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Critiques de Carène Ponte (3259)
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Tu as promis que tu vivrais pour moi

Qu'est-ce que j'aime les romans de Carène Ponte !

Celui-ci est frais, touchant, émouvant, il nous fait traverser une tonne d'émotions différentes ! Un coup on sourit, puis le passage d'après une larme va couler.



J'ai trouvé que cette belle histoire est très bien construite, on ressent les émotions de Molly et sa fragilité et la légèreté du personnage de Marie vient apporter un soupçon d'humour et de retournement de situation au roman !



Je ne peux que recommander !
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Un merci de trop

Chick lit : roman écrit par une femme, à destination du public féminin. Le ton est désinvolte voire désabusé, et l’héroïne pratique l’auto-dérision. Ses relations avec sa famille et ses amis sont aussi importants, voire plus importants, que sa vie sentimentale. Après moult déboires et rebondissements souvent cocasses, la fin est une « happy end ». La couverture du roman est une illustration « girly » aux teintes acidulées.

Un merci de trop coche à peu près toutes les cases.



Curieuse, j’ai acheté ce petit roman. Puis je l’ai lu.

Bon. C’est un petit roman sympa, léger et divertissant. Mais pour ma part, dans le style je préfère DE LOIN les autrices anglo-saxonnes : Helen Fielding (Journal de Bridget Jones), Sophie Kinsella (L’Accro du Shopping - voir l’un de mes 1ers posts) ou Lauren Weisberger (Le Diable s’habille en Prada), qui réussissent VRAIMENT à me faire rire.



Voilà. Je ne vais peut-être pas me faire que des amies avec ce post, car je sais que vous êtes nombreuses à aimer Carène Ponte, ce que je conçois absolument. Mais je me dois d’être sincère : je ne pense pas lire ses autres romans.
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Avec des Si et des Peut-être

Un très bon roman que nous propose Carène Ponte.

Avec les aventures de Maxine, l’auteure nous met face à nos choix de vie. Un thème réaliste qui touche tout le monde. Qui n’a pas un jour osé se poser cette question : et si j’avais autrement ? Et si je pouvais tout changer ? Peut-être que si je me lançais dans cette direction je serais plus heureuse ?

J’ai vraiment adoré comment l’auteure aborde ces questionnements. J’ai le parfait feel good book que donne le smiley et fait réfléchir à notre bonheur. Et surtout Carène Ponte n’oublie pas la touche émotion. Ce n’est pas juste un roman pour faire rire et passé un bon moment. L’histoire de Maxine pousse le lecteur à son introspection personnelle.

En tout cas pour moi, cela matche parfaitement. Un doux moment avec Carène Ponte. Elle a l’art et la manière de nous envelopper dans un plaid livresque tout moelleux. Elle fait du bien au moral. Je suis très fan de sa touche personnel qui me fait toujours rire.

Quand on teste Carène Ponte, c’est l’adopter. Et après on ne peut plus s’en passer ! Foncez !
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Et ton coeur qui bat

Chère Carène,

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Si chaque fois je te lis sans hésiter c’est parce que je sais qu’avec toi je vais passer un bon moment.

Tu sais alterner entre légèreté et gravité, tu sais aborder des sujets sensibles avec pudeur mais jamais encore je n’étais passée par autant d’émotions.

Une palette si large que j’alternais entre les lèvres qui s’étirent, le souffle qui se coupe, le cœur qui bat fort, les dents qui se serrent, le ventre qui se crispe, la gorge qui picote, les yeux qui brillent, joie et tristesse, colère et apaisement, malheur et bonheur, valse des sentiments pour apprendre à pardonner l’impardonnable….

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Dans ce roman j’y ai vu des intonations différentes…toujours ton style, ces petites notes humoristiques, la bienveillance et ta tendresse pour tes personnages.

Pourtant était-ce le sujet, était-ce mon âme de mère, j’ai eu des moments difficiles, des passages où j’avançais sur la pointe des pieds, où je devais reposer ton livre. Parce que c’est là ce qui n’était pas comme d’habitude, ce besoin de réfléchir, de me poser la question, sur ce que seraient mes propres réactions, sur ce qu’il est possible d’accepter, analysant les réponses de ton héroïne, tournant et retournant dans ma tête chaque élément, me confrontant à mes convictions, ton récit m’amenant à réagir autrement que ce que je pensais être.

