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Pierre-Louis Rey (Éditeur scientifique)
EAN : 9782070418121
190 pages
Gallimard (28/02/2002)
3.7/5   57 notes
Résumé :

« Elle me résistait, je l'ai assassinée !... » En mai 1831, au Théâtre de la Porte Saint Martin, la salle sanglote, crie, applaudit à tout rompre quand elle entend les derniers mots d'Antony. Le drame d'Antony est celui d'un bâtard que sa naissance a empêché d'épouser la femme qu'il aime. À la société qui fait obstacle à son bonheur, il oppose la force d'une passion qui emporte tou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Avec Antony, il y a l'oeuvre et il y a le contexte. J'ai toujours tendance à croire que l'oeuvre doit se suffire à elle-même et qu'il n'est point besoin, normalement, de connaître le contexte pour en profiter. Je fais aujourd'hui une petite exception.

Si l'on lit aujourd'hui Antony hors tout, on y voit une pièce honnête, un drame centré sur le paroxysme d'une relation amoureuse. Pourquoi pas ? mais rien qui puisse nous arracher des tonnes de Hourra ! et des quintaux de Bravo !

Or, si l'on y risque un regard attentif, si l'on s'interroge sur la main qui a écrit ces lignes, on y lit quelque chose de beaucoup plus profond, de beaucoup plus intime, de beaucoup plus atroce et tragique, quelque chose qui porte le sceau du réel et du vécu.

Je ne vous apprendrais probablement pas qu'Alexandre Dumas était le petit fils d'un marquis de haute noblesse normand, le fils d'un général de la révolution française puis d'empire qui s'était notablement illustré au combat. Bref, tout pour être fier de ses origines et de son nom.

L'ennui, c'est que le grand père en question, Alexandre Antoine Davy de la Pailleterie, a eu la mauvaise idée de faire quatre enfants à son esclave noire des plantations de Saint-Domingue, dont le nom de famille était Dumas. L'ennui, c'est qu'il n'a pas hésité à vendre ses propres enfants bâtards en qualité d'esclaves.

Dans je ne sais quel remord, il en racheta un qu'il ramena en France et auquel il donna l'éducation d'un gentilhomme. Ce dernier fera carrière et s'illustrera dans l'armée.

Alexandre Dumas se sait donc issu de la noblesse, se sait donc fils d'un général illustre, mais en sa qualité de quarteron, il subit sa vie durant le lot ordinaire des remarques et des insultes racistes. Il est souvent comparé à un singe. Il a l'intelligence de savoir passer au-dessus mais les blessures sont bel et bien là et elles sont indélébiles.

Donc, lorsque nous examinons cet Antony, on y retrouve bon nombre des traits et des fêlures, des blessures et des amertumes qui assaillent le quotidien du véritable Alexandre Dumas.

Dans cette pièce, Antony est un orphelin, qui n'a donc ni nom ni famille, et ne doit sa fortune qu'à une main extérieure. Tout le monde loue ses qualités individuelles dans le monde, mais aucune femme ne souhaiterait se commettre avec un tel parti.

Le tragique d'Antony c'est qu'on ne le regarde jamais lui, pour ce qu'il est vraiment, mais seulement par son pedigree et qu'ainsi, toutes les portes de la " bonne " société lui sont fermées. La seule qui semble passer outre ses considérations est Adèle.

Ils furent l'un l'autre réciproquement très amoureux. On sait simplement qu'Antony dut s'absenter durant quinze jours et que ces quinze jours furent en réalité trois ans. Pourquoi s'échapper ainsi ? Qu'advient-il de lui, qu'advient-il d'Adèle durant ces trois années ? Pourquoi revenir ? Quelle situation va-t-il trouver à son retour ? Qu'en pensera le monde ?

Autant de questions auxquelles je ne me permettrai pas de répondre. Reste un drame brûlant d'amour de bout en bout où palpitent les coeurs tiraillés entre les voix de la passion et du qu'en dira-t-on ? Bref, un drame qui vaut la peine d'être lu, probablement moins pour lui-même que sur ce qu'il nous apprend de la brûlure qui consumait le coeur de l'auteur.

