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4,3

sur 656 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je suis de près les différentes sorties de De Saxus depuis un petit moment déjà. La maison d'édition choisit des oeuvres qui ont du succès à l'étranger, et que je vois souvent sur les réseaux. Et pour Daevabad, j'avoue, j'ai pris le roman sans savoir de quoi il parlait ! Je savais juste qu'il avait beaucoup plu et que le roman était du genre fantaisie avec une ambiance mille et une nuits… Oups… Mais avec le recul, je me dis que ce n'est pas plus mal. Parfois les résumés entrent trop dans l'intrigue ou bien nous flouent un peu. Je me suis donc lancée dans ma lecture sans attente et assurée d'être surprise.

Daevabad n'a pas forcément été à la hauteur de mes espérances cependant. J'ai passé un très bon moment dans ce monde enchanteur et cruel mais il m'a manqué quelques petits éléments pour m'immerger totalement. J'ai eu un certain détachement vis-à-vis de l'intrigue. A contrario, j'ai beaucoup aimé les personnages principaux. Dara, Ali et Nahri m'ont tout de suite plu. Chacun à leur manière, ils représentent une facette différente de leur monde. Les voir interagir a été ce que j'ai préféré dans ce premier tome. Les relations qu'ils nouent mais aussi tout ce qui se joue à côté : les animosités, le passé, leurs façons de voir le monde. Ils sont très intéressants sur le point psychologique, même si j'ai l'impression qu'on a à peine effleuré leur essence. Et je n'ai eu aucun mal à m'attacher à eux, ce qui est très important pour moi dans une lecture. Je suis impatiente de les voir évoluer car ils ont tous les trois un énorme potentiel.

Les enjeux de Daevabad sont aussi contemporains. Bien que l'histoire se déroule à une époque reculée et entourée de magie, il est facile d'y trouver un écho avec notre histoire. La lutte des classes, la religion, l'importance du paraître. Des thèmes qui sont très intéressants et que l'auteur manie vraiment bien en leur donnant cette dose de réalisme et de tension qui vous tiennent en haleine. La mythologie mise en place également dans ce monde est dépaysante. Et j'aime ce côté-là particulièrement. Je n'ai rien contre notre folklore occidental, bien au contraire, mais entrer dans un univers peuplé de djins, d'efrits et d'autres créatures originales donnent une fraîcheur que j'apprécie de plus en plus.

Mais comme je le disais, malgré ces éléments positifs, je n'ai pas été totalement transportée. Premièrement, l'univers regroupe plusieurs choses dont je ne suis pas friande : un pouvoir qui oppresse une partie de la population, des religions et idées proches du fanatisme, et des règles qui contraignent les femmes et leurs moeurs. Je sais pertinemment que cela colle non seulement à l'époque mais aussi au lieu où se déroule l'histoire… cependant le mélange de tous ces points fait que je n'ai pas apprécié le monde de Daevabad qui pourtant se veut enchanteur par certains aspects. J'avais l'impression d'étouffer en quelque sorte, et je craignais pour la vie de nos héros car la moindre petite incartade peut être fatale. Une ambiance oppressante qui gâche parfois la magie de l'histoire.

Autre point que j'ai moyennement apprécié : la lourdeur des descriptions. Je sais que certains en sont friands, mais pour ma part décrire des lieux, des vêtements, des personnages pendant deux à trois paragraphes… Je n'adhère pas. Cela coupe le récit, déjà long, et clairement je lisais en diagonale à ces moments-là. le fait d'avoir deux points de vue alternés est déjà en soi un frein au dynamisme du récit. Les choses se mettent plus lentement en place, et le côté introductif pèse un peu. Pour moi, ce premier tome est une introduction plaçant ses différentes pièces pour ensuite s'attaquer à l'intrigue principale. Il m'a manqué une petite pincée de magie pour vraiment entrer dans l'histoire malgré des personnages attachants.

Malgré cela, je suis curieuse de voir ce qu'il va se dérouler par la suite. Passée cette mise en bouche, je pense que la trilogie Daevabad a un grand potentiel devant elle. Les intrigues politiques et les secrets qui se dissimulent dans l'ombre sont très intrigants.
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Cela ne partait pas forcément très bien pour moi avec « La cité de Laiton ». Même si nous sommes facilement et rapidement pris dans les filets de l'histoire, le récit se veut dense et complexe. Je dois bien avouer que, tout du long, certaines choses m'étaient flous... Particulièrement en ce qui concerne les tribus (daevas/djinns par exemple) et ce, même si nous avons un glossaire à la fin. Aussi, certaines phrases qui ne voulaient rien dire m'ont sortis de ma lecture plus d'une fois : pour ce bémol, il me semble qu'il s'agit là d'un défaut propre à cette maison d'édition (De Saxus). Certains points m'ont également chiffonnés et expliquent ma note de 3,5/5 (je reste vague dans mes propos mais, au cas où, je mets en masqué) :

