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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Là, à l'instant précis ou j'écris : je déteste Robin Hobb !! Mais a un tel point vous ne pouvez pas imaginer.

J'ai dévoré ce tome 2, ma curiosité a été plus forte que tout.. et je me retrouve frustrée parce que je n'ai pas de réponse, pas une, juste une tonne de questions sur la suite probable ou improbable de ce roman.

L'histoire est prenante, mais elle a malgré tout des défauts. Fitz perd un peu de son mordant mais sans doute pour mieux revenir dans la suite de ses aventures.
Si d'un côté j'ai apprécié les chapitres alternant les pensées de Fitz et de sa fille, j'ai aussi trouvé trop de répétition d'un personnage à l'autre.. et c'est dommage parce que cela freine considérablement l'action.
Mais il faut reconnaitre que malgré tout l'auteure reste maîtresse de ses personnages. l'amitié que l'on voue a Fitz depuis le premier tome de l'assassin royal est indéfectible, et l'introduction de nouveaus personnages rend cette amitié encore plus forte.. parce que le self control de Fitz est a toute épreuve.. car personnellement cela ferait bien longtemps que j'aurais mis une rouste a Evite. (par exemple)

J'ai passé un super moment de lecture, même si je reste frustrée il est bien évident que j'attends le tome 3 avec une frénétique impatience... et en même temps je suis désespérée parce que Robin Hobb va encore très certainement nous faire un cycle en 15 tomes (que je dévorerais comme il se doit, bien sûr !)
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Boudiou, ou est l'histoire ? J'ai beau chercher la trame, je ne la vois pas, si ce n'est la vie quotidienne des gens de Flétribois. Bon j'ai beau adoré Robin Hobb mais la franchement elle joue avec mes nerfs. Et moi comme une burne je me laisse prendre, et vas-y que je te tourne les pages à la vitesse de la lumière. Oh allez encore un petit chapitre avant d'éteindre ! P'têt que je vais enfin retrouver le Fou ! Sûr avec lui l'histoire va prendre une dimension de haut vol. Ah oui enfin le voilà ! Je le vois … c'est lui là ! Hélas non ce n'est qu'une jeune fille qui lui ressemble. OK partons pour le marché pour assister à de micros-événements. Suivons Abeille dans les couloirs sombres de Flétribois. Retrouvons demoiselle Evite et son arrogance.
Mais qui y a-t-il dans l'écriture de l'auteur pour qu'elle soit à ce point hypnotique ? Pour que jamais je ne me lasse malgré la non-action. Pour que je reste captivé d'un bout à l'autre de l'ouvrage et dès que la fin approche je me précipite déjà sur le suivant. Pour que je me fonde dans cet univers ou n'existe pas les machines, les moyens de communication qui font la grandeur du notre. Tiens c'est p'têt ça en fait ! P'têt en moi sommeil une vie ou la technologie ne règne pas en maître !
Allez vite le numéro trois : Robin Hobb c'est pire que le chocolat !
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Suite et fin du premier tome marquant le début d'une nouvelle série mettant en scène le héros de « L'Assassin royal ». L'auteur semble avoir désormais opté pour une alternance de narration entre Fitz qui essaie tant bien que mal de se dépatouiller dans son rôle de père, et Abeille, qui tente difficilement de trouver sa place au sein de la demeure de Flétribois. Et compte tenu de sa frêle allure et de son caractère renfermé, la chose n'est pas aisée... Si j'avais eu un peu de mal à m'attacher au personnage de la petite Abeille dans le volume précédent, ce n'est désormais plus le cas ici. Difficile en effet de ne pas se prendre d'affection pour la fillette dont on suit l'évolution avec intérêt, qu'il s'agisse de ses progrès en matière de sociabilité ou de ses explorations dans les murs secrets de la demeure de Flétribois. Outre Fitz et sa fille, on retrouve évidement Umbre, Ketricken, le Fou, Oeil de Nuit..., autant de personnages avec lesquelles tous les lecteurs des précédents tomes de « L'assassin royal » ont déjà fait un sacré bout de chemin et qu'on ne retrouve pas sans une certaine émotion. La sensation est la même que lorsqu'on retombe sur de vieux amis après une longue absence : on hésite un peu gauchement au début avant de se laisser gagner par un agréable sentiment de familiarité à mesure que les souvenirs refont peu à peu surface. Reviennent alors à notre mémoire les bons moments partagés ou les épreuves surmontées ensemble, et on finit alors par se défaire de toute réserve pour savourer pleinement le confort et le bien-être procurés par ces retrouvailles. C'est exactement ce qui se passe ici, et c'est avec un plaisir intact que l'on replonge dans l'univers des Six-Duché aux côtés d'un des héros les plus attachants qu'il m'ait été donné de découvrir.

