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sur 102 notes
Althéa est une jeune femme timide et solitaire. Son premier roman est édité, connaît un succès mondial et elle en est la première surprise. Elle vit simplement dans son village du Maine qu'elle n'a quitté qu'une seule fois, pour rencontrer son éditeur. Quand elle est invitée pour un séjour culturel en Allemagne, par le nouveau pouvoir en place, elle part, heureuse, pour Berlin. Nous sommes en 1933. Elle va soutenir le parti en place jusqu'à une rencontre qui va ébranler ses certitudes, et surtout elle va assister au terrible spectacle de la nuit des autodafés.



Hannah est belle, brillante, cultivée. Elle vit à Berlin à la même époque, fréquente les cabarets et les lieux culturels, surtout la nuit. Elle voit bien le danger du nouveau pouvoir en place, l'insécurité dans les rues, cette ambiance de malaise et de danger imminent. Ses parents ont préféré fuir. Son frère va être interné dans un camp, sur dénonciation, et elle partira avec son meilleur ami à Paris dans un premier temps et plus tard à New York. Elle a retrouvé dans ces deux pays, les mêmes conditions de vie qu'en Allemagne, l'antisémitisme, le racisme et elle va devoir se reconstruire malgré ces conditions. Hannah va travailler à la bibliothèque allemande des livres brûlés.

En 1944, Vivian interpelle un sénateur qui a décidé de censurer certains livres envoyés aux soldats à l'étranger. Son mari est mort au combat et elle sait combien les livres envoyés aux militaires sont importants. Elle se fait rembarrer et va devoir trouver une solution pour empêcher cette censure.

Le destin de ces trois femmes se heurte à la Seconde Guerre mondiale. Elles sont différentes et pourtant complémentaires. La montée de la violence, l'homme providentiel qui se veut être le sauveur de son pays et le réformer, la guerre, les trahisons, l'histoire ne nous sert pas d'exemple, c'est le moins que l'on puisse dire.

C'est une histoire passionnante mais difficile à lire. Il faut prendre son temps pour changer de pays et d'année et suivre la vie de ces trois jeunes femmes en période de guerre.

Un grand merci à Masse critique privilégiée de Babelio et aux Éditions Harper Collins pour cette découverte.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Berlin, 1933. Althea, une écrivaine américaine, participe à un programme d'échange culturel financé par les nazis. En pleine écriture d'un nouveau livre, elle quitte l'état du Maine pour l'Allemagne. En Europe, elle intègre l'entourage du Chancelier et fréquente les membres du 3ème Reich.

Paris, 1936. Hannah, une jeune allemande ayant fui son pays, travaille à la librairie allemande des livres brûlés. Installée dans la capitale française depuis plusieurs mois, elle s'entoure d'un cercle d'amis et d'opposants au pouvoir nazi. En France, elle assiste à la montée en puissance de l'antisémitisme et à la répression.

New-York, 1944. Vivian, bibliothécaire, oeuvre activement dans une organisation pour envoyer des livres aux soldats américains en Europe. Elle participe au Programme d'édition de livres pour l'armée financé par le gouvernement. Grâce à cela, elle combat également la censure.

Je remercie les éditions Harper Collins pour cette lecture coup de coeur.

"La bibliothèque des livres brûlés" est inspiré de l'histoire vraie de la Bibliothèque allemande et du Conseil des livres créés à l'approche de la Seconde Guerre mondiale. Avec cette histoire, on plonge dans l'histoire de ces trois destins de femmes.

A travers des événements majeurs qui ont eu lieu en temps de guerre, on assiste à l'un d'eux : la nuit des autodafés qui s'est déroulé à Berlin et dans plusieurs grandes villes universitaires d'Allemagne. Des milliers de livres sont alors publiquement jetés au bûcher par des membres du parti nazi et par des étudiants membres de la jeunesse hitlérienne en 1933.

Cette idée est lancée par Hitler afin de combattre l'esprit non allemand dans le régime.

