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Critiques de Robert Littell (233)
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Vladimir M.

Je n'ai pas fini ce livre car je m'ennuyais beaucoup. un livre n'est pas érotique parce qu'il y a dedans bite ou pipe.

Quant à la description de la révolution russe il y a beaucoup plus impressionnant ailleurs.

Lisez La Compagnie. C'est un livre où on n'a pas l'impression de brouter du vide. J'ai même vérifié dans Babélio qu'il s'agissait du même auteur. Eh oui, le même auteur pour un bon et un mauvais livre.
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L'hirondelle avant l'orage

Ce livre est magistral. Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce livre soit aussi dur en le démarrant, mais j'ai été complètement emportée par l'histoire de Ossip et de son entourage pendant les purges staliniennes que je ne l'ai pas lâché, malgré le malaise que m'a procuré l'atrocité des faits relatés (et la réalité fut pourtant encore bien pire j'en suis sûre).

Une fois de plus Robert Littell nous emmène dans ce qu'il connait très bien : la Russie et là plus particulièrement la période des purges staliniennes ou l'on déporte n'importe qui pour n'importe quoi dans le but de créer la terreur au sein de la population.

Ossip est un poète reconnu en URSS dans cette période pré-2nde guerre mondiale, mais comme la population russe, et tout particulièrement les intellectuels, il vit dans la crainte de se faire arrêter pour avoir écrit un poème transgressif vis à vis du régime de Staline.

C'est un roman choral dans lequel on redécouvre l'horreur des purges staliniennes (déjà traité dans requiem pour une révolution du même auteur que j'avais beaucoup aimé) ainsi que la personnalité complètement paranoïaque et dictatorial (entre autres!) de Staline.

A découvrir...
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Vladimir M.

Merci à Babelio et à BakerStreet pour l'envoi de ce livre.



Je vais aller droit au but, cette lecture ne m'a pas transportée. J'ai trouvé ce livre d'une lenteur lassante.



Nous sommes ici en présence de 4 femmes, plus ou moins amantes du poète russe Vladimir Maïakovski dont je n'avais jamais entendu parlé, et d'un étudiant américain communiste. Chacune raconte son histoire avec ce fameux poète, mais d'une façon si entrecoupée que ces dames m'ont vite agacée. Chacune d'entre elles tentent désespérément de convaincre les autres qu'elle a le plus compté. Au départ, ça donne une certaine dynamique à leur récit; par la suite ça en devient presque pathétique.



Le point fort de ce récit, c'est la description du contexte: l'instauration et l'application du régime soviétique. Robert Littell décrit brillamment les espérances puis la désillusion progressive de Vladimir Maïakovski face à la révolution soviétique. Ce poète ne m'a pas pour autant touchée. Ses multiples facettes et son portrait ambigu m'ont laissé un peu sceptique. Je n'aime pas ce genre de personnage, qui n'existe que pour se montrer.



C'est un livre que j'ai rapidement lu mais que je ne relirai pas.
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La compagnie

"La Compagnie" résume l'histoire de la CIA sur une période de 40 ans.



1ere partie : années 50 et 51

Tout commence avec les premières affectations des nouvelles recrues de la CIA :

- Ebby, diplômé de Columbia, a travaillé pour l'OSS pendant la 2e guerre mondiale

- Jack Mc Auliffe, diplômé de Yale

- Leo Kritsky, diplômé de Yale



2e partie : année 1956, la révolution hongroise est écrasée par l'URSS

3e partie : année 1960, fiasco de la baie des Cochons à Cuba

4e partie : année 1974, qui est la taupe?!

5e partie : année 1983, l'URSS envahit l'Afghanistan et les moudjahidins se réfugient au Pakistan

6e partie : année 1991, putsch de Moscou à l'encontre de Gorbatchev



Quel pavé, mais quelle merveille!

Cela faisait longtemps que ce livre traînait dans ma bibliothèque et que je souhaitais le lire, mais la taille m'effrayait un peu.

Au détour de vacances un peu longues, j'embarque donc ce gros livre!