En outre, ce n'est bien entendu qu'un quarteron d'avis, c'est-à-dire, très peu de chose.
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Fervente Dumasophile, je n'avais pas encore lu "Antony" et pourtant, il y a longtemps qu'il m'attend tapi dans ma bibliothèque, chaudement logé entre "Henri III et sa cour" et "La Tour de Nesle". Longtemps que je me promets de le lire, longtemps qu'il me fait envie.
Je crois que je craignais de ne pas l'aimer... Je crois que j'avais peur de découvrir un drame romantique "contemporain". Et peut-être aussi que je redoutais de lire une pièce qui aurait trop vieilli, rapport à l'image de la femme qu'elle véhiculerait d'après ce que certains lecteurs m'ont dit...
Et puis comme D Artagnan face à Jussac et Milady, comme Chicot dans son confessionnal, comme Margot dressée contre Catherine, j'ai décidé de faire fi de mes peurs -on est mousquetaire où on ne l'est pas- et j'ai ouvert "Antony".
Alexandre, tu es bien tel que je t'aime dans cette pièce et tu m'as eue, une fois de plus.
J'ai adoré "Antony" que je n'ai pas lâché de la première à la dernière page, que j'ai lu à voix haute, parce que la langue s'y prête tellement bien et parce que les répliques sont toutes ou presque de véritables "punchlines".
Adèle et Antony se sont aimés follement, mais un jour, le ténébreux et farouche jeune homme a disparu sans explication. Adèle, le coeur brisé, en a épousé un autre qui lui a donné une petite fille.
La pièce commence trois ans plus tard un jour que la jeune femme reçoit une lettre. C'est Antony. Il est de retour, il veut la voir. Pour Adèle, ce message sonnera le glas de sa sérénité. Les deux anciens amants n'auraient jamais dû se revoir, mais le sort autant qu'Antony, en décideront autrement. La passion était mal éteinte et les braises ne sont pas difficiles à rallumer: ce qui devait arriver arrive et cet amour leur sera fatal.
Ainsi résumé, le drame a l'air terriblement classique, fade, vu et revu pour ne pas dire ennuyeux. Que nenni!
Avec "Antony" Dumas revisite les codes du drame romantique et du roman gothique en vogue de l'époque, redistribue les cartes: le "méchant" de l'histoire en est aussi le héros, la douce et pure victime fait ses propres choix et les vit intensément. Cette première originalité va de pair avec l'autre réussite de l'oeuvre selon moi: le personnage d'Antony. Si Adèle est touchante, sympathique, elle est bien pâle à côté de son tourmenteur amoureux. Antony, c'est Lord Byron, c'est "le ténébreux, l'inconsolé", c'est le bâtard aussi, le bâtard sans nom pour lequel les portes du monde ne s'ouvrent pas et qui en brûle de colère et de révolte. C'est l'homme qui veut s'élever par lui-même mais dont la société coupe les ailes. C'est l'homme qui souffre mais qui se bat. C'est l'homme qui aime aussi, avec désespoir autant que sincérité. En lisant, on ne peut pas ne pas penser à Dumas et à son père, fils illégitime d'une esclave et d'un général. On ne peut pas ne pas penser à ce que la bonne société ait pu dire de ce quarteron qui tentait de se faire une place...
En lisant on ne peut pas s'empêcher non plus de songer à Heathcliff. Il y a une telle parenté entre Antony et le personnage d'Emily Brontë que c'en est troublant... La même violence, la même soif de revanche, le même amour absolu...
Pièce sur l'amour fou et la passion, pièce sur la soif de reconnaissance et sur la douleur de ne pas avoir de nom, Antony est texte sublime.
Et cette chute... cette chute... Tellement 1831... mais ça passe.
Alors on pourra bien me dire qu'Adèle est un peu pâlotte, que l'issue de l'acte III est ambiguë... Je répondrai que j'ai conscience des limites du genre et que pour la fin de l'acte, ma foi, tout est question de mise en scène et d'interprétation puisque tout est suggéré mais rien n'est écrit.
Je répondrai enfin, que j'avais des envies de beaux textes et de passion sublime et désuète (quoique... une mise en scène contemporaine serait une idée fabuleuse! Et même un film, tiens, pourquoi pas!) et qu'Alexandre Dumas a su, une fois de plus, me transporter et combler mes désirs. Amen.
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Adèle, courtisée par Antony un jeune homme sombre et mystérieux, finit par épouser le respectable colonel d'Hervey.
Antony disparait , mais revient des années plus tard et harcèle, de nouveau, Adèle qui se sent faible face à lui, mais qui résiste, pourtant, de peur du scandale et des conséquences de cette liaison pour la fille née de son union avec le colonel.
Prise au piège dans une chambre, son mari dans l'escalier, elle demande à son amant, pour éviter le déshonneur, de la tuer. Celui-ci frappe dans un baiser et s'accuse, prenant prétexte pour son meurtre d'une résistance de la jeune femme à ses avances.
C'est un drame en prose de cinq actes qu'Alexandre Dumas offre au Théâtre de la porte-Saint-Martin en 1831. Ce n'est pas, comme la tour de Nesle une pièce historique, c'est un morceau de Théâtre romantique et il paraît, de ce fait, avoir moins bien résisté au temps.
Pourtant, c'est une pièce moderne qui puise sa nouveauté dans des péripéties audacieuses et des dialogues incisifs. Antony, le héros est passionné, excessif, à la fois noble et vulgaire.
Alexandre Dumas fut même taxé, à l'époque, d'une certaine immoralité provoquée moins par l'adultère suggéré que par un certain rejet , latent dans la pièce, des valeurs de la société bourgeoise et bien-pensante.