En réponse, des écrivains allemands créent à Paris la « bibliothèque des livres brûlés » en 1934. Tous les ouvrages censurés, confisqués et sauvés du bûcher y sont rassemblés grâce aux actions menés par les réfugiés en exil dans le monde entier.

La bibliothèque possède rapidement des milliers d'ouvrages, soigneusement nettoyés, classés et cachés dans cette bibliothèque du quartier Saint-Germain qu'il faut protéger des soldats notamment durant l'occupation.

Ce roman est riche en références historiques. C'est une ode aux livres et à la liberté à travers l'histoire de trois femmes courageuses et déterminées, prises dans les tourments de la guerre, et qui iront au bout de leurs projets.

Un énorme coup de coeur pour cette lecture !

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Roman basé sur un fait historique survenu à Berlin en 1933 , des milliers de livres non ' allemands ' furent brûlés par des sympathisants nazis , c'est la nuit des autodafés .
On suit trois femmes à Berlin , Paris et New-York , réunies par un pan tragique de l'histoire mais surtout par l'amour qu'elles portent aux livres .
C'est la création d'une bibliothèque à Paris qui rendra hommage aux livres livres brûlés à Berlin , c'est le combat d'une femme qui enverra des livres aux soldats américains qui combattent en Europe .
Trois femmes , trois destins différents , un sujet qui m'intéressait beaucoup mais j'ai été déçue par l'écriture qui m'a semblé fade .
Un grand merci à Babelio pour cet envoi dans le cadre d'un Masse critique et aux éditions Harper Collins .
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*** La nuit des autofadés ***

Merci à Babelio et aux Editions Harper Collins, lors d'une masse critique privilégiée, de m'avoir rendu possible ce petit coup de coeur littéraire.
La lecture a été très agréable mais surtout très enrichissante pour moi.
Des livres traitant de la seconde guerre mondiale et du nazisme, il y en a des tas, mais ici l'auteure Brianna Labuskes, traite d'un sujet complètement oublié lors de cette période trouble et noire.
Ici, on va parler de la nuit des autofadés ... Mais savez-vous seulement de quoi il s'agit ? Moi, je l'ai découvert !


En 1933, Hitler alors chancelier, lance "une action contre l'esprit non-allemand". Ainsi, avec l'aide de son futur et terrible dignitaire Goebbels, le 10 mai 1933, devant l'opéra de Berlin, des milliers de livres sont jetés sur un immense bûcher, orchestré par les étudiants, les enseignants, et des membres du parti nazi.
Ils constituent les autofadés Allemand de 1933.
Tous ces livres étaient sur liste noire, des écrits à détruire car ils ne rentraient pas dans les idéologies nazis.

Le roman historique de Brianna Labuskes met en scène trois femmes sur une période différentes et dans des villes différentes. Un seul combat les unies : les livres.


Berlin, 1933. Althea, une écrivaine américaine, participe à un programme d'échange culturel financé par les nazis. En pleine écriture d'un nouveau livre, elle quitte l'état du Maine pour l'Allemagne. En Europe, elle intègre l'entourage du Chancelier, grâce à Goebbels, et fréquente les membres du 3ème Reich, comprenant rapidement qu'elle est du mauvais côté de l'Histoire.

Paris, 1936. Hannah, une jeune allemande ayant fui son pays, travaille à la librairie allemande des livres brûlés. Installée dans la capitale française depuis plusieurs mois, elle s'entoure d'un cercle d'amis et d'opposants au pouvoir nazi.

New-York, 1944. Vivian, bibliothécaire, oeuvre activement dans une organisation pour envoyer des livres aux soldats américains en Europe. Elle participe au Programme d'édition de livres pour l'armée financé par le gouvernement. Grâce à cela, elle combat également la censure.

Trois femmes, trois destins qui vont se réunir par le hasard de la vie ...


J'ai été captivée par cette histoire.
Le roman est très bien écrit et certains points de l'Histoire pendant ces heures sombres très bien expliqués.
Les trois femmes sont très attachantes, on vit leurs souffrances, leurs idées et leur soif de liberté.

