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Critiques de Guillaume Musso (8604)
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Un appartement à Paris

« Un appartement à Paris », roman de près de 500 pages qui se déroule sur 5 jours, entre le 20 et le 25 décembre. Le roman met en scène un état de tension entre deux personnes que tout oppose. Gaspard, écrivain alcoolique et solitaire, qui a prévu de rester cloîtré pendant un mois pour écrire une pièce de théâtre. Madeline, ex policière dépressive, qui veut se reposer avant d'affronter l'une des épreuves les plus importantes de sa vie. Au moment où l'histoire commence, tous deux recherchent la solitude, mais suite à une erreur informatique ils sont obligés de cohabiter pendant quelques temps, ce qui représente pour eux une pénible épreuve et cela part vite au clash…



Musso nous propose un roman policier avec des personnages qui ne sont pas particulièrement sympathiques mais qui finalement ne se comportent pas comme on pouvait le prévoir initialement. Le premier chapitre est un peu trompeur, avec un esprit comédie romantique, mais l'histoire s'accélère, et tout bascule rapidement vers quelque chose de beaucoup plus tragique qui amène les deux protagonistes de Paris à New-York. Leurs histoires se déroulent par alternance de chapitres traitant de l'un puis de l'autre, ce qui donne un récit soutenu où ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête à rebondissements multiples qui va bouleverser leur vie. L'intrigue est assez complexe, avec des révélations surprenantes, mais tout s'enchaine rapidement, grâce à la détermination des deux personnages à découvrir la vérité.



Dans un style simple, à la portée de tous, ce qui en fait son succès, Guillaume Musso montre une bonne maîtrise dans la gestion d'une histoire compliquée, plutôt bien construite, et qui tient le lecteur en haleine. Comme lui-même l'indique : « ce n'est jamais facile, après quatorze livres, de continuer à surprendre, de continuer à susciter de l'engouement et de la curiosité de la part des lecteurs ».

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La fille de Brooklyn

C'est le deuxième roman de Guillaume Musso que je lis, et décidément, mon ressenti reste identique.



A savoir, un grand agacement face la platitude du style (en même temps, je savais à quoi m'attendre, mais parfois il y va fort), l'accumulation de situations qui finissent par rendre l'intrigue grotesque (car, à les juxtaposer ainsi, ça devient plus que non crédible), des stéréotypes de personnages (le bel écrivain riche et romantique, le flic brisé, et j'en passe des meilleurs), des situations carrément impossibles dans la réalité….



Même si c'est un page turner, pour moi, ce livre n'a qu'un intérêt, sa jolie couverture.




Lien : http://justelire.fr/la-fille..
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13 à table ! 2015

Un livre acheté, 13 nouvelles, 3 repas achetés, en voilà une excellente idée ! Si en plus, comme pour moi, on vous offre ce petit recueil de nouvelles, on ne peut que se dire que la vie est belle !



Donc, 13 à table !, c'est un recueil de 13 nouvelles écrites par des auteurs connus et reconnus et portant (plus ou moins) sur le même thème : celui du repas. Voilà une façon de savourer quelques pages d'un auteur qu'on aime bien, ou d'en découvrir qu'on ne connait pas sans pour autant devoir lire des dizaines de pages.



Pour ma part, parmi les auteurs que je connaissais, pas de grandes surprises : ceux que j'apprécie (Chattam, Lemaitre et Thilliez, v'la un sacré podium, non ?) m'ont ravie (avec une mention spéciale à Maligne de Chattam, à la fois drôle et cruel, et à Gabrielle, de Thilliez, particulièrement bien menée). Les auteurs que j'apprécie moins ne m'ont pas plus convaincue que ça non plus (je trouve Legardinier toujours aussi moralisateur, Levy et son Dissemblance pseudo-démagogique manquent cruellement d'originalité, quant à EE Schmitt, son ton "yakafokon" sur la confiance en soi et aux autres me restent sur l'estomac). En revanche, Tatiana de Rosnay et Bernard Werber m'ont agréablement surprise, l'une en agrémentant son "Parfait" d'un zeste de cruauté et d'une bonne dose d'humour, l'autre en faisant parler un personnage improbable, parti courir la gueuse.

