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Mon 2nd livre de Ito Ogawa et je suis charmée.

Shizuku est une jeune femme atteinte d'un cancer, qui vient passer ses derniers jours sur l'île aux citrons, au Japon.
Dit comme ça, ce pourrait être triste, ce sera surtout émouvant, et très sensuel, au niveau des 5 sens.

J'ai aimé ce roman lumineux, la personnalité de Shizuku, celle de Madonna la gérante de l'établissement de santé qui accueille les personnes en fin de vie, les goûters des dimanches après-midi et l'idée de faire le dessert préféré d'un des pensionnaires à chaque fois, la petite chienne espiègle, la lumière qui émane du roman autant que de l'île.

Quelques larmes à la fin, mais surtout une belle gratitude pour ces pages belles et pleines "d'images".

Me voici prête pour un nouveau roman de cette auteure.
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D'une incroyable délicatesse. J'adore cette autrice alors j'ai emprunté ce livre dès que je l'ai vu à la bibliothèque et m'y suis plongée sans même lire la quatrième de couverture. Quand j'ai compris que l'histoire allait porter sur une femme en fin de vie et ses derniers instants dans une maison de fin de vie, j'ai hésité à laisser tomber, car je savais que ça allait être triste. Mais l'amour pour la plume de cette autrice a été plus fort.
Shizuku, jeune trentenaire, a un cancer stade 4, il ne lui reste que quelques mois à vivre après 5 ans de combat contre la maladie. Seule, sans famille autour d'elle, elle décide d'aller vivre ses derniers instants dans un maison de fin de vie sur l'île au citrons, elle lui a été chaudement recommandée par son médecin. Elle y trouve goût aux petits plaisirs de la vie, car tout n'est quattention envers les invités dans cette maison. Ces moments plaisants du quotidien leur rendent la vie plus agréable malgré la maladie. Comme toujours chez Ogawa Ito, les descriptions et métaphores autour des repas et boissons sont détaillées et nous permettent de nous imprégner pleinement des sensations, de la douceur et du plaisir ressenti par le personnage. Loin d'être mièvre, ce récit oscille entre bonheur espoir et désespoir tristesse, qui ponctuent le quotidien des malades, mais surtout, le plus important, c'est toujours l'espoir et le "verre à moitié plein" qui finissent par rester.
Évidemment bouleversant, on n'échappe pas aux larmes en lisant ce livre, mais il est magnifique.
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Ito Ogawa nous revient avec un nouveau roman. C'est toujours un plaisir de la lire. J'ai envie de m'épancher, un peu, sur la couverture du livre qui est lumineuse, colorée, douce et tendre. C'est une douceur qui sera fort prégnante malgré le thème de l'histoire qui, ici, nous met face à la fin de nos existences et là où plus aucune issue n'est possible.

Que faire lorsque seul.e face à soi-même, on décide de partir vivre ses derniers jours sur l'île au lion. Là où tout est fait pour passer des moments confortables avant le néant. Ito Ogawa parvient à sublimer la fin de soi dans une histoire aussi douce et soyeuse que le papier d'une partition musicale. Chaque instant est vécu comme il devrait l'être. Littéralement l'histoire est pleine de pudeur poétique qui se mélange à une douceur platonique. Les interactions que la protagoniste noue viennent à nous montrer que finalement il faut savourer les petits instants fugaces.

J'ai beaucoup aimé suivre les derniers jours/semaines de Shizuku qui accepte son sort sans aucune forme de pathos, car il s'agit là d'un point fort du roman. Celui de ne pas être tombé dans le pathologique, mais dans une poésie qui nous montre qu'au final la vie est ainsi faite. C'est beau et triste à la fois. Perdre et retrouver font partie des thèmes d'Ito Ogawa comme on peut le lire dans le restaurant de l'amour retrouvé ou bien dans le ruban. Deux romans que je conseille vivement. le Goûter du lion aura réussi à sublimer ce que l'on veut à tout prix éviter, mais que personne n'évitera.
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Je ne connais pas ma demi-soeur. Elle ne veut pas me rencontrer. Elle est aujourd'hui, à quarante-cinq ans, en fin de vie, attaquée par cette maladie qui touche Shizuku. Voilà ce qui m'a amenée à lire ce livre. J'ai voulu chercher à comprendre ce qu'elle vivait, j'ai souhaité trouver un livre à mettre entre les mains de mon père. Dans ces cas-là, c'est quitte ou double: soit on enfonce le couteau dans la plaie, soit on trouve la béquille nécessaire pour supporter les aspérités du chemin.

J'ai pleuré, bien sûr, en lisant ce roman, mais je ne dirais pas qu'il est triste. Il raconte l'histoire d'une fille et de son père, l'histoire d'un artiste reconnu ayant pris le melon, l'histoire de la rencontre d'une boule de poils considérée comme un enfant, l'histoire d'une jalousie entre deux soeurs, l'histoire de Madonna en tenue de soubrette... Tant de parcours se recoupent ici!