Pour celles et ceux souhaitant découvrir ce coup de coeur littéraire, le roman peut paraître un peu "décousu" au début (dû aux changements de dates, lieux, personnages) mais il faut persévérer et laisser l'histoire vous prendre aux tripes.

Je termine par cette phrase d'Henrich Heine qui, en 1817, écrit : « Là où on brûle des livres, on finit par brûler des hommes. »

Ce roman a l'audace de nous rappeler cette douloureuse vérité : le livre n'est que la première étape de l'extermination. Et ceux, qui la pratiquent, sont déjà des bourreaux, nous privant de liberté, car de nos jours encore, de nombreux pays, de par leur idées extrêmes, brûlent des livres ...





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La bibliothérapie est un sujet qui me passionne depuis quelques années et ce livre s'inscrivait idéalement dans cette découverte perpétuelle.
Je connaissais par exemple l'usage thérapeutique de la lecture exercée aux États-Unis, notamment pour soulager les troubles psychologiques des militaires revenus de la première Guerre Mondiale. Mais j'ignorais jusqu'à ce roman l'existence du Conseil des livres en temps de guerre, un groupe d'éditeurs américains qui pensaient que la littérature pouvait aider les soldats présents sur le front à supporter les horreurs du conflit.

C'est un des aspects développés dans ce roman qui m'a rendu cette lecture attractive : pourquoi lire ? Pour le divertissement, l'évasion ou pour ces soldats : le lien avec « les pensées et la vie quotidienne dans leur pays ». Oui mais pas seulement, lire c'est s'émouvoir, apprendre, alerter… C'est d'ailleurs l'amour de la lecture qui lie les trois héroïnes du livre : Althea, jeune autrice américaine en devenir, Hannah qui travaille à la Bibliothèque allemande des livres brûlés et Vivian, éditrice investie depuis la mort de son mari dans la cause défendue par le Conseil et l'envoi de livres de poche aux soldats du front.
Le Livre est certainement un des personnages clefs du roman, notamment dans la terrible scène relatée de la nuit des autodafés, une nuit à propos de laquelle Hannah dira des années plus tard : « Je peux vous dire qu'interdire des livres, brûler des livres, censurer des livres est une manière d'éradiquer un peuple, un système de croyance, une culture. Une manière d'étouffer des voix, même celles d'écrivains qui sont la fine fleur de leur pays ».
Des livres, salvateurs, cathartiques, se voient ainsi cités au fil des pages : Oliver Twist, Les aventures de Huckleberry Finn, Les raisins de la colère, Alice au pays des merveilles. Nommés dans les lettres des soldats en remerciements, ils sont également ardemment défendus par les éditeurs devant la menace de censure exercée par un sénateur sous prétexte de propagande.

Vous l'aurez compris, ce roman est un plaidoyer pour le livre et la lecture, la liberté de lire et d'écrire, contre son interdiction et sa censure.
C'est aussi un romance et c'est là que Brianna Labuskes m'a perdue… Que l‘exercice est complexe de mêler ainsi des sujets aussi graves avec cette forme de romantisme édulcoré ! J'ai eu beaucoup de mal avec cette légèreté d'écriture narrant les émois, les amours et les trahisons des uns et des autres. La magie n'a pas opéré pour moi.
Je remercie cependant les Editions Harper Collins et Babelio pour cet envoi et ce livre qui m'a ouvert de nouvelles voies d'exploration de la thérapie par les livres.
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La bibliothèque des livres brulés se déroule avant et à la fin de la deuxième guerre mondiale et raconte l'histoire de 3 femmes, 3 destins à différentes endroits et périodes de l'histoire.
Il s'agit de Althea James, écrivaine américaine qui participe à un échange de programme à Berlin en 1933.
Hannah Brecht, qui fuit Berlin pour Paris en 1936, mais se rend compte que finalement l'antisémitisme y est aussi bien présent à Paris qu'à Berlin.
Et Vivian Childs en 1944, qui ayant perdu son mari au combat, mène sa propre guerre pour empêcher un puissant sénateur la censure de livres envoyé aux soldats à l'étranger.