Et puis, il y a des auteurs que je ne connaissais pas plus que ça et que j'ai découvert à la lecture de ces nouvelles. Parmi eux, Agnès Ledig et son petit morceau de pain m'ont ramené, à ma plus grande surprise, en enfance, et ce, pour mon plus grand plaisir !

Les recueils de nouvelles, c'est toujours un peu "risqué" (tout ne nous plaira pas), un peu tentant (il y a forcément des pépites à découvrir), un peu frustrant (quelques pages de plus ne seraient pas toujours de refus), mais cet opus 2014 est une vrai réussite. Et en plus, pour une fois, on lit "utile", et pas que pour soi !

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13 à table ! 2015

Les critiques concernant ce livre sont nombreuses. Je sais. Je m'en fiche. J'avoue en plus que mon avis n'est pas très original, je crois même que là, je hurle avec la meute. Tant pis. Je m'en fiche aussi. Je veux faire un peu de pub pour ce petit livre que j'ai beaucoup aimé. Donc en avant !



Le principe ? 13 nouvelles, très différentes, pour 5 euros et 3 repas offerts par livre acheté.

Avant tout j'ai été agréablement surprise par la qualité du recueil. Il y en a pour tous les goûts, humour, tendresse, suspense... Il faut dire que les auteurs viennent d'horizons différents. Même si la qualité des nouvelles est assez inégale, l’ensemble est plutôt bon. Je vais donc simplement partager avec vous mes préférées et aussi celle qui m'a fait penser à l'expression « un cheveu sur la soupe ».



* J'ai eu un coup de cœur pour ces 4 nouvelles :

- Maligne de Maxime Chattam: Un homme obèse et atteint d'une tumeur chez le psy pour obtenir un peu d'aide : ça décoiffe, c'est glaçant et gore à souhait (je ne regarderai plus jamais mes bonbons Haribo de la même façon)

- La part de Reine d'Éric-Emmanuel Schmitt: Un gamin, un clochard et sa chienne Reine. Cette histoire est une petite perle: une belle plume et une histoire touchante. Reine ou une attendrissante leçon de vie.

- Gabrielle de Franck Thilliez: Pèlerinage annuel d'un couple pour observer les grizzlis pêchant les saumons... surprenant, plein de suspense et bien angoissant - assez triste aussi.

- Langouste Blues de Bernard Werber: Bob la langouste... ah ah ! Je n'en dis pas plus, juste que j'adore, ma préférée!! Bien écrite, amusante, originale, un petit bijou.



* Je n'ai pas aimé « Dissemblance de Marc Lévy » et surtout j'ai trouvé que cette nouvelle n'avait pas sa place dans le recueil car hors-sujet.

- Deux hommes enfermés ensemble qui « philosophent » sur la différence... le style est lourd, c'est ennuyeux et le discours est d'un conformisme ! Si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi cette nouvelle est dans le livre ? Je ne comprends pas.



* J'accorde une mention spéciale à Gilles Legardinier :

Il a choisi de partager deux histoires personnelles (deux repas). La première est particulièrement émouvante, la seconde a un petit quelque chose de dérangeant de par son contexte. (?!) Mais j'ai aimé et apprécié à sa juste valeur le fait que l'auteur veuille partager avec ses lecteurs deux évènements qui ont changé sa vie. Et le partage c'est bien l'esprit des restos, non ?



* les autres ? Pas si mal !! Achetez le livre et vous verrez par vous-même !!!!

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Quelqu'un d'autre

Un riche héritière italienne agressée sur son yacht au large de Cannes. Justine Taillandier, chargée de l'enquête, s'interroge le mari est-il un veuf éploré ou un assassin potentiel ?

Oriana, la victime, Adrien son mari, Adèle employée dans un grand hôtel, tous détiennent une part de la vérité mais qui ment ? Bien entendu, comme dans tout bon thriller, Musso brouille habilement les pistes. Même si le récit semble peu vraisemblable, c'est un roman qui se lit avec plaisir.



