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Inspecteur Lynley tome 7 sur 21
EAN : 9782258099869
660 pages
Presses de la Cité (04/10/2012)
3.91/5   369 notes
Résumé :
Rien de plus idyllique que le Kent au printemps.

Nettement moins idyllique, en revanche, cet incendie qui, dans un cottage de rêve, fait une victime, retrouvée carbonisée. Accident ? Acte criminel ? Tandis que la police du comté procède aux constatations, recherche d'indices et relevés d'usage, l'inspecteur Lynley et le sergent Havers interrogent les proches et les amis londoniens de la victime. L'enquête, minutieuse, permet à Elizabeth George de bros... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai récupéré ce roman lors d'un vide-maison l'an dernier mais il aura fallu une LC avec pas-chacha pour qu'il sorte enfin de ma pal. Je connais cette auteure par le biais de sa série jeunesse (dont j'attends la suite avec impatience) mais ça sera ma première incursion dans son univers plus adulte, j'espère l'apprécier tout autant.

Je ne sais si c'est mon édition qui veut ça mais je trouve le début de ce roman particulièrement indigeste, avec des détails à n'en plus finir et qui ne servent à rien, et soporifique. En prime, nous avons des changements intempestifs de narrateurs qui nous racontent leurs vies dans les moindres détails mais sans connaître leurs liens avec les précédents. Malgré la lecture rapide des paragraphes qui ne servent à rien, je n'accroche pas plus que ça à l'histoire alors qu'on vient de retrouver le cadavre d'un homme célèbre dans une maison habitée par une femme seule. Les narrateurs me paraissent impersonnels bien que trop travaillés avec des détails inutiles. le précédent propriétaire de ce livre avait l'habitude de plier les pages, il semblerait qu'elle l'ait abandonné après le 3ème chapitre… Au final, même en lisant en diagonale, je l'ai abandonné au bout de 60p… J'ai essayé de lire la fin au cas où mais je n'ai rien compris à l'histoire et ça ne m'a pas donné envie d'en savoir plus.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une grosse déception d'autant plus que j'aime beaucoup l'écriture de cette auteure avec sa série jeunesse. J'en ai d'autres d'elle dans ma pal, je les testerai donc afin d'avoir un avis définitif sur sa série polar adulte. Je vous conseille néanmoins de le lire pour vous en faire votre propre avis.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Je croyais les avoir tous lus, mais non, j'étais passé à côté de ce titre d'Elizabeth George qui date déjà de plus d'une quinzaine d'années.

Un joueur de cricket talentueux est assassiné. Les suspects sont nombreux : sa femme dont il était séparé depuis 4 ans, son fils qui rumine colère et vengeance contre ce père qui les a abandonnés, sa maîtresse un peu trop volage, son mentor – une femme âgée qui l'a aidé à concrétiser son rêve de devenir un joueur de cricket célèbre -, la fille de cette femme, ses concurrents dans le milieu du cricket...

L'inspecteur Linley et le sergent Havers mènent l'enquête de concert avec l'inspectrice Isabelle Ardery. On aura le plaisir de croiser également Helen mais les deux autres héros récurrents de la série, Saint-James et Déborah sont absents de ce volume.

L'intrigue est de bonne facture, assez complexe avec de nombreux personnages pour ne pas s'ennuyer et entremêlée de bonnes analyses psychologiques sur la culpabilité, la colère, la vengeance ou les différentes formes que peut prendre l'amour.

Deux bémols cependant : le premier, la trop longue introspection avec retour dans le passé d'un des personnages, qui sert de fil rouge au roman : cette partie aurait pu être singulièrement raccourcie afin de dynamiser l'intrigue. le deuxième bémol concerne l'incapacité de Barbara Havers à y voir clair dans les aveux d'un suspect : c'est peu crédible quand on connaît le flair habituel du sergent !

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Un cottage a brûlé à Springburn, dans le Kent. le corps d'un homme y est retrouvé. Et pas n'importe quel homme: il s'agit de Kenneth Flemming, le célèbre joueur de cricket.
On suppose tout d'abord un accident. Après tout, il serait logique que Flemming soit mort asphyxié. Mais l'autopsie révèle qu'il était mort avant l'incendie...
La situation devenant dès lors délicate, la police locale demande l'aide de Scotland Yard. Et c'est le fameux duo Linley - Havers qui va devoir se charger de cette enquête explosive. Ils devront être prudents, car la vie de Flemming n'était pas exemplaire en tous points et la presse attend avec impatience de pouvoir révéler des détails croustillants sur l'affaire.

