Ces orages-là

Mais qu'est- il donc arrivé à Sandrine Collette ? Où sont donc passés ses personnages aux actions dérangeantes et aux paroles qui claquent ? Quel ennui dans « Ces orages- là » !!!! Je suis péniblement arrivée à la moitié du roman parce que je m'attendais à ce que tôt ou tard, il y ait de l'action, un retournement de situation, du sang quoi !!! Mais non, rien qu'une narration sans fin, quasiment sans dialogue, qui nous relate la manière dont Clémence essaie de se reconstruire après trois ans d'une relation toxique avec un véritable pervers.

« Elle, elle court dans les bois. Elle voit mal. Elle devine, plutôt – pourtant elle le connaît, cet endroit. Plusieurs fois, des branches ont giflé son visage et elle a failli tomber en trébuchant sur des racines. » Ce prologue qui rejoue la légende de Daphnis et Apollon selon Ovide m'avait pourtant semblé être un bon signe : la nymphe est poursuivie jusqu'à l'épuisement par le Dieu des Arts puis se transforme en laurier pour enfin définitivement lui échapper. Comment Sandrine Collette, que l'on devine amoureuse de la nature, allait- elle réinterpréter ce mythe ? Que se passe t-il quand Thomas – Apollon rejoint Clémence – Daphnis ? Silence.

« Pourquoi elle, hein ? Pourquoi, si ce n'est qu'elle le portait sur la gueule ? Une petite fille trop maigre avec des grands yeux timides. Autant l'admettre : la victime idéale. » Pourquoi rapporter ces paroles ordurières du passé de manière indirecte, pourquoi ne pas remonter le temps et permettre au lecteur d'assister à la scène ? Cette passivité forcée m'a endormie…

« Je viens de servir de serpillière à un homme que j'ai pris pour le prince charmant pendant trois ans et j'ai l'impression que c'est entré dans mon ADN. Serpillière un jour, serpillière toujours. » Je me suis aussi lassée de cet auto- apitoiement récurrent. Pourtant, j'en ai lu des récits sur l'emprise, les violences faites aux femmes, notamment par ceux que l'on surnomme les « pervers narcissiques ». J'en ai été émue. Mais ici, je n'ai ressenti aucune empathie pour Clémence, personnage tellement fuyant qu'il n'aura pas su s'inscrire dans mon âme de lectrice.

J'ai eu la possibilité d'écouter ce livre audio en partenariat avec NetGalley... Je suis très livre audio et j'en écoute constamment en voiture, de toute sorte ...

Bon ..... comment dire ! Lent, long, fade ? Un texte narratif qui n'en fini pas. On a une accumulation de synonymes tout au long du récit qui au lieu de donner du relief à l'histoire, alourdi le roman et je suis passée par des phases d'agacement total !

J'avais trouvé le résumé sympa et rentrer dans la psychologie du personnage en quête de reconstruction me donnait assez envie !

Et Bein .... qu'elle déception alors ! Je l'ai terminé par principe car je m'y étais engagée.

Encore un roman sur l'emprise.... je suis lassée .
Ce n'est pas un thriller, c'est l'histoire d'une pauvre fille qui essaie de survivre à sa relation avec un pervers .
Mais la course en petite culotte dans les bois devait bien aboutir à une relation sensuelle torride , non?..... pourquoi l'heroine n'en parle pas ? C'est bien pourtant l'ambivalence "sauvage" qui maintient pendant deux ans une personne dans une relation destructrice...

Je me considère comme une warrior.
Pourquoi ? Parce que j'ai réussi à aller jusqu'au bout de ce roman d'un ennui mortel 😮‍💨
Je n'ai absolument pas retrouvé la plume de Sandrine Collette.
Personnages sans émotion, qui ne donne pas envie qu'on s'y attache. Aucune empathie pour Clémence malgré son vécu.
Et si avec ça vous hésitez encore, sachez qu'il ne se passe absolument R.I.E.N dans ce roman.
Rien de plus à ajouter 🤷‍♀️

Mon Dieu, quelle déception ! J'ai lu TOUS les livres de Sandrine Collette avec passion. Mais que lui est-il arrivé ? Cet ouvrage n'a aucun intérêt, je l'ai terminé (par respect pour l'auteure) en pensant "ce n'est pas elle qui l'a écrit". Je n'ai trouvé que cette consolation pour apaiser ma déception et ma colère.

Enfin finie, cette dépression littéraire ! terminé ce tabassage de l'esprit ! evaporée cette odeur de peur continue! Quelle épreuve de sombrer avec Clémence et son ex totalement cinglé. bref... tu veux t enfermer dans un monde noir et sans issue, dans un cataclysme émotionnel ? lis Ces orages là ! 10 pages auraient suffit à raconter le drame. j'ai détesté.

Je feel tout croche quand un livre ne me plait pas. Mais qu'est-ce qui est arrivé à Sandrine Collette? J'ai eu un coup de foudre pour son roman « Juste après la vague » et celui-ci est complètement passé à côté de la plaque. Agacement total! Ce roman noir est d'un ennui indescriptible. Je croyais pouvoir m'attacher aux personnages, surtout à Clémence qui a vécue de la violence conjugale. le sujet, à la base, m'a attiré. Je suis toujours touchée par ce genre de récit mais là… Il ne se passe absolument rien de pertinent. Un long fleuve tranquille avec des pages de descriptions à n'en plus finir. Je ne vais pas abandonner l'autrice pour autant, j'ai l'intention de lire un autre roman d'elle car je sais qu'elle peut faire mieux. Désolé si mon avis est déprimante mais c'est réellement ce que j'ai ressenti. Je donne à « Ces orages-là » 1 étoile sur 5.

Déprimés, neurasthétiques, tristes, abstenez-vous de cette lecture qui est d'un mortel ennui. J'ai lâché prise à la 80° page. Encore une histoire à la mode-qui-trotte, de pervers-narcissique dont la victime respire la plus totale désolation. Et puis que de redites. Vraiment pas le courage de continuer à me morfondre sur cette triste histoire dont je ne connaîtrai jamais la fin, car je ne me suis pas résolue à poursuivre en lecture rapide.