Je craignais un peu cette lecture: de par le sujet bien sûr, mais aussi parce que je ne suis pas adepte de la littérature asiatique. Eh bien la poésie, ici, m'a envoutée; je ne l'ai pas trouvée trop marquée, trop cadrée par tous les cérémonials propres à la culture. Pour tout dire, des visages européens se glissaient même dans mon imagination à la place de ceux de Tahichi, de Maestro...

J'ai aimé la philosophie que dégage ce roman; tant de choses sont vraies! Et tant de choses auxquelles je ne prenais pas garde, comme le sens d'un goûter, qui n'est, en effet, pas un repas vital mais une ode à la vie! Pour ma part (je pique ici l'idée de Tantquilyauradeslivres qui a confié quel goûter elle choisirait), je n'opterais pas pour un dessert que j'aime réellement et pour lequel je me damnerais aujourd'hui, mais pour une viennoiserie que j'ai savourée étant petite, au sortir de l'école: le pain aux raisins.

J'ai dû retirer le sixième livre de mon top 6 de l'année (comme quoi il ne faut pas brûler les étapes!) pour le remplacer par "Le goûter du lion". Et je donnerai ce roman à mon père, en espérant secrètement qu'il l'offre à ma demi-soeur, s'il juge qu'elle est apte à le lire.
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Pour son nouveau roman, le gouter du Lion, Ogawa Ito a choisi la fin de vie pour thème principal. En prenant un sujet aussi délicat, l'autrice a fait le pari risqué de ne pas tomber dans le dramatique et d'amener de la lumière et de la douceur à ce thème.

Dès les premières phrases, l'autrice ne laisse aucune ambiguïté sur la possibilité d'un retournement de situation, de la réalisation d'un miracle pour Shizuku au contraire la situation est actée et il s'agit désormais pour notre personnage principal de vivre le plus sereinement possible ces derniers moments d'existence dans un lieu et une atmosphère spécialement prévus pour alléger la souffrance des personnes présentes.


Bien que le sujet soit éprouvant, Ogawa Ito ne l'a pas rendu pesant en intégrant à son récit des éléments qui la caractérisent et lui ressemblent.
Nous retrouvons la passion de l'autrice pour la gastronomie, la cuisine avec la célébration d'aliments et de plats de qualité qui nourrissent le corps et l'âme de la personne qui les dégustent. Chaque description m'a littéralement donnée l'impression de l'avoir devant moi et de le déguster.

Autour de Shizuku évolue toute une galerie de personnages qu'il s'agisse de patients, de bénévoles ou de personnes rencontrées sur l'ile à leurs contacts Shizuku va véritablement faire le deuil de sa vie.Quant au personnage de Shizuku, j'ai été profondément émue et touchée par sa force de caractère, son courage et sa grandeur d'âme. Quelle magnifique héroïne dont l'histoire m'a émue aux larmes.


Avec le gouter du Lion Ogawa Ito signe comme elle seule sait le faire un roman d'une beauté lumineuse mêlant douceur, sensibilité, poésie et gravité pour un sujet aussi délicat. Malgré le fait que je m'étais préparée à être émue au vue du sujet, j'ai été complément chamboulée par ce récit qui a vu à plusieurs reprises des larmes arriver.
Un immense bravo également à la traductrice qui a fait un travail incroyable pour ce roman qui n'a pas du être facile. Merci

Un immense coup de coeur pour le gouter du Lion ❤ !!
Lien : https://autempsdeslivres.wor..
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Comme dans les autres romans qui ont fait son succès (ô combien mérité), Ito Ogawa nous plonge dans un univers proche du réel mais fortement teinté d'imaginaire. Ici, le sujet est la fin de vie, celle de la jeune Shizuku. Atteinte d'un cancer ne lui laissant plus que quelques semaines à vivre, elle a décidé d'arrêter tout traitement pour vivre ses derniers moments au sein de la Maison du Lion, un "lieu de paix", sans doute philanthropique (bien que le sujet de l'argent ne soit jamais évoqué), où les personnes désireuses de mourir dans les condition les plus douces possibles sont accueillies et choyées dans un environnement paradisiaque. Puissance de l'imagination ou réalité ? On ne se posera pas la question, sachant qu'au Japon rien n'est définitivement impossible. Reste la puissance de l'évocation des sentiments et la poésie délicate émanant de cette écriture raffinée. La tristesse est au rendez-vous, la lente descente vers la mort étant ici traitée avec le plus grand respect, sans en rien cacher, mais il s'agit avant tout d'un roman qui fait du bien car chargé de tendresse sans jamais atteindre à la mièvrerie.
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Je suis tombée sous le charme de la plume d'Ogawa Ito grâce à La Papeterie Tsubaki, titre d'une grande délicatesse, j'ai lu avec avidité sa suite La République du bonheur et tous les autres romans d'Ogawa Ito et je pense pouvoir dire qu'elle compte parmi les rares auteurs qui ont su m'émouvoir jusqu'aux larmes.

