La vie est facile, ne t'inquiète pas

Comme certains lecteurs, je suis déçue… Avec une telle note je m'attendais à un chef-d'oeuvre ! Ce roman est d'une lecture agréable , il se lit facilement, rapidement, le stéréotype du « page turner ». Mais je suis convaincue qu'il passera rapidement dans les tiroirs de l'oubli ( les miens en tous cas).Trop facile justement, trop attendu. Comme l'on dit d'autres Babelio's ça pourra faire une gentille série télé (que je ne regarderai pas).
Pourtant tous les ingrédients sont là pour en faire une très belle histoire. (Je pense d'ailleurs que c'est la raison pour laquelle ce roman a autant de succès). On ne peut pas rester indifférent à la peine de Diane, doublement veuve de son mari et de sa fille.
C'est donc l'histoire d'un deuil,d'une reconstruction.Avec des figures masculines qui gravitent autour de Diane. L'ami homosexuel, l'amoureux transi, l'homme ténébreux et taiseux...très très stéréotypés et pas vraiment exploités , avec des dialogues un peu faciles.
Non vraiment je ne suis pas convaincue, je ne suis pas sûre de revenir vite vers cette autrice, ou sinon avec la simple ambition de me reposer et de me distraire. Et ça il faut reconnaître que Agnès Martin Lugan le fait très bien (ce qui explique ma note de 3).

Lecture légère, c'est la suite de "Les gens heureux lisent et boivent du café". Toujours peu crédible, quelques longueurs mais se laisse lire. Quelques moments où l'auteure a su faire passer quelques émotions.

Suite de « Les gens heureux lisent et boivent des cafés », on comprend dès lors que l'auteure utilise le même filon qui fonctionne semble-t-il depuis son 1er roman. Un titre à rallonge un peu accrocheur (mais ça c'est la mode en ce moment). Pas de surprise dans l'écriture : Simple. Facile. Alors il faut le prendre comme tel : un petit roman pour se détendre, sans se prendre la tête.

Il s'agit là de la suite de"Les gens heureux lisent et boivent du café" que j'avais adoré. On retrouve donc Diane à Paris dans son café littéraire, elle est enfin heureuse, surtout qu'elle vient de rencontrer Olivier, l'homme parfait. Oui mais voilà, Edward est à Paris et elle le retrouve par hasard ! le passé qu'elle voulait fuir lui revient en pleine face.
Une lecture agréable mais que j'ai moins aimé que la "les gens heureux", il y a moins de surprise et les personnages m'ont parfois énervée.

J'avais envie de redonner une chance au premier tome Les Gens heureux lisent et boivent du café qui m'avait laissée sur une impression mitigée à cause de la prévisibilité de l'histoire, et surtout, son goût d'inachevé.

Dans ce deuxième tome, nous assistons à la reconstruction de Diane suite au deuil de son mari et de sa fille. Cette quête d'identité est permise grâce aux premières aventures de l'héroïne qui se sont accompagnées de nombreux doutes et de décisions importantes. Ici, j'ai apprécié retrouver Diane : elle semble avoir évolué et est plus déterminée. En essayant de reprendre en main son quotidien et de lancer son café littéraire, elle rencontre un autre homme.

Ce tournant de l'histoire aurait pu être intéressant mais le cliché et la prévisibilité ont repris le dessus : comme par hasard, Diane tombe sur Edward, l'homme qu'elle avait rencontré dans le tome précédent. A partir de là, un jeu du chat et de la souris commence. Ce n'est pas ce que j'ai le plus apprécié puisque je n'avais déjà pas accroché à ce personnage.

Même si ce roman est une suite intéressante car j'étais un peu restée sur ma faim, il n'en reste qu'on n'avance pas beaucoup plus. Heureusement, l'écriture est toujours aussi fluide et pleine d'émotions ! C'est un livre à dévorer en une ou deux journées.

En bref, ce roman est une suite agréable bien que prévisible. Il concerne non plus seulement le deuil mais aussi l'acceptation du bonheur. C'est un joli fragment de réalité qui contient cependant quelques longueurs…
Lien : http://phebusa.fr/la-vie-est..

Diane est de retour en France et plus particulièrement dans son café / librairie parisien.
Après le terrible accident ayant entraîné le décès de son mari et de leur fille, après sa désillusion amoureuse Irlandaise, la voici conquise par Olivier, kiné de profession et arrivé depuis 3 semaines.
Et c'est reparti pour un assemblage de clichés, à qui tiendra la plus grosse ficelle.
Olivier, homme tellement attentionné et préventif (il n'a évidemment aucune chance).
Félix, homo aimant faire la fête tous les jours mais pas autant que les ébats endiablés avec des partenaires différents.
Abby et Jack, les retraités que tout le monde voudraient avoir comme parents, grand-parents ou voisin (et quand un meurt, notre coeur est dévasté).
Diane, dénigrée par ses parents, une vie sentimentale proche du néant et un conflit cérébral perpétuel qui l'oblige à l'auto-flagellation.
Declan, l'enfant qui a connu sa mère, qui se savait mourante, atteinte d'une maladie incurable mais qui a retrouvé le géniteur afin qu'il élève leur fils, et qui propose à une femme dont il ne connaît rien de venir vivre chez eux.
Et enfin le meilleur pour la fin, le ténébreux Edward, bagarreur au caractère bien trempé, solitaire, fumeur à faire pâlir les pompiers, adorant l'alcool plus que la moyenne, limite propre sur lui, adorant la vitesse.... un homme charmant qui bien sûr fera succomber notre héroïne.
Bref, un moment de lecture rapide qui ne laissera aucun souvenir.

