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Akira, tome 1 - Edition noir et blanc

Je me rappelle que Akira a été ma première grande claque dans l'univers des Manga. Quand on passe des Mangas du club Dorothée à Akira on se dit "waouh quelle tuerie". Déjà rien que le niveau visuel est une révolution à cette époque. Mais Akira va bien au-delà du simple Manga, il dénonce notre système décadent qui nous conduira bientôt vers cette fameuse troisième guerre mondiale. Plus le fossé se creuse entre les différentes classes de notre société plus on risque d'y basculer. Profitez donc encore un peu de votre petite vie bien rangée. Cela ne va plus durer.

Après la guerre qui a ravagé la planète on voit apparaître Néo-Tokyo, une grosse mégapole en totale décrépitude. Au milieu de cet univers décadent les jeunes survivent comme ils peuvent. Le corps éducationnel n'a plus rien d'un endroit où on enseigne c'est plutôt un endroit de répression. On voit alors les gangs de motard fleurir un peu partout. Les jeunes survivent dans ces bandes et son accro à la violence et à la drogue.

Akira n'est pas simplement une vision du futur de notre monde, il y a aussi une histoire d'amitié et de rivalité entre Kaneda et Tetsuo. Kaneda le craque le leader et Tetsuo le loser le suiveur. Puis lors d'une sortie en vie Tetsuo hérite d'un étrange pouvoir suite à un accident. Son pouvoir devient addictif pour lui, il se sent aussi puissant qu'un Super héros, mais il y a une contrepartie à ce pouvoir fantastique.

Au milieu de cela les militaires voient en lui, un potentiel incroyable. Et comme le pognon contrôle le monde, Tetsuo ouvre des perspectives nouvelles. Mélangeant intrigue thriller à univers cyber, Akira reste une révolution malgré les années passées, une référence à découvrir de toute urgence. Si vous n'en avez jamais entendu parler vous devez vivre sur une autre planète...
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La Dernière allumette

J'ai été surprise, c'est le mot, par ce roman. Bizarrement je m'attendais à tout mais pas à ça. Sans doute que si j'avais su je ne l'aurai pas pris. Et ça aurait été très dommage.
J'ai écouté son interview à la fin du livre audio (que je recommande 100 fois, les narrateurs ont su faire vivre les personnages merveilleusement bien, jusqu'à Abby enfant où j'ai cru que c'était une autre narratrice tellement c'est bien lu), et oui il faut le lire sans aporiori et se laisser porter.
On commence avec Abigael à un enterrement et on fini par un enterrement (c'est la phrase du chapitre pas de spoiler). Abigael on ressent qu'il y a quelque chose, un secret, une chose cachée, et tout du long on va le découvrir avec elle. J'ai été bluffé, car je pensais avoir compris mais non. La vérité est vraiment à la fin.
Ce roman est bien construit car on suis Abby adulte, puis jeune, on suit son frère Gabriel, puis un psy et Madame Boisjolie. Tous sont liés, même si on ne sait comment. Tous ont une importance décisive même si on ne sait pas quand et surtout la manière.
Un livre qui parle d'un sujet compliqué (car c'est délicat de ne pas blesser) et dur, mais également du sujet de l'enfant atypique et surefficient. L'autrice s'en est tirée à merveille. Elle peut tout écrire, je suis bluffée à chaque livre. C'est rare d'avoir une autrice qui peut aller sur divers terrains, merci pour ça.
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Une vraie famille

François et Mathilde se sont installés dans leur maison de campagne en Bretagne pour se remettre d'un drame. Ils font la connaissance d'une jeune homme et l'engagent pour faire des travaux. Très vite Ludovic s'immisce dans leur vie. Jusqu'où cela ira-t-il ?
Le roman est découpé en 3 parties, le rythme est assez lent, il y a finalement peu d'action, mais j'ai lu le livre d'une traite. L'écriture nous capte et j'ai enchainé les pages. L'ambiance est assez pesante, je n'ai pas forcément ressenti beaucoup d'empathie pour les personnages mais je voulais savoir ce qui allait se passer puis comment cela allait finir. C'est un thriller psychologique, presque un huis clos sur ces 3 personnages. Je n'avais pas vu venir ce qui s'est passé, le suspense a été maintenu jusqu'au bout. 
En bref, une lecture que j'ai apprécié. Ce n'est pas un thriller avec de l'action et moult rebondissements, c'est centré sur la psychologie des personnages.
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Les Disparus de Saint-Agil