Je serai bien incapable d'établir une hiérarchie ou un top 3 parmi ses livres mais le Goûter du Lion est parmi les meilleurs. Je craignais un peu cette lecture qui nous conte les dernières semaines d'une jeune femme en fin de vie, ces derniers instants dans une maison destinée à apaiser, accompagner ceux qui savent que le dénouement est proche. Mais encore une fois il faut savoir faire confiance à Ogawa Ito pour réussir à prendre un sujet aussi sensible et triste pour en tirer un livre, non pas "feel good", mais assurément empreint d'espoir, de bienveillance et de sincérité.

Parmi les titres de cette rentrée littéraire et même de cette année, je pense pouvoir dire que c'est le roman qui m'a été le plus bénéfique du point de vue émotionnel. Au milieu du chaos des actualités, de l'ambiance sociale relativement morose et de l'angoisse que cela engendre, le Goûter du Lion est une pause bienvenue, un repos bien mérité, un message de lumière au lecteur. Si vous avez l'impression que tout ce qui vous entoure est pessimiste, que vous avez besoin de retrouver le sourire (sans avoir l'impression de lire un livre de développement personnel déguisé) alors je vous recommande ce roman.

À travers le cheminement intime de Shizuku qui doit accepter son destin, à travers les personnages qui vont croiser sa route, à travers les différents liens qu'elle va se forger, le lecteur apprendra de nombreuses leçons de vie. À nous d'écouter ou non les précieux conseils de la romancière... Je peux aussi vous dire que ce livre vous donnera faim, j'ai ainsi appris à aimer (et dévorer) les cannelés grâce à lui !

En définitive, venez vous réfugier quelques instants à la Maison du Lion, faites la rencontre de ses habitants pour sortir plus apaisés et ressourcés grâce à cette très belle excursion littéraire.
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Shizuku, jeune femme de 33 ans en fin de vie, décide de passer ses derniers instants sur l'île aux Citrons, dans la mer intérieure de Seto au Japon. Là-bas, dans la Maison du Lion, elle va trouver l'apaisement au travers de ses ultimes rencontres et de la saveur sucrée des goûters du dimanche. Ito Ogawa, toute en délicatesse et en retenue, nous amène à nous interroger sur ce sujet sensible qu'est la prise de conscience de notre propre mort, et nous démontre avec douceur qu'après tout, celle-ci fait partie intégrante de notre vie. Un roman lumineux, d'une intensité émotionnelle rare, à lire avec le coeur.
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Magnifique roman japonais, dont le touchant thème de la mort est abordé avec beauté et douceur. L'idée de cette Maison du Lion est très ingénieuse.

