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3,41

sur 1207 notes
J'ai lu tous les livres de Laurent Gounelle, jusque à présent c'est également un de mes auteurs favoris. J'attendais donc son dernier livre avec grande impatience.
Et après une longe attente, quelle décéption ! J'ai trouvé les chapitres extrêmement répétitifs sans rien apporter. La lecture a été réellement pénible, à aucun moment je n'ai réussi à accrocher. l'héroine est tellement prévisible ça en est particulièrement agaçant. l'histoire générale n' a aucun sens.
Soulagé d'avoir terminé la lecture, j'espère que les prochains seront davantage enrichissant.
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En fan de Laurent Gounelle, je ne pouvais pas rater la sortie de son nouveau roman « Je te promets la liberté ». J'ai donc couru dans les librairies de Marseille pour l'obtenir dès le jour de sa sortie et je n'en suis pas déçue. Un très bon moment à découvrir la psyché humaine.

Sybille Shirdoon travaillait il y a cinquante ans à bord d'un bateau appelé le PygmaLyon. Son patron, Charles, lui laisse dix jours pour sauver son poste, le convaincre qu'elle a sa place en tant que directrice du bateau et obtenir des résultats. Il remet en cause sa personnalité qui, selon lui ne serait pas adapté au poste. le même jour son copain lui dit que son couple ne va pas durer.
Quand elle rencontre Remy Marty, un ancien camarade, il lui offre la possibilité de lui donner une autre personnalité par l'hypnose. Il lui conseille d'aller voir un grand maître d'une confrérie héritière d'un savoir ancestral. Ce qu'elle ne sait pas c'est que ce savoir va chambouler sa vie...

La couverture des éditions Calmann-Levy est très bien trouvée et reflète bien la liberté.
J'ai apprécié retrouver l'écriture fluide et captivante de Laurent Gounelle. Il m'a transporté à travers son étude des personnalités. Il y a eu des moments qui m'ont faire rire, d'autres qui m'ont touché mais de toute évidence on n'en ressort pas indemne.
On ne s'attache pas particulièrement aux différents personnages mais surtout au sujet traité. On se sent concerné, on s'y retrouve dans certains cas. Les neufs niveaux de personnalité évoqués sont très bien développés. Chacun d'entre nous pourra se retrouver dans les différents cas abordés et argumentés par des exemples concrets.

Doit-on réellement changer de personnalité pour convenir aux autres ?Notre personnalité défini qui nous sommes et non pas ce que les gens souhaiterais que nous devenions. Mais elle a ses travers...

Ce livre permet de mettre l'accent sur nos propres défauts et qualités qui font ce que nous sommes. Vouloir changer qui nous sommes ne peut nous attirer que plus de chagrins et de déceptions. Chaque difficulté au cours de notre vie doit nous permettre d'avancer et d'évoluer. le bonheur ne se construit pas du jour au lentement et c'est un travail sur soi permanent.

À vous de vous plonger dans ce roman et de trouver quelle est votre personnalité la plus proche de celles évoquées et surtout de trouver le travail à faire sur soi pour avancer. Un « remède » vous sera proposé à vous de le trouver...
Lien : https://fantasydaniella.word..
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Ayant fait l'acquisition de cet ouvrage pour la médiathèque pour laquelle je travaille, j'en profite pour le lire au passage afin de mieux le conseiller à mes lecteurs. Quoi qu'il en soit, c'est un peu une fausse excuse car c'est avant tout pour me faire plaisir à moi, étant donné que je sais pertinemment qu'en conseillant un livre de Laurent Gounelle à ces derniers, rares sont ceux qui me disent qu'ils ont été déçus, tout comme moi d'ailleurs.

Si le début m'a étrangement fait pensé à un célèbre film de James Cameron "Titanic" avec ce naufrage que nous connaissons tous et la réplique adressée en début d'ouvrage à la vieille dame "Racontez"'nous Rose" que l'on peut exactement transformer ici en "Racontez-moi Sybille", la suite de l'histoire diffère totalement. Ce nest que ce petit clin d'oeil que je tenais à souligner car dès lors, je savais que le livre allait me plaire et en effet, connaissant le ton philosophique employé dans le style d'écriture de l'auteur et qui se veut toujours positive, sans jamais être moralisatrice, je n'ai pas été déçue le moins du monde, bien au contraire.