Et je l'ai dévoré, bon alors pas aussi rapidement que je ne l'espérais, mais il est véritablement prenant. Quand on est dedans, on a du mal à le lâcher.

Le travail de Robert Littell est incroyable. Je me demande ce qui tient du roman et ce qui tient plutôt de la documentation historique. Je ne connais rien à l'espionnage, mais tout m'a paru extrêmement réaliste. J'ai beaucoup apprécié cet aspect historique qui m'a beaucoup intéressé, on se replonge dans quelques uns des grands événements de la guerre froide US-URSS.

De plus, on s'attache énormément aux personnages car ce sont toujours les mêmes que l'on voit évoluer au sein de la compagnie petit à petit, aussi bien dans la vie professionnelle que personnelle.

Bref, si vous cherchez un bon roman d'espionnage (je dirai même le chef d'oeuvre du roman d'espionnage), vous l'avez trouvé!
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La compagnie

Ce livre raconte l’histoire sombre de la CIA des années « froides ». Son principal intérêt, au-delà d’une écriture fluide et agréable, est l’authenticité des évènements qui sont contés avec talent par l’auteur. La forme est celle d’un roman, ce qui fait aussitôt s’interroger sur la partie du récit qui est inventée et la partie qui est vraie. Quoiqu’il en soit, les personnages cités ont semble-t-il tous réellement existés et ont bien tenu le rôle qui leur est prêté dans l’histoire. Cette lecture est absolument passionnante et nous fait plonger dans l’univers des « vrais » James Bond de notre temps. Fascinant.
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Une belle saloperie

Littell quitte l'espionnage, son habituel terrain de jeu, pour un roman noir plus classique, avec jolies nanas et humour bien cynique. Une histoire simple qui, bien vite, va sentir aussi mauvais que la fosse septique de la caravane de Gunn. Et la preuve qu'on peut être un vrai dur et être épris de justice, mais aussi que ça peut vous attirer bien des ennuis. Une enquête ? Une vraie saloperie, oui !
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L'hirondelle avant l'orage

Je m'attendais à lire un roman d'espionnage, une spécialité de Robert Littell, mais c'est plutôt de la littérature russe dont il est question dans cet échange de voix entremêlées du poète Mandelstam, de sa compagne, de ses amis écrivains, d'un haltérophile et d'une actrice. Leur destin commun nous fait entrer dans la période stalinienne des années 1930, les grandes purges, les camps de travail, la police secrète et les assassinats de masse. Un roman superbement construit touchant au plus profond de la nature humaine.
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Une belle saloperie

Ceux qui ont connu le Robert Littell auteur de romans d'espionnage tels que les remarquables Cercle Octobre, La Compagnie ou Légendes risquent d'être surpris. Pour une fois, le célèbre romancier américain abandonne sa spécialité pour le thriller classique. Toutefois, il se situerait plutôt dans la mouvance Raymond Chandler, James Hadley Chase ou Mickey Spillane et son héros Lemuel Gunn serait un mix d'un Philip Marlowe ou Mike Hammer déplacé de la mégapole new-yorkaise pour une sorte de desert-movie dans le Nouveau-Mexique. Ancien de l'Afghanistan viré de la CIA, Lemuel Gunn (avec deux N, il y tient) vit dans une caravane ayant appartenu à Humphrey Bogart ou Douglas Fairbanks Junior, de quelques contrats que sa carte de détective privé lui offre, tentant d'oublier les exactions dont il a été témoin en extrême-orient. Jusqu'au jour où... Plein d'humour, d'astuces linguistiques, de références historiques, cinématographiques ou discographiques, de traits d'esprit, ce thriller renferme aussi une histoire d'amour entre deux êtres à la grande différence d'âge. Nous ne dévoilerons pas la fin pour ménager votre plaisir. Mais il s'agit-là d'un retour à la Série Noire des années 50/60 bien sympathique.
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Requiem pour une révolution

Robert Littel nous raconte l’histoire de la révolution Russe de manière romancée en suivant le parcours de deux amis Alexander Till et Atticius Tuohy.