Shizuku, atteinte d'un cancer très avancé, décida d'aller finir ses jours dans la Maison du Lion. C'était un établissement qui recevait des patients atteints d'une maladie en phase terminale.
Shizuku fut accueillie très chaleureusement par la directrice de la Maison du Lion, sur l'île aux Citrons. Cette île était telle à une meringue, pleine de douceur et d'un calme extraordinaire. Shizuku fut enthousiasmée de finir ses jours dans un si bel endroit. C'était sa dernière demeure, elle voulait profiter au maximum de ce lieu très apaisant. L'établissement ne ressemblait en rien à un hôpital. Les patients entraient par une sortie. La Maison du Lion avait une sortie et une entrée. « La vie et la mort, en un sens, c'est à peu près la même chose. Nous ne faisons que tourner en rond, en changeant simplement d'apparence. C'est un cycle qui ne connaît ni début ni fin », lui dit la directrice. Sa façon d'aborder la fin de vie et surtout la mort étaient dits avec tant de douceur que les patients en oubliaient pourquoi ils étaient venus.
Shizuku avait choisi sa chambre près de la mer, qu'elle considérait comme un beau paradis. L'établissement n'avait que des médecins. Les malades ne recevaient aucun traitement, ni de soins agressifs visant à prolonger la vie. le personnel était là pour soulager la douleur. Les patients étaient leurs invités. Ils étaient libres de vivre leur vie comme ils l'entendaient.
Alors qu'elle rangeait ses affaires, elle eut la visite d'un petit chien qui s'installa dans sa valise pour y dormir. Ce petit chien lui rappela son enfance. Elle avait toujours désiré avoir un chien. Ses parents avaient répondu à sa requête en lui offrant des peluches. Arrivée le 25 Décembre, elle pensa, aussitôt, que c'était un magnifique cadeau de Noël, même si celui-ci ne resterait pas après sa sieste. Elle se trompait, car Rokka ne la quitta plus. Puis, elle alla à la plage regarder la mer, sentir le vent sur son visage et profiter du soleil. Tout était divin. Personne ne la jugerait sur son amaigrissement, sa tête sans cheveux. Elle n'était plus obligée de se cacher. Désormais, elle allait vivre en ne pensant qu'à elle. Elle avait l'impression de commercer une nouvelle vie.
le lendemain, elle partit à nouveau en promenade avec Rokka. le paysage était un éternel ravissement pour les yeux et l'esprit. Les jours suivants, elle prolongeait ses balades en avançant un peu plus dans l'île, jusqu'à aller vers une vigne magnifiquement entretenue. Rokka courut vers un homme au loin. Tous deux se connaissaient et semblaient heureux de se voir. L'homme, Tahichi, vint à sa rencontre et lui fit visiter ses vignes. Après la sieste, Shizuku et Rokka prirent l'habitude d'aller voir Tahichi. Lui aussi, aimait regarder la mer pendant des heures. Il lui fit visiter d'autres endroits tout aussi magnifiques. Tahichi était très attentionné à son égard, cela lui fit énormément de bien. Elle ressentit des sentiments qu'elle n'avait jamais osé ressentir. Rokka lui procurait beaucoup d'amour et Tahichi beaucoup de tendresse. Chaque jour était un don du ciel pour Shizuku, elle en appréciait chaque instant.
Chaque jour, Shizuku connut un pensionnaire de plus. Mais elle sut, aussi, le rituel des départs. Lorsqu'elle revenait d'une promenade et qu'une bougie était devant la porte, cela voulait dire qu'un pensionnaire s'en était allé. Ce ne fut pas évident au début. Cela lui rappelait sa maladie, ses colères quand elle n'en pouvait plus. C'était un retour à la réalité assez brutal. Mais la directrice savait apaiser ses patients.
Shizuku commença à avoir de la fièvre et se sentit de plus en plus fatiguée. Les jours de grande fatigue, elle restait au lit. Puis, le lendemain, elle repartait en balade avec Rokka et allait voir Tahichi, qui s'inquiétait de ne pas l'avoir vue la vieille. Pour lui faire oublier sa mauvaise journée de la veille, il l'emmenait au restaurant, visiter des lieux historiques en lui racontant leur histoire. Les jours suivants furent de plus en plus durs. Les douleurs de son corps l'empêchaient de se lever. La directrice lui prescrit une séance de musicothérapie. La voix de la bénévole et sa musique étaient un doux délice. Son corps se détendit et s'assoupissait paisiblement.

Un autre jour, elle eut la visite d'un dessinateur professionnel pour une séance de thérapie. le dessinateur dessina ce qu'il ressentait. le tableau terminé fut bluffant. Il représentait Rokka avec un grand sourire, tenant dans ses bras Shizuku. C'était exactement ce que représentait Rokka. C'était, aussi, ce que représentait Shizuku à l'instant présent. Elle comprit que c'était ainsi qu'elle voulait quitter ce monde, avec ce sourire.
Les douleurs s'amplifièrent. La maladie continuait à progresser. La directrice lui massa le corps, ce qui la détendit, aussitôt. C'était aussi l'occasion de parler ensemble, de la réconforter sur son départ en douceur. Shizuku savait que chaque jour et chaque souffrance l'amenait progressivement vers la mort, sa mort.
Chaque dimanche, la directrice organisait un goûter, c'était le seul jour où celle-ci prenait au hasard, un voeux, une demande ou un texte de l'un des pensionnaires. Elle réalisait ainsi une partie de la demande du pensionnaire parti. Suhizuku tenait à assister à ces goûters de la Maison du Lion, jusqu'au jour où son corps fut tellement fatigué, qu'elle ne put y aller, même en fauteuil roulant.
Puis un jour, elle se réveilla après avoir sombré cinq jours dans une terrible fièvre. Elle fut consciente une journée, puis retomba dans le néant qui l'emmena voir des gens qu'elle connaissait ou pas, vers sa mère qu'elle ne reconnut pas, son grand-père, l'ancienne maîtresse de Rokka...

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Une lecture douce, parfois très mélancolique, mais étonnement porteuse d'espoir, au vu du thème. Ce roman au rythme lent traite du sujet de la fin de vie d'une façon extrèmement appaisante et plutôt inédite. Même si j'ai parfois du poser le livre car trop touchée par l'exploration de certains des pans de vie de l'héroine, j'ai adoré la façon dont elle trouve peu à peu la paix et disparait justement au moment où elle est enfin prête à abandonner son existence terrestre.
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