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EAN : 9782889730476
416 pages
Rosie & Wolfe (27/02/2024)
  Existe en édition audio
4.13/5   1803 notes
Résumé :
Braquage à Genève, 2 juillet 2022, deux malfaiteurs sont sur le point de dévaliser une grande bijouterie de Genève. Mais ce braquage est loin d'être un banal fait divers...

Vingt jours plus tôt, dans une banlieue cossue des rives du lac Léman, Sophie Braun s'apprête à fêter ses quarante ans. La vie lui sourit. Elle habite avec sa famille dans une magnifique villa bordée par la forêt. Mais son monde idyllique commence à vaciller.
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Critiques, Analyses et Avis (253) Voir plus Ajouter une critique
4,13

sur 1803 notes
J'avais vraiment hésité , avant de me lancer, la lecture de ce roman de de 400 pages. le précédent ne m'avait pas transportée plus que cela. Restons optimiste, le livre est devant moi , je le prend et la haut miracle, impossible de le lâcher. Je l'ai englouti, avalé, dévoré, pas le temps de le déguster. .Une histoire qui va à cent à l'heure, un rythme intense qui monte crescendo; une intrigue , Un suspens haletant, palpitant . L'auteur nous promène, nous ballade, se joue de nous, avec une grande jubilation. Une histoire à multiples rebondissements, entre le passé et le présent, où veut il nous emmener. Impossible de le savoir, l'auteur est le seul maitre ,lui seul connait l'aboutissements. Une histoire hors norme , des personnages atypiques, on s'attache à eux. Un thriller psychologique qui met nos neurones à rude épreuve. Il parsème des indices qui vont s'imbriquer tel un puzzle au fur et à mesure de la lecture .L'auteur plante le décor dans sa quatrième de couverture .Il nous tient en haleine dés le début , une bombe a retardement qui va exploser , un véritable feux d'artifice au dénouement final, une fin totalement imprévisible. Une histoire qui m'a pris au tripes, qui m'a littéralement scotchée, m'a donné la chair de poule, je me suis prise une grosse claque, un véritable uppercut, impossible de sortir indemne d'un tel récit. Une histoire qui est ancrée en moi, pour un bon moment. Emotion, suspens garantis. A lire de toute urgence.
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Deux ans après « L'affaire Alaska Sanders », Joël DickerLa Vérité sur l'affaire Harry Quebert », « La Disparition de Stéphanie Mailer », « L'énigme de la chambre 622 ») étale déjà son septième roman dans les vitrines de quasiment toutes les librairies.

Dès le prologue, l'auteur nous plonge en plein braquage en compagnie de « La Cagoule » et de « La Casquette », qui disposent d'exactement sept minutes pour perpétrer ce hold-up parfaitement huilé. Cueilli d'entrée, le lecteur se laisse de nouveau surprendre après seulement quelques pages, lorsque Joël Dicker interrompt le braquage pour revenir 20 jours en arrière, en compagnie de deux couples que tout sépare. Deuxième compte à rebours… la machine est lancée… des centaines de milliers de lecteurs seront tenus en haleine jusqu'à la dernière page !

Le braquage fait donc office de carotte, véritable point d'orgue de cette minuterie suisse qui nous pousse à tourner les 400 pages de ce nouveau roman qui invite finalement surtout à suivre les pas de Sophie et Arpad, qui vivent dans une « maison de verre » en bordure de forêt dans une banlieue huppée de Genève, et de leur voisins, Karine et Greg, qui habitent dans un endroit bien plus modeste, d'ailleurs surnommé « la verrue » tellement il fait tâche dans les environs.

Les allers-retours s'enchaînent, le lecteur passe d'un couple à l'autre, l'auteur jongle avec le passé, le présent et le futur, s'installe en véritable maître du temps, distribue savamment toutes les pièces de son puzzle. Au fil de chapitres particulièrement courts, il dévoile progressivement la vérité qui se dissimule derrière les apparences, divulguant les secrets des uns et des autres, sans jamais perdre de vue ce diabolique compte à rebours qui nous rapproche indéniablement du dénouement.

Délaissant Marcus Goldman, son personnage fétiche, et plantant son récit de ce côté-ci de l'Atlantique, Joël Dicker propose un thriller diablement efficace, mêlant jalousie, voyeurisme et banditisme, toujours dans ce style d'une sobriété bigrement efficace, qui tient en haleine de la première à la dernière page. Une pauvreté au niveau du style qui ne manquera pas d'agacer les puristes, mais une maîtrise de la construction qui continue de séduire les foules…moi compris !