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L'Inconnue de la Seine

Guillaume Musso est un de ces auteurs qu'il fait toujours plaisir de lire.

Ce dernier titre est en tous points intrigants et j'ai beaucoup aimé le sujet exploité. On commence avec un corps (vivant) repêché dans la Seine, celui d'une femme complètement amnésique qui s'enfuit lors de son transport vers l'hôpital. On ne sait pas qui elle est, ce qu'elle faisait là, ni pourquoi. En essayant de la retracer, une correspondance ADN révèle l'identité d'une célèbre musicienne allemande décédée un an plus tôt dans un crash aérien. Même l'apparence physique correspond parfaitement. Plutôt intéressant, comme concept ! La vie après la mort, toujours...

Jusqu'ici ça va. La police est impliquée, le mystère plane...



Pourtant, plus l'histoire avance, plus elle s'enlise et se dirige à tous vents. Comme un fil de laine en le déroulant, on la suit, maille après maille, même si aucun lien ne semble s'établir entre elles. On a l'impression de lire deux histoires sans aucun rapport qu'on tente par tous les moyens de faire s'imbriquer et le but de base semble carrément mis de côté plus loin. Comme si finalement une des deux n'existait plus. Ça fait étrange, dommage. Même les personnages n'y ont plus vraiment leur place à mesure que de nouveaux arrivent pour transformer le récit. Trop de noms, trop de lieux. Beaucoup de personnages dont on entend parler qu'une seule fois et qui n'ont aucun impact. J'ai quand même apprécié la part de mystère qui flottait dans l'atmosphère du livre, j'ai éprouvé de la curiosité au début et bien aimé cette fois la touche de roman policier à travers celui du monde fantastique, bien qu'ayant trouvé quelques lourdeurs au niveau des nombreux acronymes présents tout au long le l'histoire.



"L'Inconnue de la Seine" n'est pas ennuyant et n'est pas sans plaire, loin de là ! Mais parmi les romans de Guillaume Musso que j'ai lus jusqu'ici, c'est celui qui m'a le moins embarquée. Je l'ai trouvé souvent décousu et ne me suis pas vraiment attachée aux personnages. Je n'ai rien ressenti de particulier, de l'indifférence, plutôt. Il manque un je-ne-sais quoi...Peut-être parce que le sujet décrit en quatrième de couverture ne prend pas assez de place et qu'on s'attendait à ce qu'il soit central. Le roman est certes bien écrit, comme d'habitude, en cela tout était parfait. Mais le lien entre le début et la fin de l'histoire laisse plutôt perplexe. J'ai d'ailleurs trouvé la fin beaucoup trop abrupte. En tous cas, le point positif est qu'on ne la voit pas venir du tout ! Un moment de lecture correct et que je ne regrette pas mais qui ne marque pas plus que cela.



À lire si vous êtes curieux !
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La fille de papier

Ca y est, j'ai lu mon premier Guillaume Musso. Je l'ai emprunté à ma bibliothèque habituelle, sous le regard médusé du préposé, lui qui me voue d'ordinaire des acquiescements silencieux. En lui tendant ma carte, j'ai failli me récrier. « C'est pas ce que vous croyez, c'est pour faire une critique sur Babelio ! ». Je me suis retenu ; à quoi bon au fond...



Alors, qu'en dire ? D'emblée, en lisant le quatrième de couverture, on est fixé. Chez Guillaume Musso, l'horizon...scintille. L'horizon scintille, les cris se perdent dans le vent et le lac est d'argent. Tout lac qui ne serait pas d'argent se verrait impitoyablement renvoyé chez le fournisseur. C'est que chez Guillaume Musso, on a le respect du lecteur chevillé à la moindre phrase. On est d'accord, le lecteur, il est d'abord là pour l'histoire, mais si on peut aussi y mettre du joli, on va pas se priver : on est pas chez ce tâcheron de Marc Levy, celui-là même qui écrit avec ses pieds…



Dans ce livre, un écrivain est mis en scène, qui n'arrive plus à aligner une ligne, suite à une panne d'inspiration. Admirons au passage le travail de composition de Guillaume Musso : à la lecture de cet ouvrage, on sent bien que l'inspiration, c'est un concept qui ne le visite que de très loin, il a sûrement dû beaucoup se documenter.