Malgré tout, et comme je le disais précédemment, j'ai été très vite embarquée par le rythme des péripéties, je n'ai personnellement pas trouvé de longueurs à ce premier tome (preuve que j'appréciais tout de même ce que je lisais) et les descriptions ici et là ne m'ont pas dérangées. Ce qui est certain, c'est que je compte enchaîner directement avec le deuxième tome de cette trilogie. La fin m'a bien plu et promets de nombreux rebondissements !
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Un chef-d'oeuvre de la littérature orientale, voilà comme je définirais ce livre.

La cité de Laiton, combien de fois, j'ai vu des avis positifs dessus avant de me décider de me lancer, je ne pourrais même pas compter tellement qui en as, mais je suis heureuse de dire aujourd'hui que j'ai enfin lu ce livre et j'ai beaucoup aimé.

Nahri, une voleuse, arnaqueuse du Caire, se retrouve embarqué dans un voyage plein d'embûches après une énième arnaque qui invoque un djinn, Dara. Ne connaissant rien de ses origines et de sa famille, elle va en apprendre beaucoup, mais rien qu'elle n'aurait pu penser exister auparavant. de la s'ensuit un long voyage jusqu'à Deavabad, la fameuse cité de Laiton.

Un livre riche en rebondissements, en découverte de nouvelles origines, de nouvelles religions, de nouveau peuple, cette lecture m'a fasciné par cet univers oriental incroyable, cette magie ancestrale, ces histoires.

Le personnage de Dara est mystérieux et j'ai l'impression que dans ce premier tome, nous n'avons qu'un aperçu de l'histoire de ce djinn et j'espère que par la suite, nous pourrons en savoir plus.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Nahri pendant le voyage sauf que arrivé à Deavabad je n'ai plus trop compris ces actes, ni ces sentiments, j'étais un peu perdu et sceptique face à ces réactions parfois incompréhensibles par rapport à ce qu'on sait d'elle à la base.

En tout cas ça a été une superbe lecture et j'ai hâte de lire la suite !!!
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Après avoir vu ce bouquin de partout, j'ai fini par me le faire offrir à Noël pour en avoir le coeur net ! le risque, dans ces situations-là, c'est d'être un peu déçue.
Et, une fois n'est pas coutume, ça a été une très bonne surprise. Dès les premières pages, j'ai été embarquée par cette aventure teintée de magie, de mythologie (beaucoup de références à la "vraie" histoire et mythologie perse notamment) et créatures spectaculaires.
Le fait que l'histoire prenne place, certes, dans un monde imaginaire, mais ce dernier étant en réalité dans le "vrai" monde m'a beaucoup plu. de fait, on commence l'histoire avec Nahri dans les rues du Caire et on évolue le long du Nil et dans le désert jusqu'à la cité, imaginaire et non visible des humains, de Daevabad.
Hormis ce mélange du monde humain et de celui des djinns, le modèle de l'intrigue est assez classique. Néanmoins, son rythme est plutôt équilibré et s'accélère dans la dernière partie du roman, ce qui nous laisse un peu essoufflés, pressés de commencer le 2e tome.
Une très bonne lecture plaisir.
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Attention, énorme coup de coeur ! C'est simple : je ne pense plus qu'à ce bouquin, ses personnages si subtils et son univers incroyable depuis cinq jours. Quelle frustration de devoir attendre pour avoir la suite ! Bref : j'ai adoré.

Pourtant, ce n'était pas gagné. J'ai mis un peu de temps à me décider à lire ce roman, en dépit du matraquage médiatique (je le voyais partout) et de mon intérêt pour les djinns. Je pensais tomber sur une énième fantasy ado coupée à l'emporte-pièce, avec une vague saveur orientale pour faire exotique. Je me suis trompée du tout au tout ! La gravité des thèmes (la guerre, le pardon, la religion, le pouvoir etc), le traitement tout en finesse de ses personnages, la violence sans concession ni voyeurisme le classent dans la catégorie adulte.

L'intrigue met un peu de temps à se mettre en place. Alourdi par une langue un peu paresseuse (et une note de correction oubliée dans le texte…), le début ne me paraissait pas convaincant. Mais au fur et à mesure que le récit gagne en intensité, que les enjeux et les relations entre les protagonistes se dessinent, l'histoire devient réellement passionnante. Les personnages gagnent en mystère et profondeur au fil des pages : on se rend compte que personne n'est ce qu'il semblait être au départ.

