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3,68

sur 6227 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Propositions de titres pour les prochains romans de Katherine Pancol : Les éléphants sont moins rosses qu'on ne le pense ; Les hippopotames rêvent de ballerines en tutu ; La valse jaune des écureuils de la place Stanislas. Non, sérieusement, qu'est-ce qui lui a pris à la Pancol de nous servir une suite pareille aux Yeux jaunes des crocodiles et à La valse lente des tortues, deux récits feuilletonesques amusants comme tout, parce que se prenant peu au sérieux et plutôt spirituels. Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi (?) est un roman choral où s'ébrouent une bonne vingtaine de personnages qui passent leur temps à chercher le bonheur et à se tromper de route pour y arriver. Pourquoi pas ? le souci, c'est que Katherine Pancol égrène des clichés à chaque détour de phrase (l'amour, les regrets, le succès, le sens de la vie et toutes ces choses) et n'a pas d'intrigue sérieuse à proposer, préférant raconter des multitudes d'histoires croisées, souvent sans queue ni tête, avec un côté sentencieux qui défrise sachant que le propos du livre pourrait être résumé en deux mots "Carpe diem". Et puis ce n'est même pas drôle, juste agaçant et tellement, tellement sentimental que ça en devient poisseux. Désolé, Katherine, vous auriez du laisser vos écureuils au bestiaire.
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Je décerne à ce livre mon label CoupdeCoeur en raison de son écriture particulièrement fluide, vaporeuse, diaphane, transparente, ectoplasmique, inexistante. le titre a lui seul me fait détester les écureuils, Central Park, la tristesse et le lundi.
Encore un mot de plus dans ce titre et je détestais la Création toute entière.
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Pour faire court (une fois n'est pas coutume), je dirais que la couverture, plus sobre bien que colorée se rapproche de la perfection. le titre, bucolique, évoquant les écureuils de Central Park donne envie de rêver ... à d'autres jours que les lundi ... Car il n'y a pas plus d'intérêt à vouloir apprécier la tristesse des lundi que d'apprécier ce troisième tome de la trilogie PANCOL! Enfin, si, peut-être ... si on réalise que le troisième tome d'une trilogie est synonyme de fin. Happy End!
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A force d'entendre parler de ces crocodiles et de ses suites, je m'y suis plongée un été. Et bien, j'ai vite regretté ma faiblesse face au marketing dont cette série à bénéficié :(

Si le tome 1 se laisse lire et que j'ai réussi à terminer laborieusement le second, j'ai jeté l'éponge à la moitié pour le 3ème. Même le masochisme à ses limites xD

C'est creux, inintéressant. Les personnages n'ont aucune substance. Toutes ces têtes à claques ne nous intéressent nullement à leurs petits problèmes. Et de toutes manières pourquoi gâcher notre empathie puisque leurs "problèmes" se solutionnent d'eux mêmes (et pour des raisons fumeuses) quelques pages plus tard ?

Bref autant je peux comprendre le succès de Les yeux jaunes des crocodiles, autant celles de ses suites me laisse songeuse :)
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Le troisième et dernier volet de la trilogie. Une couverture plus sobre.
Une fin décevante. Il aurait mieux valut s'abstenir. Il y a un amalgame avec le deuxième volet. du coup on ne sait plus trop où on en est.
Cela permet de mettre un point final à la romance mais c'est un peu tiré par les cheveux.
Dommage!
En tout cas j'adore le titre.
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Je ne comptais pas le lire après la déception des dernières pages du deuxième tome...mais on me l'a offert alors je m'y suis collée...enfin pas complètement, je n'ai pas pu le finir, j'ai même sauté plein de passages. Déjà tous ceux qui parlaient du ridicule enfant surdoué, Junior et de l'affligeante Henriette. Au bout de 600 pages, je me suis dit stop, même pas envie de connaître la suite!
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voir la dritique de traversey, tout pareil !
Le titre : foireux à pleurer
l'histoire : la suite de trop. On en finit par ne même plus apprécier les personnages avec lesquels on avait passé de pourtant bien agréables moments, du temps des crocodiles et des tortues. tss tss tsssss...
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Le livre de trop... dommage car les deux premiers étaient très bien ficelés mais là... quelle déception... il faut savoir tourner la page ! Je considère ce livre comme du commercial uniquement ! Je conseille vivement de lire les 2 premiers volumes et de rester sous le charme...
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On retrouve le quotidien de Joséphine, Zoé, Hortense, Gary, Shirley et les autres. Les choses avancent, très lentement, mais chacun finit par trouver sa place dans ce monde plein de surprises.

