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Bernard FRED (Autre)
EAN : 9782810208104
128 pages
Rue de Sèvres (31/03/2021)
4.17/5   243 notes
Résumé :
«J'ai écrit ce livre en hommage à ma grand-mère maternelle, Idiss. Il ne prétend être ni une biographie, ni une étude de la condition des immigrés juifs de l'Empire russe venus à Paris avant 1914. Il est simplement le récit d'une destinée singulière à laquelle j'ai souvent rêvé. Puisse-t-il être aussi, au-delà du temps écoulé, un témoignage d'amour de son petit-fils.» Robert Badinter.

Richard Malka et Fred Bernard s'emparent de ce récit poignant et i... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (56) Voir plus Ajouter une critique
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Adaptant Idiss, le livre que Robert Badinter a consacré à sa grand-mère, Richard Malka, pour le scénario, et Fred Bernard, pour les dessins, ont réussi un bel et émouvant album graphique.
Avec des dessins d'une délicatesse égale à leur beauté, cette histoire débute en Bessarabie, province ottomane conquise en 1812 par la Russie. Cela correspond à peu près, aujourd'hui, au territoire de la Moldavie. de nombreux Juifs s'y étaient réfugiés mais, à partir de 1840, la haine et l'antisémitisme les rattrapent.
Idiss est née en 1863. Elle vit dans un shtetel, village juif d'Europe centrale, et s'occupe de ses enfants pendant que Schulim se bat pour tsar.
Puisque je cite le mot shtetel, je dois féliciter Richard Malka pour ses notes de bas de page afin de donner la signification exacte des mots en yiddish comme goys, Bar-mitsva, pogroms, leiker (gâteau juif traditionnel, sorte de tarte au citron). Ceci, sans en abuser, bien sûr.
Les anecdotes sont révélatrices quant aux conditions de vie difficiles, surtout en l'absence du père qui revient enfin, cinq ans après. de ces retrouvailles naît une petite Chifra, en 1899, petite soeur d'Avroum et de Naftoul.
Si Schulim se met à travailler comme tailleur, il a, hélas, pris goût au jeu et perd beaucoup d'argent. Quand éclatent les premiers pogroms - explosions de violence, de pillages, de massacres en Russie, contre les Juifs, avec la complicité des autorités - on commence à parler de départ. Mais où : à Chicago, en Palestine, en France ?
C'est vers notre pays que les deux aînés partent. Idiss ne veut pas quitter son village mais un événement précipite le départ. Kichinev, Timisoara, Budapest, Vienne sont les étapes du parcours d'Idiss, Schulim et Chifra. Grâce à une organisation juive, les voilà à Paris. Idiss ne sait ni lire, ni écrire, ne parle que yiddish mais déborde d'affection pour ses enfants et compte toujours sur ses prières…
À l'école de la République, Chifra devient Charlotte et c'est elle qui, en 1928, donne naissance à Robert, après avoir épousé Simon Badinter.
La BD conte avec beaucoup de tendresse la vie de cette famille qui voit Schulim mourir à 56 ans d'un cancer de l'estomac pendant que le nazisme gagne du terrain en Allemagne.
Simon et Charlotte se sont mariés le 7 juin 1923, à Paris, et leur premier fils, Claude, est né en 1925. Simon réussit dans le commerce de la fourrure et la famille est aisée. Elle fait partie de la bourgeoisie juive de la capitale.
Léon Blum donne beaucoup d'espoir mais la bête immonde s'affirme de plus en plus. En mai 1940, la Belgique est envahie et les réfugiés affluent. La famille Badinter, avec Idiss, se replie sur Nantes puis revient à Paris où humiliations et privations augmentent. Idiss souffre à son tour d'un cancer de l'estomac.
Les commerces juifs sont liquidés. le 14 mai 1941, 6 000 juifs étrangers sont raflés et internés. Comme Idiss est très malade et ne peut plus se déplacer, partir en zone libre est un vrai déchirement pour tous. Elle s'éteint le 19 avril 1942 et elle est enterrée à Bagneux, à côté de Schulim. Quant à Naftoul Rosenberg, il est dénoncé, arrêté, déporté à Auschwitz en 1942, dont il ne revient pas.
La mère de Simon Badinter est raflée par la police française le 24 septembre 1942 et, à 79 ans, meurt dans le convoi qui la conduit à Auschwitz-Birkenau.
Avroum Rosenberg, arrêté à Lyon en 1943, reste interné à Drancy jusqu'à la Libération. Enfin, Simon Badinter, le père De Robert, est arrêté le 9 février 1943 à Lyon, déporté à Sobibor, en Pologne, dont il n'est pas revenu.
Si j'ai tenu à noter le sort de ces quelques membres de la famille Badinter, c'est pour concrétiser ces quelques vies brisées par la barbarie nazie, avec la complicité du régime de Vichy, et penser à toutes celles et à tous ceux qui ont subi le même sort.
Un beau portrait de la grand-mère de Robert Badinter orne une page de ce superbe album recommandé à partir de douze ans et que la lecture de Idiss, biographie écrite par son petit-fils, ne peut que compléter.