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Antony est le troisième drame romantique dont je fais la découverte ; les deux premiers étaient Hernani et Ruy Blas. C'est là un drame très différent, avec beaucoup moins d'imagination, de richesse thématique. Beaucoup moins de folie dans la passion, aussi.
Pourtant, ce drame passionnel n'en est pas moins puissant. D'une façon différente, mais puissant lui aussi.
L'amour tendre et impossible d'Antony pour Adèle s'exprime par moments, de façons fort tendres et, sans être une pièce exceptionnelle, ou le meilleur drame romantique, cette pièce toute faite d'amour suscite un plaisir certain.
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Il semblerait que je sois bien plus réfractaire au théâtre de Dumas qu'à la prose de Dumas : aucune de ses pièces ne m'a jamais enthousiasmée comme l'ont fait beaucoup de ses romans. J'en ai apprécié certaines, oui, mais sans l'extraordinaire plaisir de la lecture que ses romans offrent. Antony étant l'une des plus célèbres, je pensais que peut-être...
Et bien si j'ai apprécié le sens de la réplique de Dumas, j'ai détesté, mais alors détesté le personnage qui donne son nom à la pièce!
Antony, pour des raisons que je ne vais pas dévoiler ici, n'a pas donné de nouvelles pendant trois ans à Adèle, alors qu'il lui avait promis de revenir dans 15 jours. Là voici mariée et mère, et lorsqu'Antony revient, alors qu'il sait qu'elle en a épousé un autre, il la poursuit de ses assiduités jusqu'au fond d'une auberge alsacienne, jusqu'à ce qu'elle cède...C'est censé être romantique, mais j'ai surtout trouvé ça possessif et déplacé. Il aurait du apprendre ce que non voulait dire!
La suite est très célèbre et à vrai dire m'a rendu le personnage tout autant antipathique que le début.