Bilan mitigé pour ce roman d'Elizabeth George que j'ai lu deux fois (je voulais m'y atteler une troisième fois, pour voir, mais je n'ai vraiment pas eu le courage!).
La première fois, je l'avais lu "en entier", mais, la seconde, j'avoue avoir passé des pans entiers de l'histoire.

L'un des personnages principaux est en effet membre d'un groupe qui lutte contre la maltraitance des animaux. Ce groupe organise des raids dans les laboratoires qui utilisent des animaux comme cobayes. Il libèrent ceux qui sont en assez bon état pour l'être et demandent à un vétérinaire de supprimer ceux qui sont trop mal en point.
Et c'est justement cela qui me gêne. Les passages qui nous parle de ces "missions commandos" dans les labos foisonnent de détails absolument affreux concernant les chats et les chiens qui sont secourus par le groupe: chiens trépanés, dont la cervelle est exposée à l'air libre; chatons à la moelle épinière sectionnée, qui ne peuvent même pas grimper sur les jambes d'Olivia, etc. Insoutenable, surtout que j'ai un chien et deux chats.
Je n'ai rien contre les groupes tels que celui-là, vien au contraire, mais je ne supporte pas les livres dans lesquels des animaux se font massacrés. D'autant que, dans le cas présent, cela n'a rien à voir avec l'intrigue principale. Ces passages permettent juste de mieux connaître Olivia, qui a un lien avec Flemming, mais dont l'activisme ne concerne absolument pas le meurtre du joueur de cricket.

Ce genre de détails gâchent, en ce qui me concerne, un livre qui, autrement, aurait certainement figuré parmi mes préférés. Car l'intrigue est magnifiquement construite. le côté très psychologique du meurtre de Flemming est très intéresant et permet à George de dérouter plusieurs fois le lecteur: chaque fois qu'un nouveau personnage apparaît, il semble être un suspect idéal. Et, bien entendu, l'identité du meurtrier est très surprenante.

George développe également un point intéressant en faisant enquêter ses deux limiers sur le passé de Flemming. Car il se révèle passionnant de suivre l'évolution de Kenneth, élève brillant issu d'un milieu populaire, ayant épousé son amour de jeunesse avec laquelle il a eu plusieurs enfants.

Petite déception, donc, pour un roman qui mériterait pourtant d'être lu. Si vous ne craignez pas les souffrances des animaux, foncez, vous allez aimer. Sinon, faites comme moi et passez les pages trop hard!

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C'était vraiment un roman très long. Alors que d'habitude je trouve les romans de cet auteur faciles à lire, la lecture de celui-ci a été laborieuse.
Nous suivons en parallèle une enquête pour meurtre dans un incendie volontaire, et la confession d'une jeune femme qui a eu une vie bien tourmentée.
Le duo d'inspecteurs est toujours aussi attachant, et le coupable pas si facile à démasquer. Mais la sauce n'a pas pris. Dommage qu'il y ait eu tant de détails l'intrigue au final était intéressante.
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Un goût de cendres d'Elizabeth George, présentation
Olivia aime Chris qui l'aide en tout. Elle semble attendre un procès.

Isabelle Ardery, inspecteur, est appelée sur un incendie. Criminel ? La victime est un homme. Pourtant, c'était une femme qui vivait dans ce cottage.

Jeannie doit reconnaître Kenny Flemming, son mari.

Avis Un goût de cendres d'Elizabeth George
Une nouvelle enquête du duo, Thomas Linley et Barbara Havers, mais sans Saint James et Deborah. Helen est toutefois bien présente. Car Helen souffle le chaud et le froid avec Thomas. Il veut l'épouser, il l'aime mais il ne la comprend pas. Elle lui demande des actes qu'il ne peut pas produire. Car qu'est-ce que l'amour entre deux êtres ? Telle est une des questions de ce roman. Quant à Barbara, elle a déménagé dans son petit cottage. Elle fera connaissance avec ses voisins, dont une petite fille et son père.