Alexander Till a fuit la Russie de tsars en espérant trouver le salut dans une nouvelle vie aux Etats-Unis. Les conditions de vie précaire et sans espoir des émigrants et la rencontre avec Trotski à New-York le décide à retourner dans sa mère patrie pour participer à la révolution.

Il s’engage dans le mouvement bolchévique et voit son idéal de changement vers une nouvelle société se mettre en place avec Lénine. Ensuite, Staline prend en main la Russie et les purges vont le faire douter et s’interroger sur la finalité de la révolution. Les souffrances du peuple russe et la disparition de nombreux amis vont le faire rejeter tout le pourquoi il était venu se battre.



Robert Littel nous explique les dérives d’une idéologie lorsque les dirigeants s’érigent en dieux. Il détaille le comportement humain devant des situations où leur vie en dépend et comment l’on choisit un camp.

Il envisage une fin qui aurait pu sauver de nombreux citoyens et offrir peut être une autre histoire à la Russie.
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Une belle saloperie

Une belle Saloperie, certes, mais de quoi, de qui nous parle ici Robert Littell ? Il faudra, lecteur patient, attendre les dernières pages pour le savoir. Échafauder des hypothèses vous mènera à la suite des personnages depuis des casinos américains du Nevada jusque dans le Désert Peint.

Lemuel Gunn (avec deux « n », il se tue à le répéter pendant tout le roman), ancien de la CIA, viré pour avoir mal supporté les exactions américaines quelque part dans les montagnes au-delà de Kaboul et surtout l’avoir signalé par écrit, tente de se refaire une vie comme détective privé. Et comme tel, il voit de drôles de clients. Mais celle-ci, qui arrive, fragile, pieds nus dans le sable et portant tous les orages du ciel dans les yeux, il ne va pas longtemps lui résister.

On est dans le schéma extrêmement classique et prévisible du hard boiled cédant aux charmes vénéneux d’une belle en perdition. Schéma que Littell, avec une habileté longuement exercée dans les romans d’espionnage dont il est coutumier, va réussir à rendre original.

C’est qu’il n’y a pas seulement le métier et l’intrigue irréprochable mais aussi une belle sensibilité dans la description de héros blessés, les bons comme les méchants portant leur part d’ambigüité.

Personnages attachants, décor en technicolor, action bien pesée, suspens et tension… Il peut y avoir un grand plaisir de lecture, raffiné, réconfortant, dans des romans a priori destinés aux gondoles de supermarché quand ils ont la qualité de celui-ci.

lire la suite sur le blog de Jeanne Desaubry


Lien : http://jeanne.desaubry.over-..
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Le transfuge

Un livre plutôt décevant.

On est loin de l'incontournable "La Compagnie : Le Grand Roman de la CIA",qui nous tient en haleine sur près de 1200 pages. Ici, j'ai commencé à m'ennuyer dès la moitié de ses 300.

Le style est lourd, et par moment curieux. Tout au long de la lecture, je me suis demandé s'il n'y avait pas un problème de traduction ?
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Philby : portrait de l'espion en jeune homme



Je n’ai jamais lu Robert Littell ; cela n’a rien d’un hasard, le roman d’espionnage n’est pas mon truc. Je préfère de loin le genre au cinéma, avec du rythme, des gadgets, de la musique. Bref un James Bond au cinéma, je dis oui, ça détend….dans un livre, c’est trop compliqué pour moi.

J’ai survolé ce livre, car d’une part l’envie n’était pas là, et d’autre part suis restée bloquée au fait qu’il s’agissait une biographie. J’attendais autre chose.

Je ne porterai aucun jugement de valeur ; j’en dirai simplement que je suis restée en dehors, en grande partie car je n’ai pas vraiment voulu y entrer. Ce livre peut trouver son public ; son auteur a d’ailleurs bonne presse.
Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Le cercle Octobre

Un joli roman qui nous plonge dans la bulgarie communiste de la fin des années 60. Un groupe d'amis (sportifs et artistes) va tenter de faire face, de manière parfois cocace, à la révolte venue de Prague. Une belle approche de ce que l'amitié peut permettre et ô combien elle est précieuse.