Un excellent Joël Dicker !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Greg et Karine Liégean vivent dans un petit lotissement modeste au sein de la très chic ville de Cologny, à côté de Genève, ils ont deux enfants et leur couple n'est pas au mieux de sa forme. Ils font la connaissance de leurs riches voisins, Arpad et Sophie Braun, qui ont eux aussi deux enfants mais s'entendent à merveille, vivent dans une magnifique maison d'architecte en verre et avec qui, malgré la différence sociale, ils sympathisent. Mais Greg est si fasciné par Sophie qu'il joue les voyeurs, notamment le matin en allant faire son jogging avec son chien. Il se poste dans les bois à la lisière de la maison de Sophie et l'observe. Un jour, l'écran du téléphone de Greg s'illumine alors qu'il est à son poste d'observation, ce qui attire l'oeil de Sophie et il manque de se faire prendre… ● de Joël Dicker, j'avais lu, comme beaucoup, La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, qui m'avait bien plu malgré son style aux allures de mauvaise traduction de l'américain. J'avais aussi lu le précédent, Les Derniers Jours de nos pères, un ouvrage plaisant dans lequel il n'avait pas encore trouvé sa manière, et le suivant, le Livre des Baltimore, que j'avais beaucoup moins aimé. Quant à La Disparition de Stephanie Mailer, il m'est carrément tombé des mains. ● Mais je dois dire qu'avec cet Animal sauvage, je renoue avec grand plaisir avec cet auteur très imaginatif. S'il est certain qu'il n'est pas un grand styliste, j'ai cependant trouvé qu'il avait nettement amélioré son style dans ce nouvel ouvrage ; il n'y a plus d'expression lourdingues ni (presque) de fautes de syntaxe. le style est au service de l'intrigue ; clair, il est loin d'être désagréable. ● le plaisir qu'on ressent à la lecture de ce roman est celui de se faire manipuler avec brio. Il faut avouer qu'on ne voit pas du tout arriver les retournements de situation qui nous cueillent, tout simplement. ● le livre donne aussi l'occasion à Joël Dicker d'écrire et d'insérer une façon de nouvelle italienne du début du XXe siècle, avec un clin d'oeil au Guépard de Visconti. ● Les personnages ont tous des secrets qui nous sont révélés peu à peu, notamment grâce à la construction du récit, faite de multiples retours en arrière, construction extrêmement habile et exécutée avec une précision d'horloger. ● Une fois qu'on est lancé dans ce roman, on ne peut plus s'arrêter, c'est très prenant et très divertissant.
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Je crois que Dicker n'est pas un auteur pour moi.
J'avais détesté la vérité sur l'affaire Harry Quebert et je m'étais promis de retenter avec l'auteur.

C'est donc chose faite... C'était mieux mais quand même pas très concluant.

Le début de l'histoire était prometteur, mais je me suis vite ennuyée.
En fait très sincèrement ses histoires de sexes, de voyeurisme m'ennuient de profondément.
Je trouve aussi que le rythme de la narration est assez lente... Allez allons dans le stéréotype : avec les Suisses c'est normal !!
Dans mon très jeune temps j'ai été frontalière en Suisse... Mon chef d'atelier était Suisse... On s'amusait a le chronométrer quand il traversait l'atelier. Il a très clairement gagné la médaille de la lenteur pour notre plus grand plaisir... A côté de ça c'était un chef génial et très humain.
.
Revenons au bouquin. Et pourtant les avis Babelio sont plutôt très positifs.
Et au vu du succès de Dicker je ne vois que la solution que nous ne sommes pas fait l'un pour l'autre.
L'auteur fera son chemin et moi de mien.