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Richard Malka, scénariste et Fred Bernard, dessinateur et coloriste ont repris le récit que Robert Badinter avait écrit sur sa grand-mère maternelle Idiss et l'ont adapté en bande dessinée.
Nous faisons connaissance avec la jeune Idiss, en 1890, alors qu'elle vit dans un village juif en Bessarabie, ancienne province ottomane au bord de la mer noire devenue russe. Elle attend le retour de son mari, parti se battre pour le tsar. Elle tente avec peine de subvenir aux besoins de ses deux enfants et de ses beaux-parents. Quand son époux Schulim revient du front après 5 ans d'absence, c'est le bonheur des retrouvailles et un an plus tard naît la petite Chifra.
L'antisémitisme et les premiers pogroms contre la communauté juive poussent bientôt les gens à fuir. Et quand Schulim, poussé par la passion du jeu, se laisse entraîner dans une partie et perd 200 roubles, la seule solution possible est de vendre les biens de la famille pour rembourser la dette et d'émigrer vers ce pays qui accueille des milliers d'autres réfugiés d'Europe centrale : la France. En 1912, ils s'installent donc à Paris dans le quartier populaire du Marais et développent une activité de confection. « Les mois passèrent, Idiss s'adapta à son nouveau monde et la Bessarabie s'éloigna. L'essentiel restait sa famille. »
Chifra, la fille d'Idiss, va rencontrer et tomber amoureuse de Simon Badinter venu d'un village voisin du sien qui avait choisi lui aussi d'immigrer en France, avait débarqué à Marseille et avait rejoint Nancy et son université pour des études commerciales. « Il rêvait de socialisme, de laïcité, et vénérait Victor Hugo. » Ils auront deux enfants Claude en 1925 et Robert en 1928 chéris par leurs parents et leur grand-mère Idiss.
Ces années s'annonçaient pleines de promesses et de bonheur mais dès 1935, avec le 7e congrès du NSDAP au cours duquel Hitler annonce une « loi de protection du sang et de l'honneur allemands » prévoyant l'interdiction de tout mariage entre Juifs et citoyens de sang allemand, les choses basculent et peu à peu, la guerre semble inévitable.
Ce récit est donc un formidable hommage que rend Robert Badinter à sa grand-mère maternelle Idiss, Robert Badinter, ce grand homme du vingtième siècle à qui l'on doit entre autre l'abolition de la peine de mort.
Mais cette épopée, cette tragédie familiale, si elle est une biographie retraçant les origines familiales et la vie de Robert Badinter est aussi un formidable document sur cette période noire de l'histoire européenne et un véritable appel à la vigilance envers l'antisémitisme et toute dérive xénophobe, cette haine abjecte n'ayant malheureusement pas disparue.
L'album rend compte à la fois de la tendresse, de l'amour que partagent les différents personnages, de la droiture dont ils font preuve, de la chaleur qui règne dans cette famille, de la confiance qu'ils ont envers ce pays, la France, cette république laïque qui protège tout un chacun et par ailleurs des affres de la guerre, de l'Occupation, des lois anti-juives, de l'abomination de la Shoah.



Richard Malka, homme de conviction, avocat, connu notamment pour être le défenseur de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, scénariste de bandes dessinées et romancier réussit par ses dialogues vivants et pleins d'émotion à nous faire vivre au plus près de ses personnages, sans pour autant omettre d'inclure quelques narrations historiques pour décrire l'époque.
Quant à Fred Bernard, l'illustrateur, la douceur de son trait et les couleurs tout aussi douces de ses dessins donnent à cet album, il me semble, toute la chaleur et la tendresse que porte Robert Badinter à sa grand-mère, ces teintes pastel apportant également une touche d'apaisement à la noirceur des événements traversés.
En fin d'ouvrage, sont par ailleurs présentées sur trois pages, les lois et décrets du gouvernement de Vichy concernant le droit antisémite et xénophobe en France pendant la seconde guerre mondiale.
Idiss est une histoire personnelle, certes, mais également l'histoire représentative du destin de milliers de Juifs de l'époque.
Je n'ai plus qu'une envie, celle de lire maintenant le livre éponyme de Robert Badinter dont se sont inspirés Richard Malka et Fred Bernard.
Idiss, cette magnifique bande dessinée est à mettre entre toutes les mains dès 12 ans.

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J'ai découvert, grâce à Babelio, que Robert Badinter avait écrit un livre en hommage à sa grand-mère. Ce livre Idiss a été adapté en bande dessinée et c'est par ce biais que je fais connaissance avec la famille de Robert Badinter.
Un premier mot sur le graphisme que j'apprécie beaucoup. Chaque planche fourmille de détails, c'est très coloré et un peu enfantin. Il a été demandé par Robert Badinter de ne pas représenter avec exactitude les visages de sa famille car il a la volonté que cette histoire ait une portée universelle. C'est aussi un rappel du danger bien réel qui existe face aux dérives xénophobe et antisémite.