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Sont bienvenues alors les chroniques de voyage de Roxane, drôles, amusantes, offrant des pauses divertissantes. Et puis indispensables à cette histoire, les compagnons canins des résidents de l’hôtel ou elle séjourne, qui facilitent les liens, les échanges, thérapeutes insoupçonnés mais si efficaces.

Un ensemble d’ingrédients qui permet d’évoquer un sujet dramatique sans sombrer dans la tragédie, parce que toujours avec toi, il y a l’espoir, la promesse des lendemains heureux, le soleil après la pluie, une démarche positive que j’apprécie toujours autant !
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Sur scène

Carène Ponte sait toujours bien amener et traiter les sujets sensibles grâce à une petite touche d’humour qui lui est propre et qui marche à chaque coup. Ce road- trip est construit sur le désir d’une quadragénaire de réaliser son rêve d’adolescence : chanter à Broadway. Et pour l’accompagner, qui de mieux que sa meilleure amie ? Sauf que Lola est une multi- phobique, qui vit enfermée chez elle…



« Comment le mot "dissertation" pourrait- il rivaliser avec "chômage" ou, pire, "licenciement" ? On reprendrait presque un peu de peur des épinards pour la peine. » Il y a des mots qui nous font mal aux oreilles, à tout âge. Mais quand viennent ceux qui ont un rapport avec la maladie, et pire encore, la fin de vie, on préfèrerait ne plus rien entendre. Ginger s’en rend compte avec douleur lorsqu’on lui annonce une récidive de son cancer.



« Je vis avec la peur, l'anxiété, les phobies depuis tant d'années que j'hésite parfois à leur dresser un couvert quand je m'installe pour dîner. » La meilleure amie de Ginger, Lola, vit comme une recluse. Traductrice de romans à domicile, elle mesure ses journées à coup d’unités d’angoisse et évite toute relation sociale. Ginger est une exception dans sa vie ultra- mesurée. Et c’est bien pour cette unique raison qu’elle va oser passer outre ses nombreuses phobies et la suivre jusqu’aux Etats- Unis.



« Aimer, c'est peut- être accepter de souffrir. Mais ne pas aimer, c'est mourir. » Les deux amies, une fois sur le sol américain, vont avoir à se soutenir l’une l’autre. Et de belles rencontres vont les aider à faire de ce séjour une étape inoubliable de leur vie.



Au final, une lecture avec ascenseur émotionnel inclus. Carène Ponte manie très bien le passage du rire aux larmes. J’ai été une nouvelle fois conquise par sa plume. Lola et Ginger sont rapidement devenues comme des amies pour moi et je regrette déjà de les avoir quittées !

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Sur scène

Lire un roman de Carène Ponte, c’est assurément passer un très agréable moment en compagnie de personnages que l’on ne peut qu’aimer.



Tout oppose Ginger et Lola et pourtant elles sont meilleures amies et elles se confient tout, leurs espoirs, leurs difficultés, leurs échecs… Ginger est pétillante et sûre d’elle, Lola a peur de tout et vit la plupart du temps cloitrée dans sa maison où elle y travaille comme traductrice.



Ginger va malheureusement apprendre que son cancer du sein a récidivé, tout son monde s’écroule et son futur est plus qu’incertain. Elle refuse de repasser par les traitements, les effets secondaires catastrophiques pour un pronostic très aléatoire. Elle décide de partir à New-York pour réaliser son rêve de devenir chanteuse et elle va entrainer avec elle la pauvre Lola pour qui prendre le métro est déjà une épreuve de force.



J’ai adoré ces deux femmes et je me suis beaucoup reconnue en Lola. L’amitié qui les unit va leur donner des forces à l’une comme à l’autre, elles vont chacune affronter leurs propres peurs et leur vie va prendre un nouveau tournant.



Même si la thématique de départ n’est pas très joyeuse, c’est un roman lumineux, un roman qui prouve qu’il n’est jamais trop tard pour dépasser les barrières que l’on se fixe au fil du temps et des épreuves. Elles vont toutes deux trouver une force insoupçonnée qui va les pousser à se dépasser et à croire en leurs rêves.



J’ai ressenti beaucoup d’émotions à la lecture de ce roman et je suis passée du rire aux larmes en suivant le parcours de ces deux femmes pour qui tout n’a pas toujours été rose. Je les ai quittée avec beaucoup de regret dans le coeur et de tendresse au fond des yeux.

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Embarquements immédiats pour Noël

Ce livre tombait au bon moment, une légèreté au milieu d'une autre lecture complexe . Je ne demandais pas un prix Nobel pas plus qu'un polar bien noir, une histoire qui finit bien c'était parfait.



