Chakraborty La cité de laiton
De Saxus 627 p. 0,5 étoiles
Le début est attirant…d'accord.
Mais Nahri accompagné de Dara fuit depuis la page 1 jusqu'à la page 200 (euh oui et ? où est l'intrigue ?).
Ali ne comprend rien à la cour alors que c'est le fils du Roi, qu'il sera amené à diriger la garnison royale…or quoi de plus fondamental et politique que ce poste.
Jusqu'à la page 120 cela tient debout et puis on commence à se poser des questions : les djinns sont antérieurs à la religion musulmane qui imprègne le récit dès les premières pages.
Si je me rappelle bien, la religion musulmane exècre toute forme de superstition (djinn & co.)
Donc un sentiment d'incohérence grandit au fil du récit.
Une histoire des relations entre les tribus et avec les humains aurait été utile pour mieux comprendre ce qui se passe à Daevabad.
P 143 : pourquoi « voler » des chevaux ? Ali est riche il peut les acheter…que l'on soit obligé de voler peut-être mais faire passer le vol pour un jeu, pour une évidence,… dans des livres destinés à la jeunesse : non.
P 147, l'auteure parle des fêtes de l'Aït, invite des oulémas,… : je l'ai déjà dit : djinn et Allah ne font pas bon ménage.
A partir de la page 150, on se lasse : peu d'action sauf au début, le récit n'est pas clair, il est truffé de petites invraisemblances sans pouvoir vraiment mettre le doigt dessus. C'est un sentiment pénible qui grandit.
P 188 : le récit devient brouillon et lent. Des termes apparaissent qui ne sont expliqués nulle part : sheidu, rhuk, zahrak,…).
Page 203 : stop. Je laisse tomber. J'en ai assez. L'impression de me faire manipuler. Il paraît que ce livre est cité pour décrocher des prix. Les éditeurs en font la publicité…surtout auprès des juges probablement. Je les plains…Est-ce que ces prix (au hasard : Locus, prix de l'Imaginaire,…) ont encore un sens si un tel livre est primé ?
L'auteure a du potentiel mais pas le bon éditeur. Il faut bosser plus et mieux que cela.
Le début est attirant…d'accord.
Mais Nahri accompagné de Dara fuit depuis la page 1 jusqu'à la page 200 (euh oui et ? où est l'intrigue ?).
Ali ne comprend rien à la cour alors que c'est le fils du Roi, qu'il sera amené à diriger la garnison royale…or quoi de plus fondamental et politique que ce poste.
Jusqu'à la page 120 cela tient debout et puis on commence à se poser des questions : les djinns sont antérieurs à la religion musulmane qui imprègne le récit dès les premières pages.
Si je me rappelle bien, la religion musulmane exècre toute forme de superstition (djinn & co.)
Donc un sentiment d'incohérence grandit au fil du récit.
Une histoire des relations entre les tribus et avec les humains aurait été utile pour mieux comprendre ce qui se passe à Daevabad.
P 143 : pourquoi « voler » des chevaux ? Ali est riche il peut les acheter…que l'on soit obligé de voler peut-être mais faire passer le vol pour un jeu, pour une évidence,… dans des livres destinés à la jeunesse : non.
P 147, l'auteure parle des fêtes de l'Aït, invite des oulémas,… : je l'ai déjà dit : djinn et Allah ne font pas bon ménage.
A partir de la page 150, on se lasse : peu d'action sauf au début, le récit n'est pas clair, il est truffé de petites invraisemblances sans pouvoir vraiment mettre le doigt dessus. C'est un sentiment pénible qui grandit.
P 188 : le récit devient brouillon et lent. Des termes apparaissent qui ne sont expliqués nulle part : sheidu, rhuk, zahrak,…).
Page 203 : stop. Je laisse tomber. J'en ai assez. L'impression de me faire manipuler. Il paraît que ce livre est cité pour décrocher des prix. Les éditeurs en font la publicité…surtout auprès des juges probablement. Je les plains…Est-ce que ces prix (au hasard : Locus, prix de l'Imaginaire,…) ont encore un sens si un tel livre est primé ?
L'auteure a du potentiel mais pas le bon éditeur. Il faut bosser mieux que cela.