J'ai d'abord été attiré par cette magnifique première de couverture et puis par ce titre, je voulais en savoir plus sur ces livres brûlés.
Eh bien en terminant ce livre je peux dire que je l'ai beaucoup aimé et qu'il fût très intéressant à lire.
L'auteur a su bien imprégner l'histoire de l'atmosphère qui y régnait en ces temps d'avant et d'après-guerre.
On y retrouve aussi l'importance que les livres avaient sur les soldats qui côtoyait la guerre, qui n'est autre qu'ennui et violence !
On se rend également compte comme il est important de ne jamais censurer les livres. Cela m'a beaucoup ramené à aujourd'hui ou l'on réécrit des livres parce qu'on a changé de mentalité ou pour éviter de heurter certaines personnes… j'ai bien peur que certains continuent à s'entêter de nous priver de certaines libertés de penser, ne sommes-nous pas tous assez grands et intelligents pour juger si un livre nous plait ou non, sans devoir pour autant la réécrire/censurer ?

Pour moi La bibliothèque des livres brûlés fût un livre très intéressant avec de bonnes valeurs que j'ai beaucoup aimé lire !
Merci Harper Collins France de m'avoir permis de lire cette histoire.
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Un roman vantant les mérites du livre et de la lecture, ça ne pouvait que me plaire.
Malheureusement, la rencontre n'a pas eu lieu.

L'auteure raconte la vie de trois femmes, amenées à un moment donné à se rencontre, aux heures sombres de notre histoire.
Ces trois femmes sont de ferventes adeptes du livre sous toutes ses formes.
Elles vont donc "s'associer" autour d'un projet commun.

D'abord, au niveau des personnages, je les ai trouvés "fades". Pour moi, l'auteure n'exploite pas assez le contexte historique dans lequel elle situe son histoire. J'ai remarqué également, et cela m'arrive souvent avec des auteurs américains, qu'elle évoque un fait avec son regard d'outre Atlantique et que cela se ressent fort.
C'est un peu le même phénomène avec les auteurs américains qui tentent d'écrire un roman sous l'Angleterre victorienne. Pensant que parce qu'on parle la même langue, on connait forcément la culture de l'autre...Ben non en fait.
Donc, pour en revenir à ce roman, je n'ai pas été convaincue par les personnages qui minaudent.
Je n'ai pas été convaincue par le fond de l'histoire non plus. J'ai trouvé, en résumé, que le roman ne tenait pas sa promesse. J'ai eu un goût de "dommage, on passe à côté l'un de l'autre" mais bon, c'est ça la lecture et les goûts et les couleurs et c'est finalement très bien.
Je ne doute pas que ce roman pourrait plaire à d'autres lecteurs mais le coup de foudre n'a pas eu lieu entre nous.
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Le 10 mai 1933, des milliers de livres jugés anti-allemands brûlèrent partout en Allemagne : un autodafé ordonné par les nazis visant visant les écrivains juifs, pacifistes ou marxistes. Les livres de quatre-vingt-quatorze auteurs furent réduits en cendres dont Heinrich Heine, Karl Marx ou Sigmund Freud. A la suite de cet événement plusieurs écrivains en exil décidèrent de créer à Paris une bibliothèque qui rassemblerait tous les écrits allemands interdits et brûlés sous le IIIe Reich : La Bibliothèque allemande des livres brûlés.
Si cette bibliothèque est bien entendu évoquée dans ce roman, on y parle surtout du Conseil des livres en temps de guerre, formé en 1942 par un groupe d'éditeurs américains, et dont le but était de réfléchir à la manière dont la littérature pouvait servir la nation en période de conflit et remonter le moral des troupes sous la forme d'un livre de poche dans le barda du soldat.
C'est donc autour des livres, de la culture et de la censure que se déroule l'action de ce roman un peu brouillon : si j'ai trouvé le contexte initial très intéressant, je dois dire que j'ai eu du mal avec l'écriture, les personnages et les dialogues que je n'ai pas trouvé très convaincants...