La relation de Nahri et Dara, au départ plutôt énervante, devient mignonne, puis amusante, et enfin, tragique. Nahri passe de tête à claques à attachante : on se prend vite d'affection pour cette orpheline pauvre du Caire propulsée dans le monde magique et dangereux des djinns. À l'image du reste de ce roman, c'est un personnage plein de surprises, qui se révèle au final très différent de ce qu'elle semblait être au départ. J'ai apprécié qu'on en fasse une femme (et non une gosse) pragmatique, volontiers lâche, qui ne devient ni une super-guerrière énervée ou une princesse tragique. le deuxième protagoniste dont on suit le point de vue, Alizayd, est un personnage très intéressant, d'une rare complexité : très pieux et moralisateur, d'une naïveté et d'une obstination dangereuses, il est tout de suite très sympathique. Son père, le roi Ghassan, est un politicien effrayant, prêt à tout pour préserver sa conception du pouvoir. Muntadhir et Khanzada sont des personnages qu'on va tour à tour plaindre et haïr. Quant à Dara… je suis tout simplement tombée amoureuse de lui ! de plutôt plat au départ (encore un énième guerrier de plus, pensais-je à tort en le découvrant), il devient de plus en plus charismatique et intriguant au fur et à mesure qu'on en apprend sur lui. C'est l'antihéros épique par excellence, et en même temps, imprévisible et original. L'union des contraires chez ce personnage produit un cocktail détonnant : à la fois brutal et sensible, protecteur et ambigu, fougueux et manipulateur, sarcastique et taciturne… cette psychologie tout en nuances, ses mystères et son lourd passé le rendent profondément attachant. L'envie de découvrir ce qu'il cache et ce qu'il nous réserve pour la suite est un gros moteur pour la lecture du second tome.

L'une des choses que j'ai le plus appréciées dans ce roman, c'est l'utilisation qui a été faite du folklore moyen-oriental. Les djinns geziri qui peuplent les déserts de la péninsule arabique sont convertis à l'Islam, comme les humains qu'ils imitent. Les daevas (on reconnaît aisément la racine indo-aryenne -dev, présente dans les divs iraniens), nom générique de tous ces êtres, parlent le farsi et vénèrent le feu (coucou Zarathoustra). Les péris (les anges/fées opposés aux démoniaques divs dans le folklore iranien) sont, ici, des esprits de l'air. Les efrits (les afrit égyptiens) sont des daevas devenus démoniaques, qui ont refusé de se soumettre à la loi de Souleymane (= Salomon, connu pour son célèbre pentacle, qui sert de protection). On reconnaît la mythologie abrahamique de dieux déchus diabolisés par les trois religions du Livre, transformés en différentes classes d'êtres surnaturels. Certains sont plus ou moins bien intentionnés envers les humains (les djinns musulmans, et encore) tandis que d'autres leur sont carrément hostiles (les efrits et les daevas). le respect absolu de la structure de toute cette mythologie est vraiment un plus dans cette histoire. On retrouve également quelques personnages « célèbres », tels Qandisha, ou même Darayavahoush (= Darius)… c'est un vrai régal de trouver tous ces petits easter eggs mythologiques !

Je n'ai plus qu'une hâte : me plonger dans ce monde merveilleux à nouveau.
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Une véritable découverte en terres inconnues.
Ce livre nous transporte dans le monde magique de l'Orient, nous ouvrant la porte à tout un monde qui m'était totalement inconnu (merci aux lexiques de fin pour les anti-sèches!).
Le texte est très fluide malgré le nombre de pages qui pourrait paraître insurmontable à certains. On se demande quand les deux récits vont enfin se croiser, comment sera le choc de ces deux univers!
Chose agréable, le vocabulaire plus typique, comme dit plus haut, est très bien expliqué en fin de roman sinon tout le reste est vraiment abordable et en mode sans prise de tête.
Niveau personnage, on s'attache très vite à Nahri et de Dara ainsi qu'à Ali… Très dur de faire un choix parmi ces trois là. de manière générale, les personnages ont vraiment chacun leur personnalité propre et on peut très facilement les imaginer voir même les rattacher à une personne croisée dans la vie réelle.
Je n'ai vraiment aucune hésitation sur le fait qu'il me faut absolument le tome 2 de cette saga!
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Le Caire, 18e siècle, ville de Narhi, voleuse par nécessité, guérisseuse pas vraiment convaincue de ses propres capacités, et pourtant, les gens semblent croire en elle. Jusqu'au jour où, dans cette ville de croyances et de légendes, Narhi invoque bien malgré elle ce qui semble être un démon. Sauvée in extremis par Dara, un deava à la légende bien sombre, ils devront s'exhiler pour leur survie Jusqu'à Daevabad... mais y seront-ils réellement en sécurité ?
Entre complots politiques et sentiments personnels, le tout sur fond de ressentiments millénaires, le danger se cache sous chaque pierre. Les malédictions sont aussi cruelles que l'âme de ceux qui veulent gouverner.

