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EAN : 9782234074163
224 pages
Stock (21/08/2013)
2.75/5   8 notes
Résumé :
« Le voilà qui arrive. “Il Babbo”. Il n’a rien d’italien, c’est ma mère qui l’est à moitié. C’est elle qui l’a surnommé ainsi pour nous. Avec l’accent, en tirant sur le “a”. J’aime le sobriquet. Aux heures claires, il sent le babillage et la bulle savonneuse. Aux heures sombres, il claque comme une sentence enfantine : “Pas beau !” »

Une semaine sur les routes de France, entre le Var et Paris, dans le sillage d’une vieille bagnole en bout de course. I... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Il Babbo, le surnom que donna la Mamma à son époux. Un nom à consonance italienne. La mamma, la mère du narrateur, d'origine italienne.
On suit les pérégrinations de la Côte d'Azur à Paris ; un retour de vacances d'un père, le Babbo, avec son fils, le narrateur. C'est l'occasion d'étaler la relation tumultueuse entre ces deux « héros ». Un « je t'aime, moi non plus ». C'est l'occasion au narrateur de se souvenir de certains membres de sa famille aussi cocasses qu'inquiétants. Et ce Babbo en a fait pis que pendre : personnage important dans l'ombre des hommes politiques avec des dessous de table, des opérations commerciales douteuses où qui est pris qui croyait prendre. de la bonne bourgeoisie du XVIe avec puis sans le sou.
Il y a aussi les Panthéons qui évoquent des personnages, « tous » des « dieux » comme le veut l'étymologie du mot, mais plutôt du « people » qui nous fait rêver.
Ivan Macaux est journaliste, et ça se sent. Les dessous de table, la corruption dans certains pays d'Afrique, les nouvelles du people abondent. le malheur, c'est que tous ces articles disparates ne correspondent pas à l'unité que doit constituer un roman. Mais, il y a quand même un réel plaisir pour le lecteur : les jeux de mots qui émaillent le récit.
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Lu il y a près de 2 mois, j'ai un souci : j'ai déjà oublié beaucoup de ce livre… Je sais que je l'avais trouvé pas mal, mais qu'il n'y avait rien d'exceptionnel dedans. le narrateur part en voyage avec son père, « Il babbo », et se font la route en voiture du Var à Paris. Et le fils va se remémorer bien des choses de son enfance et de sa relation avec le paternel.
Je me souviens que l'histoire était agréable, bien que j'aie décroché plusieurs fois car elle ne m'intéressait pas plus que ça, mais c'était quand même bien écrit. Je pense juste que ce n'était pas mon style de roman. J'avais apprécié le rythme qui était donné tout le long mais, paradoxalement, avais été un peu saoulée du rythme saccadé des phrases. C'était un style qu'il a rendu trop répétitif et ça a beaucoup ralenti ma lecture. A cause de ça, j'ai peiné à entrer dans l'histoire.
Cela doit venir de moi, mais je dois être passée à côté d'un roman bien… Mais je ne le déconseillerais pas pour autant !
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Je n'ai pas du tout accroché à ce roman. L'auteur a un énorme potentiel au niveau de l'écriture et j'ai l'impression qu'il voulu l'étaler. Jeux de mots, références, métaphores... les pages en sont saturées, tellement que ça devient lourd et difficile à lire. Quant à l'histoire, j'avais hâte de me plonger dans ce que je pensais être un "road-trip" entre un père et un fils, parsemé d'aventures et d'expériences... finalement il ne se passe quasiment rien, tout est dans le psychologique et les souvenirs. Chose rare, je n'ai pas réussi à me mettre dans la peau des personnages, pas d'empathie, rien... c'est bien dommage...
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http://salon-litteraire.com/fr/stock/review/1845515-portrait-du-pere-en-perdant-magnifique-il-babbo-d-ivan-macaux
Lien : http://salon-litteraire.com/..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
En vingt ans de vie commune, je n'ai jamais connu mon père. J'ai cru y parvenir bien des fois, en vain. Rien que de très normal, sans doute. Le bonhomme est du genre changeant. Rien qui ne justifiât des nuits sans sommeil.
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