La vie est facile, ne t'inquiète pas

Bon je viens de parcourir les quelques critiques déjà publiées et force m'est de constater que je vais être la première à émettre un avis plutôt négatif (et Dieu sait que je n'aime pas ça !). Parfois je reste sidérée par l'écart entre ce que j'ai pu ressentir à la lecture d'un livre et ce que d'autres ont pu ressentir. Comme quoi, les mots et les impressions qu'ils laissent sont bien subjectifs
Alors moi aussi j'avais lu le premier opus, que j'avais plutôt aimé (si je me souviens bien, même s'il ne m'avait pas non plus transcendée). Et j'avais lu son deuxième roman « Entre mes mains… » qui m'était d'ailleurs tombé des mains.
Donc pour résumer, ne voulant pas rester sur une mauvaise impression et ayant plutôt aimé « Les gens heureux », je me suis lancé dans sa suite… Et là, badaboum… alors certes, ce roman d'Agnès Martin-Lugand se lit d'une traite, très facilement (parfait pour les transports), il n'est pas aussi gnangnan que le précédent mais tout est encore cousu de fil blanc, bien construit certes mais on voit trop la trame, malheureusement. Les personnages sont et restent des personnages auxquels je n'arrive pas à m'attacher. Les situations sont hyper convenues et il n'est pas difficile d'anticiper sur le récit (c'est typiquement ce qu'on appelle cousu de fil blanc !).
Bon je crois que le problème, c'est que je venais de refermer « Bertrand et Lola », alors forcément le grand écart, parfois ça fait mal et ça ne pardonne pas !
D'ailleurs, pour moi, le 1er signe qui ne trompe pas quand je lis un livre, c'est lorsque je n'ai envie de recopier aucune phrase, ça ne présage rien de bon… et là malheureusement pas une petite phrase n'aura retenu mon attention au point d'avoir envie de la citer.

à force d'entendre parler de ces romans aux jolis titres, je me suis décidée. Comment dire? le titre est joli. La photo de couverture, pourquoi pas. C'est déjà bien. L'avantage? c'est (involontairement) drôle, tant le scénario (parler d'intrigue dans ce cas me semble relever d'une ambition démesurée) est prévisible, les personnages stéréotypés, les dialogues bien lisses, bien rédigés comme-au-collège. Tout y est: le cours illustré sur les phases du deuil, la résilience, l'amour (le-coup-de foudre-qu'on-n'avait-pas-prévu, enfin, si, le lecteur, s'il ne l'a pas prévu, il a du manquer un épisode), l'Irlande (il pleut et il fait du vent, c'est pas une surprise, ça?). Et c'est fade, et c'est bourré de clichés et c'est dégoulinant de guimauve (je l'entends déjà la bande originale de l'adaptation ciné qui ne manquera pas). Encore une fois, la couverture ne fait pas davantage le livre que l'habit le moine.

Retrouvailles avec Diane dans cette suite de "Les gens heureux lisent et boivent du café". La jeune femme est rentrée d'Irlande. Elle souhaite reconstruire sa vie à Paris, après son aventure avec Edward. Félix, son meilleur ami, la soutient la reprise en main de son café littéraire. Elle fait la connaissance d'Olivier, patient, doux, attentionné, et qui comprend son refus d'être mère à nouveau. Ils sont sur le point d'emménager ensemble quand Diane apprend qu'Abby, la propriétaire du cottage qu'elle louait en Irlande et dont elle était très proche, est très malade. Elle décide de retourner à Mulranny pour lui dire au revoir. Elle va évidemment croiser Edward...

Olivier est trop gentil… et Edward toujours aussi ténébreux, le bad boy dans toute sa splendeur… Dans le coeur de Diane, on devine très vite lequel va l'emporter. Mêmes remarques que pour l'opus précédent, et une certaine lassitude à lire les aventures sentimentales de ces personnages qui fument comme des sapeurs et boivent comme des soudards.

Lien : http://www.usine-a-paroles.f..

J'ai lu le premier avec peine, mais comme j'avais acheté les deux en même temps (grossière erreur), je me suis sentie obligée de lire celui-ci.
Et bien, je n'ai pas réussi à rentrer dedans, le trouvant encore pire que le premier. J'ai fini par survoler le reste du livre, pour au moins connaître la fin. Et heureusement que je n'ai pas perdu de temps à le lire correctement, ce que j'ai découvert ne m'a même pas surprise. En général, je ne suis pas dérangée quand un auteur utilise des clichés, surtout quand c'est un parti pris, mais là...trop c'est trop.

je m'étais dite que je n'en lirais pas un autre...et voilà, sans aucun autre livre sous la main, j'ai lu à nouveau un roman de Mme Martin-Lugand...
Je n'ai pas changé d'avis depuis ma lecture "A la lumière du Petit matin".
C'est gentillet..mais tant d'autres auteurs plus tanlentueux mériteraient son succès.

Si le premier tome etait deja assez "fleur bleu" celui ci est carrément digne d'un mauvais livre de la collection Arlequin.

Je n'ai toujours pas compris, les raisons du succès de Martin-Lugand. Roman à l'eau de rose...très décevant.

D'habitude je fais confiance à Babelio
Au delà de 4/5 on a peu de chance d'avoir un «nanar » mais alors là quelle niaiserie.
Non seulement l'intrigue est nulle mais le style (si tant est qu'il y en ait un ) est affligeant.
Que de poncifs,de lieux communs, de clichés archi usés. Aucune émotion dans les moments de deuil.
Les scènes avec Declan sonnent faux. Bref pour moi un ratage total que je me suis forcé à finir bloqué dans une chambre d'hôpital. Inutile de vous dire que ça ne m'a pas remonté le moral !

J'aborde ce livre sans avoir lu le précédent "les gens heureux lisent et boivent du café ", il est vrai que cela n'est pas gênant.
J'ai été très convaincu par cette histoire mais, hélas, cela n'a duré qu'environ 100 pages. le recit veut absolument nous conduire vers le triste, le sombre,.....
Je me suis ennuyé, trop lourd, trop prévisible et somme toute, assez banal.
En bref, des larmes, de l'alcool "beaucoup", du café et des clopesssss.
J'adhère pas.

Un livre lu deux fois! Pas parce qu'il ma plu... Parce que la première lecture ne l'avait laissé aucun souvenirs.... La seconde ne m'en laissera pas beaucoup non plus. Une histoire fade de femme éreintée par la vie (elle a perdu son mari et sa fille dans un accident) qui retrouve le goût des choses grâce à une famille irlandaise