Alors que la vie de l'écrivain tourne à vau-l'eau, une jolie héroïne de ses romans sort du livre pour investir la vie réelle et remettre les choses en place. Dès les premières pages, je suis saisi par l'indigence des dialogues : on en arrive presque à entendre les personnages jouer faux, comme des enfants qui ânonneraient une poésie un jour de fête des mères ! Parfois, l'auteur y glisse deux ou trois grossièretés bien senties, histoire de faire écrivain rebelle et pas sourcilleux sur les normes. Ce ne sont d'ailleurs pas les pires morceaux, mais ça ne suffit pas pour rehausser l'ensemble.

À propos des personnages, force est de reconnaître que Guillaume Musso ne s'embarrasse pas de fioritures. Foin de la moindre nuance, ceux-ci sont taillés à coup de serpe et ne cultivent aucune ambiguïté. N'allez pas chercher chez eux une quelconque faille, ils ne sont pas là pour ça et ne sont que des marqueurs dans le récit.

L'intrigue elle-même n'est pas originale, même si on ne s'ennuie pas à la dérouler. Elle aurait pu offrir quelque chose de plus consistant. L'idée de départ n'est pas inepte, même si de nombreux auteurs s'y sont essayé bien avant, avec plus de talents. Hélas, elle est exploitée au rabais et donne à penser que l'auteur a pondu le livre en trois semaines. C'est bien dommage, on aurait pu s'amuser plus avant à voir le héros écrivain tourmenté, puis séduit par l'objet de sa création littéraire. La création littéraire, un virus contre lequel Guillaume Musso est manifestement immunisé…



Je ne sais que penser de ce livre, une chose est sûre, je n'en lirai pas d'autre. Quant au succès phénoménal que son auteur rencontre, eh bien...tant mieux pour lui !





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La Jeune fille et la nuit

Une jeune collègue m'avait fait connaître Guillaume Musso à ses débuts. J'avais apprécié puis perdu de vue.

Je l'ai retrouvé avec "Central Park" et depuis je ne le lâche plus lors de sa sortie en poche.

Dans "La jeune fille et la nuit", Thomas Degalais vit une nuit épouvantable à Antibes en décembre 1992 au lycée Saint-Exupéry. L'auteur ne nous cache pas qu'il assassine un prof de philosophie , Alexis Clément car il croit qu'il a causé du mal à Vinca, sa belle amoureuse.

En 2017, Thomas Degalais, romancier célèbre dans le monde entier, revient à Antibes car on célèbre les cinquante ans du lycée. On va abattre le gymnase et le corps du professeur y est emmuré. Il ne veut endosser sa faute.

Le roman est magnifiquement bien construit, bien écrit.

Je l'ai lu sans un moment d'ennui, sans une page passée.

Les moments de suspense sont nombreux et très bien amenés.

Les personnages, du premier au dernier nous réservent des surprises même ceux que l'on croit très classiques.

Comme à chaque roman de Guillaume Musso, pas question de bâcler la fin qui est très riche et originale en rebondissements.

Un tout bon thriller si on accepte de se laisser embarquer dans ce jeu de personnages pas toujours "clean" mais ce n'est qu'une histoire après tout et l'auteur doit bien la créer cette histoire.

J'apprécie la dernière page où il nous rassure en nous disant que le narrateur n'a rien à voir avec son créateur mais il peut dormir tranquille, on avait compris. Quand même!



Challenge pavés 2019

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Que serais-je sans toi ?

Le meilleur

Enfin un bon Musso de tous les livres que j’ai lus de cet auteur c’est celui que je préfère il est bien écrit pas trop loufoque ni trop fantastique comme les autres. Une histoire qui tien la route avec une pointe de drame. Si vous deviez lire un livre de cet auteur je vous conseille celui-là.



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Un appartement à Paris

Je remercie infiniment Carnetdelecture pour l'organisation de cette lecture commune qui m'a permis de sortir ce roman de ma PAL.