L'histoire finit bien c'est vrai . Le souci c'est qu'il n'y a pas vraiment d'histoire . Un quiproquo pour démarrer, beaucoup de bons sentiments, tout le monde est très gentil ( oui je sais c'est Noël mais quand même ) , une vague coucherie et hop on est au Noël suivant . Reste les prospectus touristiques pour les Seychelles et la Finlande .



Bref je n'ai pas apprécié mais il me permet de valider un pays du défi globe-trotteurs , ce sera son unique intérêt .
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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La lumière était si parfaite

J'avais besoin d'une lecture dont le sujet n'était pas un fait sordide, une lecture un peu doudou avec un auteur dont javais déjà lu les précédentes parutions, j'ai donc pioché dans ma bibliothèque celui-ci.



Et je dois avouer que je l'ai lu assez rapidement les personnages ne sont pas très travaillés ni avec beaucoup d'épaisseur mais au vu du nombre de page cela se comprend.



Le sujet reste également classique puisque Meg est une femme au foyer de 40 ans qui gère donc l'ensemble de la famille, les tâches ménagères et autres diners à la maison pour le travail de son mari.



A la mort de sa mère, celle-ci hérite de la maison familiale car elle est fille unique et que son père est déjà décédé.



Elle va tomber sur un appareil photo ou la pellicule n'a pas été développé, va en découler une photo de sa mère qui la bouleverse et qui va l'emmener à partir sur les lieux de la photo afin de mener un peu l'enquête à ce sujet.



J'ai aimé le fait que Meg emmène sa fille avec elle car le lien mère fille semble un peu rompu durant cette période de l'adolescence. J'ai aimé l'amie de Meg qui se nomme Romy qui est haute en couleur et les nombreuses références entre les 2 concernant les années 80.



Le récit se lit bien, il y a cependant beaucoup d'heureux hasard comme l'on peut s'en douter en prenant le livre en main.





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Vous faites quoi pour Noël ?

Allez, la deuxième et dernière romance de Noël, dénichée à la bibliothèque et lue juste avant Noël.

Pauline boit trop à une fête de Noël au boulot et se retrouve dans un situation délicate, et elle a besoin du concierge David pour y remédier. Celui-ci lui demandera de venir dans sa famille en contrepartie pour la fête de Noël.

Bon c'est un peu capilotracté tout ça... mais pas désagréable. La famille de David est plutôt sympathique, les traditions à santa les deux sapins aussi, les personnages plutôt attachants... mais pour le reste... vulgaire gratuitement (et inutilement), bourré de clichés (pourquoi David ne peut pas être le "prince charmant ", en étant seulement un concierge ?? ), et l'autopromotion, ça va un moment...

Dans le style romance de Noël qui sent bon la cannelle, je trouve qu'il y a plus élégant et subtil.



Il y a une saison pour tout, et quand elle est révolue, on passe à autre chose.
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Et que quelqu'un vous tende la main

En lisant ce roman, je pensais lire une histoire légère pour me permettre de lire en alternance avec un autre roman tiré d’une histoire vraie. Mais ce n’est pas le cas.



C’est un roman choral.

On y trouve Valérie, Anna et Charline. Deux d’entre elles sont dans une maison de repos pour les personnes qui ont eu un évènement douloureux dans leur vie.

La dernière, tient une pâtisserie et offre à ses clientes un peu de douceur sucrée.

Elles vont devenir amies et vont s’aider les unes les autres à reprendre l’envie de vivre et le cours de leur existence.



Les personnages sont évidemment empathiques. J’ai trouvé que l’histoire, bien qu’elle se termine bien, on s’en doute, reste quand même sur un côté un peu trop morose.

Il y a des moments de joie avec notamment la roue de Valérie mais du coup, il ne faut pas lire ce roman si on a le bourdon parce que sinon, on termine avec la ruche entière de bourdons, des mouchoirs partout autour de soi, les yeux rouges, le nez qui coule, …



Alors oui, on en retient que la vie n’est pas rose tous les jours, que certains ont moins de chance que d’autres et que la roue peut finir par tourner.

En tout cas, on espère toujours que les choses finiront par s’arranger sinon, on vise le platane ou on se laisse couler.

Il serait bon, d’être sûre qu’en cas de problème plus ou moins grave, il y a toujours quelqu’un qui nous tende la main, comme dit la chanson et le titre de ce roman.



