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EAN : 9782416014536
Eyrolles (28/03/2024)
4.22/5   46 notes
Résumé :
Richard Belmondo, dit Richou, est un trentenaire ordinaire enchaînant les petits boulots. Dans le quartier de banlieue défavorisée où il a toujours vécu, le trafic de stupéfiants fait des ravages et la solidarité entre voisins ne fonctionne plus vraiment.
Mais un jour, un événement inattendu va définitivement changer sa vie. Par un curieux hasard, Richard se retrouve en possession d'un sac de sport rempli de billets : l'argent de la drogue !
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Richard Belmondo, dit Richou, est un trentenaire ordinaire enchaînant les petits boulots. Dans le quartier de banlieue défavorisée où il a toujours vécu, le trafic de stupéfiants fait des ravages et la solidarité entre voisins ne fonctionne plus vraiment...Mais un jour, un événement inattendu va définitivement changer sa vie. Par un curieux hasard, Richard se retrouve en possession d'un sac de sport rempli de billets : l'argent de la drogue !

Sur les conseils avisés de son voisin, le rabbin Meyer, lui-même épaulé par l'imam et le curé de la ville, il va redistribuer le pactole pour rénover le quartier, lui redonner une âme.

Dans le même temps, le gang des trafiquants lance ses troupes, à la recherche du sac perdu...

Ah sacré David Zaoui!!
C'est le 4e roman que je lis de lui et à chaque fois, il m'embarque dans son monde assez particulier tout de même.
David ou l Humaniste un peu barré !

Cette histoire pourrait être un film tant j'ai eu l'impression de la voir défiler sous mes yeux.
Les descriptions et les antécédents de cinéma de l'auteur nous plongent direct dans la cité de Richou.
Richou, un jeune homme débonnaire, qui aime ses habitudes, sa discrétion mais en ayant un don d'observation d'autrui et une énorme générosité.
En effet, dans la situation de Richou, de nombreuses personnes auraient , je pense, garder ce grand sac bien bourré. Or, il fait preuve d'un grand altruisme en aidant son quartier à avoir une vie meilleure et à combattre le mal ambiant.

Ce livre mêle des situations drôles, des drames familiaux, des émotions fortes, le tout sur un fond d'humour cynique parfois propre à David Zaoui.
Il met en avant des valeurs fondamentales telles la fraternité, l'amitié, le respect, la solidarité et nous invite à nous poser la question de ce que nous pourrions faire pour mettre un peu plus de gaieté dans le quotidien.
Richou est un tel un Zorro ou un Robin des Bois moderne, au soutien des plus démunis.
Comme le dit Benabar "le battement d'aile d'un papillon " peut avoir des répercussions inattendues...

C'est divertissant grâce à cette âme d'enfant conservée par David où flotté encore un certain grain de folie.
Et ce roman est un bel hommage rendu aux personnes qui ont partagé la vie de David à un moment donné et cela leur donne une consistance plus réelle et plus belle.
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Notre héros s'appelle Richard Belmondo et répond au doux surnom de Richou (oui, c'est moche), ça ne s'invente pas.. c'est ainsi ! C'est un trentenaire banal, vivant de petits boulots certes, mais travaillant ! En effet Richard a bien été éduqué par ses parents et ne souhaite surtout pas céder à la facilité et pointer au chômage. Ce n'est pourtant pas simple car il vit dans une cité, à Pantin, dans un quartier défavorisé où le deal, que ce soit de shit ou de cocaïne est monnaie courante. Dès lors, il serait si facile de céder à la facilité en basculant du côté obscur pour une vie de caïd très lucrative. Il se décrit lui-même comme doté d'une toute petite vessie (vous me direz ??? si si, je vous assure ce détail a une grande importance ! LOL)
Ainsi, un jour où il devait urgemment uriner sous peine d'explosion... LOL... Richou se retrouve à moitié assommé par le sac que le baron de la drogue du coin a balancé par la fenêtre et ce afin d'échapper à une descente de police.
Richou, en possession de ce sac qui contient une somme colossale (en billets de 500 euros !) se demande dès lors quoi faire avec ce pactole "tombé du ciel".

Et c'est justement en réfléchissant à cette expression qu'une idée lumineuse lui vient : celle de prendre conseil auprès de son voisin, le rabbin Meyer. Dès ce moment démarre une incroyable odyssée humaine qui va embarquer non seulement le rabbin, mais aussi le prêtre et l'imam du quartier. Mêlant leurs conseils avisés et ses idées, Richard va se mettre en tête de changer les choses dans son quartier où la solidarité n'est plus vraiment de mise et où les habitants semblent vivre têtes basses, résignés rencontrant de nombreuses difficultés qui s'acculent parfois un peu trop à leur goût. L'idée de faire le bien est fort louable, certes, mais à vouloir agir ainsi autour de soi, et en dépensant le magot tombé du ciel, cela ne risque-t-il pas d'éveiller l'attention ?