Un appartement à Paris m'a d'abord déstabilisé car le style est bien différent des autres romans que j'ai pu lire de l'auteur. Ce n'est pas un point négatif, bien au contraire, ce roman a été une agréable surprise !



Un duo : une femme dépressive et un écrivain alcoolique se retrouvent à Paris. Ils ont loués par accident la même maison : l'atelier ayant appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz, décédé peu de temps avant. Nos deux héros vont se mettre à enquêter et à déterrer les derniers secrets du peintre.



Si la première partie est un peu longue, l'auteur installe doucement ses personnages, je dois dire que le reste du roman se dévore. Et puis moi qui suis toujours déçue par les fins surnaturelles et parfois tiré par les cheveux de Guillaume Musso, je dois dire qu'ici, j'ai beaucoup aimé les derniers chapitres.



Bref, un appartement à Paris est une très bonne surprise, une chouette découverte que je vous recommande vivement.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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La Vie secrète des écrivains

Sitôt paru, sitôt lu, il faut dire qu’avec un titre comme La vie secrète des écrivains, il y a des quoi intriguer plus d’un lecteur. Et je ne suis pas déçue car j’ai littéralement dévoré ce roman qui au final est bien trop court !



Difficile de le résumer pourtant, tant il se passe de choses et tant plusieurs récits viennent s’imbriquer les uns dans les autres. On fait d’abord la connaissance de Rafael, qui a répondu à une annonce pour travailler dans une librairie sur l’île de Beaumont (entre nous, je suis déçue que cette île soit fictive car les descriptions font vraiment rêver). Il souhaite approcher son auteur favori, Nathan Fawles, auteur de bestseller qui à arrêter d’écrire du jour au lendemain, il y a vingt ans. Enfin, il y a la mystérieuse Mathilde, journaliste, qui semble enquêter sur Nathan. Et puis quand un meurtre est commis sur l’île tout le monde semble suspect et le coté tranquille et protégé de l’île devient alors mystérieux et suspicieux. Que cache Nathan et pourquoi a-t-il cessé d’écrire ? Qui est vraiment Mathilde et que cherche-t-elle ?



C’est un roman prenant, captivant, qu’il est impossible de lâcher du début à la fin (je me suis quand même freiner pour ne pas le lire d’une traite et le faire durer deux soirée au lieu d’une) !

L’intrigue est bien menée, même si l’histoire autour du père de Mathilde est peut-être un peu tiré par les cheveux. En tout cas, le suspense est omniprésent et on veut vite arriver au bout pour connaitre le dénouement.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Rafael, dommage qu’il ne soit finalement pas plus présent dans le récit. Nathan et Mathilde sont bien plus complexes qu’ils n’y paraissent et ne vont cesser de nous surprendre au fil des pages.

J’ai adoré le dépaysement et avec l’arrivée du printemps qui tarde vraiment, je me suis délectée de ces paysages méditerranéens, de ces calanques et de la mer a perte de vue.

Enfin, les références littéraires sont partout au fil des pages et ça m’a vraiment donné envie de lire ou relire certains ouvrages cités. Et puis cette couverture magnifique et tellement énigmatique !

C’est une belle surprise et sans nul doute un titre qui va plaire !
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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La Jeune fille et la nuit

Une publicité politique

Heureusement que le cadre est magnifique et assez bien décrit car l’histoire est creuse plate sans suspense car dés le début on comprend comment l’enquête ça se dérouler.

Dommage que Monsieur Musso face trop ressortir le coté bourgeois de la cote d’azur ainsi que son penchant politique car on comprend très vite pour quel parti il a voté aux dernières élections

Il y a quand même du mieux par rapport au deux précédents.

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Central Park

BLUFFANT ! MAGIQUE ! EXTRAORDINAIRE ! DU SURTOPISSISME !



Au début, c'était histoire de lire quelques pages pour le découvrir et le poser ensuite sur ma table de nuit pour dormir dans les bras de Morphée. Mais dès que j'ai lu les premières pages, c'était parti pour 6h de lecture continue, je n'ai pas pu détacher mes yeux du roman. Résultat : Couchée à 4h du mat' avec des cernes noires sous les yeux et des pépites de bonheur dans l'âme.



