C’est à Niort, en 1925, que je rencontrai, pour la première fois, le nom amusant de Goulebenéze, au bas d’un article du Subiet. J’ignorais le patois et pourtant, dès le premier contact, je fus séduit par le style caractéristique de l’homme. Dès lors, saisi d’admiration, j’ai voulu suivre sa carrière, jusqu’à la fin. Voilà vingt ans qu’il est parti et déjà, peu à peu, s’estompait son souvenir sous les cendres de l’oubli. Je suis très heureux de voir l’un de ses amis ...
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