J'ai vraiment beaucoup aimé cette aventure humaniste qui enchaîne les situations cocasses et moments désopilants. Son héros ordinaire, à qui il arrive quelque chose d'extraordinaire et décide de faire le bien autour de lui nous fait prendre conscience du monde qui nous entoure et des disparités qui le caractérise. Loin de se poser en moralisateur, l'auteur utilise l'humour (grinçant quelquefois, pour notre plus grand plaisir) pour nous inviter à réfléchir comment, nous aussi, nous pourrions changer les choses autour de nous pour tendre vers une vie meilleure. Car il suffit parfois d'un petit geste... et l'effet papillon prend le relai :) David Zaoui soulève des thématiques importantes telles que la fraternité, la solidarité, la résilience et l'idée du mieux vivre ensemble nous livrant ainsi une histoire fort sympathique et enjouée.

Cette joyeuse équipe, flanquée de Pedro, le meilleur ami de Richard, parviendra-t-elle à agir pour rendre l'existence des habitants de la cité meilleure avant que les trafiquants, avides de récupérer leur pactole ne leur tombent dessus ? Et qui est Alina, cette belle jeune femme dont les charmes ne laissent pas Richard indifférent ?

Un roman qui donne la pêche avec un héros fan de Jean-Pierre Marielle (ça non plus ça ne s'invente pas !! LOL) en Robin des bois des temps modernes. Histoire anti-déprime, au style fluide et aux dialogues qui font mouche, à dévorer et à offrir autour de soi.. sans modération.
Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..
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Le temps est morose et cela commence à avoir un impact sur votre moral ? Ne vous inquiétez plus, j'ai la solution ;) Vous avez juste à vous rendre chez votre libraire préféré(e) et acheter ce livre de David Zaoui.

Mais de quoi ça parle ?
Imaginez une cité HLM à Pantin gangrenée par des trafics de stupéfiants. Imaginez maintenant un jeune trentenaire, Richard Belmondo (Richou pour les intimes), ayant vécu toute sa vie dans cet endroit, se retrouvant par le plus grand des hasards en possession d'un sac rempli de billets de 500€, fruit du « travail » du plus grand et dangereux trafiquant du quartier… Et c'est là que vous vous demandez certainement ce que vous auriez fait si vous vous étiez retrouvé dans cette situation non ? Richou, lui, va décider de garder cet argent et de l'utiliser afin de réhabiliter sa cité et d'aider ses habitants et pour cela il sera épaulé par une équipe assez inattendue : l'imam, le curé et le rabbin de son quartier !
Notre jeune trentenaire n'a rien d'un héro, c'est un jeune homme comme les autres auquel ses parents ont inculqué quelques valeurs. La cité n'est pas à proprement parlé un lieu de vie idéal, loin de là, mais en son coeur, y vit tout un tas de personnes bien et c'est pour elles que Richou va prendre tous les risques car vous vous en doutez, les trafiquants voudraient retrouver l'argent égaré et ils sont un peu sur les nerfs…

J'ai passé un très bon moment avec Richard et toute sa clique, l'auteur nous confie en début de roman que les personnages sont des personnes existantes qu'il a connu et à qui il souhaite rendre hommage à travers ce roman et je trouve que cela se ressent vraiment car je les ai tous trouvé attachants. On enchaîne les situation cocasses car ils sont franchement tous un peu allumés ^^

Une belle aventure humaine, celle d'un Robin des bois moderne qui prend aux vilains trafiquants pour redistribuer aux plus pauvres.
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🌺L'aventure bénie du sac toxique🌺 de David Zaoui
- 395 pages - 7,90€

Richard Belmondo, trentenaire, habite une cité HLM au 13ème étage à Pantin. Un quartier craignos où règne la terreur des dealers, un parc vétuste, du béton, où une bonne partie des habitants sont nés ici.

Il exerce le métier de vendeur, passant régulièrement par la case chômage, il accepte tout travail de vente qu'on lui propose.

Son voisin Pedro Alvarez est son pote du bâtiment B3, grand sportif et conseiller financier à la poste.

A la cité se trouve une mixité sociale où chacun a suivi son chemin, ils ont été à l'école ensemble mais il y a ceux qui ont cherché du travail et ceux qui vivent du vol, de la vente de drogue.

Belmondo, petite vessie, s'arrête pour arroser les arbustes 🤪 quand il entend les sirènes de police, un sac lui tombe sur la tête. Lorsqu'il rentre chez lui, il se rend compte qu'il est rempli de billet, la vente de la drogue.

