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Shinji Wakatsuki travaille au département du déblocage des fonds d'assurance vie d'une agence d'assurance de Kyoto. Il compulse des piles de formulaires de décès pour éventuellement débusquer des fraudes. Un jour, il se rend chez un client, Shigenori Komoda, qui a été très vague sur les raisons de son invitation. Ils entrent ensemble dans la maison, Komoda appelle son fils qui doit être rentré et ils tombent sur le corps pendu de l'enfant.

«  Wakatsuki tourna la tête et croisa son regard. Sur le visage jusqu'alors dénué d'expression de l'homme, la surprise s'affiche un instant, en même temps qu'il détournait brusquement les yeux. le malaise paralysant qu'éprouvait Wakatsuki fit place à la sidération.
L'homme ne regardait pas l'enfant.
Devant le corps de son propre fils, il se contenait de le regarder lui, pour épier ses réactions. Il n'y avait pas la moindre parcelle d'émotion à lire sur son visage.(...) On aurait dit que le temps s'était scindé en deux branches. D'un côté, Komoda, qui continuait de jouer une pièce de théâtre dans un monde inchangé, de l'autre l9'enfant, figé dans l'éternité. »

Choqué, Wakatsuki ne parvient pas à se sortir de la tête ( et nous non plus ) que la réaction du père face au suicide de son fils n'est pas « normale », d'autant que Komoda harcèle l'agence pour recevoir le montant de l'assurance vie qu'il avait souscrite au nom de son fils.

A partir de là, on se retrouve plonger dans ce que la psyché humaine a de plus sombre, accompagnant Wakatsuki dans le terrible engrenage dans lequel il se trouve piégé. Il y a des moments de terreur pure qui s'infiltre dans la tête du lecteur et hérisse ses poils. Les cauchemars récurrents du héros sont d'une rare puissance évocatrice, étirant le temps en quelques phrases effrayantes, avec une folie à la Horla qui monte crescendo tant Wakatsuki perd pied, obsédé par la conviction qu'il s'agit d'un meurtre maquillé en suicide, hanté par un drame intime qui resurgit de son enfance.

La Maison noire est en fait le premier roman de Yusuke Kishi, publié à rebours en France après le succès de la Leçon du mal. J'ai adoré ce dernier, du thriller jubilatoirement brutal et cynique, et j'ai trouvé La Maison noire réussi mais moins abouti. Disons qu'au mitan, il y a des faux- plats un poil bavards - et donc longuets - sur la psychopathie. Surtout, on devine assez vite les coutures avec des révélations qui arrivent à mon sens un peu trop tôt dans le récit. Autre bémol, l'épilogue est un peu facile.

Il n'empêche que ce roman m'a plu car l'auteur ose s'aventurer dans l'horrifique en assumant un final gore très visuel, à la limite du grotesque, vraiment très fort. Et puis, ce portrait sans concession de la société nippone interpelle. Nous sommes dans les années 1990, peu de temps après l'éclatement de la bulle financière spéculative. le Japon décrit est peu reluisant, en proie à une crise de moralité qui renverserait les valeurs traditionnelles.

Finalement, cette épidémie d'arnaques à l'assurance ou au frais d'hospitalisation, plus ou moins contrôlée par les yakuzas, glace presque plus que les épreuves singulières du héros, avec des individus prêts à tout par cupidité. Décidément, le vénéneux est partout dans ce roman.



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Un assureur pas vraiment rassuré

Les arnaques à l'assurance-vie n'ont plus de secret pour Wakatsuki. Les fraudeurs ne tarissent pourtant pas d'imagination pour obtenir un dédommagement.
Wakatsuki est un employé consciencieux et rien n'échappe à son esprit méthodique et rigoureux.
Un jour, un client un peu étrange lui demande de venir chez lui pour établir un constat. Sur place, il découvre avec stupeur un enfant de douze ans qui se balance au bout d'une corde au beau milieu de sa chambre.
Le comportement anormal de Komoda, le beau-père de l'enfant, interpelle Wakatsuki qui pense immédiatement à une mise en scène...

Yûsuke Kishi nous convie à entrer dans "La maison noire", une maison lugubre et nauséabonde qui nous plonge dans une atmosphère malsaine à souhait,
un brouillard noir et opaque qui nous empêche de trouver la sortie.
Une maison qui s'apparente à un champignon vénéneux, véritable concentré de noirceur humaine où la morale défunte et mutilée macère dans ses entrailles.
L'auteur dénonce, dans ce roman qui précède "La leçon du mal", les dérives d'une société japonaise où l'appât du gain consume à petit feu les valeurs morales et le sens de la justice.
Même si la fin reste prévisible, le climat délétère et anxiogène qui se dégage de cette sombre histoire est un pur délice de noirceur.