Un petit mot sur l'histoire d'abord :Ici, nous découvrons le personnage de Sybille Shirdoon, ancienne directrice du Bateau le PygmaLyon mais pas que (et sur ce, je ne vous en dirai pas plus) se voit donner dix jours par son patron, Charles, pour prouver ses qualités en tant que manager sans quoi il serait contraint de mettre un terme à son contrat. Complètement prise de cours et voyant son couple avec Nathan, un serveur qu'elle a elle-même engagée, battre de l'aile, Sybille va devoir faire ses preuves mais comment ? Tout cela nous est narré à travers les confidences qu'elle fait sur ce que fut sa vie à Sam, reporter pour un grand journal, alors que le bateau a été renfloué et sorti du fin fond du Rhône et un piano, qui a toute son importance ici, remis en état de fonctionnement. Jérémy, le pianiste de l'époque joue un rôle d'importance dans ce récit tout comme Oscar Firmin, membre d'une confrérie secrète qui donna à Sybille plusieurs cartes en main pour essayer de trouver la personnalité qui lui est propre et qui lui convienne le mieux. Cependant, en faisant appel à ce dernier pour essayer de changer qui elle est vraiment, Sybille ne serait-elle pas tombé dans le piège infernal qui est celui en voulant à tout prix changer qui elle est vraiment et ce, afin seulement de plaire aux autres, de se perdre elle-même ?

Un roman qui nous amène à nous poser les mêmes questions que notre héroïne : qui sommes nous réellement et en étant ce que nous sommes, quelle partie de nous amenons-nous, en bien ou en mal, à la perception que nous avons de nous et que les autres s'en font ? Un roman philosophique léger mais avec pourtant des questions extrêmement pertinentes et existentielles sur notre personnalité et sur ce qu'elle apporte au monde extérieur. Une écriture fluide et légère avec pourtant, toujours ce même raisonnement qui nous permet de nous remettre en question à chaque page, tout comme le faire le personnage de Sybille et encore une fois, je ne peux dire que bravo à l'auteur et vous recommander cette délicieuse lecture !

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La 4ème de couverture nous promet un roman à suspense. Je dois vraiment avoir une autre vision du « suspense » car à mon sens on en est très loin. Alors effectivement, on peut être happé par cette histoire, on peut avoir envie de rapidement en savoir davantage, mais de la à parler de suspense? Passons sur ce détail !

Le personnage clé de ce récit est Sybille Shirdoon. Directrice d'un bateau-restaurant sur le Rhône, elle a 10 jours pour prouver qu'elle peut rester à son poste. Elle doit convaincre son patron ainsi qu'un homme venu auditer l'entreprise. Elle a bien compris que le souci c'est sa personnalité, ou plutôt son manque de personnalité. Elle rencontre alors une sorte de gourou mystérieux qui la le « pouvoir » d'installer en elle une nouvelle personnalité. Elle va ainsi tester plusieurs personnalités, en découvrir les avantages sur sa vie privé ou professionnelle, mais surtout de nouveaux inconvénients.

L'idée de départ est sympa, l'histoire de Sybille est très originale. Mais j'avoue avoir trouvé ce récit assommant. Je connais l'écriture de Laurent Gounelle, je savais bien quel genre de récit m'attendait, mais cette fois ci je n'ai pas du tout été sensible aux messages qu'il souhaite nous faire passer. Tout est si niais, tout sonne faux. Sybille n'inspire aucune sympathie, pas plus que Nathan son pauvre compagnon. Aucun employé à bord du bateau ne relève le niveau. Alors oui, ce roman nous interroge forcément sur nostre propre personnalité, sur celle que l'on voudrait avoir. On se demande comment les autres nous voient, ce qu'on dégage et ce qu'on peut apporter aux autres. On peut douter, on peut se satisfaire, on réfléchit. Mais ici le coté ésotérique, développement personnel prend trop le dessus sur le roman, c'est dommage.
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Encore une belle histoire que nous conte Laurent Gounelle sur fond de psychologie et d'introspection.

La lyonnaise que je suis a tout d'abord été sensible au cadre, puisque l'histoire se déroule dans le Lyon des années 60.
Sybille Shirdoon est invitée d'honneur pour la remontée d'un bateau qui a fait naufrage dans les eaux du Rhône et sur lequel elle travaillait en tant que directrice. le bateau remonte avec lui les souvenirs enfouis depuis plus de 50, s'enclenche alors un flash back dans la vie de Sybille et de ses 10 derniers jours sur l'embarcation avec l'équipage.

A travers l'expérience de Sybille et une histoire somme toute assez intemporelle et dans laquelle on peut de fait tous se projeter, Laurent Gounelle nous emmène dans une exploration de la personnalité, de la manière dont nous la construisons, l'apprivoisons parfois. Identifier nos peurs, nos angoisses, ce qui nous empêche d'avancer, pour en faire des forces et tendre au succès du bonheur et de la sérénité.