Un joueur de cricket est décédé dans l'incendie d'un cottage. Il n'aurait pas dû se trouver là car il devait partir quelques jours en Grèce avec son fils. Il est séparé de sa femme. Il a trois enfants. Il est amoureux d'une jeune femme. Il vit chez la mère d'Olivia. Olivia, quant à elle, après avoir été reniée par sa famille à cause de son comportement, vit sur une péniche. Olivia tente d'écrire sur le papier ce qui s'est passé.


Le décès de cet homme va révéler une magnifique enquête de plus de 700 pages, avec l'arrivée d'un personnage que l'on retrouvera plus tard, Isabelle Ardery. Linley va jouer avec le feu, avec les médias, pour tenter de découvrir l'auteur de ce crime. Et ce n'est pas les révélations d'un jeune adolescent, coupable tout trouvé, qui vont réellement l'aider. Car malgré les quelques preuves qui s'accumulent, les indices analysés et les révélations ou pas des uns et des autres, le couple Linley-Havers aura fort à faire face à tous et surtout face à leurs chefs. Tout est une question de pouvoir et de manipulation. Celui d'une mère envers sa fille, et pas le contraire, car Olivia n'arrivera jamais à prendre le pouvoir, à manipuler sa mère, malgré la colère, les griefs. Miriam domine son monde, aussi bien sa famille, que les gens qu'elle tente d'aider. Elle se rend indispensable pour tous et pour tout. Quiconque se met sur son chemin, elle tentera de l'éliminer par de nombreuses insinuations permettant à celui qu'elle a sous son aile de prendre les décisions en faveur de Miriam. Tous lui doivent quelque chose. Elle révèle, tout de même, le meilleur de certaines personnes. Il a fallu un moment pour comprendre les écrits d'Olivia, tout ce que cela impliquait et le détail de sa maladie.


C'est également un roman basé sur l'amour. L'amour ressenti et vécu avec une personne depuis de nombreuses années. Un amour physique, certes, envers un homme, un amour que l'on ne veut pas voir mourir car ce serait un échec. Un amour qui balaie tout, même celui que l'on peut ressentir pour ses enfants. C'est l'amour que l'on peut éprouver pour un homme beaucoup plus jeune. Un amour qui a évolué et que l'on ne souhaite pas voir détruit à cause de femmes plus jeunes. C'est l'amour cherché par des hommes et qui prennent conscience que cette personne aimée n'est pas celle que l'on croit.


Ce roman relate également la prise de position d'un adolescent de 16 ans qui se sent trahi, abandonné par son père. Par son attitude bravache, petit loubard, tout ce ligue contre lui. Car il veut protéger la seule personne qui reste, le seul adulte qui reste. Mais ces adultes ne pensent pas forcément à cet enfant, qui, malgré tout, risque gros, surtout pour sa vie future. Mais Linley veille. Quelle sera réellement sa décision ?


