très original !

Le village de Goussainville a été condamné par l'ouverture de l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Situé au pied des pistes, le village est survolé par plusieurs centaines d'avions toutes les heures. Devenu village fantôme, seuls y vivent quelques marginaux, SDF, gens du voyages ou faune interlope. Il y a cependant dans ce village un homme qui a choisi de rester. Un ancien démineur de l'armée à la retraite, qui essaie de faire régner un semblant d'ordre dans ce village abandonné. On déteste de prime abord ce personnage, tant il est odieux avec tout le monde. Mais, de fils en aiguilles, on apprend à le connaître et à le comprendre. Il devient finalement attachant et émouvant. Ce personnage singulier est à la fois horripilant et profondément original, par son parcours et la façon dont on le découvre.

Jean-Pierre Rumeau signe là, en toute discrétion, l'un des romans noirs les plus original de l'année. Ce livre est injustement passé sous tous les radars médiatiques alors qu'il mérite beaucoup mieux ! N'hésitez pas à le découvrir !
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Le Vieux Pays est un roman surprenant, pas forcément par la trame qui sert de fil rouge - malheureusement encore et toujours d'actualité et presque banale – mais par le subtil et réussi mélange de plusieurs ingrédients.
Il y a tout d'abord des personnages forts qui, en un peu plus de 300 pages, laissent apparaître du fond. Il y a également des lieux, non moins forts : le vieux pays de Goussainville, sorte de village fantôme, devenu ce qu'il est du fait de sa trop grande proximité avec les pistes de l'aéroport Charles de Gaulle, prend littéralement vie au travers des pages, si près de Paris et pourtant si loin. Tout comme les kibboutzim évoqués ou encore quelques zones trop grises de la grande banlieue parisienne. Il y a une ambiance un peu lourde et sombre, autour de Pasdeloup Meunier, démineur retraité, israélien d'adoption et rentier qui, tentant de trouver une retraite dans le Vieux Pays, n'y trouve en fin de compte que toujours la même histoire qui se répète, encore et encore. Il y a enfin une écriture agréable et un roman qui se lit bien, si je peux dire, et qui donne comme une envie d'en savoir davantage. Merci à Babélio et aux éditions Albin Michel de m'avoir fait découvrir cet auteur, que je vous invite à découvrir vous aussi.
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“ - C'est un plaisir de vous rencontrer monsieur Meunier. Il semble que vous soyez la plus grande curiosité de ce coin qui pourtant n'en manque pas. ”


Monsieur Meunier alias Pasdeloup habite à Goussainville, un endroit qui se situe au bout des pistes de Roissy. Un étrange endroit que l'on appelle le vieux pays.




« J'ai trouvé ici un cercueil inhabité, le couvercle grand ouvert, et je m'y suis installé. Il y avait peu d'êtres vivants dans le voisinage, le lieu était selon mon coeur, inimaginable pour le commun des mortels. J'y ai créé un vieux pays qui n'appartient qu'à moi, avec mon passé, ma loi et mes frontières, avec mon cimetière et mes souterrains. »



Pasdeloup protège son territoire et en général personne n'ose se mettre en travers de son chemin.


“C'est comme vous voulez. Vous avez des yeux trop zarbi, ça donne pas envie de vous contrarier. ” 




Avec ses yeux vairons, il en a refroidi plus d'un. C'est pendant son service militaire qu'il devint cet être froid, dur, quelque peu insensible.

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“ (...) le fil qui reliait les neurones de son cerveau avait, brûlé jusqu'au bout et provoqué dans son crâne une gigantesque mise à feu, une explosion démentielle, brisant définitivement chez lui la peur de la mort, les barrières usuelles de la morale et, il faut bien le dire, une certaine forme d'humanité. Une bête sauvage. ”


Alors quand d'étranges coïncidences l'amènent à suspecter un complot terroriste, il part en croisade contre le mal pour ne pas perdre son lieu de villégiature entre autres.



“ (...) il faut être sage, poursuivre son chemin et relire un peu de cynique impérial, pour saluer cette nuit d'été et ces putains d'étoiles qui se foutent du malheur des hommes. "

Jean- Pierre nous offre un premier roman atypique et met en scène un personnage cynique, méprisant, caractériel dépourvu de tendresse mais capable de bienveillance. Un être plutôt original auquel on ne peut s'empêcher de s'attacher. 

Utiliser les vestiges de Goussainville est plutôt astucieux, un décor qui sied à merveille à cette histoire. 