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Philby : portrait de l'espion en jeune homme

Philby. Portrait de l’espion en jeune homme, est, comme son titre l’indique, plus un roman biographique axé sur la personnalité de Kim Philby, un des célèbres « Cinq de Cambridge », ces jeunes gentlemen anglais devenus agents soviétiques, que sur son action en tant qu’espion. Certes, sur cette période qui court de 1933 à 1945, il est impossible de faire fi de cet aspect de la vie de Philby, d’autant qu’elle est directement un révélateur de sa personnalité. À moins bien sûr qu’il ne s’agisse que d’un écran de fumée destiné à la dissimuler ? C’est dans le doute ainsi instillé que réside le grand intérêt de ce roman dont chaque chapitre est un récit à la première personne d’une partie de la vie de Philby dans ces années, fait à chaque fois par une personne qui a été en contact avec lui : maîtresses, amis, agents recruteurs, agents de liaison… Autant de points de vue, de situations et de lieux différents qui entretiennent l’ambiguïté sur ce personnage hors-normes.

Ainsi, de la Vienne de Dollfuss à la Londres du Blitz en passant par l’Espagne en guerre ou l’intimité de Staline, tout un patchwork de témoignage nous permet de nous faire, petit à petit une idée de qui était, ou aurait pu être, Kim Philby, et de son évolution.



La fascination qu’exerce le jeune homme sur l’auteur est palpable. Elle participe sûrement de l’aspect « contemplatif » qui se dégage de certains chapitres où l’on a la sensation de simplement regarder, aux côtés de Robert Littell, Philby grandir. Plus qu’une simple histoire d’espionnage, et bien que cet aspect ait son importance et permette parfois aussi de redonner du rythme au récit, le Philby de Littell apparaît comme une réflexion sur l’engagement. Les questions lancinantes de la violence qu’il faut exercer pour faire triompher ses idées, de la trahison ou des choix que l’on est amené à faire pour soutenir sa cause sont ici posées crûment, dans un contexte historique idéal – ces années 1930 où l’on n’aimait pas les tièdes et où l’engagement politique dépassait largement le stade de la simple posture. Cela d’autant mieux que le récit est fondé sur un travail de recherche de toute évidence pointu dans lequel la fiction est savamment intégrée, à l’exception de la toute fin dont on peut regretter le côté abrupt.



Robert Littell, au départ, semble avoir voulu nous livrer sa version de l’histoire de Philby, celle que l’Histoire, pour le moment, n’a pas retenu. S’il s’en était tenu à cela, il aurait écrit un roman sûrement de bonne facture mais sans grand intérêt. En nous plongeant dans l’intimité d’un jeune homme idéaliste dont il se plaît à nous faire découvrir les multiples facettes et, un peu, ce que, d’après lui, elles peuvent dissimuler, il en fait un livre surprenant et attachant. Pas de récit haletant donc, ni même une véritable immersion dans les méandres des services secrets : un roman d’espionnage intimiste.


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Le transfuge

Il ne s'agit pas ici d'une énième histoire sur les basses œuvres d'espions "au sein de la CIA" mais d'un étourdissant roman imbriquant deux parcours personnels à l'époque de la Guerre froide : celui d'un russe, Koulakov, le transfuge passé à l'Ouest (mais est-il un vrai ou un faux transfuge ?) et celui de l'américain russophone Stone, le génie de la manipulation visant à faire croire que l'on croit qu'ils ont cru ce que nous sommes supposé leur faire croire. Chef d'une officine interarmes secrète, Stone est chargé du débriefing de Koulakov. Puis, avec un culot monstre, Stone va s'infiltrer et se jeter dans la gueule du loup pour vérifier ses théories. "The Debriefing" est le titre américain du roman, paru en 1979, bien avant "La Compagnie : Le grand roman de la CIA" et "Légendes". On y décèle déjà toute la manière du futur écrivain de ces deux romans majeurs de la littérature d'espionnage, le style Littell : un mélange doux amer d'humanité et de cynisme, d'extraordinaires héros prisonniers d'un système qu'ils contribuent à créer, un scénario implacable tenant en haleine jusqu'à la dernière page. Après un dénouement à couper le souffle, Robert Littell ose encore un épilogue totalement inattendu : du grand art.
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Mère Russie

Bof, franchement bof.