"Les Disparus de Saint-Agil" de Pierre Véry m'a semblé être un roman policier destiné aux adolescents. L'histoire se déroule dans un collège en 1914 et met en scène un groupe de trois amis, les Chiche-Capon, dont le rêve est de se rendre aux États-Unis. Dès la disparition du premier garçon, suivie de l'arrivée d'une carte postale en provenance de Chicago, l'intrigue prend forme. La disparition du deuxième garçon rend le troisième de plus en plus intrigué, et le meurtre d'un professeur met le collège en ébullition.
L'histoire, bien que prometteuse au départ, s'étire malheurement en longueur. De nombreuses petites scènes inutiles ralentissent la progression de l'intrigue, diminuant l'intérêt du lecteur. La solution finale de l'enquête n'a rien d'original et ne met pas en avant un personnage clé du roman.
Seule petite originalité du récit : l'insertion d'un rêve peu avant la solution finale. Néanmoins, ce rêve ne semble servir qu'à ralentir davantage la lecture.
Si ce roman peut éventuellement plaire à un public adolescent, il est peu probable que les adultes y trouvent leur compte en raison de sa naïveté et de son manque de profondeur. Les jeunes lecteurs pourraient toutefois apprécier l'ambiance d'un collège au début du XXe siècle.
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Goblin Slayer, tome 2

La team s'agrandit avec les perso types de ce genre de récit : une elfe et un nain mais faudrait penser à passer la seconde car si le côté jeu vidéo où on va faire des quêtes dans des donjons et où ça parle des caractéristiques de chaque perso ça va vite être relou. Pour le moment l'histoire a pas réellement commencé et ça peine à être captivant heureusement qu'il y a une vraie violence bien vénère ça compense le manque d'originalité. Bon je laisse encore 2 tomes mais ça sent pas vraiment bon car je sens pas une grosse amélioration possible
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Tous les matins du monde

Un petit livre pour une grande histoire, voilà qui résume très bien cette œuvre de Quignard. L'auteur met en scène Marin Marais, jeune musicien baroque qui souhaite apprendre aux côtés de De Sainte Colombe, le grand maître de viole de Gambe... Marin Marais fera tout pour obtenir les faveurs de ce maître, apprendre de lui, quitte à séduire les filles de De Sainte Colombe...
Une belle histoire sur le deuil, l'amour et la musique.
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Vinland Saga, tome 19

La réputation de Thorfinn le précède et son but de ne plus recourir à la violence est une bonne vieille idée de merde et ici il a un tueur à ses trousses. Un perso une nouvelle fois ultra stylé avec encore un nouveau style de combat qui claque. Et je suis curieux de voir combien de temps le non recours à la violence va tenir.
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L'été où je suis devenue jolie, tome 1

J'ai bien aimé cette lecture ! Je n'avais pas regardé la série car je préférais lire les livres avant, et je pense que j'ai fais le bon choix. C'est un livre qui se lit très vite, la plume de l'auteur est fluide. J'ai bien aimé l'histoire, ainsi que les personnages. J'ai apprécié le fait qu'il y ait des flash-back des étés précédents, ce qui nous permet de mieux comprendre certaines réactions des personnages. J'ai vraiment été emportée avec eux dans leur maison à la plage, et j'ai passé un très bon moment de lecture.
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Le faucheur de sorcières, tome 1

Extrêmement bonne surprise, au point d’avoir acheté le relié malgré la réception de SP numérique.

J’ai beaucoup aimé la dynamique entre les personnages, très saine et respectueuse ! Consentement en permanence et pas qu’en matière de spicy.

