Suite et fin de la forteresse de Makiling. Où elles tombent toutes dans les bras de Largo Winch, le tombeur universel. Où notre héros prend un engagement dont on sait qu'il aura des répercussions dans un autre épisode. Où l'on voit la puissance que donne notre héros à la valeur de l'amitié.
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Largo met tout en oeuvre pour aller sauver Simon. Les soldats Birmans se lancent à leur poursuite.
Entre espionnage, malversation politicienne et traitrise, ce tome en devient presque incohérent et c'est bien dommage.
Une déception, qui me laisse un peu dans l'indécision de savoir si je vais poursuivre ou non les aventures avec Lardo (ou tout au moins espacer ma prochaine lecture)
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Suite et fin de l'aventure de Largo Winch en Union de Myanmar (ex Birmanie).
Comme l'avait escompté le chef des services secrets, Largo est venu pour négocier la libération de son ami.
Cependant arrêté par la CIA, il est enfermé avant d'être rapatrié. Parvenu à s'enfuir, il rejoint les rebelles. Afin de pouvoir libérer son ami et les paysans prisonniers, il fait appel aux triades au risque de se lier avec elles…
Côté scénario, le rythme est soutenu, les rebondissements nombreux. Bref, on ne s'ennuie pas.
Coté graphisme, comme pour l'album précédent, les paysages sont vertigineux et les représentations des forêts sont très fouillées.
Faites vous plaisir lancez vous dans l'histoire.
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Suite et fin des aventures de Largo Winch en Birmanie
Après avoir réussi à faire évader Simon au prix d'une mystérieuse promesse dont on devrait entendre parler dans un prochain album, Largo se retrouve mêlé à la lutte pour l'indépendance du peuple chan sur fond de guerre de l'opium, et même en pleine jungle son succès auprès de la gente féminine ne se dément pas.
Un album efficace, mais loin d'être le meilleur de la série.
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- Tout ça grâce à Largo Winch. Reconnaissez que je ne m’étais pas trompé, général : ce type est vraiment hors du commun.
- Vous aviez raison et je vous dois des excuses. Avec un homme comme lui à la tête de votre CIA, vous seriez les maîtres du monde.
- Mais nous sommes déjà les maîtres du monde, général. Ne l’oubliez surtout pas.
- Un meurtre bidon...Et c'est seulement maintenant que tu me le dis, espèce d'enfoiré !? Alors que ma conscience était rongée de remords...
- Conscience ? Remords ? Ne me fais pas rire, Simon... tu ne sais même pas comment ces mots-là s'écrivent.
- Ca s'écrit F.U.C.K.Y.O.U., salopard ! Et d'abord, qu'est-ce qu'il foutait à New-York, ce faux clamsé ?
La fin justifie les moyens, mais qu'est-ce qui justifie la fin ?
Albert Camus
Cité en préambule
Conscience ? Remords ? Ne me fais rire, Simon... Tu ne sais même pas comment ces mots là s’écrivent.
-Avec un homme comme lui à la tête de votre CIA, vous seriez les maîtres du monde.
-Mais nous sommes déjà les maîtres du monde, général. Ne l'oubliez surtout pas.