Un grand merci à Babelio et aux éditions Belfond pour la découverte de ce petit bijou de noirceur.
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Yûsuke Kishi possède l'art de captiver le lecteur en quelques phrases. Pourtant, quoi de moins sexy qu'une entreprise qui vend et gère des contrats d'assurance, et de moins attractif qu'un agent policé et consciencieux ? Cependant très vite on imagine bien que son job est potentiellement délicat. Comment repérer les arnaques à l'assurance-vie, les limites parfois ténues entre suicide et meurtre, surtout lorsque la police ne met pas toute son énergie pour distinguer le vrai du faux !

Il y a eu ce coup de fil énigmatique d'une femme, vite oublié. Puis un drame atroce qui hantera les nuits de Shinji, et l'entrainera dans une aventure très périlleuse.

C'est absolument magique. On est immédiatement pris dans cette histoire sordide que le contraste fort entre la conscience professionnelle et la droiture de Shinji et la noirceur de ceux qui tentent de profiter d'un système faillible.
Comme dans La leçon du mal, l'intrigue se déroule selon un crescendo addictif, faisant de cette lecture une priorité !

On adhérera ou pas aux théories environnementales proposées pour expliquer la montée du mal sur la planète, elles ont au moins le mérite d'exister !


Un excellent moment de lecture, vite dévoré, et qui va hisser l'auteur dans mon top dix d'auteurs à suivre.

Merci à Negalley et aux éditions Belfond.

304 pages 1er février Belfond
Traduction : Diane Durocher
#YusukeKishi #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Aujourd'hui prenez vos billets d'avion, on s'envole pour le Japon ! Ne vous réjouissez pas trop vite, nous allons rendre visite à Wakatsuki qui travaille dans un cabinet d'assurances !

Saviez-vous que certaines personnes essaient de tromper les assurances pour toucher des primes ? Pour certains foyers qui sont dans la misère, un contrat d'assurance peut devenir assez juteux ! Bon, il faut parfois sacrifier un doigt, ou un mari, mais après tout le sacrifice en vaut la chandelle, tout dépend du contrat souscrit ! Alors, Wakatsuki est là pour vérifier les contrats et traquer les fraudeurs !

Un jour, il est appelé sur place par un certain Komoda pour vérifier un contrat, et il découvre le cadavre d'un gamin de douze ans, mort par pendaison ! Quel choc ! Toutefois, Wakatsuki se doute qu'il y a un problème et qu'il ne s'agit pas d'un suicide mais d'un homicide ; mais ce n'est qu'un intuition et maintenant il faut le prouver ! En attendant que la police fasse l'enquête d'usage, Komoda le père de l'enfant vient tous les jours dans l'espoir de toucher sa prime, parfois relayé par son épouse. Vous trouvez cela ignoble ? Eh bien dites vous que c'est la partie la plus édulcorée de l'affaire, la suite va crescendo…

En France, un client qui vient vous harceler chaque jour, vous lui montrez la porte et vous l'enjoignez plus ou moins aimablement de « dégager ! » ; mais nous sommes au Japon, où la politesse est la règle. Alors, chaque jour, le quémandeur va être reçu avec la plus grande courtoisie et les formules de politesse d'usage.

Je m'arrête ici, il me semble important de laisser au lecteur le plaisir des découvertes macabres et de l'ignominie !

Yûsuke KISHI nous a concocté une histoire aux petits oignons ! On commence gentiment avec quelques dossiers d'assurances où les fraudeurs sont des petits joueurs par rapport à la suite. Il y a quelques parties philosophiques très intéressantes, et le passé de Wakatsuki nous est dévoilé peu à peu. La réelle performance est de faire monter la tension, sans s'acharner à faire des descriptions des scènes d'horreur, c'est expliqué sans s'appesantir et pourtant on a vraiment l'impression d'y être !

Bref, c'est un roman qui montre la noirceur de l'âme humaine et les dérives des contrats d'assurances ; la société japonaise est pas mal égratignée. Une recette qui marche bien : une histoire bien ficelée, un soupçon de sarcasme, une lichette de romance, un poil d'horreur…

À lire confortablement installé(e) sur un futon, en dégustant des sushis accompagnés de Saké, après avoir vérifié vos contrats d'assurances. Bonne lecture !
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A Kyoto, Shinji Wakatsuki travaille pour une compagnie d'assurances. C'est lui qui est chargé de dédommager les victimes d'accident ou les bénéficiaires d'une assurance-vie. Chaque jour, des dizaines de dossiers s'entassent sur le bureau de cet employé consciencieux, entraîné à débusquer les fraudeurs, les gens prêts aux pires extrémités pour toucher le pactole. Entre mutilations volontaires, hospitalisations sous de faux prétextes et arnaques en tout genre, le jeune homme pense avoir vu le pire, et pourtant…
Quand un client l'invite à passer le voir dans sa maison d'Arashiyama, un quartier chic de la ville, c'est pour découvrir que le fils de la famille s'est pendu. Shinji pense immédiatement à une mise en scène mais pour la police, l'enfant s'est bel et bien suicidé. Il décide alors de mener sa propre enquête, malgré la pression que son client exerce en venant quotidiennement à l'agence pour réclamer son argent. Angoissé mais déterminé à faire la lumière sur cette sordide affaire, l'assureur va faire l'expérience de la noirceur de l'âme humaine.