Sur les conseils de son voisin, le rabbin Meyer ainsi que du père Lambert et de l'imam Djartila, ils ont deux options. Donner l'argent aux forces de l'ordre pour renflouer la dette de l'état ou redistribuer l'argent pour redonner une âme au quartier et aider les plus démunis.

C'est le début d'une extraordinaire aventure qui va changer sa vie et celle des laissés pour compte avec une touche de piment car bien évidemment, les trafiquants recherchent le sac.

L'auteur parle de la condition des gens vivants dans les tours HLM, les drames, les gangs qui s'affrontent avec toujours un brin d'humour.

Un livre touchant mais drôle avec des personnages attachants où se mêle mixité sociale, croyance et tristesse avec une touche d'humour.

J'ai adoré cette lecture où j'ai beaucoup ri, où j'ai été broyé par la vie délaissée par l'état.

Je vous conseille vivement ce livre pour un bon moment de lecture.

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J'ai eut la chance de pouvoir lire ce livre avant sa sortie, merci à @eyrolles_romans et @david.zaoui.ecrivain pour cet envoi.

Le décor : une cité HLM à Pantin dépeinte par Richard Belmondo qui y habite. le trafic de stupéfiants gangrène la cité qui se délabre jusqu'au jour où la providence en décidera autrement ! Richard va se retrouver en possession d'un sac remplit de billets. Avec la complicité d'un rabbin, d'un imam et d'un prêtre, ils vont utiliser ce pactole à bon escient.

Une lecture fraîche, légère, joyeuse et pleine d'espoir.
La plume de l'auteur est à la fois poétique, drôle et brute par moment, c'est un mélange très agréable et plutôt atypique.
L'idée d'associer plusieurs protagonistes de religions différentes capable de s'entendre, délivre un message d'espoir.
Les personnages sont attachants, un coup de coeur pour Richard qui progressivement découvre en lui une personnalité en sommeil pleine d'humanité et également pour le rabbin Meyer dont les conversations sont pleines de sagesse.
J'ai apprécié la manière de dépeindre la vie dans cette tour de 16 étages comme si on y était ! La réalité de ces banlieues défavorisées ou chacun évolue différemment, équilibre précaire entre ceux qui déploie de l'énergie pour s'en sortir et ceux qui deal.
Certains passages et situations cocasses m'ont fait rire à voix haute (à la surprise de mon entourage).