Je suis donc contente de finir celui-ci et je me replonge entièrement dans l’autre.

Complétement différent. Les joies de la lecture !
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La lumière était si parfaite

Jolie histoire qui nous conte les problèmes d'une femme qui s'est oubliée derrière son foyer, ses enfants et son mari, un mari énervant, se comportant comme beaucoup d'hommes (comment ne pas s'identifier!). Combien arrivent la bouche en cœur pour nous aider alors que nous attendons le partage. On attend avec impatience le réveil de Megg.

Jolie histoire d'un couple qui se perd et se retrouve

Une histoire d'amitié aussi, une histoire d'amour filial

Plein de bons sentiments dans ce livre, mais une histoire très bien racontée avec beaucoup de délicatesse.

Une belle découverte!
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Vous faites quoi pour Noël ?

JOYEUX NOEL à vous tous, chères lectrices et chers lecteurs ! J’espère que vous avez eu de beaux livres sous le sapin pour ceux qui ont déjà ouvert les cadeaux, ou que certains vous attendent encore sous l’arbre de Noël ! Quel autre jour que celui-ci pour vous présenter un livre sur la période de Noël ?



Après la fête de Noël du bureau trop arrosée, Pauline s’oublie un moment entre les bras de son DRH, contre le mur d’un parking… Une anecdote qui n’aurait normalement eu aucune conséquence, si les caméras de surveillance n’avaient pas tout enregistré… Une seule solution : demander à David, gardien de l’immeuble, détenteur des images, de supprimer ces dernières. David lui propose un deal: si Pauline accepte de fêter Noël avec lui et toute sa famille – pour éviter l’éternelle question concernant son célibat – il fera tout ce qui est en son possible pour supprimer ces images…



Si vous aimez l’ambiance de Noël, ses préparatifs, les films romantiques de Noël, alors ce roman est fait pour vous !
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Tu as promis que tu vivrais pour moi

"Tu as promis que tu vivrais pour moi" de Carène Ponte est un "feel good" facile à lire et pourtant original et profond par certains aspects.

Le début, dramatique, montre la mort d'une jeune femme de trente ans dynamique et enjouée, rattrapée par une maladie foudroyante. On assiste ensuite au désarroi des proches, en particulier de sa meilleure amie auprès de qui elle se tient encore après la mort par des moyens à découvrir en lisant le livre.

Ce roman n'est pas un chef d'œuvre littéraire mais le ton est léger et les réflexions bien menées et réalistes, pleines de sensibilité et de sens commun.

L'histoire est crédible selon moi et il faut de l'imagination pour la créer.
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Un merci de trop

Carene est une femme très active : blogueuse, Maman, écrivain et elle travaille, bien sûr ! On s’est rencontrées sur Twitter, il y a un peu plus d’un an et on a même réussi à se croiser pour un dej à Belleville, il n’y pas si longtemps. Ça faisait un petit moment que je suivais son blog et donc quand j’ai vu que Carene avait écrit « Un Merci de trop », je l’ai acheté le jour de la sortie en version numérique.



Présentation par l’auteur :



S’il fallait décrire Juliette en un seul mot, transparente serait sans nul doute le bon. Oui, c’est ça, transparente. Depuis qu’elle est toute petite Juliette a toujours fait ce que l’on attendait d’elle. Pour ne pas déplaire, pour ne pas décevoir. Mettant de côté ses rêves et celle qu’elle est vraiment. Résultat, à 30 ans, elle mène une vie sans relief et ennuyeuse au possible. Une vie dans laquelle choisir entre lasagne et sushi est un événement. Pourtant, elle se sent de plus en plus à l’étroit dans cette vie, dans cette peau. Elle a envie de crier qu’elle n’est pas cette fille sans personnalité. Elle a envie d’aborder celui qu’elle croise tous les jours dans son immeuble. Pour lui dire qu’il lui plait. Et par dessus tout, elle a envie d’enfin réaliser son rêve, celui de devenir écrivain. Il n’est jamais trop tard pour devenir soi. C’est ce que va découvrir Juliette au détour d’un merci, un merci de trop. Même si elle est loin d’imaginer ce qui va en découler !



Mon avis :



Un merci de trop est l’adaptation sous forme d’un roman auto-publié, de la série des nouvelles du vendredi que Carene publie d’ailleurs toujours sur son blog (maintenant avec d’autres personnages et une autre histoire, puisque les aventures de Juliette sont terminées) et que vous pouvez trouver ici.