Ceux qui pensaient que travailler dans un cabinet d'assurances était routinier, tranquille, voire ennuyeux vont être drôlement secoués par ce roman noir, très noir de Yûsuke Kishi. L'auteur aime le sang, le gore, le trash. Il l'a déjà prouvé avec La leçon du mal, il récidive avec cette maison noire. Et si le livre débute lentement, la tension monte crescendo et on angoisse au côté de ce pauvre Shinji, harcelé par un homme vénal qu'il soupçonne d'être un tueur d'enfant.
Maître d'un genre qui oscille sans cesse entre noirceur et grand guignol, cette fois il reste sur la ligne de crête sans tomber dans le ridicule. Cependant, il ne faut pas être trop sensible pour pouvoir supporter ses descriptions très réalistes des exactions de son redoutable meurtrier.
Par ailleurs, Kishi n'oublie jamais de décrire la société japonaise dans ce qu'elle a de moins reluisant. Ici, il met l'accent sur la malhonnêteté de ses concitoyens et l'omniprésence des yakuzas, bien loin des valeurs traditionnelles d'une société policée.
Horrifique et très stressant ! Une réussite.

Merci à Babelio et aux éditions Belfond.
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Shinji Wakatsuki travaille dans une compagnie d'assurance où il s'occupe des dossiers de dédommagements financiers qui sont accordés aux gens ayant eu un accident ou ayant connu un décès dans leur famille et qui, bien entendu avaient souscrits une assurance les couvrant pour de tels drames.
Mais la tentation est parfois grande de frauder pour toucher de grosses sommes d'argent...
C'est alors que Shinji intervient et enquête pour s'assurer que la compagnie ne va pas payer les fraudeurs.
Mais parfois, il n'est pas simple de déterminer la cause d'un décès, accident, suicide ou meurtre ?
Shinji va être confronté au cas vraiment étrange d'un enfant âgé de 12 ans qui se serait suicidé, et il soupçonne rapidement quelque chose de terrible.
J'ai bien aimé le début du roman, on sent la tension qui monte très vite, mais j'ai ensuite trouvé que le roman traînait un peu en longueur et que le récit prenait un tour vraiment très noir, hyper violent, avec une escalade de la violence et de la terreur assez difficile à supporter et finalement peu crédible.
Le thème des sociopathes est intéressant mais le roman ne m'a pas totalement convaincu, il est inégal, et certaines scènes sont véritablement atroces.
Je remercie NetGalley et les éditions Belfond pour cet envoi.
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J'avais eu un coup de coeur pour La leçon du mal l'an dernier, non pas que je sois attirée par la violence et la noirceur mais par l'écriture, et la traduction de fait, de Yûsuke Kishi pa sa façon de traiter la psychologie humaine dans ce qu'elle a de plus horrible dans un lieu qui aurait dû être un havre de paix et de savoir !

Ce roman m'a beaucoup moins subjuguée non pas de par le sujet mais parce ce que le personnage principal est celui qui va faire les frais de la haine destructrice, ce qui nous place de l'autre côté du miroir pour ainsi dire. Ce thriller a été écrit en 1996, donc bien avant La leçon du mal et a peut-être été son galop d'essai !

Ceci ne m'a pas empêchée de sentir monter l'angoisse, ce que l'auteur fait à la perfection, jusqu'au déferlement de violence dans laquelle il ne semble pas se complaire malgré les descriptions détaillées.

Lire les rubriques nécrologiques dans le cadre de son métier n'est pas réjouissant mais en plus les japonais semblent prêter une attention particulière à celles-ci. Wakatsuki est un agent modèle, il travaille sur les dossiers d'assurance vie. A la demande d'un client il se rend chez lui où il découvre le fils pendu. Dans les jours qui suivent le père demande le paiement de l'assurance de son fils pour suicide !

Voici la porte ouverte au stress du lecteur et au danger pour Wakatsuki ! Intrigue très bien menée même si le milieu des assurances n'a pas un grand intérêt pour moi mais c'est aussi l'occasion de découvrir des spécificités japonaises qui ont apporté de profonds changements dans la société.

Je remercie l'équipe de Babelio pour cette Masse Critique et les éditions Belfond pour l'envoi du livre.