Aujourd'hui, je viens vous parler de la vie est facile ne t'inquiète pas d'Agnès Martin Lugand que j'ai lu en lecture commune avec @la_biblio_de_co. Il s'agit de la suite des gens heureux lisent et boivent du café.

Résumé :
"Alors que j'étais inconsolable, il m'avait mise sur le chemin du deuil de mon mari. J'avais fini par me sentir libérée de lui aussi. J'étais prête à m'ouvrir aux autres."
Depuis un an que Diane est rentrée d'Irlande, elle a tourné la page sur son histoire tumultueuse avec Edward, bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l'aide de Félix, elle s'est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire.
C'est là, aux "Gens heureux lisent et boivent du café", son havre de paix, qu'elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné, et surtout il comprend son refus d'être mère à nouveau. Car Diane sait qu'elle ne se remettra jamais de la perte de sa fille.
Pourtant, un événement inattendu va venir tout bouleverser : les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé, vont s'effondrer les unes après les autres.
Aura-t-elle le courage d'affronter un autre chemin ?

C'est le troisième livre que je lis de l'auteure et je crois que je vais m'arrêter là. Ce n'est clairement pas pour moi. le roman se lit très facilement mais je trouve que tout est tellement prévisible et un peu "niais" 😅
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages que j'ai trouvé beaucoup trop clichés. Qui de l'homme gentil contre l'homme bourru va l'emporter ?

Cela reste une lecture agréable et rapide mais qui ne restera pas gravé dans ma mémoire. Cela m'aura permis de lire quelque chose de "léger" après mes lectures difficiles.

Vous l'avez lu ? Il vous tente ?

Je dois avouer que j'ai nettement plus apprécié ce deuxième tome que le premier, que j'ai trouvé "too much", trop prévisible, trop romancé. Dans cette suite, on retrouve Diane à Paris, seule, aux commandes de son café. Sauf qu'un évènement (in)attendu va la ramener en Irlande. On l'a tous vu venir, celle-là ! Et qui dit Irlande, dit Edward... Evidement ! Bon, même si ce tome reste très prévisible (je pense qu'on sait tous comment cette histoire va finir), la lecture est quand même plus sympa, moins romancé, moins stéréotypée.

Du fait que le livre est très court, je trouve parfois qu'il est un peu bâclé. Quand Diane revient en Irlande, la famille d'Edward la nomme "notre deuxième fille" et je trouve que c'est légèrement excessif... Certains dialogues sont vraiment trop "faciles" et ne pourrait pas se produire dans la vraie vie, dans cette situation. C'est mon seul regret, et sans ce point-là, ce deuxième tome aurait été pas mal du tout. du coup, ce n'est pas une déception, mais pas un coup de coeur non plus. Malheureusement, ces deux livres feront parties de ceux que je vais oublier assez vite... On ne peut pas tout aimer !

J'ai apprécié le récit de cette femme qui retourne vers ses origines . La lecture est simple et fluide . C'était reposant . Merci.

Voici donc le troisième roman que je lis de cette auteure. Malheureusement pour moi, je ne parviens pas à être sensible à sa plume.
Nous retrouvons Diane, découverte dans "Les gens heureux lisent et boivent du café" un an après son retour d'Irlande. Elle a repris sa vie en main, elle est prête à rencontrer un homme (et là on se demande franchement quelle mouche l'a piquée en Irlande…).
Elle finit par tomber sur une perle (un rien niais quand même) dont elle semble amoureuse. le malheur s'abat à nouveau sur elle lorsque Abby tombe malade. Abby est la dame qui lui a loué le cottage en Irlande pendant de nombreux mois. Visiblement, elles se sont tellement liées d'amitié que Diane est considérée comme un membre de la famille. La jeune femme ne se remet pas de l'annonce de la maladie de sa mère de substitution. Elle retourne donc en Irlande, retrouve Edward et c'est là que les emmerdes commencent…
J'ai trouvé ce roman très niais et cul-cul. Pour moi, il sonnait faux du début à la fin:
- Olivier est beaucoup trop parfait et tellement compréhensif que c'est à peine plausible.
- L'histoire d'amour entre Edward et Diane soi-disant impossible ne m'a pas paru réelle pour deux sous ! Pourquoi serait-elle impossible ? Ils en font tout un fromage alors qu'en fait c'est extrêmement simple ! Bref, encore une fois, pas plausible pour moi.
- le fait que Diane soit aimée autant que le sont Edward et sa soeur par Abby est encore une fois une aberration. Qu'elle ait de l'amitié pour Diane, je veux bien, mais de là à la considérer comme sa seconde fille ? Alors qu'elles se connaissent à peine ? C'est le monde des Bisounours….
Sans parler du fait que Diane et Edward fument toujours autant, ce qui me donne une désagréable sensation d'odeur de cigarette continuellement présente à mes côtés.
En résumé, je pense que ce roman peut plaire à beaucoup de gens car il est fluide et très facile à lire. le lecteur plonge facilement dans l'histoire.
Par contre, pour moi, le fond m'a beaucoup dérangé. Clairement, les histoires de Agnès Martin-Lugand ne sont pas faites pour moi.