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Citations de Bruno Combes (783)


Il y a des tristesses qui ternissent nos jours,
et des lumières qui éclairent nos nuits.
Il y a des amours promises qui s’enfuient,
et des hasards qui deviennent des toujours.
Il y a des bonheurs qui pèsent trop lourd,
et des chagrins qui redécouvrent l’envie.
Il y a des espoirs qui s’enfuient sans retour,
et des doutes qui nous poussent vers la vie.
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La vie est un perpétuel va et vient entre l 'ombre et la lumière. Aux nuits d'orages succèdent les matins ensoleillés, au désespoir, les plus belles attentes...le temps qui passe nous offre des sourires ou des cris de haine, du mépris ou de l 'estime .La vie est tout à la fois, des rires et des larmes.
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Avec une franchise d'enfant, Émilie répondit simplement :
- Non, il est au cimetière. Il est mort l'année dernière.
- Ah mince, c'est triste dis donc.
- Oui, je pleure souvent toute seule, mais je ne le montre pas, car ma maman est malade depuis la mort de Théo et il ne faut pas trop la fatiguer. J'en discute quelquefois avec mon papa. Lui aussi est triste. Il me console et me dit que mon frère sera toujours avec nous. Je ne dis rien, mais je sais que ce n'est pas vrai, il n'est plus là et ne reviendra pas.
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On fête des centenaires et on pleure des enfants, ça tient à quoi une vie ?
A une seconde de trop, au sort qui s'acharne, au hasard qui hésite et qui bascule du bon ou du mauvais côté.
A la grande loterie de l'existence, il n'y a ni gagnant ni perdant, nous sommes tous des spectateurs, de simples observateurs d'un destin que rien ne peut contrôler.
Ça tient à quoi une vie ? A rien et à tout à la fois ! A un au revoir manqué, à un départ trop précipité, à une main qu'on lâche, à une voix qui s'éteint.
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Destins de femmes !!!!!!!!!!💖💖💖💖💖💖💖

Et me revoilà avec un livre dans lequel je me suis plongée avec bonheur et délectation.
A la suite d'un drame Lisa, Hugo et Emilie quittent la frénésie de Paris pour partir s'installer dans une grande demeure à Sarlat. Lisa est de suite attirée par cette maison, c'est instinctif. Ils s'installent, et un jour une amie de Lisa découvre dans le grenier un carnet et des lettres échangés entre une Alice et un Gabriel qui datent de la seconde guerre mondiale.
Lisa va se plonger dans leur vie et leur histoire et grâce à Alice, elle va reprendre pied dans la vie et pouvoir se reconstruire.......

C'est une histoire poignante et passionnante de deux femmes qui ne se connaissent pas, qui ont vécu à deux époques différentes mais qui ont traverse des épreuves qui se font écho.
C'est un roman sur la résilience, sur la force et le courage des femmes à toutes les époques. Il y a aussi de sacrés beaux personnages masculins. Il est rempli d'espoir, de courage, et d'Amour. Il a ce côté un peu mystique que les absents sont là et peuvent nous aider.....