C’est une histoire courte mais jolie, qui se lit avec facilité, l’histoire d’une fille qui décide de réaliser ses rêves et surtout, une fille qui décide de ne plus se laisser faire. Notre Juliette en début de roman est bien trop gentille, elle se laisse marcher sur les pieds par tout le monde, reste coincée dans un job qu’elle n’aime pas vraiment, dans une vie qui n’a rien à voir avec celle dont elle rêvait. Juliette, c’est le genre à s’excuser de tout et à dire « merci » quand elle rend service à quelqu’un, jusqu’au jour du merci de trop, justement, le merci qui déclenchera une suite de décisions et de rebondissements.



Carene nous entraîne vite avec elle et sa Juliette dans une succession de rebondissements inattendus pour la plupart. Un « Merci de trop » est un roman chick-lit tout rose et optimiste qui remonte le moral. Il plaira beaucoup aux grandes romantiques !
Lien : http://fan-de-chicklit.com/2..
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D'ici là, porte-toi bien

Roman choral. Six femmes qui ne se connaissent pas passent une semaine dans le même hôtel, se rencontrent et se livrent comme on se livre à des inconnues qu'on ne reverra probablement jamais, chacune avec ses problèmes plus ou moins important.

Le problème avec ce genre de roman, c'est que la premier tiers du livre sert à présenter les personnages et leur histoire. Les chapitres se succèdent nous présentant à tour de rôle le portrait de ces six femmes à un tournant de leur vie.

C'est léger, les sujets les plus durs alternant avec d'autres moins plombant . Le style est fluide, facile à lire avec une note d'humour.

L'auteur n'a pas la prétention de vouloir solutionner les problèmes et nous donne une fin tout à fait réaliste : pas de tout est bien qui finit bien. Seulement une tranche de vie et pour nous un moment de détente au coin du feu.
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La lumière était si parfaite

C’est sur les conseils d’une collègue qui avait trouvé cet opus dans une boite à livres, que je me suis mise à cette lecture. Je me méfie toujours des belles premières de couverture alléchantes, mais bon parfois, il est bon de se laisser aller et de découvrir peut-être une pépite.



Megg est une mère au foyer, mariée à un homme qui a peu d’intérêt et de respect pour la vie à la maison et aux tâches ménagères. Ce n’est pourtant pas un livre du siècle dernier, mais une réalité.



Elle s’affronte avec sa fille Liane qui rentre dans l’adolescence et la communication est quasi rompue, et son fils Malone, 10 ans, joyeux, et aimant maintient un équilibre parfois précaire à cause des tensions entre mère et fille.



Megg vient de perdre sa mère et elle doit continuer la mort dans l’âme à vider la maison. Elle monte au grenier pour voir quels sont les vestiges du passé. Elle va y faire une curieuse découverte à travers une pellicule photo concernant la vie de sa mère et se confie à sa voisine Romy, handicapée mais pleine de vie et d’entrain avec son petit chien.



Alors pour comprendre ce qui est arrivée, elle ne va faire aucune concession et emmener en voiture son ado, Lalie, le chien et Romy pour en savoir plus sur le passé mystérieux de sa mère.



Ils vont visiter Milan et Venise et vont aller jusqu’en Bulgarie. Un voyage initiatique où chacun va retrouver un peu de sérénité et les tensions vont s’alléger entre mère et fille.



Je ne vous en dis pas plus. Il s’agit d’un bon petit livre à lire entre deux lectures plus cossues.



Je ne me suis pas ennuyée et ma collègue était contente de pouvoir partager cette histoire avec moi.

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Et que quelqu'un vous tende la main

C'est l'histoire de trois femmes, d'âges et d'origines différentes, qui vont se rencontrer dans un centre de repos.

Valérie : maman, en burn-out qui ne sait pas comment aimer.

Anna : jeune fille, avec une expérience difficile, devenue maman trop jeune.

Charline : une pâtissière avec le cœur en or, que la vie ne gâte pas.



Elles ont toutes les trois, des histoires, une vie et des problèmes différents, mais avec leur amitié naissante, elles vont apprendre doucement à faire connaissance et à s'aider les unes les autres, faire un tri dans leur vie et ainsi faire le bon choix pour repartir à zéro.

Avec l'aide de Catherine, leur psychothérapeute, et sa distribution de petite cuillère, elles vont avancer tant bien que mal vers la reconstruction.