L'intrigue est envoutante, l'histoire est digne d'une adaptation cinématographique hollywoodienne. le roman a tous les ingrédients pour se placer au top des polars sur une échelle internationale.



En finissant la lecture, la première des choses qui m'est venue à l'esprit en toute évidence (et ça sera le cas pour vous aussi) est Parce que je t'aime et Les pages de notre amour (The Notebook de Nicholas Sparks).

Je dirai même que le message de l'auteur au début de Parce que je t'aime : "Avant de commencer, un message de l'auteur : Pour préserver la surprise, ne révélez po la fin de ce livre à vos amis !" est à copier coller sur Central Park également. ;)







Pour finir, vous m'avez encore eu, une fois de plus, avec votre fin imprévisible M. Musso. :D

Et merci pour les citations au début de chaque chapitre. N'abandonnez jamais votre touche. Et pensez à glisser une en langue arabe la prochaine fois. ;)

Voilà voilou, merci pour ce moment de pur bonheur et on s'dit : A l'année prochaine ! :)

Il y aura.. :)
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L'appel de l'ange

J'avais oublié que j'avais lu Musso. Complétement zappé. Une amie me l'a passé en me disant qu'elle avait beaucoup aimé. Bon allons-y même si Musso ce n'est pas ma priorité de lecture. Elle m'avait dit que c'était une histoire de portables échangés malencontreusement, C'est tout. Ce genre de livre ne me divertit pas du tout, il m'ennuie. Il m'ennuie parce qu'il est trop convenu, trop prévisible, parsemés de poncifs qui moi me font soupirer, un tantinet beaucoup à l'eau de rose qui me fait bailler, une intrigue qui vacille parfois sur ses bases, bon reconnaissons quelques idées intéressantes mais noyées dans un flot bien sûr fluide et facile (trop fluide et facile aussi.....) et surtout ce que j'ai perçu sur certains chapitres et à la fin un bâclage d'écriture vite fait bien fait. Vraiment Monsieur Musso on ne vous demande certes pas d'écrire de la littérature "pointue", ni profonde, ni classique, ni... à coller au panthéon du génie littéraire mais quand même.... ce bâclage d'écriture m'a un peu irritée.

Quand j'ai rendu le livre à mon amie, elle m'a demandé d'un oeil pétillant :

- Alors, c'est super hein ?

- hummm.... ce n'est pas vraiment le genre que je préfère....

Guillaume Musso pour moi est un écrivain qui a trouvé (lui ou sa maison d'édition) la bonne formule ( dans l'air du temps ?) pour que ça fonctionne. Un zeste de suspense, une pincée de surnaturel, une louche d'histoire d'amour dans le style que l'on voit dans les téléfilms que diffuse la télé l'après-midi, un peu de rocambolesque juste ce qu'il faut pour secouer le saladier le tout emballer dans une écriture légère, légère, légère comme une bulle de savon.... Et quand la bulle explose et bien il ne reste....
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Que serais-je sans toi ?

« Le dimanche, on lit au lit »



Ce qu'il y a de génial, lorsque l'on s'apprête à lire «du Guillaume Musso », c'est cette certitude qu'aucune déception n'est possible. En lisant un livre d'un auteur jamais lu encore, d'un auteur conseillé par autrui, ou tout simplement un premier ouvrage, le doute est permis : vais-je aimer, être charmée, conquise, ou... m'emmerder ferme. Mais lire un Musso, c'est comme une rencontre avec un très vieil ami : on sait qu'on va passer un bon moment, que c'est inévitable... et que c'est tant mieux.



Et quand je sais que je vais bientôt lire le nouveau Musso, je suis comme le Petit Prince et le Renard dans une séance d'apprivoisement : je me prépare le cœur. Je me réjouis comme pas deux. C'est comme un rendez-vous immuable, d'année en année... un rendez-vous qui, je l'espère, va durer.



Trêve de théorie de lectrice, ça parle de quoi, ce nouveau chef-d'œuvre, me direz-vous...



