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sur 656 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Chakraborty La cité de laiton De Saxus 627 p. 0,5 étoiles
Le début est attirant…d'accord.
Mais Nahri accompagné de Dara fuit depuis la page 1 jusqu'à la page 200 (euh oui et ? où est l'intrigue ?).
Ali ne comprend rien à la cour alors que c'est le fils du Roi, qu'il sera amené à diriger la garnison royale…or quoi de plus fondamental et politique que ce poste.
Jusqu'à la page 120 cela tient debout et puis on commence à se poser des questions : les djinns sont antérieurs à la religion musulmane qui imprègne le récit dès les premières pages.
Si je me rappelle bien, la religion musulmane exècre toute forme de superstition (djinn & co.)
Donc un sentiment d'incohérence grandit au fil du récit.
Une histoire des relations entre les tribus et avec les humains aurait été utile pour mieux comprendre ce qui se passe à Daevabad.
P 143 : pourquoi « voler » des chevaux ? Ali est riche il peut les acheter…que l'on soit obligé de voler peut-être mais faire passer le vol pour un jeu, pour une évidence,… dans des livres destinés à la jeunesse : non.
P 147, l'auteure parle des fêtes de l'Aït, invite des oulémas,… : je l'ai déjà dit : djinn et Allah ne font pas bon ménage.
A partir de la page 150, on se lasse : peu d'action sauf au début, le récit n'est pas clair, il est truffé de petites invraisemblances sans pouvoir vraiment mettre le doigt dessus. C'est un sentiment pénible qui grandit.
P 188 : le récit devient brouillon et lent. Des termes apparaissent qui ne sont expliqués nulle part : sheidu, rhuk, zahrak,…).
Page 203 : stop. Je laisse tomber. J'en ai assez. L'impression de me faire manipuler. Il paraît que ce livre est cité pour décrocher des prix. Les éditeurs en font la publicité…surtout auprès des juges probablement. Je les plains…Est-ce que ces prix (au hasard : Locus, prix de l'Imaginaire,…) ont encore un sens si un tel livre est primé ?
L'auteure a du potentiel mais pas le bon éditeur. Il faut bosser plus et mieux que cela.

Le début est attirant…d'accord.
Mais Nahri accompagné de Dara fuit depuis la page 1 jusqu'à la page 200 (euh oui et ? où est l'intrigue ?).
Ali ne comprend rien à la cour alors que c'est le fils du Roi, qu'il sera amené à diriger la garnison royale…or quoi de plus fondamental et politique que ce poste.
Jusqu'à la page 120 cela tient debout et puis on commence à se poser des questions : les djinns sont antérieurs à la religion musulmane qui imprègne le récit dès les premières pages.
Si je me rappelle bien, la religion musulmane exècre toute forme de superstition (djinn & co.)
Donc un sentiment d'incohérence grandit au fil du récit.
Une histoire des relations entre les tribus et avec les humains aurait été utile pour mieux comprendre ce qui se passe à Daevabad.
P 143 : pourquoi « voler » des chevaux ? Ali est riche il peut les acheter…que l'on soit obligé de voler peut-être mais faire passer le vol pour un jeu, pour une évidence,… dans des livres destinés à la jeunesse : non.
P 147, l'auteure parle des fêtes de l'Aït, invite des oulémas,… : je l'ai déjà dit : djinn et Allah ne font pas bon ménage.
A partir de la page 150, on se lasse : peu d'action sauf au début, le récit n'est pas clair, il est truffé de petites invraisemblances sans pouvoir vraiment mettre le doigt dessus. C'est un sentiment pénible qui grandit.
P 188 : le récit devient brouillon et lent. Des termes apparaissent qui ne sont expliqués nulle part : sheidu, rhuk, zahrak,…).
Page 203 : stop. Je laisse tomber. J'en ai assez. L'impression de me faire manipuler. Il paraît que ce livre est cité pour décrocher des prix. Les éditeurs en font la publicité…surtout auprès des juges probablement. Je les plains…Est-ce que ces prix (au hasard : Locus, prix de l'Imaginaire,…) ont encore un sens si un tel livre est primé ?
L'auteure a du potentiel mais pas le bon éditeur. Il faut bosser mieux que cela.





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Je tiens à remercier les éditions j'ai lu pour l'envoi de ce roman qui avait tout pour me plaire.

Le récit que propose S A Chakraborty est une histoire de fantasy orientale très originale. L'univers est très dense avec un vocabulaire spécifique qu'il faut s'approprier pour pouvoir entrer dans l'histoire. Un glossaire en fin de récit est un bon point même si ce dernier n'a pas été suffisant pour moi.

Le récit alterne entre deux point de vue. L' histoire se met rapidement en place avec le premier et nous sommes rapidement dans l'action avec Nahri et Dara. Cependant, la partie avec Ali m'a ennuyé au possible et m'a totalement perdu dans la narration. L'alternance entre les deux points de vue à casser mon rythme de lecture... Il s'en est ressenti un sentiment de lassitude et m'a curiosité s'est émoussé au fil des pages : je n'ai pas réussit à entrer dans l'histoire et à m'attacher aux personnages.

J'ai eu beaucoup de difficultés à comprendre qui est qui au long des péripéties de nos protagonistes. le vocabulaire utilisé fait tantôt référence à une tribut de djinn, tantôt référence à tous les djinn... Difficiles de savoir quand est utilisé une référence plutôt qu'une autre. Ça m'a réellement perdue !

L'univers de la cité de laiton a pourtant quelques chose de magique avec ses paysages orientaux, son bestiaire atypique et original... Malheureusement cela n'a pas suffit à me tenir en haleine. Une grosse déception que ce roman dont j'attendais peut être un peu trop !
Lien : http://bibliokinderine.canal..
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