Ici, on ne trouvera pas la formule magique mais des clés et des bons principes simples à mettre en oeuvre comme l'auteur en a le secret. Une pause bien être et réflexion utile !
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Je me suis forcé à aller jusqu'au bout. 50 dernières pages en diagonale. Après "L'homme qui voulait être heureux" et "Les dieux voyagent toujours incognito", je vois ça un peu comme une redite. "On n'est pas sa personnalité !". Moi, je dirai plutôt le contraire. En fait je pense même qu'on est sa personnalité, on est ses pensées, on est ses émotions... le tout est d'en être conscient et de ne pas se laisser submerger pour pouvoir vivre à peu près en harmonie avec notre environnement. Alors, j'ai envie de dire : tout ça pour ça ? D'abord ce long prologue pour amener le personnage de Sybille Shirdoon, l'improbabilité de l'intrigue, du personnage même de Sybille, d'Oscar Firmin, d'Alain, du pianiste et même de Sam, personnellement je n'y ai pas cru. Je me suis laissé entraîner pourtant dans le même bateau restaurant que Sybille et subir les caricatures de chaque personnage. de plus, certains, pourtant cruciaux pour l'intrigue ne sont même pas aboutis. Je pense notamment au pianiste. On sent bien que ce qui intéresse l'auteur est de délivrer sa leçon de développement personnel. Presque 400 pages de rabâchages à coups de massue pour arriver à lire que chaque personnalité a ses qualités et ses défauts et, qu'en gros, il faut de tout pour faire un monde. J'ai nettement préféré la concision de "L'homme qui voulait être heureux" dans son univers balinais, même si là aussi c'est un peu simplet. Bon je crois, que Gounelle c'est fini pour moi. Heureusement, c'est un livre que l'on m'a prêté.
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Deux fois à la suite je consomme un "Best Seller" !! Espérons qu'il sera meilleur que "Réparer les Vivants" (NB: eh oui il l'est !!) ... Bon déjà !! Je suis bien rassuré... Cette fois ! ... Il y a des dialogues (Rappelez vous les 15 malheureuses lignes de dialogues dans l'autre malheureux livre. Et si c'est un genre ... Ce n'est pas le mien !! xd )). C'est tout un petit panel de personnages qui est décrit, se connaissant et se retrouvant un peu par hasard! Chacun avec sa classe sociale et sa vie... Quand enfin ça se complique !! Sybille a 10jours pour convaincre son patron de la garder! Sans forcément verser dans le tout Fantasy; j'aurais aimé qu'il se passe plus de chose que les simples Amitiés, Amour, Job... Au moins les chapitres sont très courts... Ce qui abrège un peu mon supplice x-)... Un peu d'humour, quand même, c'est justice de le signaler... J'ai aussi trouvé pas mal de citations intéressantes! ; -)... Fait dire, même si les deux sont importants, ce livre vaut davantage par sa forme que son fond ; -)... Poussée dans ses retranchements, par Charles, son patron, Sybille va mettre le paquet...
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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Aïe la liberté…!..vaste question !
j'ai pris la liberté de ne pas apprécier...
J'ai pris la liberté d'écrire que les muses du roman dont j'avais un bon souvenir "les dieux voyagent incognito"..se sont elles envolées Monsieur Goumelle ?
Beaucoup de personnes en ce moment doivent rêver de liberté...le confinement pour certains qui se retrouvent en tête en tête avec soi-même, ne doit pas être évident.
Bien sûr, nous avons une formidable intelligence qui nous permet de se traduire par une incroyable capacité d'adaptation ! ...
Alors en lisant ce livre..je me suis dit que c'était un écho à cette situation, j'ai pris la liberté de ne pas me souvenir de cette lecture...
Lyon. Un péniche reconvertie en restaurant, composée d'une équipe où Sybille a sa place comme manager mais sous la pression de son boss ; elle a dix jours pour redresser la barre de cette entreprise : elle veut à tout pris modifier son "état d'esprit pour réussir ce challenge..
Un brainstorming incessant de la part des personnages fait que le lecteur se noie dans des réflexions confuses et qui "tournent en rond"...
Le support de l'ennéagramme aurait pu être une bonne idée mais là au aussi en "mode flou artistique" pour le mode narratif.. je n'ai pas réussi à suivre la numérotation mis en place dommage.

Chers babelionautes, Prenez la liberté de le lire! ...pour en discuter : bien livresquement vôtre !







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Je l'ai déjà dit, je ne suis pas férue de livre de développement personnel. Mais Laurent Gounelle est un auteur très vendu, très lu, et comment se dire grande lectrice si l'on essaie pas au moins une fois de comprendre ce qui plaît tant aux autres chez lui ? J'ai donc accepter de lire un de ces livres. Bien mal m'en a pris, je suis terriblement agacée maintenant. Ah ça, c'est sûr que côté développement personnel, j'ai découvert un truc : je suis bien plus exigeante que la moyenne sur certains points ( et encore, bien moins que d'autres donc rien n'est perdu).