On est sur un slowburn, enemies to lovers, proximité forcée, he fells first… bref, que des tropes que j’aime ! Le combo a très très très bien fonctionné. J’ai dévoré le livres en à peine trois jours, je me jetais dessus dès que possible.

J’ai adoré l’héroïne, la dualité entre ses représentations initiales, ses envies de vengeance, et le choc de la rencontre. Ses émotions s’opposent, la relation évolue vite et pas du tout à la fois. Deux pas en avant, trois pas en arrière, sans être dans une redondance insupportable ! Un caractère tranché mais sans tomber dans le cliché agressif. Une héroïne en nuances, avec beaucoup de qualités et des petits défauts venant combler sa profondeur.

Parlons surtout d’Alexus, aka Le faucheur, ennemi juré de Raina… euh… bonjour monsieur. Vous pouvez m’emmener dans la forêt pour me protéger et m’apprendre la magie autant que vous voulez. Je suis amoureuse, vous êtes parfaits. Je rirai à TOUTES vos blagues, je baverai sur votre plastique, brosserai vos cheveux. Tout ce que vous voulez. Je signe, je resigne et rereresigne !

Outre les personnages, le récit est rempli d’actions. Petit huit clos dans les bois, voyage initiatique et découverte de l’autre, survie et difficultés, dangers dans tous les coins… la tension est présente avec un rythme permanent.

Petit bémol, malgré tout: des petits moments où la cohérence m’a un peu manquée… et je pense que c’est principalement dû à des petits soucis de traduction. Des phrases un peu obscures qui ont impacté la fluidité de la plume, bien que pas assez pour restreindre mon enthousiasme ! J’ai déjà hâte d’avoir la suite !
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Felix et Lane, tome 1 : Sauvé de l'obscurité

Très belle surprise. Certes, ce roman souffre de facilités et de rebondissements parfois peu crédibles, mais l'humour balaye tout ! Félix est une boule d'énergie drôle, attachante et sarcastique. Bavard et loin d'être idiot, il est surtout du genre curieux et voleur, ce qui conduit le tandem à des situations parfois complexes, mais plutôt inattendues… J’ai aimé qu’il change des héros classiques et qu’il n’hésite pas à rembarrer sans vergogne celui pour qui il travaille, sans pour autant que ce soit révoltant. Félix remue les habitudes de Lane. Ne s’apitoie pas sur son sort et le taquine de la plus délicieuse des manières ! Un ennemies to lovers saupoudré d’action et d’enquête, presque sans temps mort. Hâte de lire la suite, en espérant toujours savourer les piques du duo.

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Mamie n'a plus toute sa tête, tome 1

Mamie n’a plus la lumière à tous les étages. Elle se croit encore à l’époque de la Seconde Guerre mondiale et confond ses visiteurs avec des membres de la Gestapo. Elle les dézingue dans la cave, encouragée par son mari, décédé depuis des lustres.

Romain, son petit-fils, est chargé de faire disparaître les cadavres qui s’amoncellent. Pris par cette tâche à temps plein, le pauvre gars néglige son travail et sa femme qui le soupçonne d’adultère. Lorsque la police commence à enquêter sur les disparitions, tout part en sucette et les situations cocasses se succèdent.

Romain nous entraîne dans ses péripéties et j’ai bien ri. Les situations improbables se multiplient aussi vite que les cadavres. C’est totalement barré et la suite s’annonce prometteuse.

Une BD complètement déjantée, remplie d’humour noir et de cadavres, en veux-tu, en voilà. Une sympathique découverte pour se détendre entre deux romans. Je vous la recommande vivement.

Lien : https://www.facebook.com/lec..
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La voix des Saules

« Je ne connaissais pas le centre, je n'ai jamais donné d'ateliers d'écriture, je n'en avais suivi (…)»

Je connaissais le sujet du livre mais j'avoue que je ne m'attendais pas à cette phrase dés la deuxième page.
Je suis resté ébahi une bonne minute. Bon, par après on se rendra compte que l'expérience de l'autrice en faisait une personne de choix et c'est cela qu'ont sans doute cerné ses deux examinateurs à l'entretien d'embauche.