Et bien ça parle, ô hasard de la vie, de l'édition, ou voulu par Dieu (j'ai des envies de croire en Dieu, pour le moment, je l'avoue), d'un sujet qui colle, par certains aspects, à ma propre vie. D'abord, c'est une histoire d'amour. Bien sûr. On veut de l'amour. Mais ce n'est pas que cela. Bien sûr aussi. Avec Guillaume Musso, il y a toujours cette part de fantastique, de rêve et de quête de l'absolu qui fait la force de l'ouvrage et surtout qui scotche dans le canapé (ou dans le lit, ou dans le transat au soleil...), jusque qu'à ce que la toute dernière page soit avalée... et les larmes ravalées.



Bon, je m'égare encore dans mes théories.



L'histoire. Gabrielle vit seule, mais elle a deux hommes dans sa vie. Son premier amour. Et son père. Ils l'aiment. Sans toutefois faire partie de sa vie. Mais, eux, se haïssent. A tel point qu'ils pourraient mettre plusieurs vies en danger...



Je n'en dirai pas plus, car en dire plus, c'est trahir l'histoire. Juste que la dernière partie du livre m'a totalement bouleversée. Tout le livre est bouleversant, mais la dernière partie, rhaaaaaaa. Et cette dernière partie, je veux y croire, tellement tellement. Ce livre, il rassemble tant de choses : un thriller, plusieurs histoires d'amour, des conflits, des réconciliations, de l'émotion, du suspense, du surnaturel parfois... tout ça en 300 pages environ. Alors chapeau Monsieur Musso.



Et comme chaque année, je n'aurai qu'une chose à dire : à l'an prochain !
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La Vie secrète des écrivains (roman graphique)

J'aime les romans graphiques car c'est grâce à eux que j'ai pu aborder l'univers de la BD. En effet, la bibliothèque avait eu la bonne idée d' organiser une exposition de BD tirées de romans que j'avais parfois lus, par exemple "Nymphéas noirs" de Michel Bussi.

L'amusant, c'est que dimanche, j'en parle à mon petit-fils de vingt-quatre ans qui se dit intéressé car peu attiré par la lecture. Eh oui, mes gènes de lectrice boulimique ne se sont pas transmis à toute ma descendance. Toujours est-il que le livre lui a plu et qu'il envisage de l'acquérir.

Guillaume Musso est un auteur que je ne lis pas. Mais quoi de mieux qu'une BD pour le découvrir. Et, ma foi, peut-être vais-je le lire, finalement.

Le dessin est simple, mais efficace, les couleurs bien choisies, l'histoire passionnante ( c'est un polar plein de suspense ).

J'ai aimé :

les noms comme "Les fleurs du malt" pour un pub, "La Croix du Sud" pour la maison de l'écrivain Nathan Fawles, "La rose écarlate" pour la petite librairie de l'île Beaumont.

de croiser un écrivain célèbre au détour d'une page.

l'épilogue sous forme d'apostille.

Des BD comme celle-là, j'en redemande.
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L'appel de l'ange

New York. Aéroport Kennedy.



Vous êtes Jonathan Lempereur, ex-meilleur cuisinier du monde. Vous êtes là pour emmener votre bambin de sept ans qui y vit avec sa mère, votre ex-femme qui vous a trahi avec votre ex-meilleur ami. Il y a foule. Votre fils a faim. Vous marchez avec un plateau à la recherche d’une table inoccupée. Là ! Il y en a une ! Vous entraînez votre fils, mais soudain, c’est le crash ! Vous heurtez (à moins que ce ne soit elle qui vous heurte) une jolie anglaise (certes malpolie et agressive qui ose vous traiter de rustre). Le contenu des plateaux valse (non pas au son d’une valse viennoise) et se retrouve à terre non sans avoir maculé quelques vêtements. Cette Madeline (oui, elle s’appelle Madeline) et vous, laissez tomber vos téléphones portables. Vous vous baissez pour ramasser le vôtre, elle en fait de même avec le sien. Vous ne vous quittez pas bons amis. Vous, Jonathan, vous embarquez pour San Francisco où vous tenez un petit restaurant qui n’a rien à voir avec celui que vous aviez à New York du temps de votre splendeur. Elle s’embarque pour Paris où l’attend son splendide magasin de fleurs.