Une magnifique histoire de deuxième chance et de sauvetage, de quête de soi, d'amitié et surtout de reconstruction et de pardon. Préparer les mouchoirs, car la vie n’a pas été tendre avec elles et les larmes durant la lecture peuvent couler facilement.

L’écriture de Carène Ponte est très agréable, fluide et légère, on prend énormément de plaisir à tourner les pages et à lire l’histoire de ces trois femmes, une très belle lecture qui m'a autant fait sourire que pleurer.

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Prendre la vie comme elle vient

Ce roman est le quatrième de l’auteure que je lis, après avoir découvert cette dernière sur les réseaux sociaux. J’avais été charmée par cette personne au discours très humain, par son optimisme, et sa capacité de recul sur les aléas de la vie. C’est d’ailleurs cette thématique qui est au cœur de ce récit ; la capacité à avancer quels que soient les drames de l’existence, coûte que coûte. Une lecture, vous vous en doutez, qui se révèle émouvante.



« Longtemps je serai hantée par cette question : qu'est- ce que je faisais exactement à cet instant- là ? Et j'aurai beau me concentrer de toutes mes forces, fermer les yeux pour mieux visualiser, jamais je ne parviendrai à me souvenir. » Un coup de fil et la vie d’Alice bascule : son mari, Aymeric, vient d’être victime d’un grave accident de voiture et se retrouve plongé dans le coma. C’est la panique : va- t- il s’en sortir ?



« Je choisis l'optimisme. Il va s'en sortir parce que jamais il ne te laisserait, jamais. Il t'aime comme un fou, il ne te ferait jamais un coup pareil. » Cinq jours passent, et la situation n’évolue pas. Après vingt ans de vie commune, Alice et Aymeric sont amoureux comme au premier jour. Vivre l’un sans l’autre est inenvisageable.



« On devrait être prévenu que la vie va basculer. Gagner ne serait- ce qu'une poignée de secondes d'avance. Juste pour avoir le temps de graver dans sa mémoire la saveur de l'insouciance. » L’auteure crée alors la surprise en proposant trois issues au basculement de la vie d’Alice. Un exercice complexe, puisque des éléments doivent être repris de l’une à l’autre, et réussi tant les possibilités sont bien élaborées avec un certain lot de surprises.



Au final, un roman qui se dévore, et qui ne peut qu’émouvoir. J’ai quand même été un peu désarçonnée par le procédé des fins diverses proposées, mais après avoir lu les trois, c’est un avis plutôt positif qui ressort. L’écriture de Carène Ponte est fluide et ses petites pointes d’ironie apportent une légèreté bienvenue dans ce récit dramatique.

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La lumière était si parfaite

Une lecture qui fait du bien !

Alors, il faut admettre que les thèmes ont été exploités plus d'une fois, que j'intrigue est légère, que la fin est prévisible mais c'est sans compter sur le talent de Carène Ponte !

Son style fluide, dynamique, son humour pétillant, ses dialogues percutants, ses descriptions gourmandes, ses personnages attachants, plus vrais que nature rendent la lecture addictive ! J'ai passé de merveilleux moments avec les héros de cette histoire, passant d'une ville à l'autre, d'une émotion à l'autre . A plusieurs reprises, j'ai souri et j'ai même eu la larme à l'oeil !

Un roman idéal à lire entre deux lectures plus sombres et, sous une apparence légère, il nous fait réfléchir, il nous met face à certains choix et nous interpelle sur le sens qu'on donne ou qu'on veut donner à notre vie.
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La lumière était si parfaite

" Je reste interdite pendant quelques secondes et je sens les larmes me monter aux yeux. C'est fréquent ces derniers temps. Hier, une publicité à la télévision m'a quasiment fait pleurer. Ça arrive à tout le monde bien sûr, sauf que c'était une publicité pour des tubes de colle… "



Megg, mère au foyer de quarante ans, s'interroge sur le sens de sa vie et l'image qu'elle renvoie d'elle-même. S'installe insidieusement une petite dépression. Une pellicule photo retrouvée dans le grenier de sa mère, décédée il y a quelques mois, va bouleverser le cours de sa vie, et l'entraîner jusqu'en Bulgarie en quête de réponses, accompagnée par son excentrique amie Romy et son ado de fille Lalie. Un grand coup de pied dans la fourmilière, au péril de son couple… !



Carène Ponte embarque le lecteur dans une aventure pleine d'émotions, de tendresse et de réflexions, et réussit le pari d'un nouveau bon roman feel good ! Une lecture douce et agréable !

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