Challenge Multi Défis 2024
Challenge Entre Deux Thématique 2024
Masse Critique janvier 2024
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Noël en Janvier, quelle chance!
En effet, grâce à la masse privilégiée de Babelio et aux éditions Belfond, j'ai pu enfin avoir accès au nouvel opus de Yusuke Kishi, auteur japonais que j'ai découvert l'an passé avec la Leçon de Mal, que j'ai adoré.
Ici, La Maison Noire est pleine de délicieuses promesses de nuit blanche (une seule, il n'est pas gros).
De premier abord, l'histoire n'est pas fascinante: la vie terne de Wakatsuki, agent stressé d'une compagnie d'assurance est même extrêmement ennuyeuse. Mais on rentre dans le noir (ou dans le dur) le jour où, invité par un de ses clients, il se rend dans sa misérable et puante maison toute noire, et découvre le fils de ce dernier pendu. Pour lui c'est le début d'une descente aux enfers et pour nous, le début du suspens, un délicieux et coupable moment (très) noir, qui va nous faire frémir jusqu'à la dernière ligne.
Le personnage central est particulièrement bien construit autour d'une histoire horrifiante qui ne tombe pas dans le déjà vu, tout en contraste avec la complexité du monde japonais, ses règles et sa bienséance affichée. Les autres personnages sont affreux à souhait et grâce à eux, on explore certaines particularités propres à la psychopathie et à la sociopathie japonaises qui font froid dans le dos.
Sans être dans la même veine que le sublime La leçon du mal, qui restera gravé dans le monde du thriller mondial tellement il est à la fois intelligent et totalement choquant, La maison noire devrait s'inscrire dans le tableau d'excellence de la littérature noire japonaise.
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Je suis un peu déçue par ce roman au regard des critiques plutôt élogieuses. Je me range du côté de celles et ceux qui sont moyennement convaincus.
Mon plaisir a été très inégal. J'ai trouvé l'intrigue longue à se mettre en place et comme parfois avec les romans asiatiques j'ai eu quelques difficultés à me repérer avec les noms des personnages. le dernier tiers du livre m'a un peu plus accrochée. Ce n'est pas le thème qui m'a déplu car l'idée des arnaques aux assurances au Japon est assez intéressant d'autant plus que dans ce roman les cas sont particulièrement terribles et machiavéliques.
Wakatsuki, l'assureur que l'on suit ici a affaire à une situation extrême où rien ne semble arrêter l'appât du gain.
La patience de Wakatsuki mais aussi la culture nippone peuvent nous étonner ...
Je ne rejette pas tout, mais je me suis parfois ennuyée.



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[Coup de coeur] Personne ne m'aurait poussé un jour à lire un roman dans lequel on suit un agent d'assurance épluchant ses dossiers de demande de remboursement à la recherche d'un éventuel escroc. Pourtant, c'est ce que m'ont proposé @babelio_ et les @editionsbelfond dans le cadre de l'opération Masse Critique, et je les en remercie. Car loin des clichés que l'on peut avoir du Japon, Yûsuke Kishi entraine le lecteur vers des territoires plus sordides et plus oppressants. Ceux d'une population qui survit plutôt que vivre, des minuscules appartements, des journées de travail sans fin. C'est enfin et surtout la découverte de cet auteur, maître du suspense.

Yûsuke Kishi sait happer le lecteur avec des dossiers d'assurance qui se transforment petit à petit en une profonde descente dans l'âme humaine. Il en ressort souvent un sentiment de malaise et d'horreur quand on comprend le désarroi et l'impuissance face un mal qui semble présent et insaisissable. Un récit dérangeant et angoissant, d'accord, mais qui nous entraine dans le désir malsain de savoir où l'horreur va nous conduire. Et dans cet art, Kishi est un maître dans la narration.

Shinji Wakatsuku est un jeune cadre dans une société d'assurance. Très pris par son travail, il l'accomplit avec beaucoup de sérieux et de pugnacité pour déceler les incohérences dans les dossiers de demande d'indemnisation. Pourtant quand il doit traiter le versement d'une assurance vie à la famille Komoda dû au décès d'un petit garçon, son intuition le pousse à enquêter sur les circonstances de cette mort. Il ne sait pas encore que ses investigations vont le conduire vers la Maison noire, l'enfer.

Même si au début, il n'est pas évident de s'approprier les noms et la culture nippone, on apprend beaucoup sur les règles qui régissent les relations humaines au Japon, des règles parfois difficiles à appréhender pour un occidental. Petit à petit, cet environnement devient familier et texte prend du volume jusqu'à vous tenir en haleine et vous aspirer. Une lecture qui laisse quelques sueurs froides.

❓Connaissez-vous son roman La leçon du mal ?

Lien : https://jmgruissan.wixsite.c..
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