Bref, ce n'est pas encore la pièce qui m'enthousiasmera pour Dumas dramaturge!
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
ADÈLE : Il est seul enfin… Antony… Voilà donc comme je devais le revoir… pâle, mourant… La dernière fois que je le vis… il était aussi près de moi… plein d’existence, calculant pour tous deux un même avenir… Quinze jours d’absence, disait-il, et une réunion éternelle… et en partant il pressait ma main sur son cœur… Vois comme il bat, disait-il ; eh bien ! c’est de joie, c’est d’espérance. Il part, et trois ans, minute par minute, jour par jour, s’écoulent lentement séparés… Il est là près de moi… comme il y était alors… c’est bien lui… c’est bien moi… rien n’est changé en apparence, seulement son cœur bat à peine, et notre amour est un crime, Antony !…

Acte I, Scène 6.
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ADÈLE : Mais je ne lui ai rien fait à cette femme !
ANTONY : Elle s’est du moins rendu justice en se retirant.
ADÈLE : Oui, mais ses paroles empoisonnées étaient déjà entrées dans mon cœur et dans celui des personnes qui se trouvaient là… Vous, vous n’entendez d’ici que le fracas de la musique et le froissement du parquet… Moi, au milieu de tout cela, j’entends bruire mon nom, mon nom cent fois répété, mon nom qui est celui d’un autre, qui me l’a donné pur, et que je lui rends souillé… Il me semble que toutes ces paroles qui bourdonnent ne sont qu’une seule phrase répétée par cent voix : " C’est sa maîtresse ! "

Acte IV, Scène 8.
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ANTONY : Les autres hommes, du moins, lorsqu’un événement brise leurs espérances, ils ont un frère, un père, une mère… des bras qui s’ouvrent pour qu’ils viennent y gémir. Moi ! moi ! je n’ai pas même la pierre d’un tombeau où je puisse lire un nom et pleurer ! [...] Les autres hommes ont une patrie, moi seul je n’en ai pas… car, qu’est-ce que la patrie ? le lieu où l’on est né, la famille qu’on y laisse, les amis qu’on y regrette… Moi, je ne sais pas même où j’ai ouvert les yeux… je n’ai point de famille, je n’ai point de patrie.

Acte II, Scène 5.
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ANTONY : Vous êtes donc heureuse, madame !…
ADÈLE : Oui, heureuse…
ANTONY : Moi aussi, Adèle, je suis heureux !…
ADÈLE : Vous !…
ANTONY : Pourquoi pas ?… douter, voilà le malheur ; mais lorsqu’on n’a plus rien à espérer ou à craindre de la vie, que notre jugement est prononcé ici-bas comme celui d’un damné… le cœur cesse de saigner… il s’engourdit dans sa douleur… et le désespoir a aussi son calme, qui, vu par les gens heureux, ressemble au bonheur… Et puis, malheur… bonheur… désespoir, ne sont-ce pas de vains mots, un assemblage de lettres qui représente une idée dans notre imagination, et pas ailleurs… que le temps détruit et recompose pour en former d’autres…

Acte I, Scène 6.
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LA VICOMTESSE : Allons, allons, n’allez-vous pas retomber dans vos accès de misanthropie… Oh ! je n’ai pas oublié votre haine pour les hommes…
ANTONY : Eh bien ! madame, je me corrige. Je les haïssais, dites-vous… je les ai beaucoup vus depuis, et je ne fais plus que les mépriser ; et, pour me servir d’un terme familier à la profession que vous affectionnez maintenant, c’est une maladie aiguë qui est devenue chronique.
ADÈLE : Mais, avec ces idées, vous ne croyez donc ni à l’amitié, ni…
(Elle s’arrête.)
LA VICOMTESSE : Eh bien ! ni à l’amour…
ANTONY (à La vicomtesse) : À l’amour ! Oui… à l’amitié, non…, c’est un sentiment bâtard dont la nature n’a pas besoin, une convention de la société que le cœur a adoptée par égoïsme, où l’âme est constamment lésée par l’esprit, et que peut détruire du premier coup le regard d’une femme ou le sourire d’un prince.

Acte II, Scène 4.
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5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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