Comme c'était déjà le cas dans le « tome » précédent, l'essentiel du récit se consacre avant tout au quotidien du père et de la fille : leurs incompréhensions, leurs tentatives pour les surmonter et tous les petits tracas d'un quotidien ordinaire, des réparations à effectuer dans la maison aux problèmes vestimentaires en passant par les rapports avec le personnel, les tensions entre les différents membres du domaine... La frustration est grande, du moins au début, de ne voir aucun événement capital survenir afin de mettre en branle l'action. On sent bien que c'est là, tout près, que quelque chose de terrible va finir par arriver mais chaque fois l'auteur désamorce la situation au dernier moment, et ce que l'on prenait pour une révélation cruciale ou un événement clé s'avèrent finalement n'avoir que peu de conséquences immédiates. On finit alors peu à peu par se laisser gagner par l'ambiance « conviviale » du récit et par apprécier aux côtés des personnages cette sorte de retraite plus ou moins sereine. Et c'est évidemment juste à ce moment qu'arrive enfin le drame qu'on attendait avec impatience et qu'on souhaiterait maintenant qu'il n'ait jamais eu lieu. On assiste notamment avec consternation et émotion au retour d'un personnage phare de la série qu'on attendait depuis maintenant un moment (étant donné le titre choisi pour cette troisième série, le suspens n'est pas bien grand mais cela fait malgré tout son petit effet). le chapitre final nous laisse quant à lui sonné tant les choses s'enchaînent désormais à toute vitesse, mais aussi et surtout désespérément avide de connaître la suite.

Robin Hobb nous transporte encore une fois avec une aisance incroyable dans son univers duquel j'ai toujours personnellement beaucoup de difficultés à m'extirper. Les derniers mots du roman viennent de la plume même de Fitz qui déclare : « Rien ne m'a prévenu en cette belle journée que la période la plus sombre de mon existence venait de s'ouvrir. » Et quand on sait par quoi notre héros est déjà passé, on se dit qu'on a bien de soucis à se faire... La suite, vite !
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Un tome 2 très prenant, ce qui m'a bien surprise. le cycle de l'Assassin Royal est selon moi teintée d'une certaine longueur. Ce tome 2 ne fait pas exception, l'enjeu arrivant sur les derniers chapitres. En dépit de cela, je ne peux nier avoir pris beaucoup de plaisir à cette lecture. Les chapitres se lisent vite, s'enchaînent bien. J'avais toujours envie d'aller plus loin. L'autrice alterne les points de vue narratifs, les partageant entre Fitz et Abeille. On découvre ainsi leur personnalité. Ce que j'apprécie, c'est cette volonté de ne pas en faire des héros parfaits. Il faut reconnaître que Fitz a un petit côté geignard et d'auto apitoiement un peu agaçant. Mais ça fait partie du personnage. Quant à Abeille, on a une petite fille que l'agitation dérange, en deuil de sa maman et surtout qui aspire à avoir de l'attention, déclenchant en elle des élans de jalousie. Cela les rend humains. le deuil est bien traité. On sent la perte de Molly, ce qu'elle peut représenter pour nos deux protagonistes. On sent aussi et surtout cette relation père-fille qui se tisse, s'enrichit, s'approfondit. Une relation très émouvante, il faut bien l'avouer. Cela permet aussi de mettre plus en lumière les particularités d'Abeille, personnage que j'apprécie bien plus que celui de Fitz.
Je me languissais du Fou en revanche, me demandant quand il allait enfin arriver dans l'intrigue et surtout quel serait le but, l'enjeu. Au final, il y a certains jalons que l'autrice nous laisse découvrir par nous-mêmes, ne rendant pas la fin inouïe en terme de découverte mais pour autant très haletante. Avec une telle fin, sûr que je ne vais pas attendre des mois avant de me jeter sur le tome 3, de découvrir cet univers si riche que l'autrice modèle de cycle en cycle.
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Les années passent, Fitz prend de l'âge mais force est de constater qu'il est toujours aussi lent à la comprenette. Le voici aujourd'hui veuf et père d'une petite fille de neuf ans, aussi secrète que douée. Abeille est une étrange fillette, trop petite pour son âge, d'une blondeur presque neigeuse et sujette à de curieux songes énigmatiques. On pourrait croire que l'ami Fitz, qui a tout de même côtoyé un Prophète Blanc pendant plusieurs décennies, pourrait avoir la puce à l'oreille… Mais non ! Fitz, aussi bouché à soixante ans qu'il l'était à quinze, ne comprend rien à rien et persiste à trouver la situation tout à fait normale. Il faudra un événement terriblement dramatique et le retour d'un très vieil ami pour que notre sympathique et obtus narrateur entrevoit la vérité. Commencera alors une des pires périodes de la vie de Fitz - et, sachant ce qu'il a déjà enduré durant les sagas précédentes, ce n'est pas peu de chose que de le dire.