Abordons tout d'abord ce qu'il y a de bien dans ce livre. L'idée de présenter des théories de personnalité sous forme d'un roman, pourquoi pas. Ça ne révolutionne pas la vie, mais bon, parfois, lire deux trois mots, s'y reconnaître, peut permettre d'avancer. Autre point, cet homme est très fort pour diluer son propos dans un livre de presque 400 pages. Et pour quelqu'un d'aussi synthétique que moi, je trouve ça fascinant.

Maintenant, ce qui me paraît moins bien. Enfin, je ne veux pas me poser en censeur de la littérature, mais tout de même.
Commençons par l'écriture. Sérieusement, j'ai plus d'une fois cru que l'auteur se moquait de moi. J'espère que ses autres livres sont plus aboutis, parce que là, c'est pesant, laborieux, et plus d'une fois j'ai eu l'impression d'un auteur qui faisait du remplissage. Exemple, une dizaine de page consistant à suivre l'héroïne de l'histoire disant bonjour aux employés du bateau. Mais réellement. « Bonjour, bonjour, comment ça va », associé à une petite description du personnage. Scolaire. Répétitif. Et extrêmement pesant.

Ensuite, nous avons Lyon. Probablement que l'idée est d'en faire un personnage secondaire, mais alors, moi qui y aie habité pendant 12 ans, me farcir le nom de chaque rue, chaque place, chaque café où le personnage principal déambule, non merci. A la rigueur, une rue de temps en temps, un quartier, pour situer. Mais le suivi GPS rue à rue, on aurait pu s'en passer. Tout comme le grand café des Négociants, à croire qu'il n'existe que lui à Lyon en 1964.

La construction du récit lui aussi, fait très remplissage. Les 8, 9 types de personnalités sont présenté avec une héroïne qui fait la même chose. Elle se lève, croise un mendiant dans le funiculaire, va bosser, s'engueule avec tout le monde, rentre chez elle, couche ou non avec son amant, est désespérée et retourne voir l'homme mystérieux détenteur du secret pour changer de personnalité. Sur près de 400 pages, c'est un peu redondant.

Puis, nous avons les anachronismes, les recherches bancales. Vous me direz que je suis hyper pinailleuse. C'est le cas. Mais noter, dans la bouche d'un personnage de 1964 « C'était comme dans un jeu vidéo : dès qu'on a dégommé un assaillant, d'autres apparaissent instantanément, sans fin ». Hum. A cet époque, à part quelques personnes très au fait du développement informatique qui débutaient la création de jeu, la majorité des gens en avait même entendu parler. 1962, moins d'un quart des foyers français étaient équipés d'une télévision !

Ou alors, faire de Lyon un personnage secondaire mais écrire Caluires avec un s ? ( Oui, une coquille me dira-t-on. Mais je suis pinailleuse, l'avais-je précisé ?). Je ne vous fais pas le relevé exhaustif mais tout de même…

Enfin, il y a le fond de l'histoire. Je vais déflorer le truc, donc ne lisez pas si vous voulez la surprise, l'idée de base du livre, c'est l'ennéagramme. Sans jamais être réellement cité sous son nom d'ailleurs. Or, il se trouve que la pinailleuse que je suis trouve que ce genre de choses est totalement inadéquate pour l'explication des personnalités. Aucun intérêt, et même le genre de chose qui peut mener vers certaines mouvances sectaire. Alors n'en parler qu'à demi-mot, même en présentant l'homme qui l'a mis en lumière, en abordant un nom grec « Ennéa grammata », ben merci mais non merci, j'ai l'impression d'être prise pour une andouille.

Enfin. En résumé, ça n'est pas un livre pour moi, c'était une perte de temps, c'est le genre de livre où j'ai l'impression que l'auteur se repose sur sa célébrité pour pouvoir conservé un lectorat facile. Un peu plus d'exigence que diable !

Ah oui, sinon. Paraît que je suis une personnalité 1: « le 1 a pour orientation la rigueur personnelle et les idéaux élevés. ». Bah, on n'a qu'à dire que ça explique pourquoi je suis déçue du livre, hein ?
Lien : https://stephalivres.wordpre..
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Le thème de ce nouveau Gounelle : la personnalité.
La personnalité serait comme une paire de lunettes avec des verres déformants. Donc nous ne sommes jamais proche de la réalité.
De la, l'auteur à travers son personnage insiste sur l'Importance de la conscience de nos filtres pour aller vers nos vrais choix, atténuer les effets limitants, affiner les verres déformants.

De façon plus globale Gounelle utilise le modèle de l'ennéagramme qui a identifié 9 modèles de personnalité. (Modèle basé sur l'origine d'une intention) Mais contrairement à ses romans précédents, il survole encore plus le sujet rendant le livre creux, long au regard de l'histoire alors que le sujet pouvait être la base d'un vrai bon roman. Nous sommes bien loin des premiers ouvrage de cet auteur....
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