Ah ! Un petit détail… Mais qui a son importance : vous avez tous les deux le même modèle de téléphone… Elle a pris le vôtre… Vous avez pris le sien…



Critique :



Bien trouvée cette histoire de portables interchangés ! Cependant j’ai eu du mal à croire qu’ils pouvaient aussi facilement accéder aux infos l’un de l’autre, telles que mails et photos sans connaître leurs mots de passe respectifs…

Longtemps, je me suis demandé si je ne m’étais pas trompé en croyant avoir mis la main sur un thriller. On découvre petit à petit la vie peu ordinaire des deux protagonistes… Mais il est où le thriller ? Patience ! Il arrive ! La vie étant faites de hasards, et le hasard faisant bien les choses dans un roman, chacun de nos deux héros va s’investir dans la recherche de ce qui a ruiné la vie de l’autre, jusqu’à ce que le hasard, toujours lui, les fasse se rencontrer physiquement (même très physiquement).

Histoire crédible ? Non ! Pas du tout !

Récit plaisant ? Oui ! Je ne me suis pas ennuyé une minute. J’ai mis plusieurs jours à le lire, mais c’est parce qu’il compte beaucoup de pages et que je lisais d’autres choses en parallèle. Certainement pas par ennui.

C’était mon premier Musso. Du coup, j’en ai d’autres en attente de lecture, en espérant être aussi agréablement distrait.

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Demain

Demain...

Demain, j'arrête de lire Musso.

Ca fait trois fois que je dis ça. Et chaque fois j'y retourne.

Il faut dire que les résumés et quatrièmes de couverture sont alléchants.

Mais à part La fille de papier, les autres m'ont tous laissé sur ma faim.



Dans Demain, une femme du passé rencontre un homme du futur par le biais d'un même ordinateur. Avouez qu'il y a de quoi titiller la curiosité.



L'histoire est toujours originale chez Guillaume Musso.

Il enclenche le page-turner et moi, je me laisse entraîner.

Et puis, durant la lecture, je me dis que c'est quand même un peu gros tout ça.

Et puis j'y retourne, assez facilement, ma foi.

Et puis, lorsque la fin approche, je sens le relâchement.

Je subis l'urgence d'une fin expédiée.

Et puis, je referme le livre frustrée.

Frustrée de n'avoir relevé aucune citation intéressante.

Frustrée de savoir que d'ici quelques jours, l'histoire sera oubliée.

Frustrée de savoir que j'ai privilégié ce livre aux centaines d'autres certainement plus délicieux et dérangeants, ambitieux et captivants, audacieux et délirants qui trônent sur ma pile.



Avant-hier, j'ai commencé Demain. Aujourd'hui, je l'ai terminé, sur un air de déjà-vu et déjà goûté. A nouveau gavée.
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L'instant présent

On touche le fond

Une histoire qui n'a aucun sens, qui tourne en rond, On comprend très vite la trame. Le seul personnage cohérent est le grand père, quand à la fin elle vous laissera sur votre faim. Bref je n'ai pas accroché...........................
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La vie est un roman

Autrice, Flora Conway est aussi une mère de famille qui adore jouer à cache avec Carrie, sa fille de 3 ans. Lors d’une partie dans son appartement new-yorkais , celle ci disparaît alors que la porte d’entrée est close. Que s’est il passé ?

Seul Romain Ozorsky, écrivain de son état lui aussi, semble pouvoir l’aider...

Ma première lecture d’un roman de Guillaume Musso (faute de temps, j’ai tendance à lire les textes qui ont besoin d’être un peu promus auprès des lecteurs de la bibliothèque et clairement Guillaume Musso n’a pas besoin de moi).

L’auteur propose dans ce texte malin un jeu de miroir étonnant et beaucoup de faux semblants. J’ai particulièrement apprécié la conception du livre (la relation écrivain / personnage, le double niveau de lecture et les nombreuses références littéraires).

Bilan : Une première incursion réussie chez l’auteur contemporain le plus lu 😉. Une lecture sympa.
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