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Quel rapport peut-il y avoir entre un braquage dans une bijouterie de Genève et un couple qui vit dans une luxueuse maison d'architecte au bord du lac Léman ?
Joel Dicker avec des allers-retours entre passé et présent construit un récit original, façon puzzle dont les différents éléments se révèlent au fur et à mesure des pages. Chaque chapitre est un compte à rebours infernal.
Si ce roman n'est pas un coup de coeur, je l'ai lu avec plaisir.
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critiques presse (14)
Bibliobs
09 avril 2024
Sa matière première, c’est le temps, que Joël Dicker tord à la façon de Dali. On avance, on recule. On s’y perd complètement et on éprouve enfin le « temps perdu ». Est-ce un hasard sachant que Bernard de Fallois, l’éditeur auquel Dicker doit tout, était un grand proustien ? On le craint. Et est-ce un hasard si un détestable personnage du roman, nouveau riche et magouilleur, se prénomme Bernard ? On l’espère.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LeDevoir
08 avril 2024
Utilisant sa recette habituelle tout en évitant certains ingrédients, Joël Dicker livre un de ses meilleurs romans.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
LeJournaldeQuebec
08 avril 2024
Joël Dicker propose un suspense psychologique décapant, bâti autour d'un braquage de banque, dans son nouveau roman.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LeSoir
19 mars 2024
Genève et ses environs servent de cadre au nouveau roman à l’intrigue parfaitement calibrée de Joël Dicker. Prétexte tout trouvé pour un plaidoyer sur l’importance de la lecture.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LaLibreBelgique
18 mars 2024
L'écrivain genevois oublie l'intrigue criminelle pour tirer le fil rouge d'un braquage annoncé dans un thriller moins long que les précédents.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Culturebox
04 mars 2024
Une fois de plus, Joël Dicker ne nous lâche pas, et on se laisse prendre en otage, consentants certes, de cette histoire.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LePoint
04 mars 2024
Dicker, lui, reste sur sa ligne de tisseur de mystères épais, portés par un sens de l'action trépidante.
Lire la critique sur le site : LePoint
OuestFrance
04 mars 2024
Dans son septième roman, Un animal sauvage, l’auteur suisse s’attaque au paraître qui habille nos relations sociales. Avec à la clef un jeu de passe-passe intriguant, malin, qui tient ses promesses.
Lire la critique sur le site : OuestFrance
LeFigaro
29 février 2024
Un Animal sauvage commence de la façon la plus raffinée qui soit […] il s’agit pour l’auteur de produire une fresque, semblable à une toile de Hopper, que le lecteur aura loisir de contempler avant que tout se dégrade.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeFigaro
29 février 2024
Il manque à l’auteur de laisser sa plume courir sur le papier pour composer un livre qui ait une personnalité. Au lieu de cela, on parcourt une histoire racontée dans un style qui ne s’aventure guère au-delà du sujet-verbe-complément.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LaTribuneDeGeneve
28 février 2024
L’impression d’un roman en compte à rebours, construit façon machine infernale, chapitres courts comme autant de sprints vers chaque pièce du puzzle. On n’est donc pas surpris d’avoir lu cela presque en courant, d’avoir voulu savoir quoi ou qui était l’«animal sauvage» qui donne titre à son nouveau roman.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
LesEchos
27 février 2024
Bien plus court que ses pavés précédents, « Un animal sauvage » n'en est pas moins totalement addictif. En orfèvre de la construction, l'auteur de « La Vérité sur l'affaire Harry Quebert » prend un malin plaisir à nous mener en bateau.
Lire la critique sur le site : LesEchos
LaTribuneDeGeneve
27 février 2024
Un roman resserré, qui raconte un braquage chez lui, à Genève. Un thriller à la mécanique diablement efficace.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
Elle
11 janvier 2024
Baptisé « Un animal sauvage », l’ouvrage de 400 pages aux allures de polar conjugué à un thriller psychologique haletant devrait captiver les fans de Joël Dicker – à l’image de ses précédents succès.
Lire la critique sur le site : Elle
Citations et extraits (56) Voir plus Ajouter une citation
Au sortir du café, Karine regarda Sophie sa silhouette, ses cheveux qui ondulaient parfaitement, des longues jambes joliment bronzées qu'affinait encore sa paire de talons. Karine se demanda alors si on pouvait admirer et détester quelqu'un pour les mêmes raisons : c'était la définition même de la jalousie.
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Je n'aime pas les regrets, ils sont une trahison de soi-même.
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Des grands deuils, le temps ne répare presque rien.
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Au sortir du café, Karine regarda Sophie s'éloigner. Elle contempla sa démarche, sa silhouette, ses cheveux qui ondulaient parfaitement, ses longues jambes joliment bronzées qu'affinait encore sa paire de talons. Karine se demanda alors si on pouvait admirer et détester quelqu'un pour les mêmes raisons : c'était la définition même de la jalousie.
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Je n’aime pas les regrets, ils sont une trahison de soi-même.
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