Si entrer dans le monde de Daevabad peut demander un temps d'accomodation, on n'en est plus que récompensé ensuite tant la lecture est intense.
Les personnages sont incroyages, les évènements se succèdent de manière inattendue et nous prennent par surprise...et cette fin qui m oblige presque à me jetter sur le tome 2 !!
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Ce livre m'a été recommandé plusieurs fois et je n'ai pas été déçue.
J'ai beaucoup apprécié le fait qu'il n'y ait ni méchant ni gentil et que même en ayant fini le tome 1 je ne pourrai pas me positionner sur qui a raison ou pas. Les personnages sont au final très humains et complexes avec leurs qualités et leurs défauts - ce qui rend l'histoire crédible.
Du coup cela ne me permet pas d'imaginer une fin quelconque et c'est assez rare.

De manière générale l'histoire a su me surprendre et j'ai hâte de lire la suite.
La culture orientale est bien écrite.

Par contre l'histoire d'amour principal sort un peu de nul part c'est dommage je n'ai pas trop trouvé ça crédible.
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L'univers qui nous est dépeint est tout simplement magique, dans un esprit Mille et une nuits, entre traversée périlleuse du désert, pour parvenir à la mythique Daevabad, cité de merveilles où, sous le charme des apparences d'autres menaces guettent nos héros.

J'ai beaucoup aimé Dara, son passé et les mystères qui l'entourent, je suis impatiente d'en apprendre plus à son sujet.

Le personnage que j'ai eu le plus de mal à comprendre est Ali, de part son rôle et certaines de ses réactions et attitudes, mais je pense que la suite lui permettra de s'affirmer de prendre en mains sa vie, qui jusqu'ici, n'est qu'un gloubiboulga de stratégies politiques.

Sans conteste, Nahri est ma préférée, car malgré ses pouvoirs, elle doute d'elle même et ne se retrouve pas à les maîtriser en deux minutes, elle doit faire des efforts, travailler, expérimenter, le tout sous pression.
Elle se retrouve dans un environnement étrangers, aux rites et coutumes dont elle ignore tout, mais auxquels on s'attend qu'elle se plie par pure tradition, sans explication.

On va à la rencontre de différents peuples avec des pouvoirs liés à leur identité, inspiré de la diaspora orientale et de ses diverses croyances et folklores.
C'est cette partie qui m'a un peu perdue, j'ai eu du mal à comprendre quels étaient les attributs de chacun, mais aussi qui avait des inimitiés avec qui, pourquoi et cela, malgré la présence du lexique de fin avec la présentation des différentes communautés de Daevas.

A cela s'ajoutent des soucis de traduction, qui m'ont parfois freinée dans ma lecture.

Mais cela n'a rien enlevé à mon plaisir de lecture, trop curieuse de lire la suite et obtenir des réponses, aux énigmes distillées tout au long du récit.

En Bref: Un décor envoutant, un univers riche et complexe, des personnages tout en nuance, du mystère et de l'action...
Comment ne pas avoir envie de continuer cette aventure pleine de promesses!
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Je n'avais initialement pas spécialement envie de découvrir ce titre, étant persuadée de ne pas apprécier la fantasy orientale (ou pas plus qu'autre chose), comme d'habitude je me trompais. Je pense que j'aime les livres en fait. Passons, parlons donc de ce premier tome de Daevabad, dont j'avais énormément entendu parler avant de me lancer dans l'édition J'ai lu.

Nous allons suivre les aventures de Nahri, voleuse talentueuse au Caire : cette dernière a un don assez particulier puisqu'elle est capable de traiter les malades, et de "voir" leurs maladies. Ce don ainsi que d'autres phénomènes bizarres l'amènent à penser qu'elle n'est pas comme les autres. C'est effectivement ce qui est vérifié le jour où, sans le vouloir, elle réveille un djinn, Dara, qui va l'emmener dans une quête incroyable.

Ali, que l'on va suivre également, est un prince de Daevabad. Ce prince a une vie secrète car il entreprend des actions dans le dos de son père, le roi.

J'ai tout de suite apprécié ce livre, je trouve la tournure assez intelligente car on tombe directement dans l'intrigue, dans ce monde, puis plus tard dans notre lecture l'autrice a intégré de longs passages descriptifs. Cela m'a permis d'être déjà bien accrochée aux personnages avant de creuser l'univers. le changement de point de vue permet également de rythmer une lecture qui, mine de rien, comporte des chapitres très longs (:o).

Je lirais la suite avec grand plaisir, merci à ce premier tome de m'introduire "officiellement" à la fantasy orientale.
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