Je l'ai dévoré et adoré il sortira le 4 juin et pour la fête des mamans rajoutez le sur votre liste.
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Telle une enfant, elle s’approcha à petits pas. Elle ne pouvait imaginer son homme à travers cette infâme caisse de bois. Les cercueils c’est comme les gens, les couches de vernis peuvent être le plus épaisses possible ça ne change rien, si c’est laid, ça reste laid !
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Bruno Combes
Le hasard n’existe pas. Nous sommes programmés pour rencontrer les êtres qui nous ressemblent et nous complètent. Cela prend parfois toute une vie, mais à force d’espérer, nous finissons toujours par nous donner rendez-vous sur le chemin de la liberté.
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on devrait vider nos cœurs comme on vide une vieille malle.
Se débarrasser des tristesses qui débordent, des regrets trop poussiéreux qui embrument nos lendemains.
On devrait décorer nos cœurs de couleurs vives et chaudes, oublier le gris des années de pluie et accrocher un soleil au-dessus de nos portes.
Chaque matin, poser notre main sur notre poitrine et sentir notre cœur battre, signe de vie et d'espoir.
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Griffonné sur un papier, tapé sur un clavier ou chuchoté au creux de l'oreille, le dernier rendez-vous est toujours le plus intense.
A cet instant, personne ne triche, ni celui qui sait, ni celui qui part vers l'inconnu de l'absence. Des chemins de vie qui se séparent, des espoirs et des attentes qui s'éteignent.
Les passions ne se vivent pas, elles se glissent simplement dans la douleur d'un dernier rendez-vous.
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On peut aimer plusieurs personnes de tout son cœur de tout son âme; l'amour ne se partage pas.
Seules la force et l'intensité en font la beauté. L'amour est un sentiment où il faut tout donner, lâcher prise et laisser ses vagues nous engloutir. Plonger au plus profond de ses abysses, remonter à la surface et jaillir à l'air libre comme un nouveau-né, se déchirer les poumons et se sentir vivant.
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Il existe des journées où, sans qu’on sache pourquoi, des tas de petits moments nous rendent heureux: un rayon de soleil qui réchauffe notre visage, les bruits qui accompagnent le lever du jour et que l’on écoute, blotti au fond du lit, encore dans un demi-sommeil. Ou bien quand on croise « sa » silhouette sur le chemin du hasard , avec l’envie de se retourner et d’espérer qu’elel fasse de même.
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Les surnoms qui traversent les années sont révélateurs de l'amour que l'on porte aux personnes à qui nous les offrons.
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Parsemé d'embûches et de souffrance, qu'il est long le chemin pour arriver jusqu'à soi.
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Il nous manque toujours quelque chose pour être heureux: de l'argent, du temps, un être aimé, une famille, un travail...
À mesure que les années défilent, on se rend compte que tout cela n'est qu'une excuse lénifiante, que le bonheur, ce n'est surtout pas une liste de cases à cocher.
Être heureux réside dans la simplicité : le rire d'un enfant, une rencontre imprévue, le vol d'un oiseau, la caresse du vent, l'odeur de l'herbe mouillée…
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Nous sommes tous des chercheurs d'or.
On creuse, trie, sans qu'aucune pépite apparaisse.
On change donc de rivière, puis une autre et encore une autre sans le moindre résultat.
Un jour, désespéré, on s'effondre.
C'est alors qu'au plus profond du désespoir, nous remarquons une faible lueur qui nous maintient en vie.
A force d'entretenir cette petite flamme, l'espoir revient peu à peu pour se transformer en une immense étoile qui scintille à jamais: le plus beau des trésors!
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Quand nous étions enfant, on a tenté de nous faire croire qu'un jour nous deviendrons des êtres responsables, dans un monde d'adultes.
Mais un adulte, qu'est-ce que c'est?
Simplement un enfant qui tenté de vivre avec ses failles et ses blessures à la recherche d'un hypothétique bonheur.
Alors, restons des enfants, car il n'y a rien de plus sincère que les cris d'un nourrisson quand il a faim ou les éclats de rire d'un gamin quand il joue, et rien de plus hypocrite que le sourire d'un adulte quand il veux parvenir à ses fins.
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La monotonie de la route qui défilait et la musique douce que distillait Radio Nostalgie l'incitaient à laisser dériver ses pensées.
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La vrai richesse, ce n'est pas de trouver de l'or, c'est de transformer ce que l'on a en or ! Ton trésor, fabriqué-le toi-même.
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Lorsqu'ils s'exprimaient dans leur langue maternelle, ils chuchotaient... Comme s'ils avaient honte d'être des immigrés espagnols. Elle comprit plus tard que ce n'était pas de la honte, mais du respect pour le pays d'accueil qui leur offrait la possibilité de vivre décemment.
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Les forêts de pins, l'odeur des fougères, les rires des soirées de moissons, les châtaigniers centenaires.
Les cris des enfants, les cheminées qui crépitent, les vieilles pierres, les poutres noircies.
Ca doit ressembler à ça...
Le vent dans les chênes.
Les chemins qui se perdent.
Le silence...
Le soleil qui s'enfuit.
Le bonheur oublié, ça doit ressembler à ça...
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