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Ce roman est passionnant mais il faut être attentif en le lisant, surtout au début, pour changer de pays et d'année, en suivant la vie des trois héroïnes. Althéa James est une écrivaine Américaine, invitée en 1933 en Allemagne, dans le cadre dun programme d'échange culturel financé par les nazis. Elle qui n'a jamais quitté le Maine part, heureuse, pour Berlin. Elle va soutenir le parti en place jusqu'à des rencontres qui vont ébranler ses certitudes, et surtout la nuit des autofdafés à laquelle elle va assister.
Hannah est belle, brillante, juive et cultivée. Elle vit à Paris en 1936 et se heurte à l'antisémitisme. Son frère, Adam, a été déporté. suite à une dénonciation. Elle travaille à la Bibliothèque Allemande des livres brûlés. Elle a fui où elle fréquentait les cabarets et les lieux culturels.
En 1944, à New-York, Vivian travaille pour le Conseil des livres en temps de guerre et interpelle le sénateur Taft qui a décidé de censurer certains livres envoyés aux soldats à l'étranger. Son mari est mort au combat et elle sait combien les livres envoyés aux militaires sont importants. Elle va tout faire pour empêcher cette censure.
Ces trois femmes se sont croisées et heurtées au nazisme. Elles ont en commun leur amour des livres. L'auteur nous permet de découvrir leurs liens, à la manière d'un puzzle. Ce sont de belles personnes, entières et attachantes.
J'ai beaucoup apprécié la fin qui m'a tiré quelques larmes.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..
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Ce roman a pour fil conducteur le rôle et la défense des livres en des temps difficiles. Il met en scène trois femmes à trois époques différentes. Leur trajectoire personnelle finira bien sûr par se croiser.

Berlin, 1933 : nous suivons Althea, jeune autrice américaine auréolée d'un premier roman à succès, invitée par Joseph Gobbels, dans le cadre d'un échange culturel organisé par le nouveau pouvoir nazi. Si, au début de son séjour, elle est séduite par le dynamisme de la ville et l'accueil qui lui est réservé par les cercles cultivés du parti, elle ouvrira les yeux sur la nature réelle des nazis en assistant au grand autodafé de tous les livres jugés contraires au nationalisme allemand.

Paris, 1936 : Hannah, juive allemande est réfugiée à Paris et travaille à la bibliothèque des livres brûlés, lieu discret qui s'efforce de réunir les livres voués à la destruction dans son pays. Elle y participait à un mouvement d'opposition et est hantée par une trahison qui a entraîné la mort d'un proche.

New-York, 1944 : Vivian, bibliothécaire, travaille pour une association qui envoie des livres aux soldats sur le front. Elle est en conflit ouvert avec un sénateur qui veut censurer certains livres et se battra avec acharnement pour empêcher son action.

Voilà pour le thème principal, certainement bien documenté par rapport aux faits réels. Mais nous sommes ici dans un roman et la vie sentimentale des jeunes femmes prend le pas sur le reste, ce qui m'a moins intéressée.

Chacune à leur manière, elles ont des relations assez compliquées et même parfois des réactions de midinettes un peu surprenantes, même si l'on considère l'époque, alors qu'elles font preuve d'un grand courage par ailleurs.

Les chapitres alternent entre les époques et j'ai mis du temps à m'y retrouver, ce n'était pas toujours très clair.

Je ressors de cette lecture assez mitigée. L'intérêt historique est là, mais je constate une fois de plus que sur ce genre de sujet je préfère les documents. Et là, le coté romanesque prend un peu trop le dessus à mon goût. Ce n'est que mon avis personnel et c'est tout de même une lecture à tenter.
Lien : http://legoutdeslivres.haute..
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