"Les Ecureuils"... ou "Comment exploiter le filon lorsque celui-ci est épuisé". Cette daube de 1000 pages est aussi vide que l'espace intersidéral qui entoure la planète ! Un pavé à jeter sans complexe dans la mare ! Les images ne sont pas assez nombreuses pour vous décrire le supplice que j'ai subi à lire ce tome 3 surfait et re-refait.
Alors oui, on retrouve nos personnages habituels, mais l'envie d'en savoir plus sur eux s'épuise au fur et à mesure que les pages se tournent. Thank God, la lecture en diagonale existe ! On commence un paragraphe, pas besoin de le lire en entier : on saute tout de suite sur la fin qui répète le début. En bref : on ne rate jamais rien quand on décide de lire ce livre à vitesse grand V. Sur ces satanées 1000 pages, il ne doit bien y en avoir que 200 qui fassent avancer l'histoire, voire même qui en valent le détour.
Rien ne se passe : les mêmes rancunes sont toujours là et lassantes à la longue (la méchanceté d'Henriette en devient caricaturale, tout comme sa fin, remise à sa place, comme s'il existait effectivement une justice à l'américaine dans ce monde de brutes sans foi ni loi), les personnages de Joséphine et Hortense piétinent sur place, réfléchissent trop, se disent tout le temps les mêmes choses et n'évoluent pas. On s'est tapé 3 tomes sur les déboires amoureux de la petite nana à la quarantaine bien tassée pour que finalement son sort soit réglé 3 pages avant la fin dans une espèce d'aparté ridicule, façon "Coup de foudre à Manhattan" !
Le pompon revient sans doute au personnage de Junior, rappelons-le, petit gosse de 2 ans qui parle comme un diplômé de l'ENA et qui a le pouvoir de lire dans les pensées. Hein ?? Quoi ??? L'histoire du premier tome qui se voulait réaliste avec un soupçon d'espoir à l'eau de rose s'est transformée en mascarade littéraire, où les idées saugrenues sont jetées pêle-mêle dans un texte qui s'essouffle. Même toutes les parties sur l'acteur Cary Grant dans le journal d'un inconnu ramassé dans les poubelles et duquel Joséphine trouve son inspiration sont énervantes à lire, surtout quand on s'aperçoit que le livre en préparation est lui aussi, comme l'histoire d'amour de Jo, expédié en 3 pages sans qu'on sache réellement à quoi il ressemblera alors qu'on nous bassine avec depuis 500 pages...
Le style de Katherine Pancol en devient insupportable : ses phrases sans sujet comme si elle avait écrit son roman en anglais (Excuse me dear, mais si ça se fait en anglais, ça ne veut pas forcément dire que ça passe en français ! Comme si on ne savait pas déjà que cette femme était journaliste et avait passé une bonne partie de sa vie aux Etats-Unis...), ses énumérations de marques à outrance comme si on visitait les Galeries Lafayette ou regardait le clip d'un artiste à la patte bien graissée par un annonceur, ses répétitions outrancières des mêmes et toujours sentiments, phrases surfaites, histoires amorcées et non terminées... Unbearable!
Heureusement, on peut espérer que la fin de ce tome 3 n'augure pas de tome 4. Enfin une bonne nouvelle.
Alors entre tous ces détails, anglicismes et même figures de style falsifiées (j'ai trouvé une anacoluthe qui n'est pas censée figurer dans un roman de haut-vol comme doit le croire Miss Pancol), vous comprendrez qu'il vaut mieux passer votre chemin et garder vos 8,50 euros pour des dépenses plus utiles (comme du papier toilette)...
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Ma note : un grand 0/5 mais alors la très grand!

J aime lire pour me détendre, pour m évader et le quatrième de couverture m avait directement emmené dans un univers particulier, j espérais y côtoyer des personnages voulant sortir des habitudes urbaines de ce que nous faisons tous ou presque : toujours courir sans prendre la peine ou le plaisir d observer les belles choses qui nous entourent ... Étant un peu comme ça, j imaginais vraiment pouvoir me retrouver dans ces lettres ...
Et bien pas du tout ! J ai péniblement tenu les 50 premières pages avant de refermer rageusement le bouquin. On ne s y retrouve pas dans les descriptions , les redites sont nombreuses, tout est fouillis et le rythme tellement rapide aux passages inapropries que le seul sentiment que ce livre à fait naître en moi est le stress ainsi que tous ses dérives.
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