Une très belle aventure humaniste qui ne berce absolument pas dans la victimisation. Un message d'espoir délivré par un robin des bois qui se prénomme Richou.
Lien : https://tapageautourdespages..
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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
"Je respire les notes d’un parfum boisé qui embaume les lieux, tends mollement mes jambes, observant tout autour, observant toujours. Le feu tricolore clignote à l’orange, il n’a jamais été réparé. Les éboueurs sont apathiques, les poubelles foutrement mal alignées. Un touriste paumé sort d’un modeste hôtel sans étoiles, le feu orange ne désespère pas de clignoter ; passent des pervenches acharnées, un mendiant à la nuque courbée, une centenaire qui promène son yorkshire toiletté. Le sol tremble tandis que le métro file sous mes pieds, un vent rebelle remue mes cheveux, les voitures vomissent leurs saletés, le feu est infatigable ; des lascars déambulent dans le kebab suintant de graisse, l’un d’eux que je connais de vue a troqué son survêt pour une djellaba. Sur son épiderme jadis lisse, s’affiche désormais une barbiche salafiste. Une mob indisciplinée sprinte. Toujours ce feu qui papillonne. Au-dessus de moi : un nuage en transit, un ventru fume et m’épie depuis son balcon, une femme voilée nettoie ses carreaux, du linge pend aux fenêtres, un Sri-Lankais fulmine dans son téléphone sans prendre en compte ce feu déréglé. Un camion à l’arrêt largue un soupir d’impureté, trois motos paradent en rodéo sauvage, un rasta dépenaillé emporte une boîte à pizza – y a-t-il un œuf dessus ? J’aurais bien parié un euro que oui. Je sursaute à la vue de ce grand brun en rollers surgissant de nulle part, les klaxons pestent. Le tricolore palpite sans fin… Toile truculente, Babel du faubourg. Ma ville ressemble à une ampoule à filament, elle fatigue à force de scintillements."
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𝑰𝒍 𝒚 𝒂 𝒕𝒐𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒒𝒖𝒆𝒍𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒉𝒐𝒔𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒑𝒑𝒂𝒓𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒍𝒂̀ 𝒐𝒖̀ 𝒐𝒏 𝒆́𝒄𝒉𝒐𝒖𝒆, 𝒒𝒖’𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒆 𝒍𝒆 𝒍𝒊𝒆𝒖, 𝒍’𝒉𝒂𝒓𝒎𝒐𝒏𝒊𝒆 𝒆𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒆́𝒂𝒎𝒃𝒖𝒍𝒆. 𝑳𝒂̀ 𝒐𝒖̀ 𝒓𝒊𝒆𝒏 𝒏𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒔𝒔𝒆 𝒏𝒊 𝒏𝒆 𝒔’𝒆́𝒍𝒆̀𝒗𝒆, 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒋𝒆 𝒔𝒂𝒊𝒔 𝒍𝒂 𝒏𝒆́𝒄𝒆𝒔𝒔𝒊𝒕𝒆́ 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒗𝒐𝒍𝒐𝒏𝒕𝒆́.
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"Quand je lis, je veux du distrayant, pas de sujet lourd, austère, anxiogène, plombant, chiant. Y a BFM pour ça. 10 minutes par jour, c’est suffisant – parce que si je dépasse ce laps de temps, j’ai envie de m’exiler dans l’Arctique pour faire du toboggan sur les glaciers avec les manchots empereurs ou pêcher des poissons-chats dans le delta du Mékong. Lorsque je regarde des films, je cherche la grande évasion. Surtout pas de films barbants où Marie a été violée par son père qui a une excuse parce qu’il a été lui-même battu par une mère alcoolique, où Marie en veut à sa maman qui a tout plaqué pour son amant jockey à Tenerife, un salaud celui-là, un facho ostentatoire, où Marie est seule, où Marie est triste, où Marie ne pourra plus avoir de sentiments pour Guillaume tant que ce dernier n’endurera pas son licenciement en silence, où Marie s’ouvre les veines, mais c’est trop tard, car Guillaume est déjà amoureux de Pablo qui se prostitue pour donner un sens à sa vie, où Guillaume renonce, où Guillaume se suicide un sac sur la tête, où Marie est inapte au bonheur, où Marie finit par fuir pour Berlin un soir de pluie. Oh bordel ! Mais je veux rêver, moi ! Rien à cirer de Marie, de ses calvaires impudiques, de cette confiture amère, de sa souffrance exposée, de cette absence d’espoir encensée, des prix dans les festivals. Marie, écoute-moi bien : je n’ai pas eu la chance d’être nanti à ce point dans ma vie pour devoir fantasmer sur ton mal-être."
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"Le sommeil lui vient n’importe où, sur un banc, une barque, à un concert de casseroles. Son cerveau se maintient en bonne santé, nullement parasité par le tohu-bohu. Alors je l’observe. Des rides se creusent sur sa peau flétrie, son béret pied-de-poule lui donne l’apparence d’un titi parisien, le soleil de Grasse en acolyte pour son teint hâlé qui le rajeunit quelque peu. Sa nature se reflète sur sa bouille d’enfant vieillissant, harmonieuse comme les collines de Toscane, aussi cristalline que les mers du Sud, apaisée telles les vagues d’un fromage blanc. Je décide d’immortaliser l’instant avec quelques clichés. Ma bouche se fend d’abord d’un sourire, puis j’ai du mal à réprimer un soupir. Mes parents vont mourir un jour, en photo seulement je les reverrais. Des larmes me chatouillent. Elles jaillissent. Je t’aime, papa, je murmure, tandis qu’il continue de ronfler."
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"— Mon père ? Ne m’en voulez pas, mais… j’ai une question.
— Je t’écoute, Richou.
— S’occuper d’amener les enfants en vacances, est-ce plus important que de prier Dieu ?
— Je l’ignore, mon fils. Chaque jour qui passe, j’essaye de lui rendre des comptes, à Dieu.
— Vous savez que je ne suis pas vraiment certain qu’il existe. Cependant… je dois reconnaître que c’est sous votre influence, à vous trois, que certaines choses ont changé en moi.
— Quelles choses ?
— Je me sens plus réceptif aux autres.
— Le Seigneur n’en demande peut-être pas plus aux hommes."
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Babinsky a un don. Un don du ciel. Il vise et il tire comme personne. Repêché dans l’orphelinat où il a grandi par un professionnel du crime, il devient malgré lui tueur à gages. Mais attention ! Un tueur à gages, certes, mais humaniste, et qui met un point d’honneur à son job de liquidateur : rendre heureuses ses futures victimes avant de les tuer.
"Je n'en ai fait qu'une bouchée." Gérard Depardieu.
"Un tueur à gages avec des principes ! Un polar un peu inhabituel." Nicolas Carreau, Europe 1.
"Babinsky a beau être tueur, il a bonne mentalité." Francis Richard, Contrepoints.org.
"Des personnages truculents aux situations cocasses, tout est réussi dans ce premier roman touchant et rigolo !" Caroline Vallat, Fnac Rosny 2.
Lauréat du Festival du premier roman de Chambéry 2018.
Cet ouvrage a été précédemment publié sous le titre "Je suis un tueur humaniste" aux éditions Paul & Mike en 2016.
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