De même que les faits réels mêlés à la fiction donnent à ce récit une authenticité et plongent le lecteur dans un univers très réaliste. 

L'auteur fait une entrée remarquable tant par son style que par son histoire. le vieux pays et ses fantômes marquent la naissance de cet auteur qui nous fait cadeau d' un premier roman très réussi. 



Je remercie Babelio et les Éditions Albin Michel pour m'avoir permis de découvrir ce roman plein de surprises. 

Lien : https://dealerdelignes.wordp..
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Merci aux éditions Albin Michel et à Babélio de m'avoir permis de découvrir ce livre, que je n'aurai pas eut l'idée de lire.
C'est un roman qui fait découvrir un vieux pays, celui de Goussainville, dans le Val d'Oise en banlieue Parisienne qui a eu le malheur de se trouver sous les décollages de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulles. C'est un endroit qui a été petit à petit abandonné suite à la construction de cet aéroport dans les années 70 et qui depuis 1974, est devenu un village mort. Enfin presque ! Puisque c'est là 20 ans après, que choisi d'habiter Pasdeloup Meunier, un homme d'environ 60 ans, sportif, solitaire, dont les relations, sont celles de son entourage proche, c'est-à-dire, des marginaux, notamment des libraires, François et Catherine qui lancent la mode d'une librairie, gratuite et sponsorisée. Ainsi que des femmes, Maria, qui s'occupe de son intendance, France qui fait son taxi, et un peu plus. Il y a aussi d'autres personnages, comme cet Antoine, plongeur, acrobate un peu raté qu'il prend sous son aile, pour le former à la dure. Car ce Pasdeloup, et un dur, il a participé à des conflits en Irak, et dans ces pays ou la guerre éclatait régulièrement, il est devenu démineur de talent avec son ami douze, qu'il a vu mourir sous ses yeux.
On apprend aussi par des retours en arrière qu'il a eu une famille puisque son père Albert, Notaire, lui a légué une fortune, qui lui permit de ne pas être dans le besoin tout au long de sa vie. Sa mère Élisabeth, avait disparue alors, qu'il avait 10 ans. Son père avait connu pendant la guerre, en Allemagne où il atterrit en catastrophe, une famille Muller, allemande, qui l'a recueilli. Des liens sont nés entre eux. Si bien que Wolfgang devînt le parrain de pasdeloup. Ce Wolfgang, devenu Zéèv, parti en Israël, dans un kibboutz afin de se convertir au judaïsme et pratiquer cette religion.


Quand Pasdeloup arrive au « vieux pays », il répare l'église, en se moquant des autorisations communales et autres, bref, il s'accapare un lieu qu'il est presque le seul à parcourir.
On apprend au fil des pages son passé, de baroudeur, de solitaire, de casse-cou dans ces conflits guerriers où il se sent bien. Il s'est forgé un caractère qui rejailli sur sa vie, qui a été brisée en juin 1973, lors du crash du Tupolev 144, au cours du Salon du Bourget, et le souvenir de Jeanne, sa petite amie à cette époque disparue avec sa famille dans cet atroce accident qu'il a évité de justesse, le poursuivra très longtemps.

On apprend comment il a côtoyé l'horreur et s'est forgé un mental hors du commun. Tout cela lui permet de s'exprimer comme il veut, en étant cru, provocateur, misogyne parfois, bref, il ne mâche pas ses mots.
Puis, sa détermination à empêcher que le pire ne se reproduise une nouvelle fois.

J'ai bien aimé la première partie de ce roman, quand on allait à la découverte de la vie du lieu et du personnage, mais la seconde partie, ne m'a pas plu, car selon moi, le mélange des religions en cause aboutit à de la haine, de la violence et démontre que ce n'est pas chose facile que de faire cohabiter ensemble des personnes différentes.
Ce n'est pas mon goût. La médiatisation de ce que certains souhaitent et qui n'est pas partagé par une majorité, me déplaît, je ne veux pas être jeté dans un nouveau monde qui n'a pas été le mien. Donc, je n'aime pas lire des détails sur des batailles entre gens de religions différentes qui s'affrontent au nom d'idéologies qui, selon moi sont d'une stupidité sans nom. La terre est assez grande pour que chacun vive chez soi selon ses coutumes et ses habitudes, sans que l'on bouscule ceux qui ne souhaitent pas de mélange. Ce n'est que mon avis.
Ce n'est aussi qu'un roman...
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