Je lis rarement des romances contemporaines, étant difficile en la matière. J’ai besoin que les thèmes
m’accrochent, que le trope me convienne et que les personnages suscitent ma curiosité, pour que je m’y plonge.
Quand j’ai entendu parler de Love on the brain (qui circule beaucoup sur les réseaux sociaux), j’ai vu « NASA », « héroïne geek », « Marie Curie », « enemies to lovers », alors j’ai foncé ! 😁 L’été étant propice aux lectures légères, je me suis lancée dans cette lecture en pensant passer un bon moment… et me suis retrouvée à ne pas pouvoir lâcher le roman de la journée ! C’est simple : je l’ai littéralement dévoré !
L’histoire est pourtant cousue de fil blanc, dès le début on sait comment l’intrigue se dénouera et qui se cache derrière l’identité de Junk, le principal correspondant de Bee sur Twitter, mais ça fait partie du charme des romances que de savoir où l’on va.
Ce que j’ai aimé, c’est le ton plein d’humour, les personnages creusés, mais aussi les thématiques abordées. À travers Bee, Ali Hazelwood parle ainsi de la place des femmes dans le milieu scientifique, et l’autrice évoluant dans ce domaine, on sent le vécu ! Cela donne aussi un background solide à l’histoire, accessible toutefois même aux personnes qui, comme moi, sont des littéraires pur jus. Evidemment, en bonne geekette j’ai a-do-ré les références geek ! 😁
À noter que le roman comporte quelques scènes spicy (on peut même dire : crues). Personnellement, je ne suis pas très fan de ce genre de scènes et c’est ce qui a coûté au roman la place de coup de coeur. Heureusement, il n’y en pas beaucoup et ça se fait dans le cadre d’une relation respectueuse.
En résumé, je me suis vraiment régalée avec cette comédie romantique qui avait tout pour me plaire !
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