J'ai beaucoup aimé ce nouveau tome. Plus que deux-trois précédents. Je vais donc essayer de continuer sur ma lancée, en en lisant un par mois. J'en ai encore pour un moment, même si certains seront lus à nouveau. Mais cela me permet de connaître l'évolution des personnages principaux d'Elizabeth George. Je n'ai pas vu passer les pages, même si j'ai mis pas mal de temps à le lire. Mais l'intrigue était toujours présente, sans temps mort.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Helen et son manque d'intérêt exaspérant pour l'histoire, son invraisemblable frivolité, son insouciance et sa faculté de jouir du présent. Helen n'était pas à sa place au XXe siècle, elle appartenait à un autre siècle, à une autre génération. Ils n'avaient pas l'ombre d'une chance de rester mariés plus d'un an ensemble. Et pourtant il la désirait.
La perdition prenne mon âme. Il eut un sourire amer avant d'éclater de rire en songeant à ce qu'il était advenu de cet amour-là. Mauvais signe, çà, que la déclaration du Maure lui vînt à l'esprit alors qu'il pensait à Helen. Mais par ailleurs, à condition d'éloigner les oreillers de leur lit et de veiller à ce qu'Helen ne s'encombre jamais de mouchoirs, ils avaient peut-être une chance de s'en sortir.
Et si c'était çà, l'amour, Helen ? Prendre des risques. Croire qu'un autre a le pouvoir de vous racheter. L'amour ne naît pas d'une éducation similaire, d'origines identiques ou d'expériences semblables. L'amour ne naît de rien, il crée à mesure qu'il croît. Sans lui, c'est le règne du chaos. (p. 681)
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Et si c'était ça, l'amour, Helen ? Prendre des risques. Croire qu'un autre a le pouvoir de vous racheter. L'amour ne naît pas d'une éducation similaire, d'origines identiques ou d'expériences semblables. L'amour ne naît de rien, il crée à mesure qu'il croît. Sans lui, c'est le règne du chaos.
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Dans ses moments de découragement, il se prenait à regretter ce qu'il appelait "le bon vieux temps", l'époque où les femmes étaient élevées ppour devenir des épouses, des compagnes, des maîtresses, des courtisanes, bref des êtres soumis à la volonté du mâle. C'aurait été tellement plus simple, en effet, s'il avait pu se rendre chez le père d'Helen afin de lui demander la main de sa fille, voire de discuter le montant de la dot, puis de l'emmener chez lui sans se préoccuper de ce qu'elle-même souhaitait. Si les mariages arrangés existaient encore, il aurait commencer par la prendre et se serait soucié ensuite de gagner son coeur. Dans l'état actuel des choses, les efforts qu'il devait déployer pour la conquérir l'épuisaient, car la patience n'était pas son fort.
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Arrivé à Eton Villas, Lynley la surprit en se garant et coupant le moteur.
- Merci de m'avoir raccompagnée, monsieur, lui dit-elle. Quel est le programme pour demain matin ? ajouta-t-elle en ouvrant sa portière.
Il l'imita. Il sortit et examina les maison environnantes. Les lampadaires s'allumèrent, mettant en relief les bâtiments édouardiens qui bordaient l'artère.
- Joli quartier, sergent. C'est calme.
- En effet. A quelle heure voulez-vous...
- Allons voir votre nouvelle maison, fit Lynley en claquant sa portière.
Voir ma maison ? Barbara faillit protester mais elle réussit à se maîtriser.
- Ah... euh... ? (Elle songea à son hôtel particulier de Belgravia. Tableaux dans leurs cadres dorés, porcelaine fine sur la cheminée, argenterie luisant dans les vitrines. Eaton Terrace, c'était le jour et la nuit avec Eton Villas, malgré la légère ressemblance des deux noms. Nom de Dieu de bordel de merde ! songea-t-elle.) Y a pas grand-chose à voir, inspecteur. C'est minuscule. Je ne pense pas que vous...
- Ne soyez pas ridicule.
Et il s'engagea dans l'allée.
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Linley découvrit Helen dans le jardin de son hôtel particulier, se déplaçant au milieu des rosiers. Un sécateur à la main, elle coupait les fleurs fanées qu'elle laissait tomber par terre.
Il l'observa de la fenêtre de la salle à manger. Le crépuscule approchant, la lumière déclinante l'enveloppait doucement, posant des touches couleur cognac dans ses cheveux, donnant à sa peau des reflets d'ivoire rehaussé d'or. Ayant misé sur le beau temps, elle s'était habillée en conséquence d'une tunique abricot et d'un collant assorti et avait aux pieds des sandales fines.
Tandis qu'elle passait d'un buisson à l'autre, il repensa à sa question. L'amour. Comment expliquer l'amour, se demanda-t-il. Pas seulement à l'autre. Mais à soi.
Elle attendait de lui qu'il analyse quelque chose qui ne se prêtait pas à l'analyse. Ou que lui du moins se sentait incapable d'analyser. L'amour était un des grands mystères de la vie. Il ne pouvait pas davantage expliquer de façon satisfaisante pourquoi il avait jeté son dévolu sur elle qu'il n'aurait pu expliquer l'influence de la lune sur mouvement de l'océan, la révolution de la terre sur son axe, laquelle avait des retombées sur les saisons, et pourquoi, malgré la révolution de cette planète sur elle-même, tout ce qui s'y trouvait et s'y mouvait n'était pas violemment projeté dans les profondeurs de l'oubli. Certains phénomènes naturels ne s'expliquaient pas et l'amour en faisait partie.
S'il avait pu faire un choix rationnel, il n'aurait sans doute jamais pensé à Helen Clyde. Son choix se serait plutôt porté sur une femme capable d'apprécier une promenade à Chysauster Village au milieu des habitations préhistoriques sans se croire obligée de s'écrier : "Seigneur, Tommy ! Tu imagines l'effet de ce vent épouvantable sur le teint de ces malheureuses ?" (p. 680 & 681)
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