« Alors que je m'interroge sur ma légitimité à écrire une histoire (« quoi que je tente, je n'écrirai jamais qu'un ersatz d'une réalité que je ne peux appréhender »), je vois aussi, et la sensation ne me laisse pas en paix, comme j'en fais mon miel. »

Au début, on pourrait croire qu'elle s'inscrit dans une fausse modestie, une compassion formalisée, échelonnée, ou dans une instrumentalisation des vécus mais, rapidement, on la voit douter, parler de ses failles, oser dire ce que les membres de l'atelier lui apporte, accepter ce qui donne et défait aussitôt. On se rend compte qu'on est au-delà d'un énième témoignage sur la différence ou la thérapie par l'art, mais dans ce qui devait être écrit. C'est un livre qui renforce la proposition de Nancy Huston, nous ne sommes faits que d'histoires.

« Se détache de l'ensemble (de croquis) la merveilleuse silhouette d'une femme-arbre. Des branches poussent de son torse, sa tête est relevée d'une épaisse couronne de feuilles. Je m'y arrête. Lina commente pudiquement : C'est pour me tirer vers le haut, pas toujours vers le bas. »

« Je leur dis: Ce qui m'intéresse, c'est ce qui vient ensuite. Et aussi : À partir de là c'est à vous de jouer. (…) Mathias, d'ordinaire peu revendicatif, assène : « Avant est une grosse baudruche qui se dégonfle. » »

D'ailleurs, quand même une critique à mes yeux, mettre en titre la voix même si l'autrice s'inscrit en témoin est présomptueux je pense, cela s'inscrit peut-être encore dans une forme de masque, de protection. Vu qu'elle n'hésite pas à mettre des textes des membres de l'atelier, parler de leurs créations ou donner un peu de leurs vécus, le titre aurait pu être : « Les voix des Saules ».

« On développe son écoute comme, en musique, on travaille sa justesse. »

L'autrice le dira souvent mais ce qui frappe c'est la qualité d'écoute des textes des participants aux ateliers. Tous aux Saules ont développé une oreille affutée, qui entend des gammes d'ordinaire silencieuses. Comme si la faiblesse, les contraintes, faisaient émerger les qualités, de nouveaux espaces intérieurs.

Je crois que la réussite du livre est qu'il fera quasi inévitablement remuer le lecteur, l'inclura dans la danse de la vie, le mènera doucement vers ce chemin qu'il a oublié ou s'est efforcé d'oublier. Tout le long, le livre ne dépeint qu'une chose : notre droit à exister, à ressentir sans pour autant que cela nous définisse.
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Scottish rhapsody

C'est le premier livre que je lis de Delinda Dane. Le résumé me faisait envie, et puis j'ai vu la trope du mariage arrangé et c'est ce qui a fait basculé ma lecture. J'ai dévoré le livre en une après midi. Le fait que l'histoire d'amour soit au premier plan mais qu'il y ait une arrière trame d'un mystère à résoudre sur qui veut faire repartir Erynn rajoute un petit truc en plus à la lecture, que j'ai adoré. On découvre Lachlan comme un ours mal léché mais qui s'ouvre et qui, on le découvre petit à petit avec Erynn, comme un gros nounours.
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Les Enquêtes d'Hercule Poirot

Recueil composé de neuf nouvelles, toutes consacrées à Hercule Poirot. Hormis l'une ou l'autre plus facile à percer, le niveau général des intrigues est étonnamment bon. Agatha Christie parvient à aller à l'essentiel avec talent, le tout en apportant un soin particulier à l'écriture.
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Noir d'os

Une autobiographie qui se centre sur la vie d'une petite fille noire puis de la jeune fille qu'elle devient.

Le récit se déroule dans le Sud des États-Unis.