Je me plaignais un peu du manque d'action du tome précédent et espérais vaguement que celui-ci rémédierait à cette carence. Eh bien, c'est raté et bien raté. Mais en fait et après réflexion, je m'en fous. Robin Hobb veut nous raconter par le détail tout le quotidien de Fitz et de sa petite Abeille ? Introduire de nouveaux personnages en s'étendant longuement sur leurs traits de caractère et leurs états d'âme ? Réunir les anciens autour d'une bonne flambée pour discuter du bon vieux temps ? Mais laissez la faire ! Moi, ça m'a fait plaisir de voir les liens se tisser entre Fitz et Abeille, de voir ce lourdaud de père apprivoiser petit à petit sa sauvageonne de fillette, s'en faire une amie et une confidente. Certains ont jugé la dernière partie du récit trop précipitée mais - une fois n'est pas coutume avec Hobb - je l'ai trouvée personnellement bien menée. Les événements arrivent très vite après une longue période de calme et la tragédie frappe fort, mais ce coup de théâtre a le mérite de la vraisemblance et surprend agréablement le lecteur qui s'était laissé un peu endormir par le train-train réconfortant des trois cent cinquante pages précédentes. Je n'enchaîne pas immédiatement sur la suite, mais çe ne saurait tarder.
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Si vous ne voulez pas connaitre la fin du livre avant de l'avoir lu, ne lisez pas la présentation de l'éditeur. Il est plus que désagréable de s'apercevoir que l'éditeur vous dévoile des réponse à l'histoire, avant même de connaitre l'intrigue.
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Nous retrouvons avec La fille de l'Assassin la suite du tome précédent qui est, dans la version originale, un seul volume. Merci encore Pygmalion pour ce découpage aberrant !
Suite à la mort de Molly, Fitz se retrouve seul à assumer l'éducation de sa fille Abeille. C'est un bon père, il a voulu cette « charge ». Car Ortie s'est proposé pour prendre la petite fille sous son aile à Castelcerf, ce que Fitz a refusé et je le comprends ! Car, même s'il a du mal à établir une connexion avec cette petite fille, comment pourrait-il la laisser partir ? L'enfant va souvent errer seule à Flétribois, où elle suscite la méfiance du personnel. Elle va découvrir des passages secrets, de nombreux éléments du passé de son père et entamer une relation étrange avec un chat.
Comme souvent, Fitz va un peu se laisser aller, se renfermer sur le chagrin d'avoir perdu la femme de sa vie... Mais heureusement qu'il va bientôt prendre le mors aux dents et tenter de reprendre le contrôle ! Car Fitz ne serait pas lui-même s'il ne cédait pas à l'apitoiement, et ne se retrouvait à devoir faire face aux nouveaux coups que la vie lui inflige. Ici, c'est devoir tenter de consolider sa relation avec son étrange fille, mais aussi lorsque un autre message partiel arrive de la part du Fou... Un Fou qu'on attend avec impatience depuis tellement longtemps ! La fille de l'Assassin sait nous maintenir sur la brèche, nous faire frémir d'impatience... Mails il y a tellement de petits détails et de scènes absolument captivantes !
(Suite de mon avis sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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Après m'être un peu ennuyée en écoutant le 1er tome de ce nouveau cycle, j'ai enfin été embarquée de nouveau dans la saga avec celui-ci. Robin Hobb continue à prendre son temps pour installer son intrigue mais d'une manière que j'ai trouvée plus intéressante ; on retrouve enfin presque le Fitz que l'on connaît et, surtout, Abeille s'avère être un personnage attachant et intrigant qui apporte de la fraicheur à l'histoire.

L'intrigue s'accélère brutalement à la fin de ce tome et, bien qu'une partie de ces péripéties m'ait laissée un peu sceptique – -, elle annonce beaucoup de rebondissements pour l'avenir.
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Comme le tome précédent, on retrouve quelques chapitres au point de vue d'Abeille, ce qui est assez agréable pour apprendre à la connaître et à l'apprécier. J'aime son courage et sa maturité ne sonne pas fausse cependant je trouve un peu dommage qu'elle n'exprime pas plus ce qu'elle ressent.
J'aime toujours autant le personnage de Fitz et il a changé tout en restant le même. On retrouve Umbre, Kettricken mais je suis un peu déçue qu'on en sache pas plus sur Devoir et sa famille car Ellianna et lui sont quand même le roi et la reine. Peut-être auront-ils plus d'importance dans le tome suivant.

La fin du livre m'a laissée pantoise. Fitz affirme dans l'épilogue que l'époque la plus sombre de sa vie vient de s'ouvrir. Comment est-ce possible après ce qu'il a vécu?
A savoir dans le tome suivant!
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L'histoire se précise avec ce deuxième tome. On retrouve Tom Blaireau (Fitz) qui essaie de s'en sortir avec sa fille. Une étrange messagère meurt sous son toit. C'est le fou qui l'avait envoyé pour que Tom/Fitz l'aide a retrouvé son fils. Mais Tom a déjà à faire avec ces "invités" envoyé par Umbre...
La fin m'a laissée pantoise et impatiente de lire la suite...
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