Fred Bernard illustre avec beaucoup de détails et des traits doux le texte de Richard Malka qui nous relate comment la famille de Robert Badinter a vécu cette période bien sombre de l'Histoire. Je n'ai pas lu le livre éponyme de Robert Badinter je ne sais donc pas si cet album lui est fidèle mais le petit mot de remerciement en exergue laisse penser que l'album reflète bien le message souhaité.
Idiss, la grand-mère de Robert Badinter serait certainement satisfaite de voir cet album lui rendre hommage et serait sans aucun doute fière de sa famille qui a su rester liée , unie et aimante malgré toutes les tragédies.
Très bel album qui me donne envie de faire plus ample connaissance avec Idiss et sa descendance en lisant maintenant le le livre de Robert Badinter.
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C'est toujours, pour nous lecteurs, une excellente idée quand des scénaristes de roman graphique s'emparent d'un roman. Les dessins fournis et colorés très modernes sont un plaisir pour les yeux, j'ai adoré ! Ce qui sublime encore plus le roman de Robert Badinter qui décrit la vie de sa grand-mère, immigrée juive de l'empire russe, débarquée en France en 1919. Un bel hommage d'auteur à auteur qui fait ressortir toute la tendresse d'un petit-fils à sa grand-mère. Tout simplement, magnifique !
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Cette B.D. une adaptation du livre de Robert Badinter qui rend un très bel hommage à sa grand-mère en racontant son parcours depuis un village de Bessarbie jusqu'aux beaux quartiers de Paris, de la fin du XIXème siècle jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale. Et toujours, l'antisémitisme qui même en temps de paix projette son ombre sur le quotidien d'Idiss et de sa famille, sur le peuple juif où qu'il se trouve...
Ce récit très émouvant est joliment servi par des dessins colorés, aux traits un peu naïfs, qui retranscrivent pourtant très justement les émotions, joyeuses ou tristes, des personnages.
On ne peut qu'être touché par le récit de ce qu'a traversé cette femme simple qui a pourtant su assurer une vie meilleure à ses enfants en dépit des épreuves...
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critiques presse (4)
CNLJ
20 septembre 2021
Le dessin de Fred Bernard, tout en subtilité et en richesse d'évocation, non réaliste, mais solidement documenté, apporte un peu de légèreté à cette histoire à la fois heureuse et tragique, et la rend plus accessible aux jeunes lecteurs. Profondément émouvant, un livre salutaire et que l'on n'oublie pas.
Lire la critique sur le site : CNLJ
BoDoi
31 mai 2021
Adaptée du livre éponyme de Robet Badinter, cette épaisse bande dessinée écrite par Richard Malka et dessinée par Fred Bernard s’impose autant comme l’illustration d’un parcours bouleversant que comme un chant d’amour d’un vieil homme sage à sa grand-mère.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Sceneario
25 mai 2021
Une bien belle adaptation grand public d’une histoire familiale personnelle bouleversante et honorifique. Un témoignage à lire par le plus grand nombre !
Lire la critique sur le site : Sceneario
LigneClaire
01 avril 2021
Un album à la fois biographique sur les origines familiales et la vie de Richard Badinter, tendre, chaleureux, émouvant, bouleversant mais aussi qui fait acte de mémoire car intimement mêlé à l’abomination de la Shoah, donc violent qui oblige à ne pas fermer les yeux.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Ce soir-là, Simon dit à Robert qu’un jour tout redeviendrait normal, « même en mieux », et Idiss l’embrassa de toutes ses forces en demandant à l’Éternel de le protéger. Mais avant, son père expliqua au jeune garçon que les choses avaient changé. Sa République tant aimée, la République d’Hugo et de Zola, celle de la déclaration des droits de l’homme, avait cessé de les protéger et les enfants juifs devraient se comporter prudemment pour ne pas être dévorés .
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L’Armistice fut signé le 22 juin 1940. Ainsi, comme Schulim en 1914, Simon ne fut pas mobilisé. Il revint à Nantes…
La République s’était effondrée, le pays était occupé, la Nation saignée. Sans tarder, le Maréchal Pétain et son gouvernement promulguèrent les premières lois antisémites dès octobre 1940.
(page 89)
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- Le NSDAP (parti national-socialiste des travailleurs allemands) a désigné un nouveau leader, Monsieur, un certain Hitler.
- Ce groupuscule de pauvres types ?
L’Allemagne a de plus sérieux problèmes que cette bande d’agitateurs.
- J’ai assisté à l’un de ses discours dans une brasserie. Violent mais charismatique. On devrait peut-être le surveiller …
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Tu vois Idiss, je t’avais dit qu’un jour tu aurais ton mari, tes enfants et ta maison.
- Tu avais raison… Mais quand tout va mal, on pleure… et quand tout va bien, on a peur. Heureusement, il y a les enfants pour le bonheur.
(page 29)
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- Tu vois, Idiss, je t’avais dit qu’un jour tu aurais ton mari, tes enfants et ta maison …
- Tu avais raison …
Mais quand tout va mal, on pleure …
… et quand tout va bien, on a peur. Heureusement, il y a les enfants pour le bonheur.
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