Ce n'est pas par hasard que l'auteure a nommé son livre « Noir d'os » ; je laisse place à la parole de celle-ci : « le noir d'os est une substance carbonée noire obtenue par la calcification d'os dans des récipients fermés. »

Dans ce livre, la narratrice raconte l'enferment psychologique qu'elle subit au cours de sa jeunesse, c'est un récit intime, un vécu douloureux.

Dans ce livre, Il n' est pas seulement question du racisme et de la ségrégation subis par les personnes de couleur mais aussi du joug des conventions, de la domination blanche ou masculine qui pèsent sur les femmes et les filles de l'époque, d'une forte pression familiale surtout sur les femmes de l'époque (Années 1960/70 ?).

Le récit de cette enfance et cette jeunesse très difficile au cours de laquelle elle subit des violences familiales, morales et psychologiques nous plonge progressivement dans l'univers intérieur de la jeune fille qui mêle parfois rêve et réalité. C'est cependant un univers noir auquel le personnage doit échapper pour vivre pour devenir enfin la femme, l'être humain que tout un chacun mérite d'être.

Contre la maladie mentale et la mort qui rodent, la fiction devient alors un remède précieux, une échappatoire pour la jeune fille et cela dès son plus jeune âge. le rêve, l'évasion, l'issue de secours de cette vie difficile se fera par les livres, le salut viendra du rêve de l'imaginaire, de l'évasion dans d'autres univers contre l'enferment.

C'est un récit individuel autobiographique qui a une portée universelle, qui est émouvant qui bouscule les parties sombres que nous portons en chacun de nous.

Un livre qui mérite d'être lu, transmis et découvert malgré sa noirceur faite de vérité cependant.

Je remercie La FNAC ainsi que les éditions Plon qui m'ont permis de découvrir ce roman en avant première dans le cadre du prix du roman FNAC 2024.
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Scherbius (et moi)

Livre excellent, à la fin de ce livre, je suis resté stupéfait avec l'impression d'avoir été moi-même manipulé.
La technique littéraire consistant à présenter six éditions du même livre est brillante.
Dès que j'ai lu les dix premières pages, je ne pouvais plus "lâcher" le livre.
Où est la part du réel de la vie des deux héros, far pour moi, le psychiatre ou Scherbius ?
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Sous le soleil des Falconi

Le tome 7!
Déjà, en cinq ans, sans oublier que cette année, Fred Bologsen a été particulièrement prolixe, car même s'il nous a privé pendant près d'un an et demi du commissaire Joseph Corti, il a quand même sorti un diptyque, avec un nouveau héros, Joseph Dando, "Le tueur au chat qui dormait au creux de son épaule", et "Ne pas tomber du manège".
Et au vu des commentaires sur les deux premiers tomes de Danko tant sur Babelio et Amazon, on se dit que ce nouveau venu a déjà trouvé sa place chez les lectrices et lecteurs de Fred Bologsen.
Donc, le soleil ne luit pas de la même façon, selon que vous soyez pour ou contre le clan Falconi, et surtout, contre le chef de clan, César.
Mais vous connaissez le commissaire Joseph "Jo" Corti et son souci d'équilibre et d'égalité!
Un tome 7 où Bologsen évoque les souvenirs d'enfance de son commissaire qui sont à coup sûr les siens, et dans lequel on retrouve avec plaisir Matéo Piana ( Tome 1 "Chacun son tour dans les bras de grand-mère. Vous savez le patron de bar de la rue Bonaparte à Ajaccio, qui tourne le café de ceux quiv euletn el racketter avec le canon de son 11.43?), mais aussi Stéphanie Mallard, qui a perdu du poids et est tombée amoureuse.
Un tome 7 dans lequel Joseph Corti va se retrouver confronté à son passé, ou du moins une partie de son passé familial qu'il ignorait totalement. Et pour cause, certaines situations ou histoires ne méritent peut-être pas d'être étalées au grand jour.
Corti contre Falconi?
Cela pourrait être facilement résumé, sauf que Carla, fille du parrain, a fait la connaissance de notre commissaire, et toute rencontre avec Jo Corti n'est jamais anodine.
Tant à titre personnel, qu'au niveau de l'histoire.
Un tome 7 à déguster sans modération, car c'est encore un grand cru 2022, que nous avait livré Fred Bologsen.
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La romance de ma vie... Tu parles !