La mise en place est laborieuse, on ne sait jamais vraiment ce qu'on lit, l'histoire de Pravdine n'est pas claire. Certes c'est un débrouilleur/magouilleur, certes la période et l'endroit où ça se passe aurait pu donner lieu à quelque chose d'intéressant.

Mais les tournures de phrases sont lourdes, les personnages bizarres, l'intrigue particulièrement obscure.

J'ai abandonné la lecture de ce livre à quelques pages de la fin tellement ça ne menait à rien.

Si vous venez lire les commentaires ici pour vous faire un avis avant de vous y mettre, passez votre chemin, épargnez-vous du temps (et de l'argent) en oubliant ce livre (et potentiellement cet auteur ??)
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La peste sur vos deux familles

Voici Le Cid et la querelle des Capulet et des Montaigu revisités dans la post-Soviétie. Les mafias défendent et conquièrent leurs territoires dans la privatisation forcenée de ‘effondrement du pays de l’avenir radieux. Les anciens zek, les “vory v zakoneˮ (les voleurs dans la loi) ne respectent que leur code “d’honneurˮ. Ça flingue, ça explose, ça surine. De la belle ouvrage sur fond d’une analyse lucide de la société russe du début des années quatre-vingt dix sous le règne du poivrot, avant celui du tchékiste qui va arranger le bordel au profit de sa propre mafia. On vit une époque formidable !





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La compagnie

"La Compagnie" de R. Littell est

un livre qui mêle la fiction à la réalité en levant un pan du conflit entre les services secrets soviéto-américains depuis la guerre froide jusqu'après l'effondrement de l'Union Soviétique. Littell nous dévoile comment, à coup de guerres, les américains gèrent le monde, épaulés par leur très puissant allié, le Mossad.

On y est confronté à la vilénie humaine, à sa monstruosité dans tous les sens. Cette obsession de dominer le monde où des populations innocentes payent le prix fort, où tombent les valeurs et où l'absurde apparaît comme le maître-mot de nos existences. Le tout mêlé à une intrigue époustouflante qui nous tient en haleine jusqu'au bout de ce pavé de plus de 1200 pages.

Bref, vous l'aurez compris c'est un livre qui joint l'utile à l'agréable.
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La peste sur vos deux familles

Un peu didactique par instant (on "plaque" les infos, très nombreuses, sur la culture, le contexte et la mafia russe de l'époque) même si agréable à lire dans l'ensemble grâce à ce parallèle avec Roméo et Juliette. Le seul souci, les très très nombreuses répétitions ("file d'attente interminable" deux fois sur deux pages consécutives, "front d'albâtre", "corps d'albâtre", "statue d'albâtre" trois occurrences sur deux pages consécutives, etc.), les phrases parfois très longues et des coquilles en termes de typographie...
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La compagnie

Emmené en vacances un peu par hasard, j'ai été absolument happée par ce récit, où la limite entre documentaire est fiction est difficile à cerner. Se déroulant sur plusieurs décennies, il couvre plusieurs temps forts de la guerre froide, en suivant une poignée de personnages.

Le récit, très long et très dense, aurait pu être difficile à suivre, en multipliant les personnages, mais ce n'est pas le cas, ce qui est une sacrée prouesse. C'est bien écrit, les personnages sont riches, le propos assez peu partisan.

Bien sûr, ce n'est pas un livre à "picorer" par-ci par-là, il faut se plonger dans la lecture et avoir un peu de temps devant soi. Mais ça vaut largement la peine !
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