Je ne vais plus présenter la plume de l'auteure , je l'ai tellement lu , je l'ai tellement partagé , que je pense que vous savez tous que je suis fan.

Et quel plaisir d'avoir lu ce livre c'est un bonbon , j'ai eu des crises de fou rire , a en avoir mal à la mâchoire , mes enfants me regarder comme si je n'étais pas normal

Alizée est une jeune auteur qui est casanière qui vit avec son chat vampyr (que j'ai surnommé pisse 3 gouttes )
Elle va faire la rencontre de son voisin Erwin lui c'est un homme tout en muscle sur de lui je le trouve arrogant il peut être extrêmement agaçant mais tellement drôle (penser pour son Dédé

C'est une rencontre au en couleur , entre leurs échanges les situations qui ont entre eux , on ne peut pas ne pas rire ....c'est pas possible Je suis une grande fan d'Alizée

Phrase que j'ai aimé :
" Il verra, le karma est une belle salope qui lui fera la misère."

#bookgram #boulimiquelitteraire #Lecture #livreaddict #leslivrescestlavie
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La mort ne sonne jamais deux fois

Un polar que l'on ne referme qu'une fois atteint la dernière page, et l'on se dit, "déjà"?
Seulement 220 pages, et dans ce "La mort ne sonne jamais deux fois", Fred Bologsen nous prive un peu de la "dose" de plaisir de lecture habituelle, plus proche des 400 voire des 500 pages.
Mais la qualité n'atteignant pas le nombre des feuilles de papier d'un roman ou d'un polar, c'est toujours avec autant de plaisir que l'on découvre une novelle enquête-aventure du commissaire Joseph" Jo" Corti, avec son franc-parler, son humour, son énergie, son petit côté "provoc" qu'on aime tant, et cette volonté farouche d'aller où il ne faut pas aller, surtout quand on le lui a interdit....
J'ai lu tous les polars de cet auteur, et ce qui me surprend, c'est qu'aucune maison d'édition ne se soit pas encore intéressé à lui, car le commissaire Joseph Corti nous change quand même de tous ces flics perturbés que nous proposent nombre de séries télé (toutes chaines et câbles confondus), avec du vécu véritable, de l'humour, et juste ce qu'il faut de sexe, sans parler des histoires bien montées, toutes de véritables parties d'échec mais dont on comprend les règles tant le style de l'auteur est fluide et limpide, claire et précis. Entre autres...
Mais tout vient à point à qui sait attendre.
Surtout quand il ne semble pas vraiment attendre
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La souris qui rugissait

"La souris qui rugissait" de Léonard Wibberley est une véritable pépite d'humour et de satire qui transcende le temps. Dans ce roman, qui date pourtant de 1955, Wibberley critique, avec une ironie mordante, la politique menée par les grandes puissances économiques et militaires et réussit à distiller dans son récit des éléments de fable politique, de satire et de conte philosophique, plaçant son œuvre quelque part entre les écrits caustiques de Voltaire et les aventures farfelues de Terry Pratchett ou de Sacré Graal.
Même si le contexte des années 50 est un peu vieillot, les thèmes abordés dans "La souris qui rugissait" restent terriblement actuels. Ce qui m'a particulièrement marqué, c'est la manière dont Wibberley parvient à rendre son récit à la fois hilarant et réfléchi. Le livre offre une perspective rafraîchissante et nécessaire sur les questions de pouvoir et de diplomatie, tout en divertissant le lecteur avec une narration inventive et pleine d'esprit.
C'est un roman que je recommande vivement à tous ceux qui cherchent une lecture divertissante, pleine d'humour et de satire tout en restant incroyablement pertinente aujourd’hui et qui nous rappelle que même les plus petites voix peuvent parfois rugir comme des lions !
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